vendredi 19 juillet 2019

Consultation es fessées - Catherine (suite)


De: k********@aliceadsl.fr

À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>

Envoyé: Mardi 2 Avril 2019 16:26:10
Objet: Re: C****** et J****** - Que dois-je faire ?

Bonjour Docteur,

Forte de vos conseils, je vous affirme que je n'ai aucun sentiment de culpabilité, si j'ai employé ce mot,  pour l'éliminer en disant "pas culpabilité, mais appréhension".  J'attend donc de tourner la page pour créer un précédent qui ouvrira la porte sur l'avenir.


La fessée disciplinaire sert (ou servira) pour moi à solder les comptes comme vous l'exprimez et c'est ses mérite et but. Comme vous avez pu vous en rendre compte lors de nos différents échanges, je suis profondément amoureuse de mon mari qui est l'homme de 

ma vie. il est cadre supérieur, gentil et charismatique et c'est ce que j'admire. J'appelle ça "sa superbe" que malgré mes désirs de discipline je ne voudrais lui faire perdre.


Vous me faites me poser en moi de profondes questions : Comment conserver son charisme en le disciplinant ? Comment continuer à l'admirer  s'il devient mon soumis ?  L'amour et la discipline peuvent-ils faire bon ménage ?

Ceci étant, je garde vos conseils présents à l'esprit et ne mangerais pas d'en faire usage




Avec mes remerciements


C********


De:  jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>


Envoyé: Mardi 2 Avril 2019 19:49:50
Objet: Re: C****** et J****** - Que dois-je faire ?

Bonjour C********,
Je vous prie de m'excuser si j'ai interprété abusivement vos propos.
Je vous sens plus décidée à sévir s'il y a une raison. Cela est question de niveau d'exigence, mais c'est à vous de trouver le vôtre.
Prenez cependant conscience qu'il ne serait pas étonnant que vous ayez à le faire, sans que votre compagnon trouve motif à réciprocité. cela ne serait en rien étonnant.
Vous vous posez des questions, celles qui figurent au bas de votre courriel, mais je ne sais pas si vous souhaitez que je vous donne mon avis sur ces sujets. Je crois déceler que non, ce qui ne me paraîtrait pas anormal. Dites-moi ce qu'il en est.

Docteur Jeanine Legendre,

Diplômée es fessologie

SOS Urgence Fessée



De: k********@aliceadsl.fr

À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>

Envoyé: Mercredi 3 Avril 2019 15:30:35
Objet: Re: C****** et J****** - Que dois-je faire ?

Bonjour Docteur,

Vous me demandez si je souhaite une réponse à mes questions. Pour la dernière, j'ai un avis que je vous considère autorisée à me contredire si vous le pensez. L'amour et la discipline sont compatibles. En revanche, sur les deux premiers, ej requiers votre avis, sachant qu'il est cadre supérieur capable de diriger 100 personnes en étant aimé et en obtenant des résultats. Son charisme est évident et inhérent à sa personnalité. Je souhaite donc le discipliner, mais me refuse absolument à "le casser". Je veux juste lui mettre des limites afin qu'il ne dérive pas. Je l'aime, je l'admire, mais vis mal sa supériorité.


Merci de me poser les bonnes questions afin que je me les pose à moi 

même


Cordialement

C********



De:  jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>


Envoyé: Vendredi 5 Avril 2019 15:35:48
Objet: Re: C****** et J****** - Que dois-je faire ?

C********,
Je vous remercie de cette clarification. C'est plus facile pour moi de vous répondre si je sais où je mets les pieds. Je peux être intrusive à certains moments ou poser des questions qui dérangent, mais il me semble que cela fait partie de la valeur ajoutée que je peux produire. N'hésitez pas à me signaler les sujets sur lesquels vous ne voulez pas que je vous livre mes analyses. En absence de nouveaux éléments de votre part, je me sens autorisée à intervenir sur tous les sujets que vous abordez.

