– Oui, c’est cela. Elle restera
avec nous. Ce sera comme une grande sœur pour toi.
– Hum … »
Le visage Moana s’était fermé, ce
qui arrivait rarement à cette petite fille de cinq ans. Sa mère l’identifia
tout de suite, Moana ne savait pas cacher ses sentiments. C’était le signe
qu’elle était soucieuse.
« Tu n’as pas l’air
contente.
– Ben non, pas trop ! Avec
Maeva, c’est toujours pareil. Quand elle est là, elle veut toujours commander
et moi je ne veux pas. Alors elle me dispute, je lui réponds et ça fait du
bruit. Toi, tu n’es pas contente et quand tu te fâches, c’est toujours moi que
tu grondes. Dès fois même, tu me donnes la fessée et jamais à Maeva ! »
Teva était stupéfaite de la
clairvoyance de sa fille. Elle avait parfaitement lu la situation et les
difficultés qu’il pouvait y avoir à cohabiter avec Maeva. Teva attira Moana sur
ses genoux.
« Tu n’as pas tort !
Jusqu’à maintenant cela s’est passé comme tu l’as dit. Mais je peux te
promettre que ça va changer. Tout d’abord, si Maeva est comme une grande sœur
pour toi, cela veut dire qu’elle sera comme ma petite fille. Il n’y a donc pas
de raison que l’une de mes petites filles commande l’autre. Quand cela
arrivera, je me fâcherai avec celle qui embête l’autre. Je te le
promets. »
Moana hocha la tête. Elle était
prête à faire confiance à sa mère qui ne s’engageait jamais à la légère.
« Ensuite, si Maeva n’est
pas sage, je lui donnerai la fessée, à chaque fois qu’elle le méritera. »
La moue de Moana montrait son
scepticisme. Malgré la confiance qu’elle avait dans sa mère, cette hypothèse
lui paraissait peu vraisemblable.
« Si, si, je t’assure. Je la lui ai déjà donné trois, … non quatre fessées aujourd’hui. Et je peux te
promettre que cela n’a pas été des fessées pour rire. A chaque fois elle avait
les fesses toutes rouges et elle a eu la culotte baissée.
– Ah … la culotte baissée. »
Visiblement, cela impressionnait
Moana. Elle avait été menacée, une fois ou deux, d’une fessée déculottée, mais
ni Teva, ni Fara, son père, n’avaient eu recours à une telle extrémité.
C’est à ce moment-là que Maeva
fit son apparition. Teva lui avait demandé de déposer ses affaires dans sa
nouvelle chambre et de les ranger dans l’armoire. Cela n’enchantait pas Maeva,
mais elle se souvenait encore de sa dernière fessée et elle ne tenait pas à
donner l’occasion à sa sœur de sévir de nouveau. Elle avait donc déballé ses
vêtements et elle revenait dans le séjour comme cela lui avait été demandé.
Teva, toute à sa discussion avec
sa fille, tournait le dos à la porte par laquelle était entrée sa sœur. Elle ne
l’avait donc ni aperçue, ni entendue.
« Oui, quatre fois la
culotte baissée. Je ne plaisante pas. D’ailleurs tu vas pouvoir voir par
toi-même. Je dois encore donner une fessée ce soir à Maeva parce qu’elle a mal
travaillé aujourd’hui. Tu verras que je dis bien la vérité. »
Maeva dans son dos restait bouche
bée, stupéfaite du dévoilement publique du traitement qui lui était réservé. C’est
en croisant les yeux de Moma que sa colère déborda.
« Pourquoi lui parles-tu de
cela ? Elle n’a pas besoin de savoir ! »
Maeva criait. Teva se retourna
vers elle et elle tança sa sœur.
« Maeva, tu cesses
d’employer ce ton avec moi. Je ne te le dirai pas deux fois ! »
Maeva croisa ses bras sur sa
poitrine, mais elle ne répliqua pas.
« Crois-tu que les fessées
que je vais te donner vont rester secrètes ? Je n’en ai pas l’intention.
Ici, nous sommes en famille. Si l’une de mes filles mérite une fessée, elle la
reçoit sur le champ et peu importe qui y assiste. Il va falloir t’y
faire !
– Ce n’est pas juste ! Je ne
suis plus une gamine ! J’ai vingt-huit ans. Tu n’as pas le droit de ne
donner la fessée devant tout le monde, ni d’en parler à qui tu veux à tort et à
travers ! »
Le ton de Maeva avait de nouveau
monté. Cela aurait pu passer si elle n’avait pas accompagné cette diatribe en
frappant du pied par terre.
