mercredi 7 août 2019

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 7

« Assieds-toi sur la chaise à l’extérieur du bureau. Tu vas y attendre ta sœur. Elle m’a prévenu qu’elle aurait un peu de retard. Etant donné que vous devez effectuer des achats, je vous dispense de votre retenue pour ce soir. »
Maeva prit place là où Madame André le lui avait ordonné. Les ordres de la cheffe de magasin ne se discutaient pas, sauf si vous vouliez prendre le risque de se retrouver en travers de ses genoux, la culotte baissée.
La journée s’était plutôt bien passée. Maeva n’avait pas eu de fessée. Elle avait été attentive à son travail comme jamais auparavant. Elle en avait reçu les félicitations de sa cheffe de rayon. C’était la première fois cela lui arrivait, elle en était très fière. Teva le serait également quand elle le lui dirait. Elle avait hâte de retrouver sa sœur. Elle avait mille petites choses à lui raconter.

Pourtant, quand, en arrivant ce matin, elle avait présenté, à Madame André, la lettre signée par sa sœur, elle n’en menait pas large. Madame André lui fit savoir sa satisfaction que ses recommandations avaient été suivies, mais elle avait voulu en savoir plus. La menace d’une fessée avait eu raison des pudeurs de Maeva à propos des punitions reçues. Plutôt que de prendre le risque de mentir et d’en subir les éventuelles conséquences, Maeva s’était confessée.
Madame André avait approuvé les mesures prises par Teva, mais elle avait voulu constater, par elle-même les effets de la ceinture sur ses fesses. Elle avait promptement déculotté Maeva qui n’avait pas osé protester et elle l’avait allongée sur ses genoux. Le bas de la robe relevé lui avait permis d’examiner les fesses de son employée. Elle avait alors décroché son téléphone.
« Madame Le Brun ? … »
C’était la cheffe du rayon dans lequel travaillait Maeva.
« … Pouvez-vous me consacrer quelques minutes le plus rapidement possible. … C’est parfait. Je vous attends. »
Elle revint à Maeva.
« Relevez-vous, jeune fille. »
Maeva s’était remise sur ses pieds, mais elle avait été arrêtée quand elle avait voulu remonter sa culotte.
« Non, pas maintenant. Je veux montrer vos fesses à votre cheffe de rayon. »
Maeva dut attendre l’arrivée de sa cheffe de rayon, culotte baissée. Elle ne pouvait pas vraiment en juger elle-même, mais elle se doutait que son sous vêtement dépassait sous le bas de sa robe, ce qui lui donnait l’impression d’être quasi nue dans un lieu où le défilé de personnes diverses et variées ne cessait pas, à cette heure de remise en route du magasin. Tout le monde avait besoin d’un avis de Madame André.
L’arrivée de Madame Le Brun ne fit qu’empirer la situation. En quelques phrases courtes, Madame André expliqua la situation à la nouvelle arrivante.
« Maeva, allez montrer vos fesses à Madame Le Brun. »
Maeva fit une grimace qu’elle espérait discrète, mais elle s’avança vers sa supérieure. Elle ne savait pas trop comment elle devait s’y prendre pour exécuter l’ordre de Madame André. Heureusement, Madame Le Brun prit les devants. Elle la prit par la main et elle la courba sous son bras. Puis, elle retroussa la robe, dévoilant les fesses de Maeva.
« Oh oh, fit-elle, voilà une fessée qui a dû être cuisante ! »
Elle posa sa main sur les fesses de Maeva qui laissa échapper un gémissement et tenta de se dérober, ce qui était impossible.
« Soyez sage, Maeva, gronda Madame Le Brun. »
Entre son pouce et son index, elle tentait de se faire une idée de la profondeur à laquelle s’étendaient les bleus sur les fesses de Maeva.
« Est-ce avec une ceinture ou une règle que vous avez été fessée ?
– Une ceinture, Madame,
– Qui vous a donné cette fessée ?
– Ma sœur, Madame.
– Et qu’aviez-vous fait pour mériter une telle correction ? »
Maeva dut raconter par le menu ses turpitudes, mais elle garda sous silence l’épisode du bain et la fessée de Fara qui en avait découlé. Les deux femmes qui l’écoutaient arrivèrent à la conclusion qu’elles en auraient fait autant.
« Je pense, dit Madame André, que notre petite Maeva a besoin que ses fesses soient soignées. Sa sœur les a pommadées ce matin, mais deux fois par jour, c’est insuffisant. Il faudrait lui passer du produit reconstituant plus souvent. Voulez-vous vous en charger ? »
Madame Le Brun aimait rendre service. Elle accepta donc avec enthousiasme.
« Que dites-vous de le faire à chaque pause de notre jeune fille désobéissante ?
– Cela me paraîtrait bien. Vous me direz si notre Maeva fait quelques difficultés.
– Il n’y a aucune raison. Si c’était le cas, il y a encore un peu de place sur le haut des cuisses pour lui donner la fessée, mais ce ne sera pas nécessaire, n’est-ce pas, Maeva ?
– Oh non, Madame ! »

