jeudi 29 août 2019

Mes premières fessées - chapitre 4

Elles nous tenaient, oui. La petite phrase d’Amélie suscitait en moi une multitude d’échos tandis que je faisais mes bagages. Elles me tenaient. Et je ne voyais vraiment pas comment je pourrais me dérober, s’il prenait fantaisie à cette madame Dubreuil et à cette madame Lançon d’exiger de moi que je revienne passer les prochaines vacances à Saint-Raphaël, Elles possédaient des preuves de ce que j’avais fait.

Elles avaient les bandes. Il leur suffirait de me menacer d’en faire usage et la messe serait dite. Je n’aurais plus qu’à venir me laisser tambouriner docilement le derrière. Est-ce qu’il était dans leurs intentions de vouloir jouer ainsi les prolongations ? Amélie en paraissait convaincue. Et Amélie devait très certainement être dans le secret des dieux. À moins qu’elle ne prenne ses désirs pour des réalités. De toute façon, quoi qu’il en soit, et connaissant ces deux femmes comme je commençais à les connaître, c’était une éventualité qui n’était absolument pas à exclure.
J’ai fini par hausser intérieurement les épaules, exaspéré. Oh, et puis zut ! Zut. Je n’allais pas me prendre la tête avec ça. Je partais. Je rentrais chez moi. Et j’en avais fini, pour le moment du moins, avec tout ça. Alors pas question de me gâcher l’existence avec des perspectives d’avenir aléatoires. Il s’écoulerait un an d’ici les prochaines vacances et, en un an, il pouvait se passer bien des choses.
J’ai bouclé mes sacs. Et je suis descendu.

C’est madame Dubreuil qui m’a accompagné à la gare. En voiture.
– Tu as réfléchi ?
J’ai froncé les sourcils.
– Réfléchi ? Réfléchi à quoi ?
– Tu as déjà oublié. Ce qui ne m’étonne pas de toi.
Elle a soupiré.
– Bien. Alors je répète. Tu es quelqu’un d’extrêmement influençable. Sur qui n’importe qui, pourvu qu’il soit déterminé, a immédiatement prise. C’est un défaut qui, si tu ne t’en corriges pas, t’amènera, au cours de ton existence, à commettre un nombre incalculable de sottises. Et te mettra en danger plus souvent qu’à ton tour. Il y a donc urgence à te défaire de ce mauvais penchant. Dès lors ma question est simple. Tu comptes t’y prendre comment pour y parvenir ?
Hein ? Mais j’en savais rien, moi. Jamais je ne m’étais posé la question.
– Évidemment ! Ce qui veut dire qu’une fois de plus il va falloir que je prenne les choses en mains. Bon. T’habites où ? Chez tes parents ?
Non. Non. C’était trop loin. J’étais en colocation. Avec un autre étudiant. Quentin, il s’appelait.
– Bien. Alors c’est fini, Quentin. Tu tires un trait dessus. Tu vas venir t’installer chez moi. Tu partageras la chambre de Philibert.
– Hein ? Mais…
– Et tu ne discutes pas. C’est non négociable. Et dans ton intérêt. Pas question de te laisser voguer au gré d’emprises auxquelles, livré à toi-même, tu serais absolument incapable de te soustraire. Il est donc absolument indispensable que je supervise, dans un premier temps, ce que tu fais, avec qui, comment et pourquoi. Dans un second, j’espère bien t’amener, si tout se passe comme je le souhaite, à affirmer et à imposer ce que tu es, indépendamment de toute influence extérieure. Mais ça…
Elle s’est garée devant la gare.
– Le temps que tu te retournes. Que tu rassembles tes affaires. Je t’attends sans faute jeudi soir prochain. On procédera à ton installation. Et un conseil : ne me fais pas faux bond.