Je pense que l'idée se soumission et de punition sont deux notions différentes.
Un soumis obéira sans limite, dans le cadre de ce qui est convenu avec son dominateur ou sa dominatrice. Sa soumission n'est pas conditionnée par ses propres attitudes et comportement, mais elle répond au plaisir qu'éprouve la personne qui le soumet, dans cette domination, plaisir auquel celui du soumis.
Une punition sera décidée quand elle a été justifiée par un comportement coupable ou une attitude répréhensible. Il ne s'agit nullement de satisfaire le besoin de la personne qui punit, mais plutôt de signifier sans ambiguïté à celui qui commet la faute que celle-ci n'est pas admissible. Le puni doit en retirer du désagrément (honte, douleur, vexation...), il doit recevoir sa punition d'une main dont il reconnait la légitimité (personne exerçant un tutorat soit en raison de son statut vis à vis de lui, soit par son implication dans l'écart qui lui vaut la punition) c'est la condition pour que le message passe clairement et ait à la fois un effet curatif et préventif. La fessée, administrée en tant que punition, est donc un moment d'éducation.

Ne nous leurrons pas, cette punition implique des paramètres infantilisants. Donner une fessée à un adulte, c'est, à ce moment-là, considérer qu'il n'est pas suffisamment accessible à la raison sur le sujet qui justifie la correction. Il faut donc utiliser une méthode plus directe.
Faire des analogies avec ce qui se passe avec un enfant est un parallèle intéressant. Le type de conséquence à recourir à une punition, quelle qu'elle soit, est de même nature qu'avec un adulte. Pensez-vous que punir un enfant, et je ne parle pas que de la fessée, porte atteinte à sa personnalité ? Si oui, il vaut mieux l'éviter et vous arriverez à la même conclusion avec un adulte. Si non, vous serez d'accord pour dire que sévir permet de signifier, à l'enfant, l'écart commis. L'adulte qui intervient le fait non pas en son nom propre, mais au nom de ce qui est attendu par la société comme comportement, ce qui laisse la place à un champ d'interprétation très vaste de la personne qui décide de punir, je vous l'accorde, et nous avons les mêmes écueils avec un adulte.

Il me semble qu'il y a deux conditions qui rendent la punition légitime.
Tout d'abord, il faut que sa justification soit incontestable. Le motif qui déclenche la correction doit être identifiable par la personne qui décidera de punir, bien évidemment, mais également par celui qui va la recevoir. Il doit en reconnaître la pertinence, consciemment ou inconsciemment. C'est à cette condition qu'elle jouera son rôle. Il est évident que cette reconnaissance est rarement acquise a priori, mais c'est une réputation que doit avoir la punisseuse : quand elle donne une fessée, c'est qu'elle est méritée. Entendons-nous bien, il ne s'agit pas d'une négociation : as-tu mérité une punition ou pas, je ne sais pas trop, qu'en penses-tu ? Non ! Cette responsabilité revient à celui qui a autorité pour punir et l'avis de celui qui a mérité la correction ne peut pas être sollicité. Il est clair que cela demande un grand discernement, je ne vous fais pas le tableau des abus possibles, je pense que vous l'avez en tête comme moi, du moins je le souhaite si vous envisager de punir votre compagnon.
Ensuite, il est indispensable que sa sévérité soit corrélée à l'importance de la faute qui a été commise. Il s'agit de créer le souvenir afin de prévenir une récidive. C'est pourquoi la fessée est très bien adaptée pour punir un adulte. Se faire déculotter et fesser contre son gré, sur la décision d'une tierce personne, ne s'oublie pas de si tôt.

Revenons au parallèle avec un enfant. Croyez-vous qu'après avoir été justement puni, proportionnellement à la faute qu'il a commise, un enfant va en vouloir durablement à la grande personne qui a sévi ? Si oui, c'est que les conditions ci-dessus ne sont pas remplies. Si la punition lui a permis de prendre conscience de son erreur, il n'y a pas de raison qu'il en garde rancune. Pour cela, il faut que l'adulte construise des repères clairs entre le moment de la punition et le moment où il va permettre à l'enfant de sortir de cette phase délicate et de revenir dans l'espace social avec le même statut que celui qu'il avait avant.

