Nous accueillons un nouvel auteur, Pierre, que nous allons retrouver pendant quelques semaines. Il nous conte l'histoire de Julien qui doit revenir chez sa mère...un peu autoritaire, mais c'est pour le bien de Julien.
Préambule :
Madame Lafitte est une femme très autoritaire,
et sévère, son fils Julien qu'elle a élevé seule d'une main de fer, désire
revenir habitait chez elle pour reprendre ses études qu'il a lâchement
abandonnées l'an dernier. Il ne supportait la discipline que sa mère lui
imposé. Après son bac à 18 ans il a quitté le domicile familial pour partir
vivre sa vie. Après un an de galère, il a supplié sa mère de le reprendre à la
maison. Cette dernière a accepté mais à la seule condition que son fils se plie
de nouveau à ses exigences et aux sanctions qui en découlaient en cas de négligences
ou désobéissances. Bien que cela n'enchante pas Julien, il n’a pas le choix et
s'est résolu à subir la vie que sa mère lui impose. A 19 ans, il est donc de
retour chez sa maman.
Valérie Lafitte avait donné rendez- vous à son
fils à 7 h en ce lundi 7 juillet. Elle lui avait laissé pour consignes de venir
sans rien, et de se débarrasser de ses affaires et de porter un short. A 7 h 00
précise, Julien se présente devant la porte de sa mère. Madame Laffitte
l'attend déjà en prenant un café, tranquillement assise dans le canapé du
salon. Elle est vêtue d'une robe légère et courte, blanche à fleurs bleues avec
un joli décolleté. Elle porte comme à son habitude des talons hauts. C'est une
femme toujours impeccable, qui dispose d'une autorité naturelle impressionnante.
Elle était toujours coiffée d'un chignon impeccable. Esthéticienne de
profession, elle vivait à côté de son propre institut. Julien sonne et sa mère lui ordonne de
rentrer
"Approches Julien, viens ici !"
De son index comme elle en a l'habitude, elle
lui montre l'endroit où il doit se tenir, devant elle. Direct, Julien ressent
la même appréhension qu'il avait quand il vivait ici et que sa mère le
convoquait ainsi. Timidement, il s'approche de l'endroit que lui désigne sa
génitrice. Les yeux baissés il lance un simple bonjour.
Madame Lafitte pose alors tranquillement sa
tasse de café et donne une claque sur la cuisse de son fils.
- "Et bien Julien tu as oublié le respect
et la politesse ?
- Pardon ! Bonjour maman corrige le jeune
homme en se frottant la cuisse. »
Il est surpris de la claque qu'il vient de se
prendre. Il n'avait pas le souvenir que sa mère est utilisait sa main pour le
frapper. De peur d'abimer sa toujours parfaite manucure, Valerie Lafitte avait
pour habitude d'utiliser toujours un instrument pour corriger son fils.
Madame Lafitte, se lève et toise son fils des
pieds à la tête.
« Retire-moi ces frusques sales et
horribles ! Ordonne - t -elle toujours d'un ton très calme. »
Elle n'haussait jamais le ton. Parlait
toujours d'une voix calme et posée. Elle n'avait jamais besoin de cela pour
marquer son autorité et même quand elle punissait son fils, elle ne laissait
jamais exploser une véritable colère.
Tout en parlant, elle se saisit de la fameuse
règle plate en plastique dur qui se trouve dans le tiroir du buffet du salon.
Julien s'exécute sans broncher mais deux
grands coups de règle le rappel à l'ordre. Madame Lafitte ne supporte que l'on
ne marque pas les règles de bienséances. Elle exigeait en marque de respect que
chaque ordre, demande etc., soit ponctuée par oui maman ou bien maman... Merci
maman, s'il vous plaît maman...
Julien le savait pertinemment. Mais stressé
comme il l'est à ce moment - là, il l'oublie.
Julien confus présente ses plus plates excuses
et a déjà les larmes aux yeux. Il se reprend un nouveau coup de règle sur la
cuisse.
