mercredi 3 juillet 2019

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 2

« Alors Maeva va habiter ici maintenant, demanda Moana ?
– Oui, c’est cela. Elle restera avec nous. Ce sera comme une grande sœur pour toi.
– Hum … »
Le visage Moana s’était fermé, ce qui arrivait rarement à cette petite fille de cinq ans. Sa mère l’identifia tout de suite, Moana ne savait pas cacher ses sentiments. C’était le signe qu’elle était soucieuse.
« Tu n’as pas l’air contente.
– Ben non, pas trop ! Avec Maeva, c’est toujours pareil. Quand elle est là, elle veut toujours commander et moi je ne veux pas. Alors elle me dispute, je lui réponds et ça fait du bruit. Toi, tu n’es pas contente et quand tu te fâches, c’est toujours moi que tu grondes. Dès fois même, tu me donnes la fessée et jamais à Maeva ! »
Teva était stupéfaite de la clairvoyance de sa fille. Elle avait parfaitement lu la situation et les difficultés qu’il pouvait y avoir à cohabiter avec Maeva. Teva attira Moana sur ses genoux.
« Tu n’as pas tort ! Jusqu’à maintenant cela s’est passé comme tu l’as dit. Mais je peux te promettre que ça va changer. Tout d’abord, si Maeva est comme une grande sœur pour toi, cela veut dire qu’elle sera comme ma petite fille. Il n’y a donc pas de raison que l’une de mes petites filles commande l’autre. Quand cela arrivera, je me fâcherai avec celle qui embête l’autre. Je te le promets. »
Moana hocha la tête. Elle était prête à faire confiance à sa mère qui ne s’engageait jamais à la légère.
« Ensuite, si Maeva n’est pas sage, je lui donnerai la fessée, à chaque fois qu’elle le méritera. »
La moue de Moana montrait son scepticisme. Malgré la confiance qu’elle avait dans sa mère, cette hypothèse lui paraissait peu vraisemblable.
« Si, si, je t’assure. Je la lui ai déjà donné trois, … non quatre fessées aujourd’hui. Et je peux te promettre que cela n’a pas été des fessées pour rire. A chaque fois elle avait les fesses toutes rouges et elle a eu la culotte baissée.
– Ah … la culotte baissée. »
Visiblement, cela impressionnait Moana. Elle avait été menacée, une fois ou deux, d’une fessée déculottée, mais ni Teva, ni Fara, son père, n’avaient eu recours à une telle extrémité.
C’est à ce moment-là que Maeva fit son apparition. Teva lui avait demandé de déposer ses affaires dans sa nouvelle chambre et de les ranger dans l’armoire. Cela n’enchantait pas Maeva, mais elle se souvenait encore de sa dernière fessée et elle ne tenait pas à donner l’occasion à sa sœur de sévir de nouveau. Elle avait donc déballé ses vêtements et elle revenait dans le séjour comme cela lui avait été demandé.
Teva, toute à sa discussion avec sa fille, tournait le dos à la porte par laquelle était entrée sa sœur. Elle ne l’avait donc ni aperçue, ni entendue.
« Oui, quatre fois la culotte baissée. Je ne plaisante pas. D’ailleurs tu vas pouvoir voir par toi-même. Je dois encore donner une fessée ce soir à Maeva parce qu’elle a mal travaillé aujourd’hui. Tu verras que je dis bien la vérité. »
Maeva dans son dos restait bouche bée, stupéfaite du dévoilement publique du traitement qui lui était réservé. C’est en croisant les yeux de Moma que sa colère déborda.
« Pourquoi lui parles-tu de cela ? Elle n’a pas besoin de savoir ! »
Maeva criait. Teva se retourna vers elle et elle tança sa sœur.
« Maeva, tu cesses d’employer ce ton avec moi. Je ne te le dirai pas deux fois ! »
Maeva croisa ses bras sur sa poitrine, mais elle ne répliqua pas.
« Crois-tu que les fessées que je vais te donner vont rester secrètes ? Je n’en ai pas l’intention. Ici, nous sommes en famille. Si l’une de mes filles mérite une fessée, elle la reçoit sur le champ et peu importe qui y assiste. Il va falloir t’y faire !
– Ce n’est pas juste ! Je ne suis plus une gamine ! J’ai vingt-huit ans. Tu n’as pas le droit de ne donner la fessée devant tout le monde, ni d’en parler à qui tu veux à tort et à travers ! »
Le ton de Maeva avait de nouveau monté. Cela aurait pu passer si elle n’avait pas accompagné cette diatribe en frappant du pied par terre.
« Encore, gronda Teva ! »
Elle se leva et fondit sur sa sœur. Celle-ci s’était aussitôt aperçue de son erreur, mais elle n’y pouvait plus rien. La tornade qui fonçait sur elle n’était pas arrêtable avec des mots.
« Non Teva, pardon ! Je ne l’ai pas fait exprès. »
Quand elle finit sa phrase, elle était déjà courbée sous le bras de fer de sa sœur qui la ceinturait, la maintenant en place sans espoir de se libérer. Elle ne le tenta même pas.
