Pour donner davantage d’intérêt à l’enseignement sportif, la proviseure de l’école Fabienne D. a organisé avec d’autres écoles du Sud-Est de la France des tournois inter établissements. Jessica T. est donc naturellement choisie pour la préparation physique des étudiants. Fabienne D., qui souhaite toujours l’excellence de son établissement, missionne Jessica T. pour obtenir les meilleures performances de ces étudiants lors des tournois, car elle ne veut surtout pas que son école devienne la risée des autres chefs d’établissements. Fabienne D., qui vise une place au rectorat de la région Provence-Alpes-Côte-D’azur, veut briller, pour le plus grand bien de ses étudiants et pour sa promotion personnelle, par la même occasion.
Comme
beaucoup d’étudiants, les disciplines sportives ont toujours été négligées, car
les notes obtenues ont toujours été affectées d’un coefficient un et n’ont
jamais eu un réel effet sur l’obtention d’un diplôme. La méthode d’enseignement
évoluant, le sport est maintenant relevé au coefficient trois, donc avec un
impact plus significatif dans la note finale du diplôme. L’une des devises de
l’établissement Ste CROIX est « un esprit sain dans un corps sain »
et le « corps sain » est atteint par l’enseignement et la pratique assidue
d’activités sportives en tout genre, d’où le renforcement de l’équipe
d’éducation physique et le recrutement de Jessica T.
La
nouvelle coache adore son travail et s’investit grandement, ce qui fait qu’elle
est aussi exigeante vis-à-vis de ses étudiants, ce qui ne l’empêche pas de lier
des relations de confiance avec eux, presque d’amitié.
Les
premières séances de course de fond ou de sprint sont calamiteuses, surtout
chez les filles qui ne montrent pas un grand intérêt à courir, parce qu’elles
n’en ont ni le gout ni l’entrainement. Les étudiants disent qu’ils n’aiment vraiment
pas courir, ce qui irrite un peu Jessica T. qui s’est engagée vis-à-vis la proviseure
à avoir de bonnes équipes dans les tournois mensuels. Jessica T. décide augmenter les séances d’entrainement, pour
motiver les étudiants et les amener au niveau requis.
Certains étudiants
mettent de la bonne volonté, mais ne parviennent pas à atteindre les
performances attendues. D’autres traînent les pieds et ne courent pas comme ils
le devraient, prétextant une fatigue, un point de côté ou une crampe. En fait, certains
étudiants utilisent tous les prétextes pour se fatiguer le moins possible et « tirer
au flanc » ! Un très faible nombre d’étudiants améliorent
sensiblement leur niveau, ce qui désole Jessica T., car elle commence à
envisager le fait de ne pas pouvoir tenir sa parole, ce qui serait une mauvaise
entame dans son poste de coach.
Les
séances d’entrainement enchatonnent sans que des performances ne s’améliorent
vraiment si bien que Fabienne D. convoque Jessica T. pour lui demander quelques
explications sur les piètres résultats des entraînements, car la date du
premier tournoi approche et les étudiants de Ste CROIX ne semblent pas prêt du
tout. Jessica T. promet de faire son
possible pour motiver davantage les équipes.
Malgré ses
conseils, ses encouragements ou ses reproches et n’arrivant pas à avoir de bons
temps lors des courses, Jessica T. n’a d’autres solutions que de laisser faire
les choses et de souhaiter que ses étudiants fassent de leur mieux durant le
premier tournoi de l’année scolaire. Peut-être auront-ils à cœur de se
surpasser ?
Le tournoi
inter établissement a lieu à AIX-EN-PROVENCE, dans l’enceinte d’une des écoles de
la compétition. Jessica T. tente de motiver une dernière fois ses étudiants en
leur disant que la réputation de l’école est en jeu et qu’il ne faut surtout
pas décevoir la proviseure ! Ces paroles n’ont pas l’air de réellement
motiver les étudiants.
Les
présélections à la course du trois mille mètres sont une catastrophe pour les
participants garçons et filles de Ste CROIX. Seuls quatre garçons et deux
filles passent ce niveau et atteignent les huitièmes de finale, avec bien du
mal. Pour le sprint sur cent mètres, le niveau est encore plus faible et seuls deux
garçons et une fille passent l’étape de la présélection. Jessica T. est très déçue
par le piètre engagement des équipes de Ste CROIX.