Ce qui fut dit, fut fait. Contrairement aux autres jours, ce ne fut pas Maeva qui réclama ses pauses. Sa cheffe de rayon fut obligée de lui rappeler qu’il était temps de souffler un peu. En milieu de matinée, elle l’emmena dans la pièce qui était derrière le rayon charcuterie. Elle y avait préparé une chaise. Maeva, couchée sur ses genoux reçut une généreuse portion de pommade que Madame Le Brun prit le temps d’étaler. Cela se passa discrètement. Personne d’autre que la cheffe du rayon n’aperçut les fesses de Maeva. C’est juste à la fin du massage que se produisit l’incident qui rappela à Maeva qu’ici aussi, on la considérait comme une petite fille.
« Je ne peux pas te remonter la culotte. J’y mettrais de la pommade partout. »
Elle réfléchit un court instant, puis elle se décida.
« Tu vas retourner travailler sans culotte, le temps que la pommade sèche. Je te la remettrai plus tard. »
Sensation désagréable de se savoir sans culotte sous sa robe. Bien que toutes les personnes de son entourage l’ignorassent, elle avait l’impression que tous la regardaient comme s’ils étaient au courant. C’était comme si elle se promenait cul nu au milieu de toutes ces personnes habillées.
Ce n’est que bien plus tard dans la matinée, que Madame Le Brun trouva le temps de lui remettre sa culotte. Cela se passa en présence de deux collègues qui passaient par là et que la situation sembla embarrasser tout autant que Maeva. Madame Le Brun, en lui relevant la robe, vérifia si la pommade avait effectivement séché sur mes  fesses, puis elle  remit elle-même la culotte et elle la rajusta.
Le midi, cela se passa dans la salle de déjeuner alors que la moitié des employés du magasin y prenaient leur pause méridienne. Maeva tentait de se persuader que ce n’était pas très différent du déculottage qu'elle avait subi au même moment et dans le même lieu, la veille, et qui s’était achevé par une fessée. La correction qu'elle avait alors reçue avait accaparé toute son attention, faisant passer sa tenue au second plan. Le soin porté à ses fesses, au contraire mettait en évidence qu’elles étaient nues.
Madame Le Brun lui avait alors publiquement annoncé qu'elle passerait le début de l’après-midi, sans culotte, pour les mêmes raisons que celles de ce matin. Maeva avait été alors certaine que tout le magasin était au courant et elle ne pouvait croiser un collègue sans lire au fond de ses yeux la gêne qu'elle ressentait. Quand Madame Le Brun la rhabilla dans le sas juste derrière le rayon, cela n’avait pas étonné les collègues qui passèrent à ce moment-là.
La séquence s’était reproduite presqu’à l’identique au milieu de l’après-midi. Presque, parce que Sonia, sa plus proche collègue, y avait participé. Madame Le Brun les avait emmenées toutes les deux dans la pièce attenante au rayon charcuterie dans lequel elles travaillaient toutes les deux. Sonia avait reçu une fessée et elle patientait au coin pendant que Madame Le Brun passait de la pommade sur les fesses de Maeva. Il y avait eu plusieurs personnes à traverser la pièce, sans que cela suscitât de commentaires particuliers, sauf l’approbation de Madame André qui pointa son nez à ce moment-là. 
Puis, sa culotte ne lui avait pas été rendue. Elle s’était faite gronder quand elle l’avait réclamée à Madame Le Brun. Elle n’avait pas insisté. Il faudrait juste expliquer à Teva l’absence de sous-vêtement, sans qu’elle en conclut qu'elle avait reçu une fessée. Madame André la tira de cette ambiguïté.