Je crois qu'une grande partie de la réponse à vos questions tient dans ce raisonnement. Si la fessée est légitime, provoquée par un écart clairement répréhensible et proportionnée à la faute commise, elle apparaîtra comme un moment cathartique, douloureux, vexant, mais nécessaire.
Prenez alors la précaution de bien séparer le moment de la fessée, qui peut être suivi d'un temps passé en pénitence le nez contre un mur ou dans l'angle d'une pièce, du moment où ce temps pénible pour tout le monde appartient au passé puisqu'il a soldé tous les comptes. Mettez en place des rituels d'entrée dans le mode punitif et de pardon qui signifiera la fin de la punition et le retour pour chacun dans son rôle habituel avec des relations qui peuvent revenir à celles qu'elles étaient avant. Cette distinction entre les deux temps est absolument indispensable. Elle peut être renforcée par l'instauration de repères dans l'espace (une pièce où se déroule la fessée, par exemple) et dans le vocabulaire utilisé (appellation du puni par son nom complet...).
Il ne sera alors pas pertinent, sur votre initiative de revenir sur la séquence punitive, mais cela peut se faire si c'est votre compagnon qui le demande. Vous devrez alors être ferme sur les principes qui vous conduisent à le punir, en assumant la situation et la pertinence de la nature de la sanction.

Votre relation ne devrait pas en pâtir puisque votre compagnon sera à l'origine des fessées qu'il recevra, il en maîtrisera donc le risque. Il pourra donc se comporter, sans crainte, comme il l'a toujours fait... sauf s'il commet un écart.
J'espère vous avoir apporté quelques éclaircissements. N'hésitez pas à me recontacter si vous souhaitez des précisions.


Docteur Jeanine Legendre,

Diplômée es fessologie

SOS Urgence Fessée



De: k********@aliceadsl.fr

À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>

Envoyé: Mercredi 10 Avril 2019 23:03:35
Objet: Re: C****** et J****** - Que dois-je faire ?

Bonjour Docteur,



Ca y est, les choses se sont produites. J'ai puni mon mari, mais je me demande s'il le fallait à cette occasion., je vais donc vous en raconter les circonstances.

Comme vous le savez, je suis enseignante et il m'arrive parfois de penser à l'école des années 1930 à 50 où il arrivait que des enseignants donnent la fessées aux élèves mal élevés ou perturbateurs.

Après une journée pénible mon aînée de neuf ans qui commence à avoir des réflexes d'adolescente m'a répondu "Tu m'emmerdes". là, je l'a attrapée, couchée sur mes genoux et fessée à derrière nu, mais là n'est pas la question. Ensuite je l'ai sermonée et je lui ai annoncé que j'allais en parler à son père dès qu'il rentrerait, comme promesse de conséquences à suivre.

Son père est rentré, je luisait raconté, et là il est allé voir sa fille, et lui a dit "Tu sais, il faut être gentille avec Maman, elle est parfois fatiguée, Elle t'a punie et c'est fini" Il l'a cajolée et j'avais l'impression de passer pour la méchante. Voilà donc ce qui m'a décidé à sévir envers lui.

Le Samdi, j'ai envoyé nos enfants chez leurs grands-parents afin d'avoir le champ libre pour confronter mon mari à son action. Les deux jours précédents m'ont laissé le temps de ruminer ma colère.

Alors en début d'après midi, je lui ai parlé de notre accord de punition en cas de dérapage. je lui ai exposé que des parents doivent se montrer d'accord face aux enfant. Il avait fauté et devait se soumettre à une fessée. C'est donc tiré par l'oreille que je l'ai couché sur mes genoux, déculotté avec difficulté et fessé de toutes mes forces, dans le but de faire mal. et j'ai réussi. Il a été stoïque et le rouge aux joues s'est excusé. Il a rajouté qu'ii voulait une harmonie parfaite car il aime toute sa famille.

Sa gentillesse a réussi à me donner mauvaise conscience, ou du moins un doute. Nous avons fait la paix peu de temps après la punition et avons passé un dimanche en amoureux, seuls sans nos enfants.

Votre explication de la différence entre soumission et punition me rassure énormément suite à ce qui s'est passé. La légitimité de la personne pouvant punir l'autre est réciproque et nos empêche d'être soumis, juste des personnes travaillant pour l'harmonie de notre couple.

