Le respect cela s'apprend.
Robin, jeune homme
insouciant et peu responsable malgré ses vingt deux
ans, sort pour le week End, de l'institut Ste marie où il poursuit
difficilement ses études. Au lieu de rentrer directement chez lui, il traîne en
ville et au bar avec ses amis et arrive à la maison avec un retard que
n'apprécient ni sa mère Gladys ni sa sœur Patricia .
Ses mensonges pour tenter
de trouver des excuses n'arrange pas son cas. La punition qui l'attend est
amplement méritée. Magnanime, maman laisse à sa fille le plaisir de commencer.
Patricia ravie de l'aubaine, en profite pour lui chauffer le derrière d'une
cuisante première fessée, prélude à une correction plus sévère...
Extrait
Gladys
était en proie à une colère froide, encore à peu près maîtrisée, mais qu’elle
n’allait pas manquer de laisser exploser sur les fesses de son fils, décidément
incorrigible. Une seule fessée ne suffisait pas, un deuxième service s'imposait
comme une évidence.
La prestation de Patricia
s‘était pourtant révélée convaincante. La belle rougeur veloutée, bien répartie
sur toute la surface des fesses de Robin témoignait de la qualité de la fessée
qu’elle venait de lui administrer. Pas de marque disgracieuse, aucune trace de
doigt. Elle l‘avait fessé avec fermeté et dextérité, d’une main souple, bien
enveloppante qui lui avait transformé le derrière en un magnifique brasero
incandescent. La raie sombre qui séparait les deux fesses en rendait, par
contraste, la couleur encore plus éclatante.
Selon les règles de politesse et de soumission fixées dans la
maison, Robin aurait dû remercier sa sœur de lui avoir aussi bien claqué
les fesses, mais leur niveau de cuisson assez élevé, lui en avait fait oublier
l’obligation. Gladys, n’allait certainement pas manquer de le lui rappeler.
Cela lui vaudrait naturellement une fessée de rappel pour avoir négligé le
protocole de remerciement après l’administration d’une correction. Le respect
cela s'apprend.
Gladys quant à elle, nourrissait un sentiment partagé. A la fois
songeuse devant l’attitude de son fils dont le manque évident de maturité se
révélait tout de même assez préoccupant, et heureusement convaincue de la
bienfaisante nécessité d‘une deuxième fessée. Celle-là beaucoup plus
sévère, ne serait-ce que pour bien marquer la différence avec celle
qu'administrait sa fille et affirmer sa position dominante dans la hiérarchie
familiale.
« Mon pauvre ami, dit-elle en tirant son fils par l’oreille
pour le relever, ce qu’il fait en couinant, les mains accrochées à celle de sa
mère pour essayer d’atténuer la douleur.
–
Aïe, aïe
aïe! Maman, mon oreille… ça fait mal !
– Ce n’est pas ton oreille qui
m’intéresse mon chéri, ce sont tes fesses! Uniquement tes fesses ! J’ai
vraiment l’impression que c’est toi qui ne te rends pas bien compte de ta
situation. .
– Ah si maman, je me rends
bien compte que j’ai les fesses en feu. Patricia a encore tapé fort !
Oui, mais pas encore assez ! Cette fessée n’a pas l’air de t’avoir
fait suffisamment d’effet. Je vais remédier à ça tout de suite. Le meilleur
moyen de te rafraîchir les idées c’est encore de te chauffer régulièrement le
derrière. Tu as besoin de fessées Robin, de grosses fessées ... ça tombe bien,
on en a plein la main ! Ta sœur vient de t’en coller une pour tes deux heures
de retard, je vais maintenant t'en mettre une deuxième pour avoir essayé de
nous mentir. Tu vois mon chéri, la vie n'est pas compliquée, deux ou trois
bonnes fessées et tout est réglé ! »...
Vous voulez relire l'épisode en entier ?
Pas de souci, le voilà : Saison 1 chapitre 3
Prochaine illustration...
...dans quelques jours, il n'y a pas de raison que cela s'arrête.A vos commentaires !
Que pensez-vous de cette rediffusion ?
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerDeuxième piqûre de rappel...
Euh, excusez-moi, le dispensaire s'il vous plait ?
Au fond du couloir, à gauche ! Et prenez un ticket !!!
Elégante en toutes circonstances, ma'me Gladys. On réajuste ses mitaines de résilles pour fesser avec panache.
N'empêche que Robin lui n'a pas le temps de réajuster ses frusques.
Patricia s'en donne à cœur-joie. Grande sœur, elle est méchante !!!
Serre les dents, camarade ! Mais j'y pense : il n'ira pas à La Baule cette année ? Mince !
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter.
RépondreSupprimerEt oui, ça pique forcément. Un rappel qui va se renouveler pendant un moment!
Administrer une bonne fessée n'exclue pas le souci d'une certaine élégance. Comme une forme d'esthétique de la claque aux fesses !
La nudité est sans mystère, tout est dévoilé.
Waooouuu, gros débat !!!
Qu'est ce qui est plus humiliant...ou ridicule, recevoir une fessée tout nu, ou le slip en travers des cuisses avec le pantalon en accordéon sur les chevilles ?
Et à la Baule, tout nu ou en maillot ?
Amicalement.
Ramina