Laure était à genoux sur le sol de la cuisine. Eponge à la
main, elle lavait l’intérieur d’un placard qu’elle avait vidé de sa vaisselle. Elle
leva la tête à l’entrée de Madame Caroni.
« Bonjour Madame, dit-elle en levant la tête et en
stoppant son labeur.
– Bonjour ma grande. Continue ce que tu
faisais ! »
Laure plongea de nouveau dans le placard, y faisant
disparaître la presque totalité de son buste. Madame Caroni sourit de
l’application de la jeune femme dans son travail. Les choses avaient bien
changé depuis la première fessée qu’elle lui avait donnée. Elle s’exprimait
maintenant comme une femme bien élevée.
« J’ai eu bien du mal, mais j’y suis arrivée, se
dit-elle. »
Elle ne cessait de se louer d’avoir pris la responsabilité
de ces deux-là. C’était du travail, il n’y avait pas à dire, mais ils
réagissaient positivement à l’éducation qu’elle leur donnait. Elle ne se
faisait pas d’illusion : s’ils avaient pu échapper aux fessées qu’elle
leur prodiguait généreusement, ils n’auraient pas hésité. Mais il lui semblait
également qu’aucun des deux ne lui en voulait de sa sévérité. Ils faisaient
même de véritables efforts qu’on pouvait interpréter comme une attention pour
éviter les fessées, mais ils se montraient rayonnants quand elle les
complimentait.
Récemment, elle avait pris l’habitude de les prendre dans
ses bras pour les féliciter. Ils étaient venus s’y nicher sans difficulté et
dès qu’elle les ouvrait, ils venaient s’y réfugier aussi longtemps qu’elle le
leur permettait. Madame Caroni y voyait un signe de satisfaction de leur part
qui équilibrait les moments où elle devait jouer de son autorité pour les
punir.
« Alors, où en es-tu du travail que je t’ai donné à
faire ? »
Laure émergea de nouveau de son placard. Elle était livide.
« J’ai presque fini ce placard. Je vais bientôt
commencer le second. »
Madame Caroni comprit tout de suite qu’il y avait anguille
sous roche.
« Dis-moi, à quelle heure as-tu commencé à nettoyer les
placards ? »
Laure bredouilla une phrase incompréhensible.
« Que dis-tu ? »
Laure hésita.
« Presque tout de suite après que je sois arrivée à la
maison… mais je n’ai pas…
– Presque tout de suite ? Tu as dû rentrer avant
dix-huit heures, à moins que tu n’aies fait autre chose après avoir quitté ton
travail ? As-tu été quelque part ? »
Laure savait que c’était strictement interdit sauf à en
avoir eu l’accord auparavant, ce qui n’était pas le cas.
« Non, non, répondit-elle précipitamment. Je suis
rentrée tout de suite.
– Tu as donc dû commencer il y a plus d’une heure. Pas même
un placard en une heure ? Tu n’as pas eu le temps ?
– Non… je n’ai pas… eu le temps »
Sa voix était presque inaudible. Indécise.
« Qu’as-tu fait avant de te mettre à travailler ?
– Rien, je vous assure, rien du tout.
– De deux choses l’une, Laure, soit tu as fait autre chose
avant de commencer, soit tu y as mis de la mauvaise volonté et tu as paressé.
Une heure pour faire un bout de placard, ce n’est pas possible ! »
Dans les deux cas, Laure savait qu’elle s’était mise dans
une situation délicate. L’une ou l’autre des hypothèses ne pouvait rester sans
conséquence. Comment se sortir de là ?
« J’ai peut-être un peu regardé mes messages sur mon
téléphone. Pas longtemps.
– Combien de temps ?
– Je ne sais pas. Cinq ou dix minutes, pas plus.
– Dix minutes ? Cela t’a donc laissé presque une heure.
Et tu veux me faire croire qu’en une heure, tu n’as pas eu le temps de nettoyer
plus d’un demi-placard ? Serais-tu en train de me mentir,
Laure ? »
Mentir. Le mot était lâché. Laure en connaissait les
conséquences pour les avoir douloureusement expérimentées à deux reprises. Elle
ne tenait pas à en être convaincu une troisième fois. Il était préférable
d’affronter la vérité.
