Alexia,
dix-neuf ans, camarade de classe d’Olga et de Iourievna, est l’une de ces
jeunes femmes à qui tout sourit, bonnes notes en classe, heureuse avec Thomas,
son petit copain de la même promotion qu’elle et parents l’entourant
d’affection, voire la surcouvent et de ce fait, Alexia se pense avoir tout
permis, car en cas de bêtises, ses parents la sortent du pétrin dans lequel
elle s’est fourrée, assez rapidement, avec juste une remontrance à la clé, sans
plus. Le regard de chien battu envers ses parents et les excuses en contrition
ont le don d’atténuer les reproches.
Alexia a
une fâcheuse tendance à avoir des envies au-dessus de ses moyens, ce qui lui
fait dérober des articles dans les magasins plutôt que de les payer. Avec une
relative dextérité et pas mal de chance, ses méfaits passent tout à fait
inaperçus. Quelques exemples :
· Lorsqu’elle dérobe un livre,
elle en achète un autre moins cher et elle cache le livre volé sous ses
vêtements, de ce fait, elle repart avec deux livres ou deux magazines,
· Lorsqu’elle chaparde un
objet en présentoir, elle profite qu’il y ait du monde pour masquer son acte,
· Lorsqu’elle vole un
vêtement, elle s’arrange pour en prendre plusieurs et dans la cabine
d’essayage, elle garde l’article volé sur elle ou le cache dans son sac.
A la
sortie du Lycée, un groupe d’élèves passe en centre-ville et fait du lèche
vitrine, activité préférée des jeunes femmes, surtout en période de soldes ou
plus généralement appelée « vente privée ». Ce jour-là, l’activité
est fébrile, car il y a du monde dans les commerces où sont affichés les
réductions, chacun et chacune voulant trouver la perle rare dans les vêtements
de certaines collections qui viennent de s’arrêter.
Les yeux
des jeunes femmes sont rivés sur les sous-vêtements, les maillots de bain et
les robes légères en pensant aux vacances qui approchent à grands pas.
Les
copines font plusieurs magasins et constatent avec regrets que certains
articles sont toujours au prix fort, car de qualité supérieure, même s’ils font
partie de l’ancienne collection. Ce sont justement ces articles qui sont les
plus prisés par la bande de jeunes femmes, avides d’achats. Tout de même,
certaines entrent, essayent et repartent, ne pouvant se les payer.
Les
garçons quittent les jeunes femmes, car les entendre s’extasier devant tel ou
tel article, les saoulent un peu. Ils préfèrent aller les attendre sur une
terrasse de café pour parler football ou d’un autre sujet d’actualité, sans
compter sur le fait, qu’en terrasse, ils auront une vue imprenable sur les
jeunes femmes qui déambulent dans les rues ensoleillées.
Alexia et
ses camarades continuent leurs activités pour dénicher l’article de leur rêve à
prix modique.
Entrant
dans une boutique sur une avenue passante, les filles farfouillent partout,
essayent, réessayent, demandent des explications aux vendeuses et certaines
trouvent tout de même quelques articles.
Alexia a
le regard braqué sur un ensemble maillot de bain deux pièces et paréo assorti,
qui devrait plaire à Thomas, car le maillot de bain en dévoile plus qu’il n’en
cache et ses belles formes féminines seront bien mises en valeur. Par contre,
inversement proportionnel au nombre de centimètres carrés, le prix est
impressionnant, car c’est une grande marque. Ses amies Camille et Morgane lui
font remarquer. Comme à son habitude, Alexia dit à ses amies que ce ne sera pas
un problème pour elle. Elle va utiliser une méthode qui a déjà fait ses preuves
et le tour sera joué. Elle va repartir avec l’ensemble. Camille et Morgane la
mettent en garde car elles soupçonnent vite qu’Alexia va entreprendre un acte
irréfléchi. Pas très rassurées, elles laissent Alexia en cabine d’essayage et
s’éloignent pour continuer leurs recherches de leur côté.