Le
phénomène est le même chez les gymnastes. La prestation n’est vraiment pas au
niveau des autres établissements, qui présentent des compétiteurs et
compétitrices avec une bien meilleure maîtrise de leur discipline.
La
déception finale arrive lorsque qu’aucun étudiant de Ste CROIX ne franchit le
cap des huitièmes de finale. L’école Ste CROIX est éliminée de la suite des
épreuves et n’a d’autre solution que de rentrer. Jessica T. et les étudiants
sont conscients du manque d’engagement par rapport aux autres écoles mais la prise
de conscience est trop tardive.
En
rentrant du tournoi, Jessica T. se présente au bureau de Fabienne D. pour lui
faire un rapport sur le tournoi. Jessica T. se sent rougir lorsqu’elle annonce
que les meilleures performances ont été faites jusqu’en huitième de finale,
mais pas plus loin. Au classement général, Ste CROIX est en dernière place des
écoles inscrites au tournoi, ce qui provoque la colère légitime de Fabienne D.
Après une
vive explication, Fabienne D. explique que la responsabilité des entraînements lui a été confiée, que c’était une preuve de confiance et qu’elle s’est montrée
très en dessous des espérances. Jessica T. présente ses excuses et dit que la faute
est à mettre sur les étudiants qui ne se sont pas assez impliqués dans l’entrainement
et dans la compétition et qu’elle n’y peut malheureusement rien.
Extrêmement
fâchée, Fabienne D. décide de donner une leçon à la coache pour qu’elle-même
motive davantage ses étudiants, car cette situation ne doit pas se reproduire. Fabienne
D. prend sa cravache et ordonne à Jessica T. de retirer complètement son
pantalon de survêtement et sa culotte afin qu’elle reçoive une fessée dont elle
se souviendra longtemps.
Jessica
T. est offusquée d’entendre la sentence. Elle dit qu’elle ne peut pas être
fessée comme les étudiants de l’école, elle est professeure et elle est trop âgée
pour être fessée comme une gamine et que de toute façon, les fessées ne sont
pas autorisées pour les adultes. Fabienne D. lui montre le règlement intérieur
qu’elle a signé où il est stipulé que l’équipe enseignante à toute liberté pour
corriger les personnes se trouvant dans l’enceinte de l’école (sans
différentiation entre les jeunes adultes ou les adultes) si le besoin s’en fait
sentir sur décision du chef d’établissement ou du conseil de discipline. Jessica
T. ne peut rien répliquer à ce document puisqu’elle l’a signé, mais elle n’avait
pas vu qu’elle pouvait être concernée par les punitions corporelles. Elle
pensait que seuls les étudiants y étaient soumis.
D’un ton
péremptoire et en faisant siffler sa badine dans l’air, Fabienne D. ordonne que
la coache se mette le bas du corps nu. Timidement et rougissant franchement, Jessica
T. enlève son bas de survêtement et retire sa culotte, découvrant son intimité
qu’elle cache aussitôt. Fabienne D. lui dit que ce n’est pas la peine de
couvrir son sexe, car dans la position où elle va être pour recevoir la
cravache, son intimité sera très largement exhibée et elle lui donne
l’ordre de bien se pencher en avant, en appui sur le bureau et d’écarter les
jambes.
Jessica
T. fait une dernière tentative pour échapper à la correction en demandant
pardon à la proviseure tout en promettant de faire mieux pour obliger les étudiants
à améliorer leurs performances.
Fabienne
D. appelle Philippe M., le second professeur de sport, afin qu’il assiste à la punition. Celui-ci se
précipite au bureau de la proviseure, trop heureux de voir une de ses collègues
féminines se faire fesser, comme une étudiante.
En
l’entendant entrer, Jessica T. est rouge pivoine d’humiliation d’être reluquée
par son collègue, elle en attrape la chair de poule et sent les larmes couler
sur son visage. Elle se dit qu’elle n’osera plus le regarder en face, après ça.
La proviseure dit à Philippe M. que la piètre performance des étudiants est la
raison de cette punition. Philippe M. devra enseigner à Jessica T. l’utilisation
du martinet pour stimuler ses étudiants. La discipline fait aussi partie des
attributions d’une coache, lorsque les autres méthodes ne font pas effet.
