mercredi 17 juillet 2019

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 4

Hésitante, Maeva entra dans la cuisine. Elle tirait sur le bas du tee-shirt pour tenter de le faire descendre un peu plus bas sur ses cuisses. Teva fronça les sourcils.
« Cesse d’abîmer ce tee-shirt. Il te conviendra parfaitement pour ce soir. Nous verrons demain si je trouve quelque chose de mieux. »
Machinalement, Maeva tira encore une fois sur ce qui lui servait de chemise de nuit.
« Maeva ! Qu’est-ce que je viens de te demander ?
– De laisser le tee-shirt.
– Et toi, que fais-tu ?
– J’ai tiré dessus.
– Encore une fois et c’est la fessée ! »
Cette promesse ne fit que renforcer le malaise de Maeva. Elle craignait le jugement de sa sœur sur son attitude pendant le bain.
« Qu’as-tu à me dire ?
– Euh … je … c’est à propos du bain.
– Oui, que s’est-il passé ? »
Maeva ne voyait pas comment raconter les faits sans se mettre en cause. Teva vint à son secours.
« As-tu été sage ?
– Non Teva, pas vraiment.
– Qu’as-tu fait ? »
Maeva raconta. Elle voyait bien que le visage de Teva devenait de plus en plus sévère.
« Et Fara t’a donné une fessée ?
– Oui Teva.
– As-tu été obéissante pendant la fessée ? »
Maeva sentait bien qu’elle approchait du point crucial. Elle avait beau tourner la situation dans tous les sens dans sa tête, elle n’arrivait pas à la présenter sous un jour qui lui était favorable. Ne pas répondre à la question n’était pas une option réaliste et mentir, c’était s’engager sur une pente dangereuse.
« Non Teva, pas complètement.
– Que t’avais-je dit qui t’arriverait si tu n’étais pas obéissante quand nous avions décidé de te donner une fessée ?
– Oui, mais je …
– Encore un « mais » ?
– Non, pardon Teva, mais … »
La chemise de nuit improvisée était parfaite. Elle laissait les cuisses de Maeva nues, ce qui en faisait une place idéale pour donner une fessée. Teva se contenta d’une claque sur la cuisse.
« Alors, quelle est la punition pour ne pas avoir reçu sagement la fessée que tu as méritée ?
– Une autre fessée. Mais … »
Une autre claque sur l’autre cuisse mit fin à l’explication de Maeva.
« Redis-le : qu’as-tu mérité ?
– Une fessée, Teva.
– Exactement ! Tu vas aller voir Fara et lui dire que je suis très mécontente de toi. Tu lui diras que je souhaite qu’il te donne une très, très, très sévère fessée, puis qu’il te mette au coin jusqu’au dîner. N’oublie pas : une très, très, très sévère fessée.
– Oui Teva.
– Allons, file le lui dire tout de suite ! »
Maeva soupira, mais elle partit rejoindre Fara, tout en sachant ce que cela signifiait pour ses fesses.