Alexia
prend trois ensembles et les essaye les uns après les autres. Elle en choisit
un et remet ses vêtements par-dessus, le paréo est bien plié et mis au fond de
son sac à dos.
Satisfaite
de son larcin, Alexia rejoint ses amies et sous le nez de la vendeuse, replace
les deux ensembles à leur place en lui disant que c’est trop cher pour elle,
histoire de noyer le poisson.
Les
jeunes femmes terminent leurs emplettes, certaines ayant trouvé un article paient
et le groupe repart, car les garçons s’impatientent à leur terrasse et comptent
bien les faire venir pour prendre une dernière consommation avec elles, avant
de rentrer chez eux.
Pour
sortir du magasin, il faut passer entre deux portiques antivols. Dans le
magasin, certains produits sont munis de gros badges antivol et d’autres munis
d’étiquettes antivol, plus discrètes, mais tout aussi efficaces.
En
passant entre les portiques, une sirène retentit, stoppant la sortie des
clientes. Toutes les filles sont interloquées par cette alarme et ne
comprennent pas ce qu’il se passe, sauf Alexia, Camille et Morgane ! Ces
deux dernières font les gros yeux à leur amie Alexia pour bien lui faire
comprendre qu’elles ne sont pas dupes.
La gérante
du magasin, Céline V., et sa vendeuse vont à la rencontre des jeunes femmes et
les prient de passer une par une au travers du portique. Toutes sauf une,
passent sans problème. Pour Alexia, c’est différent, elle passe deux fois et
l’alarme retentie toujours. Paniquée, Alexia dit à Céline V. qu’elle n’a rien
acheté, la vendeuse pourra en témoigner et que ça doit être le système qui est
détraqué. En effet, la vendeuse confirme les dires d’Alexia, en disant que les
deux articles qu’avait Alexia ont bien été remis en rayon.
La gérante
demande à Alexia d’ouvrir son sac à dos pour regarder dedans. Se sentant prise
au piège, Alexia ouvre timidement son sac, tout en prenant soin de masquer le
paréo au fond du sac. Céline V. prend le sac et le passe entre les portiques,
l’alarme retentit.
En
fouillant mieux, Céline V. trouve le paréo caché sous ses livres parmi lesquels
se trouvent une culotte et un soutien-gorge. Les autres filles du groupe sont
éberluées de constater que leur amie est une voleuse. Alexia commence à avoir
le menton qui tremble d’émotion, car elle vient de se faire prendre en flagrant
délit et elle ne peut plus nier l’évidence.
La gérante
demande la carte d’identité d’Alexia, car elle veut prévenir ses parents,
jugeant l’acte suffisamment grave pour leur signaler. N’en menant pas large,
Alexia donne sa carte que Céline V. photocopie et le numéro de téléphone de ses
parents. Céline V. lui dit que si le numéro est un faux, elle ira voir la
gendarmerie pour porter plainte. Alexia promet que c’est le bon numéro.
Céline V.
rend le sac à Alexia et lui demande de partir. Au moment de franchir les
portiques, de nouveau l’alarme se déclenche. Céline V. ramène Alexia manu
militari et lui ordonne de vider ses poches et de retirer la veste, car elle
soupçonne quelque chose dû au fait qu’elle ait trouvé précédemment une culotte
et un soutien-gorge qui n’avait rien à faire dans un sac de lycéenne.
Céline V.
ouvre le corsage d’Alexia et constate qu’elle porte le maillot de bain qui va
avec le paréo. Les amies d’Alexia commencent à protester à l’encontre d’Alexia pour
ce vol. Alexia, tête basse, n’ose plus dire un mot et s’effondre en larmes, car
elle est au trente-sixième dessous. Pour corser d’addition, Céline V. la traite
de tous les noms, sans que ni ses amies, ni les autres clientes ne trouvent
quelque chose à y redire.