« Et bien, moi, c’est tout à fait exprès que je vais te donner une fessée !
– Non, Teva non, non, Teva non … »
Maeva suppliait pendant que Teva lui retroussait la jupe et baissait sa culotte. Pas un geste ne tenta de l’empêcher. La grande main de Teva s’abattit une première fois. Un cri de Maeva confirma que la fessée venait de commencer. La main recommença, Maeva également. Le claquement sur les fesses et le cri qui en résultait, se succédèrent un bon moment, jusqu’à ce que les sanglots l’emportent dans les priorités de Maeva.
Les fesses de Maeva avaient retrouvé toute leur coloration quand Teva estima que la leçon avait porté. Il serait désormais clair, dans la tête de sa sœur que tout geste marquant un caprice serait sanctionné par une fessée et que celle-ci serait donnée en présence de qui serait là.
« Nous avons encore fait un grand pas vers un comportement moins coléreux, se dit Teva. Je finirai bien par arriver à ce qu’elle y renonce tout à fait. Cela demandera certainement de la persévérance. Je ne peux pas vouloir tout faire en un soir. »
Elle n’en voyait pas le terme, mais le chemin était tracé. La fermeté en faisait partie.
« Va au coin en attendant la fessée que je dois te donner ! »
Maeva hésita sur la direction à prendre. Teva la prit par le bras et la conduisit dans un angle de la pièce.
« Ce sera ici que tu iras au coin. Tu sais comment t’y tenir ! »
Lentement, sa poitrine se soulevant au rythme des sanglots, Maeva releva l’arrière de sa jupe, montrant ses fesses sur lesquelles la rougeur due à la fessée était bien visible. Ses bras croisé dans son dos retenaient la jupe en position haute. Elle enfonça alors son nez dans l’angle de la pièce, au plus loin qu’elle le pouvait.
La fessée n’avait pas été des plus sévères. La cuisson se dissipa en quelques minutes, mais il restait une démangeaison continue, résultat de l’accumulation des fessées de la journée. Elle avait envie de masser délicatement ses fesses pour en faire disparaître cette démangeaison, mais elle savait que cela lui était interdit.
Elle avait honte. Honte d’avoir reçu la fessée devant sa nièce, honte que tout le monde sache bientôt que ce serait le régime auquel elle serait couramment soumise. Moana, bien sûr. A cinq ans serait-elle capable de tenir sa langue ou irait-elle raconter à qui le voulait que sa tante recevait la fessée ? Bientôt tout le voisinage risquait d’être au courant !
Et Fara ? « Nous sommes en famille » avait dit Teva. Nul doute que Fara en faisait partie.  Cela voulait dire qu’elle serait déculottée et fessée en présence de Fara ! Elle ne pourrait pas le supporter.
« J’en mourrai de honte, pensa-t-elle. »
Pourtant elle ne voyait pas sa sœur lui épargner cette épreuve.
« C’est à moi d’être sage, se dit-elle. Il faut que j’arrête mes gestes de mauvaise humeur. Teva ne me donnera plus de fessée. »
En même temps qu’elle le disait, elle savait qu’elle en serait incapable. Elle se savait tellement impulsive qu’elle n’arrivait pas à maîtriser ses réactions instinctives. Teva serait obligée de la punir à chaque fois.
« Teva ! Quelle garce ! Je ne vais pas la laisser faire ! »
Aussitôt cette pensée formée dans son cerveau, elle la regretta. Non ce n’était pas comme cela qu’elle voyait sa sœur. Elle avait, au contraire, envie de se blottir sur ses genoux, de sentir sa main la caresser et de lui demander pardon. Le petit moment qu’elle avait passé à plat-ventre sur les genoux de sa sœur après la fessée dans le bureau de Madame André, l’avait profondément marquée. Elle voulait se retrouver de nouveau dans cette même position, avec la main de Teva qui la consolait. Peut-être y aurait-elle le droit après la prochaine fessée ?
La prochaine fessée. Il y avait une prochaine fessée et c’était très bientôt !
« Pourvu que ce soit avant que Fara ne rentre ! »
Maeva venait de se rendre compte. Que si Teva ne se dépêchait pas de lui donner la fessée, sa prochaine correction se déroulerait devant son beau-frère. Que faire ? Se signaler à l’attention de Teva par l’émission de bruits ? Ce serait un motif évident pour lui donner une autre fessée qui ne remplacerait pas celle qui lui était promise, mais qui s’y rajouterait.
Maeva cherchait en vain une solution quand la porte de l’appartement s’ouvrit. Le bonjour sonore qu’elle entendit ne laissa aucun doute. C’était Fara.

