Le carnet de correspondance,
Après un retour
à la maison plutôt cuisant pour ses fesses à cause de son indiscipline
chronique, Robin doit encore rendre des comptes sur ses résultats scolaires et
son comportement à l 'institut St Marie... Sa mère et sa sœur se
chargent de sanctionner ses insuffisances et son irresponsabilité.
Extrait.
« Je suis très en colère après toi Robin.
Je pensais que la discipline stricte de Ste Marie et son régime de fessées particulièrement
sévère te feraient progresser et t’inciteraient à élever ton niveau scolaire.
Je constate qu’il n’en est rien.! Sans
parler de ton comportement... Inadmissible! »
–
Mais maman…je ... »
–Tu
n’as rien à dire Robin! Aucune excuse ! Ta sœur m‘a montré la lettre de la
Directrice que tu cachais dans ton cartable. Tu l’as laissé tomber hier
pendant ta correction. Je comprends que tu n‘aies pas eu envie de me la
montrer. Ça te vaudra d‘ailleurs une fessée
supplémentaire après le dîner. Patricia se fera un plaisir de te l'administrer
en complément de celles que tu vas
recevoir pour tout le reste ! N'est ce pas ma chérie ? »
–
Bien sûr maman, avec
grand plaisir !
–
Parfait dit Gladys. »
Elle sort de son décolleté la lettre de
correspondance, pliée en quatre et la brandit sous le nez de son fils.
« Elle est édifiante !.. »
Le
menton haut levé, elle lit à haute voix sur un ton professoral.
« Robin ne fait aucun effort.,, Ça
commence bien ! Intelligent mais paresseux, désobéissant et parfois
insolent. Parce que monsieur est
insolent maintenant ! »
Le
malheureux baisse la tête en rougissant. Gladys poursuit en haussant le ton
pour souligner l’importance des motifs
qui vont justifier la sévérité des fessées à venir.
–
« Elle y voit clair ta Directrice... Elle précise...
écoute bien: Robin ne marche qu’à la
fessée!.. Ça pour devoir te rougir les fesses régulièrement, je le sais
depuis longtemps. C’est la suite qui est intéressante. Elle demande
expressément, la contribution des familles au maintient d’une discipline
éducative stricte et sévère, en prolongement, à la maison, de ce qui est mis en
place à l’école ! Intéressant non ? »
– Euuuuh… »
Gladys
poursuivit sans attendre de réponse plus explicite.
–
« De toute
évidence, les corrections à St Marie semblent ne pas suffire. Je vais donc
suivre les conseils avisés de Madame ta Directrice et augmenter la fréquence et
la durée des fessées à la maison. Nous allons d’ailleurs commencer
immédiatement. Considère les fessées que tu as reçues hier et celle de ce matin
comme de simple séances d'échauffement par rapport à celles qui t’attendent
! »
–
Oui, parce que moi aussi j'ai la main qui me démange, ajoute
Patricia en se trémoussant d'excitation dans son fauteuil. Les fessées d'hier
l'ont mise en appétit, forcément elle en redemande ! »
Vous voulez relire l'épisode en entier ?
Pas de souci, le voici : Saison 1 chapitre 6
Prochaine illustration...
...dans quelques jours, il n'y a pas de raison que cela s'arrête.A vos commentaires !
Que pensez-vous de cette rediffusion ?
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerHum... la petite brise de la rentrée semble raviver les mauvais souvenirs de l'année passée. Le carnet, la lettre de la directrice, les fessées des Sœurs... hou la la ! Ca fait beaucoup d'un seul coup.
Tiens, ça rappelle la lettre d'un certain recadrage de l'élève Bellebourge Gérome, convoqué avec sa chère maman Térèze chez les sœurs Claquemiche. Ca va re... chauffeeeeeeer ! Courage, champion.
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerAh oui, en fait de petite brise c'est tout de même le souffle de belles tempêtes sur les fesses des paresseux, indisciplinés. La rentrée est encore loin pour Robin comme pour Gérôme, mais les grandes chaleurs de l'été ne préludent t-elles pas à celles de leur postérieurs dès l'automne ?
Allez savoir mon pôv'monsieur, ces grands enfants sont capables de tout! Du pire comme du plus pire!!
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerC'est sûr, les deux "Castor et Pollux", sans leur manège enchanté, ont encore plus d'un mois pour savourer la trève estivale.
Après, ce ne seront plus eux qui tiendront la baguette...
Mes amitiés à la famille Tapefort.
Bonne baignade. Amicalement. Peter.