Et moi qui m’étais imaginé disposer d’au moins un an de répit ! Ah ben, c’était gagné. J’ai ruminé pendant tout le trajet. Non, mais c’était juste pas possible. Elle n’allait tout de même pas gérer ma vie ! Décider de mes fréquentations, de mes sorties, prendre mes décisions à ma place !
Et m’infliger, quand elle l’estimerait justifié de son point de vue à elle, de retentissantes fessées. Parce qu’elle y aurait bien évidemment recours. J’avais beau retourner la question dans tous les sens, l’envisager sous tous les angles possibles et imaginables, j’en arrivais toujours à la même conclusion. J’allais devoir en passer par où elle l’avait décidé, faute de quoi… Il y avait, il y aurait toujours l’épée de Damoclès de cette nuit-là suspendue au-dessus de ma tête. Il fallait que j’en prenne une bonne fois pour toutes mon parti. Je l’ai pris. Bon gré, mal gré. J’irais habiter chez elle. Je n’avais pas d’autre solution.
Et j’ai essayé de voir le bon côté des choses : je vivrais sous le même toit que Philibert dont notre mésaventure m’avait rapproché. Nous étions embarqués dans la même galère tous les deux. Nous pourrions nous épauler et nous soutenir chaque fois que cela s’avérerait nécessaire.
Et puis… Et puis il y aurait Amélie. Elle avait beau s’être comportée de façon absolument odieuse avec moi, avoir pris manifestement du plaisir à me voir corrigé et humilié, elle m’attirait toujours autant et je ne pouvais m’empêcher d’espérer, en arrière-fond, qu’un jour ou l’autre le vent tournerait et qu’il pourrait se passer quelque chose entre nous. Même si je devais convenir, lorsque je me voulais lucide, que c’était très probablement chimérique.

Quentin, mon colocataire, a ouvert de grands yeux stupéfaits.
– Comment ça, tu pars ? Mais pour aller où ?
Pas question pour moi, bien évidemment, de lui confier ce dont il retournait vraiment. J’ai prétendu que la mère d’un ami m’avait très gentiment proposé de m’héberger. Ce qui présentait, à mes yeux, de multiples avantages. Ne serait-ce que sur le plan financier : je n’aurais plus de loyer à payer. Ce n’était pas négligeable. Il s’est rendu à mes arguments : ils étaient imparables. Un peu à contrecœur malgré tout. Ça ne l’arrangeait pas. Il allait devoir se trouver un autre colocataire. Avec tous les risques que cela comportait.

Et le fameux jeudi est arrivé.
– Bon, ben je vais y aller…
Mes bagages étaient prêts. J’étais passé et repassé un peu partout dans l’appartement pour être sûr de n’avoir rien oublié.
– Tu vas quand même pas partir comme ça !
Et il a sorti une bouteille de champagne qu’il avait mise au frais tout exprès pour l’occasion. On l’a vidée. En se promettant de rester en contact. Et en évoquant les bons moments passés ensemble. Volubiles, on a poursuivi sur notre lancée. À la vodka. Un verre poussant l’autre, j’ai rapidement perdu pied. Et gardé juste ce qu’il fallait de lucidité pour bredouiller, de temps à autre, un « Faudrait que j’y aille » empâté. Auquel Quentin répondait invariablement par un « T’as bien le temps… » qui se voulait rassurant.
J’ai un peu somnolé, failli glisser de ma chaise, me suis rattrapé de justesse. Ce qui m’a un peu redonné le sens des réalités. Non, cette fois il allait vraiment falloir que j’y aille, sinon elle allait pas apprécier, l’autre, mais alors là, pas du tout. Me lever m’a demandé un effort surhumain. Tituber vers mes bagages, pour les récupérer, aussi. J’ai jeté, au passage, un coup d’œil à la pendule. Deux heures du matin. De toute façon, maintenant il était trop tard. Pas question d’aller la réveiller, elle et toute la maison. Le canapé me tendait les bras. Je m’y suis laissé voluptueusement tomber.