« Encore, gronda
Teva ! »
Elle se leva et fondit sur sa
sœur. Celle-ci s’était aussitôt aperçue de son erreur, mais elle n’y pouvait
plus rien. La tornade qui fonçait sur elle n’était pas arrêtable avec des mots.
« Non Teva, pardon ! Je
ne l’ai pas fait exprès. »
Quand elle finit sa phrase, elle
était déjà courbée sous le bras de fer de sa sœur qui la ceinturait, la
maintenant en place sans espoir de se libérer. Elle ne le tenta même pas.
« Et bien, moi, c’est tout à
fait exprès que je vais te donner une fessée !
– Non, Teva non, non, Teva non
… »
Maeva suppliait pendant que Teva
lui retroussait la jupe et baissait sa culotte. Pas un geste ne tenta de
l’empêcher. La grande main de Teva s’abattit une première fois. Un cri de Maeva
confirma que la fessée venait de commencer. La main recommença, Maeva
également. Le claquement sur les fesses et le cri qui en résultait, se
succédèrent un bon moment, jusqu’à ce que les sanglots l’emportent dans les
priorités de Maeva.
Les fesses de Maeva avaient
retrouvé toute leur coloration quand Teva estima que la leçon avait porté. Il
serait désormais clair, dans la tête de sa sœur que tout geste marquant un
caprice serait sanctionné par une fessée et que celle-ci serait donnée en
présence de qui serait là.
« Nous avons encore fait un
grand pas vers un comportement moins coléreux, se dit Teva. Je finirai bien par
arriver à ce qu’elle y renonce tout à fait. Cela demandera certainement de la
persévérance. Je ne peux pas vouloir tout faire en un soir. »
Elle n’en voyait pas le terme,
mais le chemin était tracé. La fermeté en faisait partie.
« Va au coin en attendant la
fessée que je dois te donner ! »
Maeva hésita sur la direction à
prendre. Teva la prit par le bras et la conduisit dans un angle de la pièce.
« Ce sera ici que tu iras au
coin. Tu sais comment t’y tenir ! »
Lentement, sa poitrine se
soulevant au rythme des sanglots, Maeva releva l’arrière de sa jupe, montrant
ses fesses sur lesquelles la rougeur due à la fessée était bien visible. Ses
bras croisé dans son dos retenaient la jupe en position haute. Elle enfonça
alors son nez dans l’angle de la pièce, au plus loin qu’elle le pouvait.
La fessée n’avait pas été des
plus sévères. La cuisson se dissipa en quelques minutes, mais il restait une
démangeaison continue, résultat de l’accumulation des fessées de la journée.
Elle avait envie de masser délicatement ses fesses pour en faire disparaître
cette démangeaison, mais elle savait que cela lui était interdit.
Elle avait honte. Honte d’avoir
reçu la fessée devant sa nièce, honte que tout le monde sache bientôt que ce
serait le régime auquel elle serait couramment soumise. Moana, bien sûr. A cinq
ans serait-elle capable de tenir sa langue ou irait-elle raconter à qui le
voulait que sa tante recevait la fessée ? Bientôt tout le voisinage
risquait d’être au courant !
Et Fara ? « Nous sommes
en famille » avait dit Teva. Nul doute que Fara en faisait partie. Cela voulait dire qu’elle serait déculottée
et fessée en présence de Fara ! Elle ne pourrait pas le supporter.
« J’en mourrai de honte,
pensa-t-elle. »
Pourtant elle ne voyait pas sa
sœur lui épargner cette épreuve.
« C’est à moi d’être sage,
se dit-elle. Il faut que j’arrête mes gestes de mauvaise humeur. Teva ne me
donnera plus de fessée. »
En même temps qu’elle le disait,
elle savait qu’elle en serait incapable. Elle se savait tellement impulsive
qu’elle n’arrivait pas à maîtriser ses réactions instinctives. Teva serait
obligée de la punir à chaque fois.
« Teva ! Quelle
garce ! Je ne vais pas la laisser faire ! »
Aussitôt cette pensée formée dans
son cerveau, elle la regretta. Non ce n’était pas comme cela qu’elle voyait sa
sœur. Elle avait, au contraire, envie de se blottir sur ses genoux, de sentir
sa main la caresser et de lui demander pardon. Le petit moment qu’elle avait
passé à plat-ventre sur les genoux de sa sœur après la fessée dans le bureau de
Madame André, l’avait profondément marquée. Elle voulait se retrouver de
nouveau dans cette même position, avec la main de Teva qui la consolait.
Peut-être y aurait-elle le droit après la prochaine fessée ?
La prochaine fessée. Il y avait
une prochaine fessée et c’était très bientôt !