Teva arriva et s’excusa de son retard, auprès de Madame André.
« Un souci professionnel à régler en urgence. Et bien entendu il arrive un quart d’heure avant de partir. C’est toujours comme cela. Je vous remercie d’avoir gardé Maeva. A-t-elle été sage ?
– Aucun problème ! S’il en avait été autrement, elle sait ce qui lui serait arrivé, n’est-ce pas Maeva ?
– Oui Madame.
– Sans doute, poursuivit Teva en souriant, la même chose qu’à la maison.
– A ce sujet, nous avons pris la liberté d’effectuer quelques soins sur les fesses de Maeva. Viens nous montrer Maeva. »
Avec le naturel confondant qui gênait tant Maeva, Madame André la courba sous son bras, puis elle releva l’arrière de sa robe, dévoilant ses fesses nues. Elle toucha la peau de ses fesses pour en montrer l’élasticité. Cela se faisait devant le bureau de Madame André. Il y avait un passage incessant.
Maeva, sans qu’elle ne puisse rien y faire, était mortifiée qu’on puisse exposer, encore une fois, ses fesses nues dans un lieu public alors qu'elle pensait en avoir fini avec ces exhibitions. Ni Madame André, ni Teva ne semblaient trouver cela choquant. Madame Le Brun ne s’était pas comportée autrement. Elles traitaient Maeva comme si elle était trop petite pour ressentir les affres de la pudeur bafouées. Six ans, avait dit Teva. C’était cela. Une petite fille de six ans dont toute grande personne pouvait, pour son bien, examiner les fesses en tous lieux, et accessoirement lui donner une fessée si nécessaire.
– Nous lui avons ôté sa culotte, le temps que la pommade sèche. Il faut que je vous la rende. »
Madame André alla chercher le sous-vêtement dans son bureau.
« Voulez-vous que je la lui enfile ?
– Inutile, lui répondit Teva, nous allons de ce pas renouveler sa garde-robe. Les culottes font partie de ce que je veux changer, je les trouve trop affriolantes pour une petite fille de son âge. Les prochaines seront plus sages. Elle peut bien rester les fesses nues encore quelques minutes. »
Teva bouchonna la culotte dans son sac à main. Maeva n’était pas très rassurée par ce qui allait se passer quand elle la suivit.
Sur ce, zllzq prîrent congé, non sans les politesses d’usage que Teva surveilla étroitement en ce qui concernait Maeva.