« J’ai dû rester un peu plus longtemps.
– Combien de temps ?
– Peut-être trente minutes… un peu plus. »
Madame Caroni fronça les sourcils. Laure se reprit.
« Sans doute trois quart d’heure… je ne sais pas
exactement.
– En fait tu n’as pas travaillé plus de quinze à vingt
minutes, c’est cela ?
– Oui, répondit Laure en baissant la tête.
– Viens ici, conclut Madame Caroni. »
Elle avait écarté son bras gauche, ménageant un passage pour
la tête et le buste de Laure. Celle-ci savait ce qu’on attendait d’elle. Dès qu’elle
y eut pris place, Madame Caroni referma son bras sur la taille de la jeune
femme. Laure sentit que sous son ventre, Madame Caroni cherchait le bouton qui
fermait la ceinture de son pantalon. Elle le sentit céder. Puis
progressivement, Madame Caroni fit glisser le pantalon qui eut un peu de mal à
passer les fesses, mais qui coulissa tout seul le long des cuisses. Il n’y eut
plus qu’à le faire passer en dessous des genoux, ce qui fut fait sans
difficulté.
Ce ne fut pas une surprise quand Laure sentit les doigts de
Madame Caroni se glisser en dessous de l’élastique de sa culotte. Elle s’y
attendait. Dans un réflexe malencontreux, elle serra les jambes, rendant
malaisé la descente de la culotte. La réaction de Madame Caroni fut
instantanée. Quatre, cinq fois, elle claque les fesses dénudées de Laure qui ne
fit rien pour y échapper, se contentant de pousser des petits couinements de
douleur.
« Depuis quand oses-tu m’empêcher de te
déculotter ? »
Quatre nouvelles claques encore plus sonores que les
précédentes.
« Vas-tu me laisser te punir comme il
convient ? »
Les quatre claques suivantes ramenèrent Laure à la raison.
Elle desserra ses jambes et Madame Caroni fit glisser la culotte jusqu’en bas
de ses cuisses sans rencontre de résistance.
« Non, attendez ! Pardon, je vais rattraper le
temps perdu ! Je ne… aïe ! »
Laure n’eut pas le temps d’en dire plus. Madame Caroni,
visiblement excédée par le comportement de la jeune femme, fit pleuvoir une
grêle de claques sur les fesses nues de Laure. Les incessants comportements
infantiles de Laure devaient cesser, ses mensonges maladroits, ses moments de
paresse si fréquents, ses pitoyables tentatives pour échapper aux fessées
qu’elle avait méritées. Elle devait grandir et Madame Caroni se faisait fort de
l’y obliger en la corrigeant aussi souvent qu’elle en aurait besoin. Et cela
commençait ce soir.
La fessée fut magistrale. Madame Caroni passait sa fureur
sur les fesses de Laure, les rougissant en un rien de temps. Les claques
qu’elle assénait était si fortes qu’elle se faisait mal à la main, mais elle se
consolait en se disant que les fesses de la jeune femme devaient lui cuire bien
plus.
« Je peux bien me faire un peu mal à la main si cela me
permet d’apprendre à cette péronnelle à devenir un peu plus responsable. »
Laure était sur la voie de cet apprentissage. Il n’y avait
pas de doute. Elle poussait des cris stridents qui étaient maintenant continus.
Elle tentait d’intercaler des promesses de s’amender au plus vite, mais la main
de Madame Caroni ne lui laissait jamais le loisir d’aller au bout de sa phrase.
Elle se tortillait sous le bras de sa voisine et ses pieds
partaient dans tous les sens, mais elle ne faisait aucun effort pour se libérer
de l’emprise sur sa taille qui maintenait ses fesses là où la main de Madame
Caroni les trouvait immanquablement. Elle savait qu’elle ne pouvait éviter que
la correction aille au terme que Madame Caroni avait choisi.
Laure ne s’aperçut pas vraiment quand elle passa aux larmes.