« Pourvu que ce soit avant
que Fara ne rentre ! »
Maeva venait de se rendre compte.
Que si Teva ne se dépêchait pas de lui donner la fessée, sa prochaine correction
se déroulerait devant son beau-frère. Que faire ? Se signaler à
l’attention de Teva par l’émission de bruits ? Ce serait un motif évident
pour lui donner une autre fessée qui ne remplacerait pas celle qui lui était
promise, mais qui s’y rajouterait.
Maeva cherchait en vain une
solution quand la porte de l’appartement s’ouvrit. Le bonjour sonore qu’elle
entendit ne laissa aucun doute. C’était Fara.
« Tiens, tiens, qui est
là ? Ne serait-ce pas ma petite fille ? Oh, mais non, ça ne doit pas
être elle. Ma petite fille est chatouilleuse. Voyons voir ! »
L’éclat de rire de Moana qui
suivit conclut le rite de retrouvaille avec son père.
« Viens voir, Papa, Maeva
est au coin. »
Maeva entendit des pas entrer
dans le séjour dont elle occupait un coin.
« Mais, qu’est-ce que
c’est ? »
C’était Fara. Il resta quelques
instants à regarder sa belle-sœur, puis il s’éloigna. Maeva entendit la
conversation qu’il eut avec Teva, bien qu’elle se soit déroulée dans la
cuisine.
« C’est assez inattendu et
vraiment surprenant. Je peux comprendre ce qui se passe ? »
Teva prit le temps de bien
exposer à Fara tout ce qui s’était passé dans cette journée.
« Elle va donc venir habiter
avec nous ?
– Oui, c’est cela, sauf si tu
penses …
– Non, non, ce n’est pas la
question. J’ai confiance dans tes décisions, mais tu connais ta sœur, toujours
à chercher la raison d’une querelle, faisant une montagne d’un rien.
– Ça, c’était la Maeva d’avant.
Est-ce qu’elle te semble chercher une querelle en ce moment ?
– Non, évidemment.
– Vois-tu j’ai beaucoup réfléchi
depuis que Madame André, la cheffe de magasin m’a appelé pour me demander de
passer prendre Maeva. Avec la fessée, nous avons le moyen de contrôler chacun
de ses caprices, de rectifier tous ses comportements pénibles ou
irresponsables. Après chaque fessée que je lui ai donnée, elle est devenue sage
et obéissante. Une vraie petite fille ! Plutôt adorable !
– Compte tenu de ce que j’ai vu
dans le séjour j’ai plutôt tendance à te croire. Elle m’a entendu, je l’ai vu
qui se crispait quand elle a entendu que j’étais derrière elle, mais elle n’a
pas bougé bien qu’elle me m’ait montré ses fesses nues. Cela ne devait pourtant
pas être simple pour elle.
– Oui, j’imagine la vexation que
peut représenter le fait de se tenir au coin, la culotte baissée alors que tu
la regardes. Sans pourvoir rien faire.
– Oh, il n’y a pas de doute qu’à
ce moment-là elle se sait punie.
– Je crois que c’est de ma
responsabilité de prendre en charge l’éducation qui lui a manqué et j’aimerais
que tu me soutiennes dans ce travail.
– Tu sais que tu peux compter sur
moi.
– Tu connais mes parents. Nous
n’avons pas eu une enfance structurée avec des adultes pour nous inculquer des
règles. Etait-ce d’ailleurs vraiment une famille, à part les liens affectifs
forts qui nous unissaient ?
– Oui, d’après ce que tu m’as
raconté, ça ne devait pas être facile tous les jours.
– Non, pas tous les jours. Je
m’en suis sortie en m’imposant des principes que je respectais. Maeva a pris la
voie inverse. Je me suis dit que c’était une famille structurée qui lui
manquait : un Papa, une Maman, une vie ordonnée, des exigences vis-à-vis de
soi-même et des efforts pour y arriver … et des grandes personnes aimantes qui
savent punir quand c’est nécessaire.
– C’est comme cela que tu veux
t’y prendre avec Maeva ?
– Oui, je veux qu’elle devienne
notre petite fille, le temps qu’elle change du tout au tout. Et je compte sur
toi pour que tu assumes le rôle de père.
– Le rôle du père ? »
Il y eut un petit moment de
silence. Teva laissa à Fara le temps de réfléchir aux implications de ce
qu’elle lui demandait.
– Y compris pour les
punitions ?
– Y compris pour les punitions,
quand Maeva en aura besoin, mais aussi pour tout le reste, comme tu le fais
pour Moana. »
Après un autre temps de
réflexion, Fara se décida.