Maeva ne se faisait pas trop d’illusion. Faire des courses au rayon vêtement sous l’autorité de Teva ne pouvait pas se dérouler conformément à ses rêves. Question fringues, sa sœur n’avait aucune imagination. Toute excentricité, même petite, l’effrayait. Maeva s’attendait donc à ressortit du magasin avec des vêtements fades et sans attrait. Mais elle ne s’était pas préparée à ce que Teva projetait.
La situation dérailla quand, en haut de l’escalier mécanique, Maeva prit à gauche pour rejoindre le rayon de l’habillement féminin.
« Maeva, la rappela Teva, c’est par ici. »
Elle montrait la direction opposée, vers la droite.
« Non, répondit Maeva, c’est par là, regarde, le rayon femme. Par là-bas, c’est pour les enfants. »
En même temps qu’elle le disait, elle se rendait compte que Teva ne faisait pas d’erreur. Elle avait l’intention de l’habiller au rayon enfant. Compte tenu de sa faible corpulence et de sa petite taille, c’était possible. Teva souhaitait non seulement la traiter comme une petite fille, mais elle voulait compléter le tableau en lui achetant des tenues de fillettes.
« Non, Teva, non, s'il te plait. Tu ne peux pas faire cela. Je ne me laisserai pas faire !
– Tu sais ce que je pense des désobéissances et des caprices. »
Teva parlait fort. Elle grondait Maeva comme elle l’aurait fait pour une petite fille, sans attention à qui pourrait entendre. Or, il y avait pas mal de monde qui passait et qui se retournait en entendant l’altercation. Teva y mit fin.
« Veux-tu une fessée, là, tout de suite, devant tout le monde ? »
La menace avait du poids. Maeva n’était pas certaine que Teva oserait la fesser en public, mais elle n’était pas certaine du contraire non plus. Elle décida de ne pas prendre un pari aussi risqué.
« Non Teva, je te demande pardon. J’arrive. »
En prononçant cette phrase, Maeva savait qu’elle renonçait à faire valoir ses prérogatives d’adulte qu’elle acceptait d’être un enfant et elle savait que les personnes autour d’elle entendaient ce renoncement. Certains se retournaient vers elle, une lueur d’interrogation dans les yeux. Quel âge avait réellement cette jeune fille habillée comme une adulte ? Elle ne semblait pas en avoir les attributions.
Comme pour le confirmer, Teva lui donna une claque sur les fesses quand elle arriva près de sa sœur. Elle la prit par la main pour l’emmener là où elle l’avait décidé. La claque de Teva ne lui avait fait aucun mal, physiquement. Il y avait suffisamment de couches de vêtement pour en absorber l’énergie. Psychologiquement, il en était tout autrement.
Les témoins de la scène avaient vu une petite fille, habillée de façon un peu excentrique, se faire recadrer par une grande personne, sans doute sa mère. La claque sur les fesses avait une signification explicite : la prochaine fois, ce sera la fessée. Elle n’avait pas soulevé de protestation, résultat de l’habitude et de la légitimité de l’une à l’exercer son autorité sur l’autre. Les interrogations des spectateurs étaient levées. C’était une Maman, tirant derrière elle sa grande fille un peu récalcitrante, qui s’éloignait vers le rayon des vêtements enfants.

« Bonjour Madame, je souhaiterais acheter à cette demoiselle des vêtements plus conformes à son âge, pouvez-vous me dire …
– Bien sûr, quel style souhaitez-vous ?
– Oh, quelque chose de très classique, voyez-vous : jupe plissée, chemisier au col bien fermé, … Avez-vous ce qu’il faut ?
– Bien entendu ! Suivez-moi ! »
Devant le rayon, la vendeuse leur faisait l’article. Le choix de Teva s’arrêta sur trois ou quatre modèles, très proches les uns des autres.
« Quelle taille ? »
La vendeuse examina Maeva des pieds à la tête, elle la fit pivoter devant elle.
« Du dix ans, je pense que ça ira très bien. Le plus simple c’est de l’essayer. Vous avez des cabines, là.
– J’aurais aussi besoin de sous-vêtements.
– Vous voulez dire des culottes, à son âge, vous ne lui mettez pas de soutien-gorge, je suppose. Il n’y a rien à tenir !
– Oui, bien sûr. Avez-vous des modèles en coton blanc, sans dentelles ou autres fioritures ?
– Sans problème. Mais vous ne pourrez pas les essayer. C’est interdit.
– Je comprends, mais la situation est un peu spéciale. Je reprends en main cette demoiselle qui s’est crue plus grande qu’elle ne l’est réellement. En complément d’une discipline stricte, je lui change complètement la façon dont elle s’habille. Porter des sous-vêtements de son âge, c’est important. Vous ne pourriez pas …
– Ne vous inquiétez pas, je vais arranger cela. Prenez la première cabine, elle est assez grande, vous y serez à l’aise. Je vous apporte tout cela. »

