Le bruit des talons qui claquent sur le
carrelage puis dans la montée d'escaliers surprend Julien qui est en train de
rêvasser sur son lit. Avant de partir, sa mère lui a laissé pour consigne de
faire son lit au carré et de ranger sa chambre pour qu'elle retrouve l'aspect
d'avant son départ. Julien avait bien fait son lit mais après il s'est accordé
une pause qui dure depuis un peu trop longtemps. Pris de panique, il se lève en
vitesse et tente de faire le rangement demandé ou du moins il fait semblant de
s'activer.
"Tu n'as pas encore terminé ? Tu te moques de
moi Julien ?"
Valérie s'approche de son fils et le saisit
par l'oreille. Tu étais en train de rêvasser sur ton lit dit-elle. Ne me mens
pas il est tout chiffonné... A moins que tu n'aies sorti les draps et la
couverture de la gueule d'une vache ?
Julien ne peut nier l'évidence. Sa mère
l'oblige à la suivre en le tirant par l'oreille avec une forte pression qu'elle
exerce sur l'oreille. Le visage grimaçant, le jeune garçon n'a pas d'autre
choix que d’obtempérer. Elle l’entraîne dans sa propre chambre pour récupérer
la ceinture qui est rangée dans sa commode puis elle ramène Julien dans sa
chambre et s'assoit sur le lit. Elle pose la ceinture à côté d'elle. Elle lâche
enfin l'oreille de son fils et lui déboutonne son short et défait sa fermeture
éclair ce qui fait immédiatement tomber le short au pied de julien. Puis elle
glisse ses doigts sous l'élastique du slip de Julien et lui fait rejoindre le
short.
Mon garçon tu sais que l'oisiveté et la
paresse n'ont guère de place dans cette maison. Je vais donc devoir
t'administrer la correction que tu mérites. A genoux, dépêche-toi !
Julien sait très bien qu'il ne peut échapper
au châtiment qui l'attend. Il sait que s’il vient à se rebeller, la punition
sera encore plus sévère. Il se soumet donc sans broncher à sa mère et la laisse
faire à sa guise avec la peur au ventre.
Elle relève son fils, et le couche sur la
largeur du lit à côté d'elle sur le lit. Le torse sur le matelas, la tête face
au mur et les pieds par terre. Elle le maintient solidement en exerçant une
pression solide sur son dos, les pieds étant empêtré par ses vêtements. Elle
relève le pan de sa chemise et commence à lui fouetter les cuisses et les
fesses énergiquement
Voilà ce que méritent les paresseux dans ton
genre julien.
Sa mère n'a pas perdu la main et laisse de
belles traces sur les fesses et les cuisses. Julien dans un premier temps hurle
de douleur mais très vite ses cris sont suivis par des pleurs et des
supplications dont sa mère n'a que faire.
Valérie Lafitte n'a pas pour habitude de se
laisser attendrir. Elle est stricte et sévère et donne toujours la correction
qu'elle estime méritée. Les plaintes et sanglots de son fils la laisse de
marbre et elle continue d'appliquer la punition jusqu'à ce qu'elle estime que
la leçon soit retenue.
Après une soixantaine de coup, Julien est bien
marqué et pleure à chaudes larmes. Sa mère le relève et lui reprend l'oreille
pour le faire descendre au salon.
"Maintenant mon petit chéri, puisque tu aimes
ne rien faire, tu vas aller réfléchir au coin. Tu vas pouvoir méditer sur le
fait que la flemmardise coûte cher."
Arrivée dans le salon, Valérie place son fils
dans le coin près de la fenêtre. Elle lui colle le nez au mur.
Tu restes ici sans bouger, tu te tiens droit,
le nez collé au mur et tu laisses tes mains dans le dos et tu tiens ta chemise,
qu'elle ne tombe pas ! Je veux pouvoir admirer tes fesses !
Elle se saisit de la règle se place à côté de
lui et lui donne encore trois claques.
« Et en silence, tu as le droit de
pleurer mais je ne veux pas t'entendre ! »
Elle prononce cette phrase prenant un mouchoir
en papier avec lequel elle mouche son fils.
« Souffle ! »
Julien s'exécute et tente ensuite de maîtriser ses sanglots. D'où il est placé Julien ne peut rien voir, même pas ce qui se
passe à la fenêtre, en revanche les passant peuvent deviner une ombre et il
aisé de supposer que quelqu'un est puni au piquet.
Dans un premier temps Julien n'y pense pas. Il
est trop occupé par les chaleurs et la douleur que dégagent ses fesses et ses
cuisses. Il essaie de rester concentré pour ne pas bouger. Il sait très bien ce qu’entraînerait une nouvelle désobéissance de sa part.