Fara était assis sur le canapé dans le séjour. Il feuilletait distraitement une revue. Il leva les yeux quand Maeva fit son entrée. Sans rien dire, il attendit qu’elle prenne la parole.
« Fara, …
– Oui Maeva, qu’y a-t-il ?
– Teva a dit que … »
Maeva regarda les genoux de Fara. Il n’aurait aucun mal à la maintenir allongée sur une plateforme aussi large, d’autant plus qu’elle savait maintenant qu’elle devait le laisser faire. Puis elle examina la main que Fara avait posée sur le coussin à côté de lui. C’était vraiment un accessoire idéal pour donner la fessée. Elle frissonna à l’idée qu’elle en éprouverait la rigueur sans tarder.
« Alors, qu’a dit Teva ?
– Elle a dit qu’elle était mécontente de moi. Et que tu devais … »
Les mots n’arrivaient pas à franchir ses lèvres.
« Cherches-tu à me cacher quelque chose, Maeva ? »
S’engager sur cette voie, c’était aller sur un terrain glissant qui menait tout droit à une autre fessée. Maeva en avait conscience. Il fallait aller de l’avant et advienne que pourra.
«  … que tu devais me donner une très, très, très sévère fessée. »
Maeva se tut et elle baissa la tête. Elle sentait déjà une fournaise naître et grandir sur ses fesses. Elle avait goûté à une petite fessée de Fara. Que serait une très sévère ? Cette pensée lui contracta les entrailles. Elle sentit grandir une irrésistible envie de faire pipi, mais elle n’osait ni y aller de son propre chef, ni en demander l’autorisation. Elle serra ses cuisses et elle porta la main à sa fente urinaire pour retenir l’urine qui ne pouvait tarder à en jaillir.
« As-tu envie de faire pipi, Maeva ? »
Elle réussit à hocher la tête.
« Viens avec moi ! »
Fara lui prit la main et elle le suivit. Il se chargea de tout comme il le faisait pour Moana. Il ouvrit la porte, alluma la lumière, puis il porta Maeva pour l’installer sur la cuvette de toilettes.
« Tu fais pipi ! »
Il ne montrait aucun signe indiquant qu’il voulait se retirer. La pression sur la vessie était trop forte, Maeva fit pipi devant lui, mais, bien qu’elle en fût gênée, cela ne lui sembla pas déplacé. Ce fut un peu plus humiliant quand il prit une feuille de papier toilette pour essuyer, lui-même, les dernières gouttes qui suintaient de son vagin.
Puis, toujours en la tenant par la main, il la ramena dans le séjour. Il reprit sa place sur le canapé et la plaça alors debout face à lui, entre ses jambes. Il posa ses deux mains sur les fesses de Maeva, une de chaque côté en soulevant un peu la chemise de nuit. Il la maintenant au plus près de lui et lui interdisant ainsi tout recul.
« Alors Teva pense que je dois te donner une fessée magistrale. Peux-tu me dire pourquoi ? »
Maeva avala sa salive. L’angoisse de la punition à venir asséchait sa bouche, ce qui rendait son élocution malaisée. Il fallait pourtant répondre, sauf à être taxée d’impolitesse, et ça, elle n’y tenait pas.
« Je n’ai pas été sage pendant la fessée que tu m’as donnée.
– Ça, on peut le dire ! Et à ton avis, ça mérite une grosse fessée ? »
Maeva approuva en hochant la tête. Elle se rendait compte qu’elle le pensait vraiment.
