Je sais que nous avons le même âge, nous avons été à l'école ensemble. Déjà à cette époque tu étais une petite peste arrogante. Je n'ai pas oublié. D'avoir vingt-cinq ans n'a rien arrangé. Tu crois toujours que tout t'est dû et que tu peux faire impunément ce que tu veux. J'avais pensé qu'en grandissant tu deviendrait plus raisonnable, mais il n'en est rien.
Bien sûr que je ne suis pas ta baby-sitter ! A ton âge, en principe, on n'en a plus besoin ! Si je suis là c'est pour m'occuper de ta petite sœur qui essaye de dormir dans la chambre à côté.
C'est d'ailleurs significatif que tu refuses de t'occuper d'elle et que ta Maman soit contrainte de m'embaucher, moi, pour faire un travail que tu pourrais faire. Il parait que tu n'as pas le temps de t'occuper des gamineries de ta sœur. A huit ans, c'est pourtant une petite fille adorable. Il serait normal que ce soit toi qui garde ta sœur quand ta maman doit s'absenter, mais j'ai l'impression que tu n'es pas assez responsable pour le faire et que ta Maman s'en est rendue compte.
Vois-tu, tu n'es même pas capable de faire moins de bruit quand il est l'heure que ta sœur aille se coucher. Et que je te claque les portes, et que je mette la musique aussi fort que je le peux et que je passe dans le couloir et parlant et en riant tellement fort au téléphone que cela s'entend dans toute la maison.
Sans compter le mauvais exemple que tu donne à ta sœur : le refus de manger ce qui était dans ton assiette, le téléphone que tu utilises à table, les gros-mots dont tu ponctues presque toute tes phrases, le désordre que tu laisses derrière toi... Dois-je continuer la liste ?
Ta petite sœur sait bien que je n'accepte pas de tels débordements. Elle appris à ses dépens ce qu'il en coûte de me désobéir. Elle a essayé. Une seule fois, le premier soir où je l'ai gardée. Ma réaction lui a suffi. Elle n'a pas recommencé. Depuis, c'est la plus adorable des petites filles. Elle est très câline. J'adore quand elle vient se blottir dans mes bras. Je ne l'ai pas vue le faire avec toi, étonnant, non ?
Depuis que tu es revenue vivre chez tes parents après avoir été renvoyée de ton travail, ne dis pas le contraire, tout le monde sait que c'est comme cela que ça s'est passé. N'essaye pas de prétendre que ce n'est pas comme cela que ça s'est passé, ce serait un mensonge et je serais obligée de t'en punir. Depuis que tu es revenue, disais-je, quand je passe la soirée chez tes parents, j'ai l'impression de devoir m'occuper de deux gamines et pas d'une seule. Sauf qu'il y en a une qui obéit du premier coup et pas l'autre.
Tu as de la chance, je sais ce qu'il faut faire avec les gamines désobéissantes, capricieuses, impolies, grossières et qui se croient toutes seules au monde. Eh bien, je vais m'y prendre avec toi comme il faut le faire avec les demoiselles qui n'ont pas grandi dans leur tête aussi vite que l'âge qui est inscrit sur leur carte d'identité le laisserait supposer. C'est la première correction que je te donne ce soir, mais je parie qu'il y en aura d'autres.
Tu t'es comportée comme si tu l'attendais pour que je te signale la fin de la partie. Mais tu as raison, une bonne fessée déculottée, c'est quand même ce qu'il y a de mieux pour remettre les petites pestes dans ton genre à leur place.
Tu vas voir combien la brosse à cheveux de ta Maman appliquée fermement sur tes fesses va te faire un bien fou. Je me fais fort de te faire regretter ton attitude avant que j'en aie fini avec toi. Tu vas savoir ce que veut dire être corrigée. Je ne m'arrêterai pas avant que tes fesses soient toutes rouges.
Non, non, non, non ! Il n'est pas question que ta main protège tes fesses. Tu as besoin de sentir toute la rigueur de la punition. Autrement, je ne serai pas certaine que tu auras bien appris ta leçon. Tu vas enlever ta main de là !