Sa mère s'est installée à son bureau pour
effectuer des tâches administratives. De sa place elle peut surveiller
facilement son fils depuis son endroit de pénitence. Alors que la cuisson et la
souffrance s'estompent légèrement, on sonne à la porte. Elle se lève pour aller
ouvrir. C'est Alexia son employée qui se présente à l'entrée.
« Excusez - moi de vous déranger madame Lafitte, je viens
chercher des rouleaux pour l'appareil de carte bancaire.
- Entrez Alexia, je vous en prie. Je vais vous
donner ça toute suite. »
La jeune femme pénètre un peu plus loin dans
le salon et en tournant la tête, découvre Julien dans son coin.
« Oh pardon je ... Heu... désolée
- Ne vous inquiétez pas Alexia, ce n'est que
mon fils qui a cru que paresser était permis dans cette maison. J'ai dû lui
apprendre que je ne tolérais pas ce genre de comportement. Il médite maintenant
sur son sort. »
La jeune femme est surprise tandis que honteux
Julien se serre contre le mur comme s'il voulait passer à travers pour
disparaître. Il sent ses joues rougir et sent d'une grosse chaleur s’emparer de
lui. Tout à l'heure il avait déjà ressenti une forte humiliation quand
l'employée de sa mère l'avait totalement épilé mais là, la honte était encore
plus présente.
« Alexia je ne pourrai être présente
cette après-midi ni durant les deux jours suivant. J'ai fort à faire avec ce
jeune garnement, je vous fais confiance et si besoin vous pouvez toujours me
contacter sur mon téléphone portable.
- Bien Madame, je ne vais pas vous déranger
plus longtemps, Au revoir Madame. »
Madame Lafitte, raccompagne son employée et se
remet au travail en vérifiant que son fils continue de respecter les règles de
pénitence.
Julien commence à trouver le temps long dans
son coin. Il ne sait pas que cela fait déjà plus d'une heure qu'il réfléchit
dans son coin. Il 'efforce de rester immobile, regrettant amèrement son
attitude. Il se demande s’il a bien fait de revenir chez sa génitrice mais il
sait très bien qu'il n'avait pas d'autre choix. Pendant ce temps, sa mère
s'active maintenant dans la cuisine pour préparer le déjeuner. Après encore une
demi-heure, elle va s'asseoir dans le canapé et appelle son garçon.
« Julien approche je te prie. »
Julien quitte son piquet s'avance vers sa mère
les pieds toujours empêtrés dans son short et son slip.
« Julien je t'écoute déclare Valérie
Lafitte
- Maman je vous présente mes excuses et vous
remercie d'avoir pris le temps de me punir ma conduite déplorable. »
Julien se souvient parfaitement de ce qu'attend
sa mère à ce moment précis. Elle a toujours exigé que son fils présente
humblement pardons et la remercie de l'avoir puni. Satisfaite, elle reculotte
son fils en prenant soin d'ajuster la chemise dans son slip.
« Bien maintenant vas mettre la table,
nous allons déjeuner. Après la vaisselle tu iras donc ranger ta chambre et tu
copieras 300 fois « je dois toujours faire mes corvées en temps et en
heure et ne plus être oisif dans la journée.
- Oui maman. »
Julien se doutait bien que sa punition n'était
pas encore terminée et il n'était pas surpris par la sanction que sa mère
venait d'ajouter à son égard
Le repas, était un moment que Julien redoutait
particulièrement. Il y avait été souvent corrigé pour sa mauvaise tenue ou
parce qu'il ne parvenait à manger tel ou tel aliment ou encore à finir son
assiette. Cette fois-ci, le déjeuner se déroule sans encombre. En revanche les
informations que lui donne sa mère ne l'enchantent guère.
« Tu feras ton BTS comme interne à Sainte
Marie Julien, les sœurs sauront te mener jusqu' à ton DCG avec l'exigence et la
fermeté dont tu as besoin. »
Julien osa un timide
"Oh non maman s'il vous plait"
Mais la réponse cinglante de sa mère calme
rapidement ses ardeurs.
"C'est moi qui décide ! D'où tu te
permets de contester mes décisions ? Tu veux que je te fesse pour t'expliquer
que je suis la seule à décider et que je n'ai pas besoin de ton avis ? »
Pendant que Julien réalisait sa punition
scripturale, sa mère s'active au téléphone. Elle lui réserve pour demain un
rendez-vous chez la pédiatre, chez la dentiste et il comprend qu'une journée
shoping est également prévue et qu'ils déjeuneront dans une brasserie de la
ville avec deux de ses amies.
Le reste de la journée se poursuit sans souci
jusqu'au moment où après le dîner Madame Lafitte demande à son fils de venir se
préparer pour le coucher.