« Je suis du même avis. A chaque fois que Teva ou moi déciderons de te donner la fessée, c’est parce que tu en as besoin. Il n’est donc pas question que tu essayes de t’y soustraire. Les fessées que nous te donneront te feront du bien. »
Les mains de Fara étaient posées à plat sur les fesses de Maeva, doigts écartés. Ses deux pouces balayaient doucement la peau qu’ils avaient à leur portée.
« Je vais de faire passer l’envie de recommencer une nouvelle fois ! »
Le moment de tendresse été achevé. Venait maintenant le temps de la punition. Il prit Maeva par le haut du bras et il lui fit contourner sa jambe droite pour l’amener à son côté. Cela fut fait avec fermeté, mais sans brusquerie. Maeva n’essaya pas, mais elle sentait bien qu’elle ne pourrait résister à son emprise.
Une main dans son dos lui indiqua qu’elle devait se coucher en travers des genoux qui l’attendaient. Puis sa courte chemise de nuit fut remontée sur ses reins. Tout cela n’avait pris qu’une poignée de secondes. Maeva se tendit, attendant le début de sa fessée.
Elle dépassa toutes ses craintes. Fara s’appliqua à mettre toute son énergie dans le début de la fessée, pendant que le postérieur de Maeva était encore froid. Chaque claque couvrait la moitié de ses fesses. La main tombait toujours au même endroit et Fara recommençait dix, quinze fois sur le même côté jusqu’à ce que les cris de Maeva atteignent un aigu qu’elle ne saurait reproduire en d’autres circonstances. Puis il changeait de côté et persistait jusqu’à atteindre un résultat similaire.
Maeva avait saisi, dans ses mains, un repli du pantalon de Fara. Elle s’y accrochait afin de ne pas être tentée de protéger ses fesses de ses mains. Elle les tenait occupées. Elle se tortillait sur les genoux de Fara. Ça elle ne pouvait l’éviter, mais cela n’empêchait pas son beau-frère de trouver sa cible. Il avait posé une main sur la taille de Maeva, limitant ainsi ses mouvements.
La fessée avait pris un air effréné qui ne laissait pas le temps à Maeva de récupérer. Elle ne dura pas aussi longtemps que Maeva en eut l’impression. Fara cessa quand les mouvements de sa belle-sœur devinrent moins frénétiques. C’était le signal que la douleur avait atteint son maximum et que les mécanismes naturels antidouleur de Maeva commençaient à faire leur effet.
Elle fut expédiée au coin sans avoir eu le droit à la moindre caresse, ni à la moindre parole de consolation. Elle laissa longuement ses larmes couler et ses sanglots l’emporter, tout en conservant la discrétion qui était de mise au coin.
Elle pleurait, bien sûr en raison de la cuisson de ses fesses et de la honte qu’elle éprouvait de les exposer, mais surtout de peur de ne mériter que les punitions de sa sœur et de son beau-frère et non les moments de consolation auxquels elle avait eu le droit auparavant. Etait-elle allée trop loin dans la désobéissance ? Les avait-elle fâchés définitivement ? Elle craignait les punitions que tous deux lui donnaient, mais par-dessus tout elle redoutait leur indifférence. Fara et Teva auraient-ils encore envie de s’occuper d’elle alors qu’elle était si désobéissante ? Elle conserva cette incertitude qui envahissait tout son esprit, durant le long moment qu’elle passa au coin.