C’est la voix de Quentin qui m’a réveillé. Il parlait avec quelqu’un sur le pas de la porte. Qu’est-ce qu’il fabriquait ? Il pouvait pas se taire ? J’avais sommeil. Non, mais comment j’avais sommeil ! Ça s’est rapproché. Tout près. Et l’ordre a brusquement sèchement claqué.
– Debout, toi ! Et que ça saute !
Cette voix, c’était… Elle. Madame Dubreuil.
Je me suis levé d’un bond.
– Non, mais dans quel état tu t’es mis ! Regarde-moi ça ! Et tu pues l’alcool à plein nez. Ah ben, bravo ! Bravo ! Ça promet. Je vais avoir sacrément du pain sur la planche, moi ! Et t’as pas oublié quelque chose ?
– Non. Si ! C’est-à-dire… C’est pas que j’avais oublié…
– C’est que t’as préféré rester te saouler la gueule avec ton petit camarade. Bon, eh bien on va commencer par te remettre la tête à l’endroit. Descends ton pantalon !
Hein ! Mais elle allait tout de même pas me faire ça là, ici, devant Quentin. J’en mourrais de honte.
J’ai balbutié, suppliant.
– Pas maintenant. Tout à l’heure. Là-bas.
– Non. Tout de suite.
Et, comme je restais bras ballants, indécis.
– J’ai dit tout de suite.
La gifle est partie. À toute volée.
– Tu vas m’obéir, oui !
J’ai prestement baissé mon pantalon. Et mon boxer. En même temps.
– Tu vois quand tu veux ! Donne-moi ta ceinture !
Ma ceinture ? Oui. Voilà. Voilà.
Elle m’a fait mettre à genoux au bord du canapé. Et elle a lâché un premier coup. Qui m’a mordu à pleines chairs. Qui m’a arraché un hurlement. Elle a fait attendre le second une éternité.
– On a tout notre temps. Il y a rien qui presse.
Il est enfin tombé. Et j’ai encore hurlé. Que ça faisait mal, la ceinture ! Bon sang que ça faisait mal.
J’ai appréhendé le suivant, fesses crispées.
Il s’est bien écoulé une trentaine de secondes avant qu’elle ne le lâche. Et puis un quatrième presque aussitôt. Qui m’a surpris. Qui m’a fait lancer le derrière en l’air.
– Un peu de tenue, s’il te plaît ! Il y a ton petit camarade qui est là. Et il regarde.
Elle en a encore égrené trois ou quatre. En laissant s’écouler entre chacun d’eux un temps interminable.
– Nous voilà à dix ! T’en as mérité combien à ton avis ?
Je savais pas, moi ! Quinze ?
Elle a eu un petit rire moqueur.
– T’es largement au-dessous du compte. Ça en vaut bien trente ce que t’as fait. Et encore ! C’est pas cher payé.
Et elle en a lancé cinq ou six, très rapprochés cette fois. Et très appuyés. Auxquels j’ai tenté instinctivement de me soustraire en rampant de côté vers l’extrémité du canapé.
– Tu vas te tenir tranquille, oui !
Elle m’a immobilisé de son genou qu’elle a enfoncé au creux de mes reins. Encore quatre ou cinq coups. J’ai supplié. J’ai sangloté. Rien n’y a fait. Elle a poursuivi. Jusqu’au bout.
– Là ! Trente. Le compte est bon.
Elle m’a fait relever, m’a tendu ma ceinture.
– Tu peux te rhabiller.
Ce que j’ai fait. Sous les yeux d’un Quentin encore éberlué par ce à quoi il venait d’assister.
– Là ! Ça y est ? Alors tu dis au revoir à ton ancien colocataire et on y va.
On s’est serré la main sans échanger un mot. Et il a détourné son regard, gêné.

Elle m’a donné le lit près de la porte.
– Tu pourras ranger tes affaires dans ce placard. Pour ce qui est du bureau, Philibert se poussera un peu. Il y a de la place pour deux. Quant à la salle de bains, je te ferai voir tout à l’heure. Bien. Autre chose. Le plus important. Tu me donneras ton emploi du temps détaillé. Pas question que tu ailles traîner je ne sais trop où après les cours. Tu rentreras directement à la maison. C’est bien compris ?
C’était compris, oui.
– D’autre part, ce n’est pas parce que vous allez partager la même chambre, Philibert et toi, que ça vous donne pour autant le droit de discutailler jusqu’à point d’heure. À onze heures grand maximum vous aurez éteint la lumière et je ne veux plus rien entendre. Sinon… Autre chose encore : en ce qui concerne tes sorties, on avisera au coup pour coup. En fonction de ton comportement et de tes résultats universitaires. Tu n’accepteras aucune invitation, de quelque nature qu’elle soit, sans m’avoir au préalable consultée et sans avoir obtenu mon autorisation. J’ajouterai, mais cela va évidemment de soi, que les heures des repas devront être scrupuleusement respectées. Voilà pour l’essentiel. Tu as des questions ?
Je n’en avais pas, non. Je ne voyais pas.
– Tout cela s’affinera, de toute façon, au fil du temps. Dans un sens ou dans l’autre. Ça dépendra de toi. Et uniquement de toi. Bon. Je te laisse t’installer…
Elle s’est retournée sur le pas de la porte.
– Ah, oui ! J’allais oublier. Plus une goutte d’alcool. Absolument aucune. Quand on voit dans quel état ça te met…

