Un avertissement des plus clairs

Voyez-vous, Mesdames, il ne faut jamais hésiter. Quel que soit le lieu, quel que soit le moment, il est prioritaire de faire comprendre à ces jeunes gens quand leur comportement est inadmissible. Vous comprenez qu'autrement, ils vont se croire tout permis. Il est de notre devoir, à nous autres les femmes responsables, que nous soyons, leur mère, leur compagne, ou tout simplement une personne croisée dans la rue ou dans une brocante.
Voyez-vous ce jeune homme, on aurait pu croire, vu son âge, qu'il serait assez grand pour comprendre que, quand on lui dit de ne pas toucher à un objet fragile, c'est qu'il y a une raison. Mais il y a des adultes qui ne comprennent pas du premier coup. Ils se croient assez grands pour ne pas tenir compte des avertissements qu'on leur donne.

Ce n'est pas que cette babiole en verre avait une grande valeur, mais il était demandé de ne pas la toucher. Il a malgré tout fallu qu'il le fasse. J'ai souvent rencontré des adultes irresponsable comme lui ou qui se croient tout permis. Je pense que celui-là ne recommencera pas de si tôt.

S'il avait été un enfant je me serai contenté de le gronder. Je pense qu'à la première remarque, il aurait reconnu ses torts. Mais, bien évidemment, Monsieur a plus de dix-huit ans, il se croit au-dessus de ce que les autres peuvent lui dire. Pire, il se permet d'être insolent.

"Je devrais m'occuper de mes affaire !" a-t-il dit ? Eh bien, c'est exactement ce que je fais. Il n'est pas le premier grand garçon à qui je doive baisser la culotte et lui flanquer une bonne fessée pour lui apprendre la politesse et à reconnaître quand il a fait une bêtise.

J'ai l'impression, par contre, que pour lui, c'est la première fois qu'il se fait déculotter en public et qu'il se fait corriger. Je conçois qu'il ne s'y attendait pas, mais cela ne me pose pas de problème de déculotter un grand garçon comme lui, même s'il se débat et qu'il essaye d'échapper au châtiment qu'il a mérité.
Il aurait dû se méfier. C'est vrai qu'il ne me connaissait pas et qu'il ne s'attendait pas à ce que je le déculotte de force, merci Mesdames du coup de main, et que je l'allonge sur mes genoux.

Bon, ma main va poursuivre encore un petit moment cette conversation avec tes fesses. Elles sont loin d'être assez rouges et assez cuisantes. Je dois insister encore pendant quelques temps. Ne t'avise pas d'essayer de m'en empêcher ou je demande à ces dames de me prêter la main pour te maintenir en place.
Si je suis obligée d'en venir à cette extrémité, tu passeras sur tous les genoux, un par un. Nous verrons si tu auras encore envie d'être arrogant et de refuser le châtiment dont tu as besoin.
La fessée terminée, tu iras te mettre le nez contre ce meuble qui est derrière moi et les mains sur la tête. Bien entendu, tu garderas ta culotte là où elle est actuellement. Je dirai... au moins une demi-heure. Tu auras le temps de réfléchir à l'importance qu'il y a à prendre en compte les avertissements qu'on te donne.
Encore une bonne vingtaine de claques de chaque côté et nous verrons si tu as appris ta leçon.

Grand merci à Barbara O'Toole

Une habituée de ces courts récits dont on reconnait la signature en bas à gauche. J'espère que le dessin est bien d'elle, il est à mi-chemin entre la photographie recomposée et le dessin réaliste.

La fessée, remède souverain contre l'insolence

             

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