Fara avait laissé les portes ouvertes de telle sorte qu’elle entendait les bruits de la préparation du repas. Sa sœur et son beau-frère discutaient mais elle n’en percevait pas le contenu. Puis quelques odeurs de cuisine lui parvinrent.
« Moana, ma chérie, viens manger. C’est l’heure ! »
Elle entendit les pas légers de sa nièce traverser le couloir pour rejoindre ses parents. Elle obéissait sans discuter. Quelle différence avec sa propre attitude. Y arriverait-elle un jour, elle aussi, à être une petite fille obéissante ? Elle se rappela alors son âge. Vingt-huit ans. Bien qu’elle soit en punition au coin et qu’elle relevait sa chemise de nuit pour laisser voir ses fesses nues, petite fille n’était pas l’expression adaptée. Etait-il trop tard pour apprendre à devenir enfin une grande fille sage et responsable ?
Les échanges se poursuivaient dans la cuisine. Il lui semblait que cela faisait de longues minutes que Moana avait été appelée. Evidemment, au coin, le nez enfoncé dans l’angle de la pièce, les bras croisés dans le dos il était difficile de se faire une idée du temps passait, mais tout de même. Se pouvait-il qu’ils aient commencé à manger sans elle ? L’avaient-ils oubliée ? Ils étaient certainement bien contents de ne pas avoir à partager leur repas avec une aussi méchante fille. Elle se sentait seule. A cette pensée, ses pleurs reprirent.
« Maeva, viens nous rejoindre dans la cuisine ! »
Malgré sa chemise de nuit relevée au-dessus de sa taille, Maeva se hâta aussi vite qu’elle put pour rejoindre le cercle familial. Le repas n’était pas commencé. Moana et Teva était assises à leur place, mais Fara finissait de mettre la table.
Maeva s’arrêta à peine entrée dans la cuisine.  Il y avait quatre assiettes sur la table, donc une pour elle. Ils n’avaient jamais eu l’intention de la laisser au coin pendant qu’ils dînaient. Une partie de la peur qui lui enserrait la poitrine disparut aussitôt.
« Approche, lui ordonna Teva. »
Teva prit les deux mains de Maeva dans les siennes. La chemise de nuit qui n’était plus tenue retomba sur ses fesses, les dissimulant à peu près. Teva la souleva et la posa sur ses genoux, face à elle.
« N’as-tu pas quelque chose à me demander ? »
La perplexité qui se peignait sur le visage de sa sœur amena Teva à poursuivre.
« Que doit demander une petite fille qui a été aussi vilaine que toi, après avoir reçu une bonne fessée en punition de ses désobéissance ?
– Pardon, essaya Maeva ?
– C’est cela. Elle doit demander pardon. J’attends ! »
Maeva n’hésita pas. Tout cela allait dans le sens qu’elle souhaitait, même si elle avait l’impression d’être traitée comme une petite fille. Il fallait s’y faire. Les intentions de Teva étaient claires. Mais même à vingt-huit ans, il était préférable d’être une petite fille dans les bras de Teva qu’une grande toute seule au coin.
– Je te demande pardon, Teva.
– De quoi me demandes-tu pardon ?
– D’avoir été désobéissante.
– Et capricieuse, poursuivit Teva.
– Et capricieuse répéta Maeva. »
L’émotion qui étreignait le cœur de Maeva déborda. Elle recommença à pleurer. Teva la serra contre sa poitrine en la berçant doucement.
« Là, là, ma petite fille chérie. Ce n’est pas si grave. »
Sa main s’était glissée sous la chemise de nuit de Maeva et elle lui caressait les fesses. Bien que cela exposât une nouvelle fois cette partie de son anatomie qu’elle aurait préféré cacher, Maeva n’en avait cure, toute au soulagement du pardon de sa grande sœur. Elle n’arrivait cependant pas à arrêter son torrent de larmes.
« Allons, allons, ma grande fille, ma petite Maeva adorée, poursuivit Teva. Il ne s’est rien passé que de tout à fait normal. Tu as désobéi, tu en as été punie. Assez sévèrement pour que tu t’en rappelles et que tu n’aies plus envie de recommencer. Mais Fara et moi savons bien qu’il te faudra d’autres grosses fessées avant que tu ne deviennes une petite fille très sage. Comme tu te comportes comme une enfant et que tu n’as pas plus de jugeote qu’une petite fille, nous de traitons comme doit l’être une petite fille capricieuse et écervelée. »
Maeva grogna. Elle n’appréciait pas que Teva lui rappelât ses écarts.
« Maeva, gronda sa sœur ! »
Une petite, mais sèche claque sur les fesses la ramena à la raison.
« Pardon, Teva, pardon. »
Maeva enfoui son visage entre les seins de sa sœur qui reprit sa caresse. Cela n’empêcha pas Maeva de recommencer à pleurer. Teva l’écarta, prit son menton dans sa paume et lui releva la tête, l’obligeant à la regarder dans les yeux.
« Pourquoi pleures-tu ?
– J’ai peur, Teva. »
Maeva parlait d’une toute petite voix tremblante.