J’ai pris lentement possession de mon nouvel univers. Je connaissais déjà, bien évidemment, la chambre de Philibert, mais je la voyais maintenant d’un autre œil. C’est donc là que j’allais être amené désormais à vivre. Pour combien de temps ? C’est une question sur laquelle j’ai préféré ne pas trop m’attarder. J’ai vidé mes sacs, envahi mon placard, installé mon ordinateur, testé le matelas de mon poing refermé. J’étais en train de m’imprégner du paysage – trois maisons, un grand bout de jardin, un cyprès, une tonnelle – que l’on voyait par la fenêtre quand la porte s’est brusquement rouverte. C’était Amélie qui s’est avancée jusqu’à moi avec un grand sourire, qui m’a fait claquer deux bises sur les joues.
– Tu viens vivre ici ? C’est vrai ?
C’était vrai, oui.
– Chouette ! Que je suis contente ! On va encore bien s’amuser. Comme pendant les vacances. Non ? Tu crois pas ?
– Si !
Du bout des lèvres.
– Ça a pas l’air de te faire plaisir.
– Mais si !
Elle s’est laissé tomber sur mon lit.
– On dirait pas. Tu tires une de ces tronches. C’est pourquoi ? À cause des fessées ? Oui. Je suis sûre que c’est à cause des fessées. Ben ça, t’as qu’à t’en prendre qu’à toi-même, hein ! Et te débrouiller pour pas en mériter. Si tu y arrives ! Parce que maman, elle dit qu’elle va avoir fort à faire avec toi. Qu’à te voir comme ça, on pourrait croire que t’es prêt à suivre n’importe qui, le premier venu, le dernier qu’a parlé, mais qu’en réalité c’est plus compliqué que ça. Tu tries. Tu sélectionnes. Sans t’en rendre compte. En fonction de ce que tu es vraiment au fond de toi-même. Et, du coup, ceux par qui tu te laisses influencer, c’est les pires, ceux qui vont t’entraîner à faire des tas de conneries. Parce que c’est ce qui te correspond à toi.
À son avis, t’es exactement comme mon frère là-dessus. Vous êtes copies conformes tous les deux. D’un naturel tordu. Alors je voudrais pas te décourager, mais moi, ce que je crois, c’est que tu vas encore t’en ramasser tout un tas des fessées. Jusqu’à ce qu’elle t’ait remis à peu près droit. Ce qu’est sûrement pas demain la veille.
Oh, mais moi, ça me dérange pas, hein, au contraire. Je vais pas jouer les hypocrites, ça me déplaît pas de voir un mec la recevoir, la fessée. Et même, j’aime bien. Pas autant que ma copine Floriane, mais j’aime bien. Non, parce qu’alors ça, elle, c’est un truc, elle adore carrément. La mère de son petit copain – il a ton âge, à peu près, peut-être même un peu plus – elle lui en donne à lui des fois. Et souvent c’est devant elle. Philibert aussi, elle l’a vu. Je lui ai parlé de toi du coup. Comment elle a envie de te connaître ! Oh, mais c’est bien facile. Ça se fera.



Pour les distraits qui auraient loupé le début

Tout a commencé comme ça : chapitre 1
Et la semaine dernière, le chapitre 3
Et tous les autres chapitres sur la page "les auteurs invités"

Et la suite ?

Ce sera le chapitre 5

Les commentaires sont les bienvenus

François Fabien doit-il continuer dans cette direction ? Doit-il écrire un prochain épisode ?