« D’accord, je veux bien
essayer. Je ne sais pas si Maeva va être d’accord.
– C’est le genre de chose où nous
ne lui demanderons pas son avis. N’oublie pas que c’est une petite fille.
– Tu as raison. Nous ferons comme
tu l’as prévu.
– Je suis contente que tu me
suives dans cette histoire. Nous aurons besoin d’être deux. J’attendais que tu
sois rentré pour lui donner la fessée que nécessite son comportement au
travail. Viens avec moi, il faut que tu sois présent. »
La boule que Maeva avait dans le
ventre depuis l’arrivée de Fara, grossit encore. Maeva avait pensé que ce ne
serait pas possible, mais son angoisse montait encore d’un cran. Comment
avait-elle pu penser que Fara n’assisterait pas à l’une de ses fessées ?
Le reste de la conversation lui semblait plus nébuleux, mais elle y discernait
une menace imprécise qui ne cessait de l’inquiéter.
Dès que Teva, suivie de Fara,
entra dans la pièce, elle eut d’autres préoccupations plus immédiates.
Heureusement, Moana n’était pas présente, cela ferait une personne de moins
pour assister à son humiliation.
« Maeva, c’est l’heure de ta
fessée ! Je t’attends ! »
En se détournant, elle laissa
tomber sa jupe pour cacher bien évidemment ses fesses, mais surtout son
triangle pubien, sauvant un peu les apparences et sa pudeur.
« Maeva, se fâcha Teva,
qu’est-ce que c’est que ces manières ? Depuis quand caches-tu tes fesses
sans que je l’ai autorisé. Tu es encore punie ! La présence de Fara n’y
change rien. Veux-tu te remettre, tout de suite, en tenue de petite fille qui
attend sa fessée ! C’est exactement ce que tu es en ce moment. »
Lentement Maeva releva sa jupe.
Elle regardait Teva, mais son regard se détournait, bien malgré elle, vers
Fara, angoissée du tableau qu’elle offrait en dévoilant ses fesses et son sexe.
« Approche ! »
Dès qu’elle fut à portée de main,
Teva lui donna une forte claque sur le haut de la cuisse.
« Essaye encore une fois de
recommencer à cacher tes fesses sans en avoir eu l’autorisation. Ce sera un
motif suffisant pour une autre fessée. »
Une deuxième claque confirma le
propos.
« Explique-moi, maintenant
ce que tu as fait au travail qui t’a valu une punition ?
– J’étais avec mon
téléphone. »
Cette entrée en matière très
édulcorée ne plut pas à Teva. Une troisième claque sur la cuisse le fit savoir
à Maeva.
« Oui, et alors ?
– J’envoyais des SMS à des
copines. »
Une série de claques sur les fesses
l’encouragea à aller au bout de l’affaire.
« Madame Bovier m’a surprise
alors que j’aurais dû être à servir les clients.
– Et tu as eu une fessée et tu es
en retenue tous les soirs de la semaine pour rattraper le temps de travail
perdu. C’est bien cela ?
– Oui, Teva.
– Et en plus, petite fille
coléreuse, tu m’as fait plusieurs caprices pour un oui, pour un non :
quand je t’ai confisqué ton portable, quand je t’ai annoncé que tu venais vivre
ici, … et j’en passe. »
Maeva confirma en hochant la
tête.
« Je ne reviendrais pas sur
les caprices. Tu en as été fessée à chaque fois. Les corrections que tu as
reçues soldent l’affaire. Par contre, je te confirme la confiscation de ton
téléphone pendant une semaine. »
Maeva émit un gémissement.
« Comment vais-je faire pour
joindre les copines ?
– Pendant une semaine, ce ne sera
pas possible. Et tu n’emmèneras plus ton téléphone au travail. Il restera ici.
Ensuite, je tiens à savoir avec qui tu communiques. Tes copines prendront
l’habitude de t’appeler sur la ligne fixe quand tu seras à la maison. Cela me
permettra de contrôler tes fréquentations.
– Mais je … »
Teva leva la main. Son geste ne
laissait aucun doute. Elle était prête à donner une fessée.
« Encore un
« mais » ?
– Non Teva, non. »
Teva laissa retomber sa main.
« Je préfère cela ! Je
disais donc que je surveillerai tes fréquentations, comme je contrôlerai tes
sorties. Je veux savoir où tu es à chaque instant et avec qui. As-tu bien
compris ?
– Oui Teva. »
Maeva baissa la tête. Cela
compléta l’image qu’elle donnait : une petite fille punie attendant sa
fessée.