Céline V.
ordonne à Alexia de payer l’ensemble, chose qu’Alexia est incapable de faire,
n’ayant pas la somme sur elle. De ce fait, Céline V. lui dit de lui rendre le
maillot de bain. Entre deux longs sanglots, Alexia lui dit qu’elle va à la
cabine pour se changer. Céline V. la retient fermement par un bras et c’est au
milieu de tout le monde qu’elle va devoir se déshabiller, ça lui apprendra à voler.
De plus, elle va recevoir une sévère fessée pour qu’elle retienne la leçon, car
elle se doute qu’Alexia n’en est pas à son premier coup d’essai.
N’osant
pas protester pour aggraver son cas, Alexia retire le soutien-gorge puis le bas
en prenant soin de se cacher les seins et le pubis de ses mains. Le fait de se
retrouver nue devant tout monde la fait sangloter davantage, par l’humiliation
ressentie. Jamais elle n’aura eu si honte qu’en ce moment et ça risque d’être
pire avec la fessée.
Sur ces
entrefaites, Iourievna téléphone aux garçons pour leur dire qu’il y a un gros
problème au magasin de prêt-à-porter et qu’elles auront beaucoup de retard. Intrigués,
les garçons décident d’aller voir ce qu’il se passe.
Céline V.
va prendre une grosse ceinture de cuir en rayon et dit que c’est avec ça
qu’elle va corriger Alexia, qui effrayée par l’instrument de punition supplie
de ne pas faire ça. Elle jure avoir compris et que ça n’arrivera plus. Céline
V. lui dit que c’est trop tard, qu’il fallait y penser avant. Maintenant, elle
va payer ce qu’elle a fait. Céline V. lui ordonne de se retourner et de lui
présenter ses fesses pour la correction. Alexia refuse, ce qui oblige Céline V.
à devenir menaçante et brandissant la ceinture, elle lui dit qu’elle va lui
cingler le devant du corps. Effrayée et en pleurs, Alexia se tourne rapidement
pour ne pas recevoir la première cingler sur les seins et elle offre ses fesses
à la lanière.
Sous un
claquement sec, la première cinglée s’abat sur les fesses d’Alexia qui crie de
douleur en sursautant. Ses mains viennent de suite en protection de ses fesses.
La seconde cinglée atteint les mains d’Alexia, ce qui les lui fait retirer
prestement. Céline V. assez en colère y met tout son cœur pour corriger Alexia,
qui hurle de douleur en trépignant, en hurlant, en se contorsionnant et en
suppliant.
Après une
quinzaine de fouettées, Céline V. lui laisse une première pause pour lui faire
la morale et lui dit qu’après la fessée, elle ne pensera plus à aller à la
plage en maillot de bain, tellement ses fesses et ses cuisses seront rouges et
marquées. Ca lui fera passer le goût du vol.
C’est le
moment où les garçons arrivent devant le magasin facilement identifiable, car alertés
par les hurlements et la foule devant la vitrine. Les spectateurs ne manquent
pas une miette de la correction. Certains sont ravis de voir cette jeune femme
nue se tortiller dans tous les sens sous les fouettées. Alexia ne pense même
plus à protéger sa pudeur. Tous peuvent voir ses seins qui tressautent à chaque
cinglée, ses tétons dressés et son pubis épilé. Son intimité est entièrement
exhibée.
Thomas
tente de s’interposer entre sa petite amie et Céline V., qui lui dit de se
pousser, car sa petite copine pourrait en recevoir davantage par cette
tentative d’interruption. Triste pour ce qu’Alexia endure, Thomas se résout à
n’être que spectateur impuissant devant la punition.
N’en
pouvant plus, Alexia finit par plier et se retrouve à genoux devant Céline V.
Manquant de précision, quelques fouettées lui cinglent le bas du dos,
l’intérieur des cuisses et les hanches, ce qui fait pousser des cris stridents
à Alexia, puis lorsque Céline V. jugeant que le bas du corps d’Alexia est
suffisamment rouge, s’arrête, laissant Alexia en sueur et en sanglot, incapable
de retenir ses larmes car le feu est ardent sur le bas de son corps.