« Retire - moi aussi ce boxer ridicule et
presses toi un peu je te prie. Je n'ai pas que cela à faire Julien ! »
Julien retient la leçon il obéit avec un
"Oui Maman"
Sa mère le toise à nouveau, elle lui relève le
menton à l'aide de la règle
« Et c'est quoi cette tignasse, grasse et
crasseuse, hein ... Tu me fais honte... Tu as honte j'espère... Laisses tes
frustes dégoutantes ici, et vas chercher un sac poubelle sous l'évier de la
cuisine. »
A son retour avec le sac, Julien a le réflexe
de cacher ses parties intimes, ce qui a le don d'agacer sa mère
« Bon Julien tu sais très bien que tu
n'as rien à me cacher. Cela fait à peine dix minutes que tu es rentré et tu
enchaines les désobéissances et le non -
respect des règles de cette maison. Tu as gagné, c'est la fessée dit-elle
en s'approchant de son fils. »
Elle n’a aucun mal, à courber Julien sous bras
malgré une tentative de résistance de ce dernier.
« Veux-tu te laisser faire ! Ou tu préfères
la grosse correction ? »
Julien est obligé de se soumettre à sa
mère. Une pluie de coups de règle tombe
sur ses fesses et ses cuisses. Bien que brève, cette première « petite fessée
» entraine déjà des larmes le long de ses joues.
« Maintenant vas ramasser tes affaires,
mets les dans le sac et va le jeter au local poubelle. »
Ce petit recadrage eut le mérite de remettre
Julien dans le droit chemin, il répondit "oui maman" et obéit
promptement en se dirigeant nu comme un ver dans le local. "Le local
poubelle est une pièce qui communique avec l'institut de sa mère. A son retour,
il retrouve sa mère au téléphone. Comme un bon petit garçon et comme sa maman
l'exige quand il doit attendre, il se place debout les mains dans le dos devant
sa mère.
« Bonjour Alexia, c'est Valérie Lafitte.
Je serai en retard ce matin. Vous ouvrirez l'institut et vous vous occuperez de
madame Ledoux. Vous direz à Sandra de s'occuper de madame Verron et vous
m'excuserez auprès de madame Giroux en la faisant patienter jusqu'à mon
arrivée. Ne prévoyez rien pour vous après, réservez - vous un rendez - vous à part.
C'est bien compris ?... Parfait à tout à l'heure »
« Bon à nous deux maintenant, il est
temps de te rendre plus présentable et surtout plus propre allez hop direction
salle de bain jeune homme. Je pensais que maintenant tu étais assez grand et
raisonnable pour te doucher toi - même, mais je suis bien obligé de constater
que tu n'as pas du tout changé, tu as même empiré vu ton hygiène déplorable.
Saches que même si cela ne m'enchante pas de devoir te laver moi - même, cela
ne me dérange pas le moins du monde.
Je vois que tu n'as pas perdu toutes les
bonnes habitudes déclare Madame Lafitte en voyant son fils prendre place à
genoux les mains dans le dos dans la baignoire d'angle de la salle de bain. »
Elle règle l'eau et lave ensuite les cheveux
de Julien. Bien qu'il en ait perdu l'habitude, le jeune garçon se laisse faire
mais retrouve aussi vite la honte d'être traité ainsi. Après l'avoir rincé,
elle mouille le gant. Elle l'enduit de savon liquide et commence à le laver.
D'abord le visage. Sans prendre pas la peine d'éviter ses yeux. Elle frotte
derrière les oreilles, descend dans le cou, son torse puis dos et mes bras.
Elle insiste bien partout surtout sous les aisselles.
« Allez debout. »
Elle lui frotte les cuisses et les jambes.
« Ecarte tes jambes ordonne - t- elle
pour lui savonner le sexe. »
Elle le décalotte et insiste avec le gant,
Julien ne peut alors contrôler une érection ce qui a le don de fâcher sa maman.
« Non mais attend c'est quoi ça? Tu te
prends pour un homme ? Je vais te calmer moi. »
Elle pose le gant de toilette et va chercher
une grosse brosse à cheveux. Elle met Julien de profil. Avec le dos, tenant
julien par le bras elle le corrige en lui administrant dix claques sur chaque
fesse malgré les cris de son fils.
Le sexe de Julien étant redevenu normal,
madame Lafitte reprit sa toilette là où elle l'avait interrompue. Elle put
enfin laver ses parties intimes parfaitement.
« Penche toi en avant que je lave bien
tes fesses. Elle n'hésite pas à rentrer le gant dans sa raie. Mets-toi assis,
tends - moi ton pied, allez l'autre ... Remets - toi à genoux. Elle le rince.
