Vois-tu, ma chérie, quand ta Maman m'a demandé de te garder, elle a été très ferme sur ce point. Tu dois être au lit à vingt-et-une heures. Elle m'a aussi prévenu que tu prétends qu'à vingt-six ans, c'est une heure trop précoce pour qu'une jeune fille de ton âge aille se coucher.
Ce n'est que la première fois que ta Maman m'engage comme baby-sitter. C'est l'annonce qu'elle a mise dans le hall qui m'a donné l'idée de proposer mes services. Comme j'habite deux étages au-dessus, je me suis dit que ce serait pratique, pour elle comme pour moi. L'annonce précisait qu'il s'agissait d'une jeune fille, mais je ne m'attendais pas à ce que ce soit une aussi grande demoiselle dont je doive m'occuper.
J'ai hésité. Je ne croyais pas qu'à ton âge, on avait encore besoin d'une baby-sitter. Ta Maman m'a convaincue. Elle m'a avoué qu'elle était inquiète quand elle te laissait seule pendant plusieurs jours pour ses déplacements professionnels. Elle pense que tu n'en fais, alors, qu'à ta tête.
Elle m'a décrit une jeune fille désobéissante, capricieuse, insolente avec les voisins, ça j'avais déjà pu le vérifier, et qui fait tout ce qui lui passe par la tête, y compris les choses les plus folles s'il n'y a pas quelqu'un pour y mettre le holà, au point de se mettre en danger. Son angoisse était palpable quand elle pensait à son long déplacement de cette semaine. Je n'ai pas pu résister. J'ai accepté de te garder pour lui rendre service.
Je ne m'attendais pas à ce que la situation soit pire que celle qu'elle m'avait décrite. Dans cette première soirée que nous passons ensemble, j'ai déjà compté trois désobéissance, deux caprices, et je ne compte plus le nombre d'insolence. Et maintenant cette colère pour ne pas aller te coucher.
Tu t'es permise d'élever la voix, de taper du pied par terre, de résister physiquement quand je t'ai emmenée dans ta chambre et de sortir des gros-mots. Tu ne croyais tout de même pas que tout cela n'aurait pas de conséquences ?
Puisque tu n'as pas voulu te mettre en pyjama toute seule, c'est moi qui m'en suis chargée, ça n'a pas été si compliqué que ça. Bien que tu aies essayé de m'en empêcher, je t'ai déshabillée. Trois bonnes claques sur les fesses t'ont donné à réfléchir. Je crois que tu as commencé à regarder la situation autrement.
Je pense que tu ne t'attendais pas au passage par la salle de bain pour une douche froide. En général ça calme les colères instantanément. ça a très bien marché avec toi. Tu m'as laissé te sécher et te mettre en pyjama sans me faire plus de difficulté.
Mais il n'est pas question que je m'en tienne là. Une telle attitude mérite une sérieuse punition.
Avant même de savoir que c'était d'une jeune fille de vingt-six ans dont je devrais m'occuper, j'avais prévenu ta Maman que je n'hésitais pas à sévir quand c'était nécessaire. Quand je lui ai expliqué comment je m'y prenais et que ce n'étais pas négociable, elle a marqué sa surprise. J'ai cru qu'elle désapprouvait mes méthodes.
En fait, j'ai compris, dans la suite de nos échanges, qu'elle était dubitative sur l'utilisation de telles punitions avec une jeune fille de vingt-six ans. Moi aussi, quand elle m'a dit ton âge, j'ai pensé que ce serait inutile d'en venir à de telles extrémités, mais nous avons convenu que cela relevait de ma décision. J'étais loin de penser combien ce serait nécessaire.
J'ai failli passer à l'acte deux fois dans la soirée. Je me suis retenue, pensant que c'était moi qui était trop impulsive. Cette fois-ci, je n'ai plus aucun doute. Je suis certaine que ce dont tu as besoin, c'est une bonne fessée déculottée et je vais te l'administrer.
Je vais t'apprendre qu'avec moi, les jeunes filles qui se croient tout permis, ne tardent pas à le regretter. S'il n'y avait pas eu les gros-mots, je me serai contentée de ma main, mais là je crois que l'usage de la règle s'impose. Je sais que, pour une première fessée, c'est sévère, mais je veux que tu comprennes dès ce soir qu'elles seront les conséquences quand tu te comporteras comme une vilaine petite fille.
Je vais faire au plus vite pour ce soir. Il est l'heure que tu ailles au lit. Fais-moi confiance, je ne négligerai pas ta fessée pour autant. Nous avons le temps de te rougir copieusement les fesses avant de te coucher. Tu vas découvrir combien la règle est efficace pour ce faire.
Par contre, tu n'iras pas au coin ce soir, alors que passer un bon moment en pénitence, la culotte baissée, après une fessée donne le temps de réfléchir à la bêtise qu'on vient de commettre et à la façon dont on devra se comporter à l'avenir.
De toute façon, nous n'aurons pas fini notre conversation après cette fessée. Nous la reprendrons demain soir dès que tu seras rentrée du travail. Tu peux t'attendre à une nouvelle fessée après que nous ayons discuté du langage que tu as employé ce soir. J'espère, pour tes fesses, qu'il n'y aura pas d'autres motifs de punition d'ici là. Tu passeras la soirée au coin, c'est le lieu le plus adapté pour les demoiselles qui agissent comme des petites filles.
J'ai bien compris qu'il ne fallait pas que je te laisse la bride sur le cou. N'aies crainte, cela ne se produira pas. Demain matin, je viendrai te lever à sept heures trente. Je te ferai prendre un solide petit déjeuner, puis je te donnerai ta douche. Je serai ainsi certaine que tu seras bien propre pour aller au travail.
Tu rentreras dès ton travail terminé. Tout droit à la maison ! Je veux savoir en permanence où tu es et si tu dois aller quelque part, tu m'en demandera l'autorisation au préalable. Je ne te la donnerai que si tu auras été sage.
Allez, c'est l'heure de ta fessée. Voyons voir si après une longue séance avec la règle, tu as encore envie de désobéir et de faire des colères.
C'est Funbun que nous devons remercier pour ce dessin
Cherchez bien sur le site, nous avons déjà eu l'occasion de publier quelques-unes de ses œuvres. Ce sont en général des dames qui les donnent et des jeunes filles qui les reçoivent. Exactement ce qui convient pour ce blog, non ?
Une baby-sitter consciencieuse et tout va pour le mieux
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