4 commentaires:

  1. Bonjour François,
    Encore une sottise de la part de Raphael. Boire au point de s'endormir, il est vrai, qu'il aurait pu le prévoir. A cet âge, on se croit tout puissant, mais l'alcool est le plus fort, de toute façon, surtout avec des mélanges comme champagne et Vodka.
    La fessée à la ceinture lui a remis les idées en place. C'est un puissant dégrisant et c'est plus efficace que la cellule du même nom !
    Amélie se fait déjà un plaisir de voir Raphael changer de lieu de résidence. Elle mijote déjà un plan pour que sa copine Floriane vienne assister aux futures fessées, car elle sait qu'il y en aura, étant donné le caractère assez immature de Raphael.
    Amitiés.
    Elena.

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    1. Bonjour, Elena,

      Plus le temps passe et plus madame Dubreuil étend son emprise sur ce pauvre Raphaël. Au point sans doute que la situation va finir par devenir tellement "naturelle" pour lui qu'il n'aura, à terme, même plus besoin de se réfugier derrière cette idée qu'il est obligé de les accepter s'il ne veut pas être dénoncé et avoir affaire à la police.
      Amélie aussi est en position de force par rapport à lui et ne manquera pas de le lui faire sentir chaque fois qu'elle en aura l'occasion. Et elle va sans doute éprouver une jubilation de plus en plus intense à avoir un mâle tout entier à sa merci.
      Amitiés.
      François.

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  2. Bonjour,
    Stop ou encore? Quelle question!.. Autant demander à une fesseuse en pleine activité si elle a envie de continuer ou d'arrêter! (rire)

    Mais bien sûr que François Fabien doit continuer, et écrire de prochains épisodes. Ces premières fessées ne sont certainement pas les dernières. Il semble évident que la pétulante madame, Dubreuil fervente adepte de la déculottée éducative, et sa fille Amélie tout aussi croyante et certainement bonne pratiquante, sont loin d'en avoir fini avec le recadrage de ces jeunes gens. La conduite du frère Philibert, semble d'ailleurs nécessiter le même genre de traitement, et la reprise en main ne concerne pas que leurs fesses, mais toute leur vie quotidienne. ( L'expéditive Madame Dubreuil, fait penser à son homologue Tolbois de Chambre chez l'habitante )

    Le malheureux héro de l'histoire vient d'en faire l'expérience. La maitresse femme à la manoeuvre se charge de régler la tournée bien alcoolisée du garçon, avec pour conséquence, une généreuse deuxième tournée... de fessée à la ceinture. Ses fesses finissent tout aussi cuites que celle qu'il a prise la veille à la Vodka!
    Kilo de cerises sur le paletot des indisciplinés, la copine Floriane, friande de claquants arguments, ne laisse présager aucun changement dans la continuité. Elle adore "ça" et on ne va sans doute pas tarder à l'entendre claquer sur les derrières de ces messieurs.
    Alors... Pourquoi se priver d'un récit, au style et tournures de phrases simples et directs, propice à une lecture fluide, agréable. Les dialogues sont vivants, parfois nourris d'expressions issues du langage courant, presque familier, mais jamais vulgaire.
    On n'a plus qu'a attendre les fessées suivantes, qui ne devraient pas tarder à claquer !
    Cordialement
    Ramina

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    1. Bonjour, Ramina. Et bonjour tout le monde.

      Merci de votre long commentaire louangeur.

      Effectivement ce pauvre Raphaël est tombé sous la coupe de cette madame Dubreuil qui a décidé de lui imposer, comme à son fils, une éducation en bonne et due forme. Avec fessée à la clef chaque fois que nécessaire. Fessées d'autant plus vexantes qu'elles leur sont infligées devant Amélie qui, bien que plus jeune, est tenue pour beaucoup plus raisonnable, et n'y a jamais "droit".
      La tentation est évidemment forte, pour elle, d'en faire profiter les copines. Raphaël n'est pas en état de s'y opposer. De quelque façon que ce soit. Alors, bien sûr, il y aura Floriane, mais il y en aura d'autres. Beaucoup d'autres. Comment ces demoiselles ne seraient-elles pas ravies de voir des jeunes gens soumis à de tels traitements, eux qui, si souvent, se croient infiniment supérieurs à elles. Et ne manquent pas de le leur dire et de le leur montrer.
      À bientôt.
      Amicalement.
      François

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