Il était tellement évident de finir en sanglots quand sa voisine lui donnait la
fessée qu’elle en faisait plus aucun effort pour les retenir. Cela venait
naturellement quand un point de rupture était dépassé. Généralement, cela
n’interrompait pas le châtiment. Cette fois encore il se poursuivit assez
longtemps pour que la jeune femme crût qu’il n’aurait pas de fin.
La fin de la fessée la prit par surprise. Elle ne s’y
attendait plus. Elle avait atteint depuis longtemps le plateau de douleur
au-delà duquel prolonger la fessée ne fait qu’entretenir la cuisson, sans
l’augmenter. Ses mouvements étaient devenus moins brusques. A moins de recourir
à un instrument punitif, Madame Caroni ne pouvait faire mieux que ce qu’elle
avait obtenu. Elle ne le souhaitait pas afin de conserver des réserves de
sévérité qui se révèleraient certainement nécessaires quand la faute commise
serait plus grave. Ce n’était, après tout, qu’une désobéissance banale.
« Va te mettre au coin ! »
Il n’y avait pas besoin d’en dire plus. Ce n’était pas la
première fois qu’elle devait se mettre en pénitence dans la cuisine. L’endroit
où aller et la position à tenir lui étaient familiers. Elle s’y dirigea avec
empressement, sans laisser à Madame Caroni le temps de changer d’avis et de
considérer que poursuivre la fessée était bien plus pertinent.
Depuis qu’elle avait pris en charge Denis et Laure, son
rythme de vie s’était considérablement accéléré. Avec Béatrice en plus, cela
n’irait pas en s’améliorant. Elle était esthéticienne et elle exerçait au
domicile de ses clientes, ce qui lui donnait une grande liberté pour
s’organiser. Elle travaillait essentiellement en journée auprès de personnes
qui n’avaient pas d’activité professionnelle. Elle disposait donc de ses
soirées et de ses week-ends de libre qu’elle consacrait à l’éducation de ses
voisins.
Madame Caroni se massait la paume de la main.
« Si j’en juge par la chaleur qui en émane, celle que
doit ressentir Laure sur ses fesses doit être intenable. »
Malgré la douleur qu’elle ressentait, Madame Caroni était
satisfaite du travail accompli. Que de chemin parcouru en deux semaines !
Cela valait bien quelques sacrifices. Ils ne discutaient plus quand leur
voisine avait décidé de les fesser, mais cela n’avait pas été sans mal. Madame
Caroni se rappelait la première fessée. Elle avait été la plus difficile à
faire aboutir, mais elle avait permis toutes les autres. Cela s’était passé le surlendemain
du jour où elle avait convenu, avec leurs mères respectives, qu’elle
superviserait ce que, dorénavant, feraient Laure et Denis.
Ce soir-là, Madame Caroni avait guetté le retour de ses deux
voisins. Elle s’était engagée, elle voulait donc respecter la promesse qu’elle
avait faite aux deux mères de ses voisins, d’autant plus qu’elle était
persuadée que Denis et Laure avaient grand besoin d’être étroitement
surveillés. L’état de l’appartement qu’elle avait entraperçu quand elle avait
été invitée à échanger avec leurs deux mères, l’avait confortée dans cette
idée.
Cela n’avait fait que renforcer ce qu’elle savait déjà
depuis les quelques mois quand Denis et Laure avaient emménagé à côté de chez
elle. Ils avaient besoin d’une autorité pour leur imposer des règles de vie
saines et remettre au goût du jour quelques règles de vie et de cohabitation
qu’ils semblaient ignorer : éviter de faire profiter les voisins de la
musique qu’ils écoutaient, ramasser les papiers qu’ils laissaient tomber,
utiliser le paillasson quand ils rentraient les chaussures humides, dire
bonjour aux personnes qu’ils croisaient dans l’immeuble… autant de petits
détails qui les avaient placés, pour Madame Caroni et pour d’autres voisins,
dans la catégories des adultes se comportant comme des enfants.