Ensuite elle prend la serviette, et l'essuie avant de le faire sortir.
Bien on va maintenant s'occuper de cette
tignasse mets-toi à genoux. »
Valérie Lafitte se saisit d'une tondeuse
qu'elle branche. Elle installe un sabot de 3 mm et commence à tondre son fils.
« Voilà qui est plus net... Enfile - moi
ce peignoir et nettoie - moi tous ces
cheveux. Si tu laisses traîner un seul cheveu je te promets une véritable
correction. »
Julien s'exécuta immédiatement et
parfaitement. Pendant ce temps, sa mère réajusta sa coiffure et sa tenue
Maintenant direction l'institut Julien, Madame
Lafitte emmène son fils dans sa boutique en peignoir. Arrivé dans le magasin
elle le confie à son employée Alexia à qui elle ordonne de l'épiler totalement
« Alexia vous ne lui laisser aucun poil
nulle part ! »
Une heure plus tard, le travail terminé madame
Lafitte fait rentrer son fils à la maison. Allez il est temps de
t'habiller. Elle inspecte avec
satisfaction le travail d'Alexia et fait enfiler à son fils un slip, une
chemisette à carreaux et un short bleu marine
Deux heures trente après son retour chez sa
mère, si Julien n'a pas encore reçu une véritable correction, ses fesses ont
déjà été un peu rougies mais surtout il a retrouvé l'allure juvénile et
parfaite que sa mère lui a toujours imposée.
Et bien, attendons la suite.
le chapitre 2
Que cela ne vous empêche pas de déposer un commentaire
Pierre se lance dans l'écriture, il a besoin de savoir ce que vous en pensez.
Vous pouvez également le contacter directement : Pierre
Bonjour Pierre,
RépondreSupprimerBienvenue dans notre cercle des passionnés de la fessée (rires).
Eh bien, voilà un récit qui commence sur les chapeaux de roues.
Après une année d'indépendance, le retour au bercail maternel semble difficile pour Julien. Reprendre les bonnes habitudes de politesse et d'obéissance quant on a été livré à soi-même...
Alors, bonne chance pour la suite. Amicalement. Peter.
Bonjour Pierre
RépondreSupprimerCe récit commence bien
Demander à revenir chez sa mère.....alors qu' il était parti pour éviter la,discipline maternelle....Julien doit savoir ce qui l attend
..
Manifestement sa maman est une adepte dexla culotte courte ou du short. il va rester en short et cuisses nues ???? Chez sa mere et dehors ??
Amicalement
RépondreSupprimerXav
Bonjour Pierre.
RépondreSupprimerAh la bonne nouvelle ! Bienvenu au petit nouveau !!
Comme On aime ces belles femmes autoritaires, ces mamans strictes et sévères, prompte à dégainer les fessées comme argument éducatif bien claquant.
Le retour du fils, pas si prodigue que ça, se révèle d'emblée sous le signe de l'obéissance absolue et du respect de l'autorité maternelle. Maman à la main de fer n'y va pas par quatre chemins et retrouve très vite celui des fesses de son grand garçon aux vilaines manières.
Et ça ne traîne pas! Recadrage en règle ( en plastique) fessée à l'appui en préambule à toutes celles qui vont suivre.
Et ça promet... Le port du short obligatoire annonce des cuisses bien exposées et tout aussi retentissantes que les fesses du jeune homme. On attend les prochaines fessées et la grosse correction avec intérêt.
Les dialogues bien fournis rendent le récit très vivant et soulignent le rapport d'autorité entre la mère et le fils. On sent bien que ses fesses n'ont pas fini de claquer sous l'autorité de maman! ... Pour le plaisir du lecteur.
Cordialement
Ramina
Bonjour Pierre,
RépondreSupprimerEn accord avec les autres commentaires. Bon début d'histoire. J'ai apprécié le fait que Mme LAFITTE fasse entièrement épiler son fils, histoire de le rabaisser et de ramener au stade de petit garçon. Le fait qu'elle le lave en atteste. Pour la fessée, il en sera de même, je présume. Julien va payer bien cher son retour chez Maman, pour son plus grand bien, d'ailleurs.
Nous attendons la suite.
Salutations.
Elena.
Je vous remercie. JLG à déjà quelques chapitres en stock et je poursuit l'écriture ... A bientôt
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