Voila, Doria, ce n'est pas très compliqué. La prochaine fois que je ne suis pas là, tu en prends l'initiative toi-même. Il faut être très ferme. Si tu ne mets pas les choses au point dès le début, il va te causer des ennuis en permanence.
Oser t'accuser de ne pas avoir fait le travail que lui devait faire ! Tu es la dernière arrivée dans ce bureau il il ne faut pas se faire d'illusion, il va chercher à profiter de toi... sauf si tu t'imposes dès maintenant. C'est comme avec les enfants, il ne faut pas louper les premiers jours. Il faut mettre en place les règles dès le début.
Tu sais, quand je suis arrivée ici, c'était lui le plus ancien. Il a voulu prendre l'ascendant sur moi. J'ai mis plus d'un mois à comprendre qu'en négociant, qu'en cherchant le compromis, je me trompais de méthode. C'était toujours moi qui devais accepter de passer par où Monsieur en avait décidé. J'en étais arrivée à faire la moitié de son travail en plus du mien et il n'était jamais content de ce que je faisais. Il fallait toujours en faire plus.
J'avais l'impression d'avoir en permanence sur le dos un chefaillon perpétuellement insatisfait, alors qu'il n'est en rien mon supérieur hiérarchique, ni le tien. Si on regarde ce qu'il sait réellement faire, tu te rendras vite compte que son niveau de compétence est très bas et qu'il a besoin de toi pour l'aider dans des tâches qu'il ne sait pas faire. Il a tenté de me faire croire qu'il pouvait exiger que je fasse à sa place ce qu'il ne sait pas faire ou ce qu'il n'a pas envie de faire.
C'est ce qu'il tenté de mettre en place avec toi. Il prenait bien la précaution de ne le faire que quand je n'étais pas présente. Il ne s'attendait pas à ce que j'arrive ce matin, j'aurais dû être en rendez-vous à l'extérieur, mais il a été annulé tard hier soir. Il ne pouvait pas le savoir. C'est en entrant dans le bureau que j'ai entendu ses exigences vis à vis de toi.
Cela m'a rappelé celles qu'il avait avec moi et je me suis rappelé comment j'avais fait basculé la situation.
J'ai profité d'un ultimatum que lui avait fixé la directrice. Elle est très accommodante, mais elle exige que le travail soit fait. C'est bien normal. Il devait pondre le rapport annuel, des ventes. Cela faisait deux jours qu'il essayait de me convaincre que c'était à moi de le faire. Je faisais la sourde-oreille. Il faillait extraire des éléments de la base de données de nos clients et ça, il ne sait pas faire. Sans ça, le bilan n'avait pas de sens. J'ai attendu jusqu'au dernier moment. Quand il a vu l'échéance se rapprocher, il s'est emporté et en est venu aux menaces, mais comme elles restaient sans effet, il est devenu suppliant.
Il restait tout juste le temps d'intégrer ces données dans le rapport quand je lui ai mis le marché entre les mains. Je lui fais remarqué qu'il se comportait comme un gamin colérique et paresseux et que je savais comment m'y prendre avec ce genre de comportement. Je lui ai proposé de faire le travail dont il avait besoin, mais à la condition qu'au préalable je le traite comme il l'avait mérité : une bonne fessée déculottée.
Il est resté sans voix pendant quelques secondes et il a rougit jusqu'aux oreilles. C'est ce qui m'a confirmé qu'il avait vraiment besoin d'une bonne correction. Puis il a refusé, mais sans élever la voix. Il est retourné s'asseoir à sa place, devant son ordinateur. Je voyais bien qu'il ne faisait rien d'utile. Il se voyait dans une impasse et la seule façon d'en sortir c'était d'en passer par mes exigences.