« De quoi as-tu peur ? De la fessée ?
– Oui, bien sûr, la fessée. Ce n’est pas drôle de la recevoir, mais si tu as décidé … non, ce n’est pas cela.
– Qu’y a-t-il, alors ?
– J’ai peur que tu ne veuilles plus de moi parce que je suis trop méchante. »
Teva serra encore plus étroitement Maeva sur son sein.
« Te souviens-tu quand je t’appelais « ma petite crevette », quand tu étais petite ? »
Maeva hocha la tête.
« J’ai l’impression d’avoir de nouveau ma petite crevette dans les bras. Je ne suis pas certaine que tu aies beaucoup grandi depuis. Quand je t’ai allongée sur mes genoux pour te donner la fessée, tu te tortillais comme tu le faisais quand tu étais bébé et que je te changeais la couche. Ce dont je suis certaine, c’est que tu ne réfléchis pas tellement plus que qu’à cet âge-là. »
Maeva leva ma tête pour protester.
« Non, je … »
Elle n’en eut pas le temps. Teva lui remit la tête entre ses seins. Sa bouche plaquée contre la poitrine de sa sœur, elle ne pouvait plus parler. Une claque sur les fesses vint confirmer l’obligation de se taire et d’écouter ce que Teva disait.
« Je disais donc que tu oublies toujours de réfléchir avant de parler, comme quand tu étais petite. Si je t’ai prise dans notre maison, c’est parce que ce que tu fais et ce que tu deviendras m’importe beaucoup. Tu es ma petite sœur chérie et je ne voudrais pas que tu restes la petite peste irresponsable que tu es actuellement. Quoi que tu fasses, je m’occuperai de toi, comme je l’ai toujours fait. Avant, c’était de loin et de temps en temps, dorénavant, ce sera d’un peu plus près et en permanence. Mais je te promets que tu vas changer »
Maeva sentit se relâcher une partie de la tension qui l’opprimait. Elle se sentait protégée par sa grande sœur.
« Bien sûr, il y aura les moments où Fara ou moi nous te gronderons, nous te fesserons et nous te mettrons au coin. Mais il y aura aussi quand nous te prendrons dans les bras pour un câlin, comme maintenant. »
Meava se dit qu’elle n’aimait pas recevoir la fessée, mais que par contre les câlins dans les bras de sa sœur, comme maintenant … Teva la garda dans ses bras un petit moment.
« Ne crois-tu pas que tu devrais aller demander pardon à Fara également ? »
Teva ne voulait pas bouger de là où elle était. Elle y était tellement bien ! Elle s’apprêtait à protester quand elle se rappela ce que cela entraînerait.
« Oui Teva. »
Sa grande sœur la posa sur ses pieds. Maeva contourna la table et s’approcha timidement de son beau-frère.
« Je … »
Fara lui mit un doigt sur les lèvres. Il passa son bras sous ses fesses et il l’assit sur ses genoux.
« Oui, ma chérie, que voulais-tu me dire ? »
Maeva retrouva la chaleur de bras protecteurs qui l’entouraient. Elle se détendit. Elle ferma les yeux. Et posa son nez sur la chemise de Fara. L’odeur n’était pas la même que celle de Teva, mais elle était agréable. Elle était comme dans les bras de son Papa, sensation qu’elle avait peu connue et qu’elle croyait avoir oublié depuis longtemps. Elle eut envie de redevenir la petite fille qu’elle n’avait pas pu être bien longtemps quand elle était petite. Seule Teva avait tenté de jouer ce rôle, mais Maeva s’en était éloignée dès les premières années de préadolescence. Elle se rendait maintenant compte que ça lui avait manqué.
Une caresse qui remonta le long de sa cuisse, pour se finir sur ses fesses. C’était bon !
« Alors ?
– Je te demande pardon, Fara, pour avoir été désobéissante et capricieuse.
– Feras-tu encore une colère, la prochaine fois que je te laverai ?
– Oh non, Fara !
– Finalement, c’est pas mal d’avoir deux petites filles, ça fait deux fois plus de câlins ! »
Moana, sans doute un peu agacée d’être en dehors du jeu, descendit de sa chaise et monta sur les genoux de sa mère. Elle voulait également sa part de câlin à donner et à recevoir.
« Deux paires de genoux disponibles, deux petites filles pour les occuper, la vie est bien faite, tu ne trouves pas Fara ?
– Oui, je suis d’accord ! »
Et il déposa un bisou sur la joue de Maeva.
Maeva ronronnait de plaisir. Elle trouvait que d’être la petite fille de Teva et Fara était une situation bien enviable. Malgré les fessées qui ne manqueraient pas, elle décida de le rester, comme si c'était elle qui en décidait.


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose


Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
Et l'épisode précédent : le chapitre 3

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Eh oui, c'est le chapitre 5

Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.


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