« Tu sais qu’à chaque fois
que tu auras une fessée au travail, Fara ou moi, nous t’en donnerons une autre
à la maison.
– Fara, mais … »
La claque sur les fesses qu’elle
reçut immédiatement mit fin à son objection. Elle poussa un cri sonore et elle
se tortilla sur place.
« J’ai dit : plus de
« mais » »
Quelques larmes montèrent aux
yeux de Maeva. Cette claque avait été vraiment vigoureuse.
« Oui, Fara également. Il te
donnera la fessée comme si tu étais sa petite fille. En fait, à partir de
maintenant, nous allons te considérer et de traiter comme notre petite fille.
Puisque tu n’es pas assez grande pour t’auto-discipliner, Fara et moi allons
nous en charger, de la même façon qu’avec Moana. Et quand te gronder ne suffira
pas, tu seras fessée. »
Teva laissa un petit moment à
Maeva pour intégrer le message. Maeva leva la tête, fixant sa sœur du regard,
comme si elle voulait vérifier que cette dernière était bien sérieuse. Ses yeux
s’agrandirent exprimant, dans un premier temps, de la stupeur et de l’effroi,
puis de la résignation. Elle fixa de nouveau le sol à ses pieds.
« Passons à la fessé, puis
tu retourneras au coin. »
Maeva ne montra aucune résistance
ni quand Teva l’amena sur son côté droit, ni quand elle la coucha en travers de
ses genoux. Elle sentit que sa sœur replaçait sa jupe pour dégager totalement
ses fesses. Elle ressentait un sentiment où se mélangeait de la honte de
montrer ses fesses à sa sœur et encore plus à son beau-frère, de la crainte de
la fessée qui ne tarderait plus et l’impression d’être à où elle devait être.
Elle se surprit à penser qu’elle avait mérité cette fessée.
Ses réflexions furent
interrompues par la première claque. La main de Teva avait laissé son empreinte
douloureuse sur ses fesses. Dès la deuxième claque, elle se mit à crier. Elle
ne pouvait, ni ne voulait s’en empêcher.
Très vite elle perdit le compte
du châtiment qu’elle recevait. Son corps réagissait à la correction, sans
qu’elle puisse le contrôler. Ses pensées étaient tendues vers ce moment où Teva
jugerait que la fessée lui aurait appris la leçon qu’elle devait retenir. Mais
il n’arrivait pas la fessée continuait. Le coin lui semblait alors un avenir
désirable, mais si lointain.
Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose
Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre 98, de sa sœur si sévère.
Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé
Voici l’épisode précédent qui est également le chapitre 1
Mais, ce n'est pas fini
Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !
Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.
Bonjour JLG. Et bonjour tout le monde.
RépondreSupprimerLes limites sont clairement posées, les règles fixées. Teva a manifestement pris définitivement l'ascendant sur sa sœur. Dans l'intérêt de celle-ci qui a, de toute évidence, besoin d'être recadrée. On attend avec impatience la suite des "opérations" avec l'aide efficace de Fara qui ne manquera pas d'apporter, avec complaisance, sa pierre à l'édifice. Pour la plus grande mortification de Maeva. Et donc, des chances de réussite accrues.
En tout cas, ce récit se lit avec beaucoup de plaisir.
À bientôt.
Cordialement.
FF
François Fabien,
SupprimerVous voyez clair. les fondamentaux sont posés. Fara Entrera-t-il en scène ? Fort probablement. Mais, comme vous le suggérez, ce sera pour le plus grand bien de Maeva.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour,
RépondreSupprimerRégime stricte et sévère, non pas sans sel, mais... sans culotte ! Maeva ne semble plus en porter. Ce qui ne manque tout de même pas de sel. Car avec Teva les additions sont plutôt salées! Vu la fréquence des fessées qui s'enchainent en série... La maman de circonstance, ne lui passe rien, et ne perd pas de temps à la déculotter pour lui claquer le derrière. Méthode radicale de restructuration. Une fois en position sur les genoux, il suffit de retrousser la jupe et en avant la musique! Dommage, le déculottage est un des moments les plus émouvant avant la fessée...
Les raisons éducatives et le souci d'efficacité l'emportent sur les préliminaires. N'empêche, avec cinq à six fessées par jour au compteur, la demoiselle devrait bien finir par comprendre et accepter les règles du bien se tenir... Il serait temps à 28 ans!
Cordialement
Ramina
Ramina,
SupprimerUne éducation sévère, mais nécessaire. Maeva finira-t-elle par comprendre ? Comme tout changement, il ne se fera pas d'un claquement de doigt. Les paris sont ouverts !
Au plaisir de vous lire,
JLG.