Que pensez vous des circonstances ? Trouvez vous que j'ai puni à bon escient ? Vous allez trouver étonnant que je vous dise qu'un lendemain de punition peut-être difficile pour celui ou celle qui a administré : doute prenant place sur les circonstances.

Bien cordialement

C********




De:  jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>


Envoyé: Vendredi 12 Mars 2019 08:30:08
Objet: Re: C****** et J****** - Que dois-je faire ?

Bonjour Catherine,
Voilà une nouvelle étape franchie.
Je ne sais pas quoi vous dire sur la pertinence du motif choisi pour punir votre mari. Cette appréciation dépend tellement du contexte que j'hésite à me prononcer.
Regardons-en plutôt le déroulement et les conséquences.

Vous annoncez à votre mari qu'il a mérité une fessée et vous l'emmenez, le tenant par l'oreille, vers le lieu où vous mettrez votre décision en acte. Vous faites, certes, état de difficultés, mais vous vous le couchez sur vos genoux et vous lui baissez la culotte.
Je n'ai pas décelé de sa part, dans votre récit, un vent d'indignation suite à votre décision, mais je ne sais pas quelle a été la nature des difficultés que vous avez rencontrées. S'il avait estimé ne pas avoir mérité la correction que vous lui destiniez, je suppose qu'il aurait eu les moyens physiques de la refuser. S'il l'a acceptée, même avec réticence, qui n'en aurait pas à la perspective de recevoir une sérieuse fessée déculottée, c'est qu'il devait être persuadé au fond de lui que vous aviez de bonnes raisons de le punir. Il ne semble donc pas avoir remis en cause la légitimité de votre décision.
Il vous laisse faire et ensuite, après la fessée, il s'excuse et cherche à faire ce qu'il faut (sa gentillesse...) pour obtenir votre pardon.

Si j'en crois votre récit, je ne vois là aucun signe d'abus d'utilisation de votre droit à punir votre mari, dans l'attitude de celui-ci. Au contraire ! J'ai l'impression qu'il s'agit d'une fessée qui a atteint parfaitement son but si j'en juge à ses réactions telles que vous me les décrivez. Peut-être dans vos interrogations ? Encore un reliquat de ce que je continue à appeler votre sentiment de culpabilité.
Laissez votre instinct parler. Il vous guidera. Si vous éprouvez le besoin de corriger votre mari en raison d'un de ses actes que vous jugez déraisonnable, c'est certainement qu'il l'a mérité et que cela va lui faire du bien. Ce serait dommage de ne pas lui rendre ce service.

Docteur Jeanine Legendre,

Diplômée es fessologie

SOS Urgence Fessée



De: kathy751@aliceadsl.fr

À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>

Envoyé: Vendredi 12 Avril 2019 09:32:37
Objet: Re: Catherine et Jacques - Que dois je faire ?


Bonjour Docteur,

Certes, j'ai franchi une étape, et les difficultés dont je traite ne sont pas du fait de sa réticence, mais techniques. Je l'ai couché sur mes genoux avant de le déculotter, voilà la réponse. J'aurais été ridicule à le faire se relever, car pour le déculottage, le "j'ai oublié" m'aurait rendue ridicule.

Maintenant, s'agissant de ma culpabilité : je crée un nouveau questionnement dans la raison de la punition :
-        Education pour un avenir meilleur
-        Vengeance car on n'a pas aimé une réaction

Comme je veux ABSOLUMENT éviter le second cas, je veux trouver la limite, et ça ne sera pas facile.

Cordialement

Catherine



De:  jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>


Envoyé: Vendredi 12 Mars 2019 14:32:51
Objet: Re: C****** et J****** - Que dois-je faire ?

Catherine,
Effectivement, il est préférable de déculotter son puni avant de le coucher en travers des genoux. Une erreur de débutante...
Votre question est très intéressante et j'en comprends le côté fondamental pour vous. Faire la différence entre vengeance, tournée vers la satisfaction des besoins de la correctrice et éducation, centrée sur les besoins du corrigé, est primordial.