Bien, puisque tu ne le fais pas toute seule, c'est moi qui vais m'en charger, mais tu auras une deuxième fessée avant d'aller au lit. Ce sera désormais la règle quand je te corrigerai. Non, tu restes là ! Ta place pour l'instant, c'est allongée en travers de mes genoux, avec la culotte de pyjama baissée ! Je ne mettrai pas fin à cette fessée avant que tu n'aies cessé de me résister.
Il faut que tu comprennes que si je te punis, c'est parce que tu en as grandement besoin. Tu m'en remercieras plus tard.
Puisque tu as refusé d'aller au lit comme je te l'avais ordonné après ton dernier caprice, dès que j'estimerai que la fessée que je te donne, à produit les effets que j'en attends, tu vas aller au coin. Puisque tes gesticulations ont fait volé ton pantalon de pyjama, c'est que tu n'en as plus besoin pour le moment.
Ce sera parfait tant que tu seras le nez dans l'angle de la pièce. Je pourrai vérifier que la fessée que je t'ai donné, a été assez sévère. Je te conseille d'y observer le plus grand silence et une immobilité parfaite. Je n'hésiterai pas à ajouter un complément à la correction que tu reçois en ce moment
Quand je te l'ordonnerai, tu iras faire ta toilette. Je crois que tu l'as oubliée avant de te mettre en pyjama. Comme pour ta sœur je vérifierai qu'elle est faite correctement. Puisque tu te comportes comme une petite fille, je vais te mettre au même régime qu'elle. Demain matin, tu prendras ta douche en même temps qu'elle, sous ma surveillance. S'il le faut je relaverai moi-même les endroits que tu auras négligés. Au besoin je te laverai entièrement.
Après ta toilette de ce soir, ce sera la deuxième fessée, puis au lit. Tu vas découvrir un charme nouveau à être sous tes couvertures avant vingt-et-une heure trente. Tu vas trouver cela plus confortable qu'allongée sur mes genoux.
Nous avons encore deux journées pleines à passer ensemble avant que ta Maman ne revienne. Tu vas obéir pendant tout ce temps sans rechigner, tu vas être sage et polie, tu vas prendre ta part des tâches ménagères, tu vas être agréable avec tout le monde. Au moindre écart, je te déculotte et tu auras une nouvelle fessée.
Je n'attendrai pas, comme ce soir, que tout le monde soit couché pour te punir. Cela se déroulera au moment où tu l'as mérité, et là où nous nous trouverons. Non seulement la présence de ta sœur ne m'arrêtera pas, mais si ses copines qui doivent venir demain y assistent, ce sera tant pis pour toi.
La présence de qui que ce soit, ne t'évitera pas d'être fessée. S'il faut que je sévisse dans la rue ou dans un magasin quand bous irons faire des courses demain, sache que cela ne me posera aucun souci.
Quand ta maman va revenir, je lui expliquerai pourquoi et comment j'ai dû te punir. Je lui suggérerai de continuer à t'appliquer ce régime. Elle est suffisamment excédée par ton comportement pour m’emboîter le pas.
Merci à Brian Tarsis qui est l'auteur de ce dessin.
Vous trouverez sa signature, parfois un peu tronquée dans le bas de ces quatre dessins. Qui aurait d'autres dessins de lui qui seraient en accord avec la ligne éditoriale de ce blog, qui pourraient être publiés ici ?
Recevoir la fessée par une personne de son âge... quel cauchemar !
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Bonjour JLG,
RépondreSupprimerBrian Tarsis est un auteur de BD autour de la fessée H/F et F/F.
Vous pouvez voir des extraits ou des dessins uniques sur le site de : www.myblogstany.fr. ou sous le nom de : "Au fil des jours".
J'avais un extrait d'une BD (la cité des rêves) où une jeune femme consultait une psychiatre pour des rêves récurrents et dans lesquels elle recevait souvent la fessée sur les genoux d'un homme, son "époux onirique".
Un style particulier très simple et détaillé à la fois. A voir.
Amicalement. Peter.
Peter Pan,
SupprimerEffectivement, il y a plusieurs dessins de Brian Tarsis sur le site "Au fil des jours", hélas que des situations où c'est le <monsieur qui fesse une dame. Rien donc de publiable sur ce blog.
Si vous en avez quelques-uns, je suis preneur.
Au plaisir de vous lire,
JLG.