Ses amies
se précipitent vers Alexia et l’aident à se relever. Alexia n’ose même pas
relever la tête, car elle sait que plein de gens la regardent. Céline V.
demande à Iourievna de mettre ses vêtements dans son sac à dos, car elle va
raccompagner Alexia, nue, chez ses parents. Elle souhaite avoir une discussion
avec eux. Céline V. laisse la boutique à sa vendeuse durant la période où elle
sera chez les parents d’Alexia.
Céline V.
empoigne la punie avec son sac et toutes les deux sortent dans la rue pour
rejoindre le domicile d’Alexia qui se trouve à une vingtaine de minutes à pied.
Alexia parvient à implorer Céline V. de ne pas lui faire traverser la ville
entièrement nue. Très ironiquement, Céline V. lui dit qu’elle n’aurait surement
pas fait autant de manières avec le maillot de bain qui ne cache presque
rien !
Céline V.
qui tient Alexia par les bras, l’empêchant de cacher son intimité, partent vers
le domicile de la jeune femme. Alexia, marchant doucement, les cuisses
écartées, voit tous les badauds se retourner, rigoler, se moquer et entend
leurs commentaires ce qui la fait redoubler de pleurs.
Olga et
Iourievna qui habitent dans le même quartier qu’Alexia décident de les
accompagner. Tout d’abord assez en colère contre leur camarade pour ce vol, à
présent, vu son état, elles ont pitié d’elle, car elle a reçu une bonne tannée
dont elle se souviendra longtemps, sans compter l’humiliation qu’elle a subie
en public.
Après
vingt-cinq minutes de marche sous la chaleur, Céline V. et Alexia arrivent à
son domicile et sonnent à la porte. C’est Angélique F., la Maman d’Alexia qui
ouvre. La première vision la surprend, car sa fille est nue et en pleurs, le
bas du corps zébré de marques rouges. Supposant que sa fille a été victime
d’une agression, elle prend sa fille dans ses bras, l’embrasse, la cajole et
demande des explications à Céline V. qui lui détaille le vol et le fait qu’elle
l’a corrigée en public.
Furieuse
et perdant son sang-froid, Angélique F., qui n’a jamais porté la main sur sa
fille, lui flanque une gifle retentissante, tant la faute de sa fille lui
parait monstrueuse, ce qui pétrifie Alexia, qui vient de recevoir la première
gifle de sa vie. Olga et Iourievna tentent d’apaiser les choses en disant à la
mère d’Alexia que sa fille a déjà eu une grosse fessée.
Céline V.,
Olga et Iourievna sont invitées à entrer pour des
explications complémentaires, car Angélique F. est habituée aux bêtises de sa
fille, mais elle pense que celle-ci ne s’est jamais rendue coupable d’actes
aussi graves. Céline V. fait tout pour enfoncer Alexia, tandis Olga et
Iourievna tentent de dédramatiser.
Debout et
nue au centre de la pièce, Alexia se confond en excuses auprès de Céline V. et
de sa mère et elle jure que c’était la première fois qu’elle volait dans un
magasin et que ce sera la dernière. Angélique F. dit à sa fille que jamais elle
ne lui a donné une fessée, mais que ce temps est surement révolu et qu’il est
temps de reprendre les choses en main, car Alexia est allée trop loin, cette
fois-ci. Pleins de gens l’ont vu voler et Alexia vient de souiller le nom de la
famille. Pour quoi vont-ils passer après ça ? Les gens vont surement les
juger comme des parents laxistes, incapable d’éduquer leur fille ou même pire,
ils vont les prendre pour des voleurs eux-mêmes, ce qu’ils ne sont pas ! Angélique
F. est à deux doigts de pleurer tant elle a honte de sa fille.
Céline V.
prend congé et dit à Angélique F. que sa fille ne sera plus autorisée à entrer
dans son magasin, sous peine de poursuites. La Maman d’Alexia lui répond qu’elle
va sévir et va veiller à ce que sa fille se s’égare plus.