« Cela fait deux jours que j’ai pris l’engagement de
les surveiller et depuis, ils n’ont plus entendu parler de moi. Il est temps
que j’établisse mon autorité. »
Laure et Denis avaient passé la précédente soirée chez la
mère de Denis. Madame Martin leur avait promis une fessée et Madame Caroni
était certaine qu’elle avait tenu sa parole. Ils étaient rentrés très tard et
Madame Caroni n’avait pas eu l’occasion de leur faire comprendre qu’elle serait
désormais son rôle. Elle savait que plus elle attendrait, plus il serait
difficile de faire admettre à ces deux adultes qu’ils étaient soumis à ses
punitions. Il fallait clarifier cela au plus vite.
Quand elle les entendit rentrer, elle leur laissa moins d’un
quart d’heure avant de sonner à leur porte. C’était Laure qui lui ouvrit. La
surprise se peignit sur son visage quand elle reconnut Madame Caroni, mais elle
fut rapidement remplacée un air revêche.
« Qu’est-ce que vous faites là ? Qu’est-ce que
vous voulez ?
– Dis-moi, ma fille, on ne t’a pas appris à dire bonjour
quand tu rencontres une personne pour la première fois de la journée ?
– Je dis bonjour à qui je veux, quand je veux. Et pour vous,
c’est non !
– Eh bien, cela fait partie des habitudes qu’il va falloir
changer. Je vais m’en occuper.
– Et comment vas-tu t’y prendre ? »
Madame Caroni avait noté le tutoiement déplacé. Il était
normal qu’elle les tutoie. Elle ne pouvait pas vouvoyer des personnes à qui
elle donnait la fessée, mais la réciproque n’était pas souhaitable. Elle
attendait des marques de respect qui montreraient la différence de statut. Elle
plaça ce détail dans un coin de sa tête. Pour l’instant, il y avait plus
urgent.
« Pour apprendre à des garnements à être polis, je
connais une méthode souveraine. Elle comprend une bonne fessée à chaque
insolence. Je crois donc que tu en as mérité une sérieuse. »
Laure tourna la tête vers l’intérieur de l’appartement.
« Denis, cria-t-elle d’une voix forte, c’est la
voisine, celle de l’autre soir ! »
Elle se retourna vers Madame Caroni en la regardant droit
dans les yeux.
« Elle a cru que ce qui a été dit l’autre soir était
sérieux ! »
Denis fit son apparition derrière elle.
« Ah, c’est elle ! Tu lui as expliqué qu’on n’a
pas besoin d’elle ?
– Non, je n’ai pas eu le temps. Elle a commencé tout de
suite à débiter des sornettes sur la politesse, tu vois le genre !
– Alors je vais lui clarifier les choses. Tu rentres chez
toi et tu oublies ce que tu as vu avant-hier. Cela ne te concerne pas. On a
bien assez d’ennuis avec nos mères sans t’avoir toi aussi dans les pattes.
C’est compris ?
– Je constate que tu as autant de progrès à faire question
politesse que ta compagne, répondit Madame Caroni. Tu subiras donc la même
punition qu’elle. »
Laure et Denis se regardèrent.
« Elle ne comprend de ce qu’on lui dit. Elle doit être
bouchée.
– Laisse tomber, ce n’est pas grave ! »
Laure poussa la porte qui se referma au nez de Madame Caroni
qui, aussitôt, appuya de nouveau sur la sonnette. Laure et Denis avaient un ait
exaspéré quand ils rouvrirent la porte.
« Tu as vraiment du mal à comprendre. On t’a dit de
t’occuper de tes affaires ! »
Madame Caroni avait sorti son téléphone de sa poche. Elle
l’activa tout en se parlant à elle-même, comme si ni Laure, ni Denis n’étaient
présents.
« Voyons, alors… M… M… Mar… Martin Clotilde. Ça doit
être ça.
– Attendez ! Attendez ! Qu’est-ce que vous
faites ? »
Denis était passé au vouvoiement.
« Moi ? Eh bien mon garçon, j’appelle ta mère pour
savoir ce qu’elle pense de tout cela ! »
Madame Caroni reporta son attention sur l’écran de son
téléphone vers qui son index se dirigea.
« Non, attendez ! Ne l’appelez pas ! »
Il y avait un réel sentiment d’inquiétude qui se lisait sur
le visage de Laure comme de Denis.
« On va régler ça entre nous ! Ne la mêlez pas à
tout ça !