Au bout d'un moment, je lui ai fait remarqué qu'il ne lui restait plus qu'un quart d'heure pour se décider. Après je n'aurais plus le temps matériel de faire le travail. Il a encore supplié, il m'a promis de ne plus me harceler, de faire une partie de mon travail, de... bref, je puis ai répondu : "la fessée ou rien".
Il ne restait que quelques minutes avant la fin de l'ultimatum que je lui avais donné quand il a accepté. Il a tenté de négocier de garder son pantalon, puis, comme je refusais, de ne pas lui baisser la culotte. Je suis restée ferme sur mes positions. Il a fini par accepter.
Voilà, cela fait trois mois qu'il a reçu sa première fessée déculottée de ma main. Depuis, il n'y a pas de semaine où je ne sois contrainte de le coucher en travers de mes genoux après lui avoir baissé la culotte. Je dois avouer que ta présence, quand tu es arrivée la semaine dernière, a été un peu perturbante. Bien qu'il l'aurait méritée deux fois, je ne l'ai pas fessé. Je n'osais pas en ta présence.
Maintenant tout est redevenu normal. Il a reçu sa première fessée devant toi, je n'hésiterai plus à sévir quand il en aura besoin et je compte sur toi pour en faire autant.
Avant que tu n'arrives, j'avais envisagé de le mettre au coin après une fessée. J'hésitais, pourtant cela lui ferait du bien d'avoir le temps de réfléchir à la bêtise qu'il avait commis et à la punition qu'elle avait engendrée. Je ne savais pas quelle seraient la réaction des collègues des autres bureaux s'ils entraient ici alors qu'il exposerait ses fesses nues fraîchement fessées.
Jusque-là c'était une histoire privée, entre lui et moi. Nous n'étions que deux au courant. Quoique, j'ai l'impression que Margot qui travaille dans le bureau d'à côté, se doute de quelques chose. Elle a fait quelques allusions au fait que la fessée était un remède efficace pour punir les grands garçons qui se comportaient ou qui travaillaient mal. Elle épiait nos réactions. Il a rougit et j'ai bredouillé quelques mots d'assentiment.
Je pense qu'elle en a tiré les conclusions que s'imposent, d'autant plus que, tu as pu le constater par toi-même, donner une fessée à ce jeune homme ne se fait pas particulièrement dans le silence. Le bruit de ma main sur ses fesses doit s'entendre à travers la cloison et les gémissements de douleur qui se transforment de temps en temps en cris étouffés doivent être bien reconnaissables.
J'ai donc décidé de la mettre systématiquement au coin, la culotte baissée, après une fessée. J'espère que tu feras pareil. Une bonne demi-heure, cela lui fera le plus grand bien. Tant pis si quelqu'un rentre dans le bureau pendant ce temps. Nous serons quittes pour lui expliquer ce qui se passe.
Si j'en crois la rumeur, ce n'est pas, ici, le seul bureau où des grands garçons arrogants et paresseux reçoivent une bonne fessée déculottée.
Qui est l'auteur de ce dessin ?
J'ai cherché, mais je n'ai pas trouvé. Je ne sais même plus d'où je l'ai copié. Si quelqu'un a une idée...
Cela ne nous empêche pas de le remercier pour nous avoir, involontairement, prêté son oeuvre.
Cela ne nous empêche pas de le remercier pour nous avoir, involontairement, prêté son oeuvre.
Quand les collègues prennent en main la discipline au travail...
Laisser un commentaire, un témoignage ? C'est ci-dessous !
N'hésitez pas à en faire un usage immodéré. Le commentaire ne s'use pas quand on s'en sert.
Bonjour JLG,
RépondreSupprimerConcernant l'auteur de ce dessin, j'hésite entre trois auteurs : Badfranz, Banjo et Otto ? Sans certitude.
Pas de signature ou pseudo reconnaissables. A suivre...
Amicalement Peter.
J'adore ce récit et j'aurais aimé qu'une collègue me donne de bonnes fesdsées déculottées comme à ce monsieur
RépondreSupprimer