« Tiens, tiens, qui est là ? Ne serait-ce pas ma petite fille ? Oh, mais non, ça ne doit pas être elle. Ma petite fille est chatouilleuse. Voyons voir ! »
L’éclat de rire de Moana qui suivit conclut le rite de retrouvaille avec son père.
« Viens voir, Papa, Maeva est au coin. »
Maeva entendit des pas entrer dans le séjour dont elle occupait un coin.
« Mais, qu’est-ce que c’est ? »
C’était Fara. Il resta quelques instants à regarder sa belle-sœur, puis il s’éloigna. Maeva entendit la conversation qu’il eut avec Teva, bien qu’elle se soit déroulée dans la cuisine.
« C’est assez inattendu et vraiment surprenant. Je peux comprendre ce qui se passe ? »
Teva prit le temps de bien exposer à Fara tout ce qui s’était passé dans cette journée.
« Elle va donc venir habiter avec nous ?
– Oui, c’est cela, sauf si tu penses …
– Non, non, ce n’est pas la question. J’ai confiance dans tes décisions, mais tu connais ta sœur, toujours à chercher la raison d’une querelle, faisant une montagne d’un rien.
– Ça, c’était la Maeva d’avant. Est-ce qu’elle te semble chercher une querelle en ce moment ?
– Non, évidemment.
– Vois-tu j’ai beaucoup réfléchi depuis que Madame André, la cheffe de magasin m’a appelé pour me demander de passer prendre Maeva. Avec la fessée, nous avons le moyen de contrôler chacun de ses caprices, de rectifier tous ses comportements pénibles ou irresponsables. Après chaque fessée que je lui ai donnée, elle est devenue sage et obéissante. Une vraie petite fille ! Plutôt adorable !
– Compte tenu de ce que j’ai vu dans le séjour j’ai plutôt tendance à te croire. Elle m’a entendu, je l’ai vu qui se crispait quand elle a entendu que j’étais derrière elle, mais elle n’a pas bougé bien qu’elle me m’ait montré ses fesses nues. Cela ne devait pourtant pas être simple pour elle.
– Oui, j’imagine la vexation que peut représenter le fait de se tenir au coin, la culotte baissée alors que tu la regardes. Sans pourvoir rien faire.
– Oh, il n’y a pas de doute qu’à ce moment-là elle se sait punie.
– Je crois que c’est de ma responsabilité de prendre en charge l’éducation qui lui a manqué et j’aimerais que tu me soutiennes dans ce travail.
– Tu sais que tu peux compter sur moi.
– Tu connais mes parents. Nous n’avons pas eu une enfance structurée avec des adultes pour nous inculquer des règles. Etait-ce d’ailleurs vraiment une famille, à part les liens affectifs forts qui nous unissaient ?
– Oui, d’après ce que tu m’as raconté, ça ne devait pas être facile tous les jours.
– Non, pas tous les jours. Je m’en suis sortie en m’imposant des principes que je respectais. Maeva a pris la voie inverse. Je me suis dit que c’était une famille structurée qui lui manquait : un Papa, une Maman, une vie ordonnée, des exigences vis-à-vis de soi-même et des efforts pour y arriver … et des grandes personnes aimantes qui savent punir quand c’est nécessaire.
– C’est comme cela que tu veux t’y prendre avec Maeva ?
– Oui, je veux qu’elle devienne notre petite fille, le temps qu’elle change du tout au tout. Et je compte sur toi pour que tu assumes le rôle de père.
– Le rôle du père ? »
Il y eut un petit moment de silence. Teva laissa à Fara le temps de réfléchir aux implications de ce qu’elle lui demandait.
– Y compris pour les punitions ?
– Y compris pour les punitions, quand Maeva en aura besoin, mais aussi pour tout le reste, comme tu le fais pour Moana. »
Après un autre temps de réflexion, Fara se décida.
« D’accord, je veux bien essayer. Je ne sais pas si Maeva va être d’accord.
– C’est le genre de chose où nous ne lui demanderons pas son avis. N’oublie pas que c’est une petite fille.
– Tu as raison. Nous ferons comme tu l’as prévu.
– Je suis contente que tu me suives dans cette histoire. Nous aurons besoin d’être deux. J’attendais que tu sois rentré pour lui donner la fessée que nécessite son comportement au travail. Viens avec moi, il faut que tu sois présent. »