– Excellente idée, répondit Madame Caroni en poussant la
porte que Laure laissa s’ouvrir en grand. »
Elle pénétra dans l’appartement et profitant de la stupeur
de ses deux interlocuteurs, elle les prit tous les deux par le bras et elle les
poussa devant elle jusque dans la grande pièce. Elle les planta l’un à côté de
l’autre, debout devant le canapé sur lequel elle s’assit.
« Par lequel de vous deux je commence ? »
La stupéfaction se lisait dans les yeux des deux adultes
qu’elle avait devant elle. Cela allait bien trop vite. Denis reprit ses esprits
le premier en se rendant compte que c’était d’une fessée dont il s’agissait
maintenant.
« Mais vous ne pouvez pas…
– Par toi, l’interrompit Madame Caroni ? C’est
d’accord ! »
Elle attrapa Denis par le devant de la ceinture de son short
et elle lui fit faire les deux pas qui la séparaient d’elle, l’amenant entre
ses jambes écartées. Avant qu’il ait pu esquisser un geste de défense, elle
tira sur le vêtement vers le bas et le short qui n’était tenu que par un
élastique, tomba sur ses mollets.
« Non, cria-t-il, arrêtez ! »
Il se baissa dans l’intention évidente de remonter son
vêtement d’une main alors qu’il plaçait l’autre devant sa culotte, là où Madame
Caroni devinait son sexe sous le sous-vêtement et à travers les doigts écartés.
Elle profita de la position de légère instabilité pour tirer brusquement sur
son bras. Denis perdit l’équilibre et il tomba à plat ventre sur la cuisse
gauche de Madame Caroni qui referma ses cuisses sur les jambes du garçon
qu’elle venait de placer dans la position disciplinaire qu’elle souhaitait.
Elle entoura sa taille de son bras gauche et elle le plaqua contre son flanc.
Denis tenta de se relever, mais son appui sur les coussins
du canapé était bien trop mou pour contrecarrer la pression que le coude de
Madame Caroni, exerçait entre ses omoplates. Ses priorités changèrent quand il
comprit que sa voisine lui baissait la culotte. Elle avait pris l’élastique qui
tenait la taille du sous-vêtement et elle avait descendu la culotte à mi-fesses
quand il réussit, avec sa main droite, à attraper un bout du tissu, arrêtant le
déculottage.
« Non, s'il vous plait, pas la culotte, pas la
culotte ! »
Madame Caroni sourit. Une première étape était franchie.
Denis admettait son droit de le fesser. Il fallait aller jusqu’au bout afin de
ne plus avoir toutes ces difficultés quand il faudrait le punir. Cela
faciliterait également l’administration de la prochaine punition à sa compagne.
Ils devaient admettre tous les deux qu’elle pouvait, quand elle le souhait,
leur donner la fessée.
« Denis, tu vas lâcher cette culotte tout de suite pour
que je puisse la baisser. Quand je donne la fessée, je fais comme ta Maman, je
baisse la culotte. Obéis, maintenant ! »
L’injonction ne donna pas de résultat.
« Si tu n’enlèves pas ta main, c’est moi qui vais le
faire, mais tu auras une deuxième fessée après avoir été au coin. Je compte
jusqu’à trois. Un… deux… trois ! »
Madame Caroni prit le poignet de Denis et elle le remonta
dans son dos. Denis rua une fois, puis une deuxième sur ses genoux, mais cela
n’eut aucun effet. La culotte n’était plus retenue, Madame Caroni la baissa
jusqu’en haut des cuisses. Elle dut batailler un peu pour la descendre
légèrement plus bas. Elle la laissa au milieu des cuisses. L’emprise qu’elle
avait sur les jambes de Denis et qu’elle ne voulait pas desserrer lui
interdisait de la baisser plus.
« Cela suffira pour cette fois-ci. La prochaine fois,
nous ferons mieux, se dit-elle. »
Denis battait furieusement des pieds, mais cela ne changeait
rien. Madame Caroni faisait attention à ne pas lui laisser un pouce de liberté.
« Il semble ta maman ait fait du bon travail hier
soir ! »
Les fesses de Denis étaient barrées par des traits rouges
parallèles du bas du dos jusqu’au milieu des cuisses. Cette remarque accentua
les efforts de Denis pour se libérer.