Après une rapide toilette, elle lui brosse les
dents puis avant de lui mettre son pyjama elle veut lui enfiler une couche
culotte. C’en est trop Julien qui tente de se rebeller.
« Non Maman, s'il vous plaît, je ne veux
pas. J'en ai pas besoin, s'il vous plaît, vous le savez, je n'ai pas besoin de
ça.
- Non, mais ça ne va pas Julien ? Tu te prends
pour qui. Je sais très bien que tu te relèves pour aller uriner quasiment
toutes les nuits. Tu seras enfermé à clé dans ta chambre. Il est hors de
question que tu me réveilles en te rendant aux WC la nuit. Par conséquent tu
porteras des DryNites que ça te plaise ou non !
- Non, maman je suis assez grand je ne veux
pas !
– Bon ça suffit déclare Valérie ! »
Elle attrape son fils par le bras et sa brosse
de l'autre main. Elle emmène Julien dans sa chambre, elle s'assoit sur le lit
et le couche sur ses genoux. Il tente de se protéger mais sa mère agit avec une
telle énergie qu'il doit vite abdiquer.
« Tiens-toi tranquille, tu vas comprendre
que je n'ai que faire de tes caprices. Quand je prends une décision, j'attends
que tu t'y soumettes sans discussions. Tu porteras des couches culottes toutes
les nuits et si tu continues à discuter mes ordres tu en porteras aussi la
journée est - ce clair ? »
Elle appliqua une trentaine de fois la brosse
sur les fesses de Julien, ce qui ravive et accentue la douleur de la correction
du matin. Julien fini en larmes et le voilà bien obligé d'enfiler sa DryNite et
son pyjama
Il est trop tard pour que tu ailles au coin ce
soir. Je tiens à ce que tu sois couché à 20 heures dorénavant. Mais sache que
demain matin tu recevras une correction pour m'avoir empêchée de te corriger et
tu passeras un certain temps au piquet avant que nous allions chez le médecin.
Et maintenant au lit.
Elle couche son fils ferme les volets et
éteint la lumière. C'est en pleurs dans son lit que Julien termine cette
première journée de retour chez sa mère. Il sait que si ce n'est pas la
première fois, il se doute que ce ne sera pas la dernière.
Eh là, ne perdons pas le fil de l'histoire !
Le début : le chapitre 1
Et bien, attendons la suite.
le chapitre 3Que cela ne vous empêche pas de déposer un commentaire
Pierre se lance dans l'écriture, il a besoin de savoir ce que vous en pensez.
Vous pouvez également le contacter directement : Pierre
Bonjour à tous,
RépondreSupprimerLes talons aiguille qui claquent sèchement sur la carrelage annoncent l'arrivée de la fessée. Maman gravit les escaliers et monte tranquillement vers le derrière qu'elle a décidé de corriger...
Oula la, le suspense augmente avec la même intensité que la cuisson d'un derrière sous une fessée. Moment poignant que celui qui précède la déculottée.
Valérie Lafitte, en mère soucieuse de la bonne éducation de son grand garçon, ne lui passe rien. L'oisiveté étant, paraît il, la mère de tous les vices elle se charge d'en corriger le paresseux à grand coups de ceinture. La fessée active la circulation du sang et stimule l'émergence des bonnes résolutions.
Le récit est rondement mené. Julien prend très vite conscience du pic de chaleur qui sévit sur la surface de ses fesses. Pendant le séjour au coin, on s'attend à ce que Alexia, la visiteuse de l'après midi, soit invitée à lui en mettre une autre, mais... fausse alerte. Ce sera pour une prochaine fois. (?)
Marque de respect oblige après la déculottée, soumission et reconnaissance de l'efficacité de la punition. On remercie humblement maman pour la bonne fessée qu'on a reçue, et on fait ses trois cents lignes avant de s'en prendre une nouvelle ( fessée bien sûr, pas une ligne ) pour réticence à la couche culotte! Certainement efficace pour protéger le matelas des fuites nocturnes, mais beaucoup moins pour un déculottage en règle avant d'administrer la fessée promise pour le lendemain matin.
Mais c'est maman qui décide! De toute évidence, fessée promise, fessée due, ça ne devrait pas l'empêcher de lui en flanquer encore une sévère.
Cordialement
Ramina
Bonjour Pierre,
RépondreSupprimerBelle suite. Avoir une couche à plus de dix-huit ans est particulièrement vexant. Valérie ramène son fils au stade d'enfant. Celui-ci devra faire attention pour ne pas provoquer le courroux de sa mère qui ne lui passera rien et le fessera au moindre écart de conduite.
Ca promet une belle suite.
Merci.
Elena.