La boule que Maeva avait dans le ventre depuis l’arrivée de Fara, grossit encore. Maeva avait pensé que ce ne serait pas possible, mais son angoisse montait encore d’un cran. Comment avait-elle pu penser que Fara n’assisterait pas à l’une de ses fessées ? Le reste de la conversation lui semblait plus nébuleux, mais elle y discernait une menace imprécise qui ne cessait de l’inquiéter.
Dès que Teva, suivie de Fara, entra dans la pièce, elle eut d’autres préoccupations plus immédiates. Heureusement, Moana n’était pas présente, cela ferait une personne de moins pour assister à son humiliation.
« Maeva, c’est l’heure de ta fessée ! Je t’attends ! »
En se détournant, elle laissa tomber sa jupe pour cacher bien évidemment ses fesses, mais surtout son triangle pubien, sauvant un peu les apparences et sa pudeur.
« Maeva, se fâcha Teva, qu’est-ce que c’est que ces manières ? Depuis quand caches-tu tes fesses sans que je l’ai autorisé. Tu es encore punie ! La présence de Fara n’y change rien. Veux-tu te remettre, tout de suite, en tenue de petite fille qui attend sa fessée ! C’est exactement ce que tu es en ce moment. »
Lentement Maeva releva sa jupe. Elle regardait Teva, mais son regard se détournait, bien malgré elle, vers Fara, angoissée du tableau qu’elle offrait en dévoilant ses fesses et son sexe.
« Approche ! »
Dès qu’elle fut à portée de main, Teva lui donna une forte claque sur le haut de la cuisse.
« Essaye encore une fois de recommencer à cacher tes fesses sans en avoir eu l’autorisation. Ce sera un motif suffisant pour une autre fessée. »
Une deuxième claque confirma le propos.
« Explique-moi, maintenant ce que tu as fait au travail qui t’a valu une punition ?
– J’étais avec mon téléphone. »
Cette entrée en matière très édulcorée ne plut pas à Teva. Une troisième claque sur la cuisse le fit savoir à Maeva.
« Oui, et alors ?
– J’envoyais des SMS à des copines. »
Une série de claques sur les fesses l’encouragea à aller au bout de l’affaire.
« Madame Bovier m’a surprise alors que j’aurais dû être à servir les clients.
– Et tu as eu une fessée et tu es en retenue tous les soirs de la semaine pour rattraper le temps de travail perdu. C’est bien cela ?
– Oui, Teva.
– Et en plus, petite fille coléreuse, tu m’as fait plusieurs caprices pour un oui, pour un non : quand je t’ai confisqué ton portable, quand je t’ai annoncé que tu venais vivre ici, … et j’en passe. »
Maeva confirma en hochant la tête.
« Je ne reviendrais pas sur les caprices. Tu en as été fessée à chaque fois. Les corrections que tu as reçues soldent l’affaire. Par contre, je te confirme la confiscation de ton téléphone pendant une semaine. »
Maeva émit un gémissement.
« Comment vais-je faire pour joindre les copines ?
– Pendant une semaine, ce ne sera pas possible. Et tu n’emmèneras plus ton téléphone au travail. Il restera ici. Ensuite, je tiens à savoir avec qui tu communiques. Tes copines prendront l’habitude de t’appeler sur la ligne fixe quand tu seras à la maison. Cela me permettra de contrôler tes fréquentations.
– Mais je … »
Teva leva la main. Son geste ne laissait aucun doute. Elle était prête à donner une fessée.
« Encore un « mais » ?
– Non Teva, non. »
Teva laissa retomber sa main.
« Je préfère cela ! Je disais donc que je surveillerai tes fréquentations, comme je contrôlerai tes sorties. Je veux savoir où tu es à chaque instant et avec qui. As-tu bien compris ?
– Oui Teva. »
Maeva baissa la tête. Cela compléta l’image qu’elle donnait : une petite fille punie attendant sa fessée.
« Tu sais qu’à chaque fois que tu auras une fessée au travail, Fara ou moi, nous t’en donnerons une autre à la maison.
– Fara, mais … »
La claque sur les fesses qu’elle reçut immédiatement mit fin à son objection. Elle poussa un cri sonore et elle se tortilla sur place.
« J’ai dit : plus de « mais » »
Quelques larmes montèrent aux yeux de Maeva. Cette claque avait été vraiment vigoureuse.
« Oui, Fara également. Il te donnera la fessée comme si tu étais sa petite fille. En fait, à partir de maintenant, nous allons te considérer et de traiter comme notre petite fille. Puisque tu n’es pas assez grande pour t’auto-discipliner, Fara et moi allons nous en charger, de la même façon qu’avec Moana. Et quand te gronder ne suffira pas, tu seras fessée. »
Teva laissa un petit moment à Maeva pour intégrer le message. Maeva leva la tête, fixant sa sœur du regard, comme si elle voulait vérifier que cette dernière était bien sérieuse. Ses yeux s’agrandirent exprimant, dans un premier temps, de la stupeur et de l’effroi, puis de la résignation. Elle fixa de nouveau le sol à ses pieds.
« Passons à la fessé, puis tu retourneras au coin. »
Maeva ne montra aucune résistance ni quand Teva l’amena sur son côté droit, ni quand elle la coucha en travers de ses genoux. Elle sentit que sa sœur replaçait sa jupe pour dégager totalement ses fesses. Elle ressentait un sentiment où se mélangeait de la honte de montrer ses fesses à sa sœur et encore plus à son beau-frère, de la crainte de la fessée qui ne tarderait plus et l’impression d’être à où elle devait être. Elle se surprit à penser qu’elle avait mérité cette fessée.
Ses réflexions furent interrompues par la première claque. La main de Teva avait laissé son empreinte douloureuse sur ses fesses. Dès la deuxième claque, elle se mit à crier. Elle ne pouvait, ni ne voulait s’en empêcher.
Très vite elle perdit le compte du châtiment qu’elle recevait. Son corps réagissait à la correction, sans qu’elle puisse le contrôler. Ses pensées étaient tendues vers ce moment où Teva jugerait que la fessée lui aurait appris la leçon qu’elle devait retenir. Mais il n’arrivait pas la fessée continuait. Le coin lui semblait alors un avenir désirable, mais si lointain.