La première claque retentit dans la pièce. Sèche. Sonore. Le
cri qui la suivit montrait le savoir-faire de Madame Caroni. Les effets de la
fessée que sa Maman lui avait donnée hier soir aidèrent grandement à faire de
celle-ci, bien qu’elle ne soit donnée qu’à main nue, une punition mémorable.
Denis aurait souhaité rester impassible sous la correction,
pour montrer à sa voisine qu’elle ne lui faisait pas grand mal. Il ne tint pas
plus d’une petite minute, étouffant ses gémissements. Cela se voyait qu’il lui
fallait faire acte de volonté pour y arriver. Quand il craqua, ce fut
subitement. Un cri plus appuyé… un deuxième… et il éclata en sanglots entre
lesquels on pouvait deviner des demandes de pardon.
La fessée continuait, inexorable.
Ce n'est pas la première fessée de Laure
Nous l'avons déjà croisée c'était quand sa Maman et sa Belle-Maman ont décidé de reprendre les choses en main, mais il avait déjà été question d'elle plus tôt quand Madame André lui a donné une fessée
Vous avez loupé le début de l'histoire ?
Pas de problème, voici comment tout cela a commencé : le chapitre 1
... et ce qui s'est passé juste avant : le chapitre 3
On peut tous les retrouver sur la page "mes récits"
... et ce qui s'est passé juste avant : le chapitre 3
On peut tous les retrouver sur la page "mes récits"
Il y aura une suite, bien sûr !
C'est le chapitre 5.
Et avec un dessin original de Peter Pan
Les commentaires...
Ils sont les bienvenus, voire un peu plus. Lâchez-vous ! Laissez-vous aller ! Exprimez-vous ! N'hésitez pas à dire ce que vous en pensez ! Bref, on attend vos contributions.
Bonjour le blog.
RépondreSupprimerAller, un petit commentaire avant de repartir une semaine en vacance hors internet...
JLG nous évoque une brûlante Italie avec les cuisantes fessées éducatives de l'intransigeante Madame Caroni et son tempérament de feu qu'elle allume sur les derrières des mal élevés. Les fessées déculottées, elle les distribue aussi généreusement qu'un célèbre prédécesseur,qui, raconte t-on, multipliait les petits pains! ( à vérifier tout de même .)
Car elle ne s'en laisse pas compter, Madame Caroini et ne compte pas non plus ses efforts pour discipliner... ses voisins!
Laure, d'abord qui s'en prend une sévère pour une histoire de placard et de mensonge... Madame Caroni a la main lourde. Quand elle est en colère il ne fait pas bon laisser traîner ses fesses en dessous. Elle fesse bien et si fort qu'elle en a mal à la main et fait monter le derrière de la menteuse au niveau de chaleur d'un haut fourneau.
C'est sans doute son sens des responsabilités et son goût du travail bien fait qui l'incite à poursuivre sa mission éducative en reprenant en main les fesses de Denis pour insolence caractérisée. Après un déculottage réussi malgré quelques réticences de l'intéressé, (Description détaillée et bien imagée de la difficile descente de slip!) la fessée commence, sur un derrière encore marqué de la précédente... Cumule de mandales!
Le meilleur moyen d'effacer les traces c'est de les faire disparaître sous une couche de rouge plus foncé. On ne doute pas une seconde de l'efficacité des fessées de madame Caroni pour y parvenir en deux temps trois claquées. Ou comment obtenir une belle paire de fesses d'un resplendissant rouge écarlate uniformément réparti sur toute la surface. Le must!
De l'énergie, du punch, cuisson à point, made in Caroni ! Une vraie virtuose de la fessée on vous dit!
Cordialement
Ramina
Ramina,
SupprimerDommage qu'il n'y ait pas de lieu où se publient les critiques sur les récits de fessées. Votre texte y aurait sa place.
Merci pour l'appréciation.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour JLG,
RépondreSupprimerCe lieu ci me convient tout à fait.
(je ne suis pas encore reparti...mais incessamment sous peu )
Cordialement
Ramina