Angélique
F. ordonne à Alexia d’aller prendre une douche, car elle n’est pas présentable.
Olga et Iourievna tentent de consoler leur amie, un peu tristes pour elle. Devant
Olga et Iourievna, Angélique F. dit à sa fille qu’elle n’aura pas de seconde
fessée, mais qu’elle passera toutes ses soirées à la maison, entièrement nue, durant
une semaine. Dès le retour du Lycée, elle devra se mettra nue jusqu’au
lendemain matin. Cette tenue dégradante la rendra surement plus docile et plus
obéissante. De plus, durant cette période, elle lui interdira de voir son petit
ami Thomas. Les soirées seront passées aux devoirs scolaires et à aider à
l’entretien ménager, jardin y compris. Ce sera un message envoyé au voisinage
qu’Alexia a été reprise en main, car la nouvelle de son larcin va surement se
répandre assez rapidement. Les gens feront le lien entre le larcin et le fait
qu’ils l’aient vue rentrer nue avec la gérante de la boutique.
Angélique
F. dit à sa fille que des voisines ou des voisins passent de temps en temps à
la maison pour prendre un café ou pour discuter, en soirée. Ces visites
continueront même si elle est nue… Après cette période, Angélique F. s’attend à
ce que sa fille se soit complètement repentie.
Après sa
douche, Alexia, tête basse, revient dans le salon où sa mère l’expédie au coin,
à genoux, face à la pièce, les mains sur la tête. De ce fait, lorsque quelqu’un
entrera, il verra le corps nu d’Alexia. Angélique
F. lui dit qu’elle restera comme ça jusqu’au retour de son père.
Trois
quarts d’heure plus tard, Michel F. rentre et Ô surprise, trouve sa fille, nue
au coin, qui se remet à pleurer de honte et redoutant des reproches de son père.
Sa femme ordonne à Alexia d’expliquer elle-même ce qu’elle a fait. Entre deux
sanglots, elle lui explique le vol, la fessée au magasin, son retour à la
maison à pied complètement nue et la sanction qu’elle s’est vue infligée par sa
mère. Michel F. qui avait une haute estime de sa fille, lui dit qu’elle l’a
profondément déçu, que la fessée en public était amplement justifiée et qu’elle
peut s’estimer heureuse de ne pas en prendre une autre. En ce qui concerne sa
nudité, Michel F. allonge la sanction à deux semaines complètes. Michel F. explique
qu’au moindre dérapage, celle-ci sera fessée au jardin et surement que depuis
leur fenêtre, les voisins seront surement ravis d’assister à la correction
d’une jeune adulte qui se comporte comme une sale gamine.
Durant
les deux semaines qui suivent cette punition, il n’est pas rare de voir les
voisins et voisines débarquer au domicile d’Alexia, sous un faux prétexte de
prendre de ses nouvelles ou pour demander des explications sur le fait d’avoir
vu la jeune femme déambuler, entièrement nue, avec une commerçante du
centre-ville. Lorsque ça arrive, Angélique F. appelle sa fille qui doit
expliquer devant les personnes présentes son vol et sa conséquence. Etant nue
devant les voisins, elle devient toute rouge, ses larmes ne tardent pas à
couler, ses tétons se dressent par l’humiliation ressentie et honteuse, elle
bafouille ses aveux et ses remords, en bégayant.
Dans la
mesure où il fait chaud, lorsque la famille dans le jardin pour dîner ou pour
s’occuper des plantes et de la pelouse, les voisins sont ravis d’être à leur
fenêtre pour se rincer l’œil, ce qui ne manque pas d’échapper à Alexia, qui
s’arrange pour en montrer le moins possible.