Reprenons la situation que vous avez racontée dans votre précédent courriel. Je suis frappée par le fait que vous vous posiez la question pour votre mari et non pour votre fille, alors qu'ils ont reçus tous les deux ma même punition. Cela me semble pourtant des problématiques équivalentes.
Que ce soit la fessée que vous avez donnée à votre fille ou celle que vous avez administrée à votre mari, s'agissait-il de vengeance suite à une attitude qui ne vous avait pas plu ou d'un acte éducatif visant à faire comprendre que le comportement de l'une ou de l'autre n'était pas socialement admissible et qu'il fallait créer le souvenir, avec une bonne fessée, afin que cela ne se reproduise pas ?
Il faut alors se poser la question : à qui profitera la fessée ?

Imaginons, pour votre fille, que vous n'ayez pas réagi, ou que vous ayez réagi faiblement. Vous lui faisiez passer le message qu'insulter d'autres personnes quand on n'est pas d'accord avec eux, est une façon de faire acceptable. Dans une période où la vie sociale de votre fille va changer d'échelle (passage au collège...), il serait très dommageable pour son devenir et celui des relations qu'elle va entretenir, particulièrement avec les personnes qui seront dépositaire d'autorité à son égard (professeur, supérieur hiérarchique...), qu'elle tire comme conclusion que l'invective est une méthode acceptable. Votre réaction ne visait pas à punir son attitude à votre égard (pas seulement ou alors comme personne représentant l'autorité), mais à créer le souvenir sur les conséquences qu'il y aura à se croire tout permis. La fessée était bien destinée à faire progresser votre fille. Vous étiez bien dans une séquence éducative. 
Faisons le même raisonnement pour votre mari. La fessée que vous lui avez donnée, visait à éviter qu'à l'avenir il encourage votre fille dans ses écarts de conduite, en suggérant que c'était votre fatigue qui était la cause principale de la fessée que vous avez donnée à votre aînée. Il n'a pas pris en compte ce que j'expose ci-dessus, ce qui est un insuffisance grave dans son rôle de parent. A ce titre, une réaction ferme de votre part s'imposait.
Je suis moins convaincue par l'idée que des parents devraient faire front commun, mais peut-être vouliez-vous dire que ce que décide l'un, ne peut pas être contredit, en présence de l'enfant, par l'autre, ce avec quoi je suis d'accord. Il n'est, en effet, en matière d'éducation des enfants comme pour d'autres sujets au sein d'un couple, on ne peut pas toujours être d'accord.
Je suis tout à fait étonnée que vous ayez éprouvé le besoin, surtout après avoir déculotté et fessé votre fille, de faire appel à l'autorité de votre mari pour légitimer la punition que vous veniez de donner. Pourquoi était-il nécessaire d'annoncer à votre fille que vous alliez en parler à son père ? Votre légitimité était-elle insuffisante pour justifier l'usage de la fessée ? La punition que vous aviez administrée avait-elle besoin d'être confirmée ? De plus, il aurait été préférable qu'une fois la fessée donnée et éventuellement un temps passé au coin, les raisons qu'il l'avaient motivée, soient soldées. Le pardon par la correctrice après qu'elle ait administré une punition est tout aussi important que la punition elle-même. C'est de cette façon que vous avez procédé avec votre mari, elle me semble judicieuse et à systématiser que ce soit avec votre mari ou avec vos enfants.

En conclusion, posez-vous la question : à qui ont été causés les dommages finaux suite à l'attitude de la personne que je m'apprête à punir ? Quand la victime principale en est cette personne elle-même (c'était le cas pour votre fille et votre mari dans les exemples que vous avez décrits) ou quand les victimes en sont des tiers, une réaction de votre part, à l'égard des personnes qui a un titre quelconque sont sous votre autorité, s'impose. Si ces personnes vous semblent, sur cette situation, imperméables à la raison ou si vous voulez "marquer le coup", la fessée est une bonne solution.
J'espère vous avoir donné matière à réflexion et peut-être quelques pistes d'action.

Docteur Jeanine Legendre,

Diplômée es fessologie

SOS Urgence Fessée



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