Teva avait tout juste fermé que rideau de la cabine d’essayage derrière elles, que la frustration accumulée de Maeva sorti en un flot incontrôlable.
« Tu ne peux pas faire ça, j’ai vingt-huit ans et non pas dix ! Tu n’as pas le droit. Je peux m’habiller comme je veux. Ce n’est pas à toi d’en décider.
– Ah oui ? J’ai l’impression que tu n’as pas compris ce que je fais. Cela fait plus de quinze ans que tu te comportes comme une gamine capricieuse et jamais personne ne s’est employé à te remettre en place. Par contre, dès qu’il y a un souci, il faut à chaque fois que ce soit les autres qui le résolvent, moi le plus souvent. »
Teva avait enlevé le manteau de Maeva et l’avait suspendu à une patère.
« C’est fini tout cela ! Puisque tu te comportes comme une petite fille, je te traiterai comme une petite fille. En tout point, y compris en ce qui concerne la façon dont tu t’habilles. Tu vas apprendre à obéir, à être sage, polie, à faire attention aux autres, à travailler consciencieusement. J’arrête là l’énumération, il y aurait tant de choses à dire. »
Maeva était statufiée. L’impuissance que Teva avait ressentie à cause de son comportement passé, s’était muée en une résolution ferme face à laquelle ses propres protestations semblaient bien faibles. Elle ne s’était jamais rendu compte combien les habitudes qu’elle avait prises, pesaient sur sa sœur. Cela ne faisait que renforcer ce que Teva venait de dire.
« Je ne te laisserai plus rien passer, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus rien à passer. Pour moi, ce n’est pas dix ans que tu as, mais six. Chaque écart que tu commettras se finira par une fessée. Par exemple, un caprice dans un magasin, cela mérite une correction. »
Teva courba Maeva sous son coude. Maeva ne se débattit pas. Elle savait, depuis la veille, que cela ne servait à rien. Sa sœur pouvait, sans difficulté en raison de leur différence de corpulence, lui imposer le châtiment qu’elle avait programmé. Maeva n’avait réussi, en cherchant à s’y opposer, qu’à gagner une fessée supplémentaire.
Maeva avait reçu plusieurs fois une fessée devant d’autres personnes, mais c’était dans un cadre qui lui était familier, que ce soit chez Teva ou à son travail. Dans un magasin, elle avait l’impression d’être dans un lieu public, à la vue de tous. Le rideau qui la séparait des clients qui déambulaient entre les rayons constituait une piètre protection et il ne permettait aucune intimité.
Quand Teva souleva sa robe, elle ne put retenir le réflexe consistant à protéger ses fesses mises à nu.
« Maeva, la main ! Tout de suite ! A moins que tu ne préfères que je te sorte de la cabine pour te donner la fessée ?
« Non, non, s'il te plait Teva ! »
La cabine d’essayage lui semblait, tout à coup, une protection sérieuse qu’il ne fallait pas abandonner. Le rideau s’ouvrit et la vendeuse s’arrêta sur le seuil. Elle eut une exclamation de surprise.
« Ne vous inquiétez pas, juste un caprice de cette demoiselle qu’il s’agit de faire passer. »
Teva asséna une dizaine de claques sur le haut des cuisses de Maeva. Elle épargnait encore les fesses qu’elle jugeait encore insuffisamment remises de la correction de la veille. Après le contact avec sa main, la peau de Maeva rougissait à vue d’œil et la jeune femme confirmait, par ses gémissements, l’efficacité de la punition.
« Cela ne va pas prendre longtemps. »
La fessée continuait. Maeva étouffait ses cris. Il ne s’agissait pas d’attirer la curiosité d’autres personnes. Maintenant que le rideau était ouvert, malgré la présence de la vendeuse qui obstruait la vue à l’intérieur de la cabine, personne ne se ferait d’illusion sur ce qui s’y déroulait.
« Elle n’est pas d’accord avec mes choix vestimentaires. Cela ne va pas durer. »
Effectivement, cela ne dura pas. Teva suspendit la fessée quand elle sentit Maeva prête à craquer.
« Es-tu prête à t’habiller comme je te le dirai ?
– Oui Teva, oui ! Je ferai ce que tu voudras ! »
Une bonne dizaine de claques vinrent achever la punition.
« Un seul accès de mauvaise humeur sur ce sujet et je recommence ! »
Teva ne laissa pas le temps à Maeva de souffler. Elle la remit debout, puis elle la positionna de dos devant elle. La fermeture éclair de la robe descendit, puis Teva la fit passer par-dessus la tête de Maeva. Celle-ci ne se rendit compte, un peu tard qu’elle n’avait plus que ses chaussettes pour lui couvrir le corps. Elle protégea son pubis d’une main et posa un bras en travers de sa poitrine, ce qui lui valut une claque sur le haut d’une cuisse.
« Sois sage et ne fait pas de comédie. Madame la vendeuse, ici présente, a déjà vu d’autres petites filles toutes nues. Ce n'est pas parce que tu as un peu de poils entre les jambes que cela change grand chose.»
Maeva fut cependant contente que Teva commence par lui passer une culotte. Elle se sentit mieux, d’autant plus que le rideau de la cabine, repoussé par la vendeuse, ne fermait pas complètement. Elle coopéra autant qu’elle le pouvait avec Teva pendant qu’elle l’habillait, devançant les gestes qu’il fallait faire. Maeva ne souffla réellement que quand la jupe fut mise en place. Elle avait retrouvé une tenue décente.
« Comme vous ne lui mettez pas de bas, j’ai pensé que des collants feraient l’affaire. Nous sommes en décembre, il fait un peu froid pour se promener jambes nues. »
Elle les présenta à Teva. C’était des collants pour petite fille, mais Teva trouva l’idée excellente.
Maeva se regarda dans le miroir en passant. On pouvait se demander si elle avait plus de dix ou douze ans. Elle se renfrogna. Teva avait obtenu gain de cause encore une fois.

Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose


Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
Et l'épisode précédent : le chapitre 6

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bien sûr, ce sera le chapitre 8.

Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.


6 commentaires:

  1. Bonjour à tous,
    Bon texte. J'ai particulièrement apprécié le fait que Maeva soit laissée les fesses nues sous la jupe, rendant la situation pénible à vivre. Psychologiquement, ça calme. La fautive a l'impression d'être les fesses à l'air, calmant, du même coup, ses ardeurs à recommencer ses bêtises et ses insolences.
    Salutations.
    Elena.

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    1. Elena,
      Les fesses nues sous la robe n'avaient pas pour but de rendre la situation pénible. C'était avant tout pratique pour ne pas y mettre de la pommade.
      Avec une petite fille comme Maeva, cela ne portait pas à conséquence. Ne pas avoir de culotte est chose courante. La difficulté de Maeva vient du fait qu'elle se croit encore une jeune femme alors que plus personne dans son entourage ne la considère ainsi. C'est donc elle qui s'est créé cette difficulté.
      Au plaisir de vous lire.

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  2. Bonsoir JLG,
    Oui, pour la robe, j'avais saisi, mais était une femme, je me vois bien dans cette situation, les fesses nues sur une jupe. Primo, on a toujours peur qu'un coup de vent soulève le tout et que tout soit révélé à tout le monde et secondo, on sent le frottement continu du tissu de la robe sur le bas ventre et sur les fesses, rappelant bien que l'on ne porte rien. Tout cela fait que la situation devient embarrassante, plus que "pénible", il est vrai.
    J'ajouterais un tertio, le fait que les fesses de Maeva soient meurtries fait que le frottement du tissu échauffe davantage et rappelle constamment la douleur.
    Amitiés.
    Elena.

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    1. Elena,
      Vous avez raison, pas simple comme situation.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  3. Bonjour JLG,

    J'aime particulièrement cette petite famille ! A développer en priorité s'il vous plait ;)
    En tout cas, Maeva n'est pas prête de rentrer chez elle ! A quand la fessée collective avec Moana ? Pour une grosse bêtise faite à deux par exemple...

    Bonne journée
    Jo

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    Réponses
    1. Bonjour Jo,
      Ne vous inquiétez pas pour la suite. Nous en avons pour un bon petit moment avec Maeva et sa famille.
      Pour ce qui est de la fessée avec Moana, j'ai peur de vous décevoir. Je ne suis pas un grand adepte de l'utilisation de la fessée pour les enfants. Par contre, je ne serai pas étonné si des fessées collectives trouvent bientôt leur place dans ce récit.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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