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose


Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici l’épisode précédent qui est également le chapitre 1

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bien sûr, le chapitre 3

Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.


4 commentaires:

  1. Bonjour JLG. Et bonjour tout le monde.

    Les limites sont clairement posées, les règles fixées. Teva a manifestement pris définitivement l'ascendant sur sa sœur. Dans l'intérêt de celle-ci qui a, de toute évidence, besoin d'être recadrée. On attend avec impatience la suite des "opérations" avec l'aide efficace de Fara qui ne manquera pas d'apporter, avec complaisance, sa pierre à l'édifice. Pour la plus grande mortification de Maeva. Et donc, des chances de réussite accrues.
    En tout cas, ce récit se lit avec beaucoup de plaisir.
    À bientôt.
    Cordialement.
    FF

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    1. François Fabien,
      Vous voyez clair. les fondamentaux sont posés. Fara Entrera-t-il en scène ? Fort probablement. Mais, comme vous le suggérez, ce sera pour le plus grand bien de Maeva.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. Bonjour,
    Régime stricte et sévère, non pas sans sel, mais... sans culotte ! Maeva ne semble plus en porter. Ce qui ne manque tout de même pas de sel. Car avec Teva les additions sont plutôt salées! Vu la fréquence des fessées qui s'enchainent en série... La maman de circonstance, ne lui passe rien, et ne perd pas de temps à la déculotter pour lui claquer le derrière. Méthode radicale de restructuration. Une fois en position sur les genoux, il suffit de retrousser la jupe et en avant la musique! Dommage, le déculottage est un des moments les plus émouvant avant la fessée...
    Les raisons éducatives et le souci d'efficacité l'emportent sur les préliminaires. N'empêche, avec cinq à six fessées par jour au compteur, la demoiselle devrait bien finir par comprendre et accepter les règles du bien se tenir... Il serait temps à 28 ans!
    Cordialement
    Ramina

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    Réponses
    1. Ramina,
      Une éducation sévère, mais nécessaire. Maeva finira-t-elle par comprendre ? Comme tout changement, il ne se fera pas d'un claquement de doigt. Les paris sont ouverts !
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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