Alexia
aura chèrement payé son acte et sa réputation sera à jamais entachée, même si
avec le temps, les choses s’apaiseront avec ses amies. Par contre, à chaque
fois qu’Alexia croisera un voisin ou quelqu’un qui a assisté à la punition,
Alexia rougira et baissera le regard en se doutant que le souvenir de cet événement ne peut que revenir en mémoire de la personne qu’elle croisera.
Lorsque les
deux semaines de pénitence sont terminées, Alexia a l’autorisation de ne plus
se dévêtir le soir à la maison. Michel
F. et Angélique F. font un bilan de cette période de repentir, ils lui disent
qu’ils ont fait ça pour son bien, car il est temps qu’elle se comporte comme
une adulte, car à dix-neuf ans, une jeune femme n’agit plus comme une gamine de
dix ans. Leur amour pour elle sera toujours sans faille, mais il faudra qu’elle
fasse des efforts pour regagner leur confiance. Dorénavant, elle pourra s’attendre
à des corrections corporelles, entièrement nue dans le jardin, à chaque fois
que cela deviendra nécessaire. Sous cette menace, Alexia promet à ses parents
de s’améliorer, mais parviendra-t-elle vraiment à le faire ? Ne dit-on pas
« chasse le naturel, celui-ci revient au galop » ?
Une série écrite par Elena
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 7Vous souhaitez réagir ?
Laissez un commentaire en bas de l'article, Elena vous répondra. Quelque chose de plus privé ? Adressez-moi-le, je transmettrai.
Bonjour, Elena. Et bonjour tout le monde.
RépondreSupprimerVotre récit m'a ramené des souvenirs. Quand j'étais étudiant en effet, la mode était aux cafés-caves. Dans celle que je fréquentais, il y avait trois filles, étudiantes elles aussi, qui, profitant de l'absence de systèmes de sécurité performants, partaient, l'après-midi, faire de véritables razzias dans les magasins de vêtements. Elles passaient de temps à autre déposer leur butin et repartaient à l'assaut. À ma connaissance, elles ne se sont jamais fait prendre, mais je me souviens m'être parfois laissé aller à imaginer que c'était le cas de l'une ou l'autre d'entre elles et qu'elles se voyaient gratifiées, pour la peine, d'une somptueuse fessée.
un peu comme votre héroïne. Que vous prenez bien le temps de présenter avant d'entrer dans le vif du sujet. Cela donne beaucoup de force à votre récit et à la punition exemplaire qui s'ensuit. Vous mettez toujours (et à juste titre à mon avis) l'accent sur la valeur exemplaire de la fessée. Tout est fait pour que la faute qui l'a rendue nécessaire ne se renouvelle pas. Et cela passe par la honte qui doit être suffisamment cuisante pour que les coupables n'aient pas la moindre envie d'être amenés à la revivre.
Dance texte-ci, la nécessité, pour Alexia, de devoir faire le récit, dans le plus simple appareil, du forfait qui a rendu la fessée nécessaire, sera très certainement dissuasive.
À très bientôt.
Cordialement.
FF
Bonjour cher François,
RépondreSupprimerUn grand merci pour votre commentaire, qui met en exergue la substance de mes textes. Encore une excellente analyse ! Toute punition n'est pas gratuite. Elle sert à faire se repentir celui ou celle qui a fauté et fixer des repères, socle de toute civilisation.
En effet, je m'efforce, dans mes textes, que le mode de punition soit suffisamment sévère en fonction de la faute commise, afin que le fautif ne puisse plus recommencer son acte.
Comme vous, je pense qu'Alexia ne devrait plus rééditer de tels actes.
Imaginez-vous, nu, devant expliquer aux personnes présentes la raison de la fessée. Avec cela, vous seriez surement amené à mesurer chaque acte !
Salutations.
Elena.
Bonjour à toutes et tous,
RépondreSupprimerAprès quelques semaines de recherche d'un nouveau thème ( manque évident d'inspiration de ma part ), le neuvième chapitre, à propos de nos rebelles, va paraître.
Salutations.
Elena