Les
premières cinglées à la cravache vont crier Jessica T. et aussitôt, elle met
ses mains en protection en disant que ça fait trop mal et qu’elle n’en supportera
pas plus et qu’elle ne mérite pas ça, car elle n’a rien fait de mal. Ces
protestations sont vaines, car la proviseure ne cesse pas de lui fouetter les
fesses et les cuisses. Jessica T. se raidit et se relève pour faire cesser la fessée.
Fabienne D. dit à Philippe M. de maintenir sa collègue penchée sur le bureau,
car elle n’en a pas encore fini avec sa croupe.
A regret,
Philippe M. fait le tour du bureau car il ne pourra plus regarder ni le sexe
largement exhibé de sa collègue, ni ses ruades très excitantes lors des
cinglées, Philippe M. lui prend les poignets et la maintient fermement, complètement
penchée sur le bureau. Fabienne D. continue avec autant d’ardeur, les cinglées
et Jessica T. sautille toujours d’une jambe sur l’autre en criant, en pleurant
et en se débattant. Enervée par les hurlements stridents de sa coache sportive,
Fabienne D. lui ordonne de se taire, car si elle ne le fait pas, elle la fera se
déshabiller entièrement pour terminer la fessée, ce qui oblige Jessica T. à
serrer les dents aussi fort qu’elle peut. Malgré ses efforts, elle laisse
échapper des râles ou des grognements de douleur et prie pour ne pas provoquer de
nouveau le courroux de la proviseure, car ses fesses le paieraient cher.
Lorsqu’elle
juge les fesses et les cuisses de Jessica T. uniformément empourprées, la
proviseure stoppe la fessée et dit à Philippe M. qu’il peut la lâcher. Laissant
libre cours à ses larmes, Jessica T. s’écroule à genoux en se massant la croupe
en feu et se relève péniblement. Elle ne pense même plus à cacher son pubis,
qui se trouve à la vue de tout le monde car la cuisson est telle que sa pudeur
est le cadet de ses soucis. Fabienne D. lui dit qu’elle sait ce qu’il lui reste
à faire pour motiver ses étudiants, car il est hors de question qu’il y ait un
second tournoi de mauvaise qualité. La prochaine fois, la proviseure dit à Jessica
T. qu’elle pourrait se montrer moins indulgente et que Jessica T. recevrait le
martinet sur tout le corps, entièrement nue, devant tous les autres
enseignants.
Promettant
tout ce que souhaite la proviseure, Jessica T. ramasse ses baskets, son bas de
survêtement et sa culotte et sort du bureau de la proviseure, les fesses à
l’air, pour regagner les vestiaires et se rhabiller à l’écart des regards
indiscrets, encore secouée de sanglots et humiliée d’avoir été fessée, les
cuisses écartées, devant son collègue masculin. Lorsqu’elle a remis son bas de
survêtement sans sa culotte, Jessica T. quitte l’établissement pour rentrer
chez elle, la démarche mal assurée du fait du frottement du pantalon sur ses chairs
embrasées.
Un moment
éprouvant est de s’asseoir dans sa voiture pour rentrer. Malgré sa délicatesse,
elle pousse un cri en prenant place sur le siège conducteur, car elle a
l’impression d’être assise sur un brasier. Tout le long du trajet, elle gémit
ou elle pousse de grands cris lorsque la voiture passe sur un nid de poule.
Lorsqu’enfin,
elle arrive chez elle, le fait de se relever et de sortir de son véhicule sans
crier lui demande un énorme effort. Lorsqu’elle est à son domicile, la première
chose qu’elle fait est de se déshabiller entièrement et de prendre une douche fraîche qui la soulage, abaissant la température de ses fessiers et de ses
cuisses. La fin de la journée est assez pénible car le fait de marcher lui fait
mal et le plus douloureux est de faire ses besoins, car il lui est impossible
de s’asseoir sur la lunette des toilettes, sans crier. Elle est obligée de faire
ses besoins à moitié debout, ce qui est loin d’être confortable pour une femme.
Elle passe une nuit agitée, allongée sur le ventre car tout autre position est très
douloureuse.
Les deux
jours du weekend lui font le plus grand bien, car elle peut se reposer et
laisser le bas de son corps nu. Ces deux jours sont aussi utiles pour réfléchir
à sa situation, car elle se demande comment faire évoluer le niveau de ses étudiants.
Elle a une pression de sa hiérarchie pour y arriver et elle ne veut plus
revivre ce qu’elle vient de subir chez la proviseure. La prochaine fois, ce
sera peut-être pire, car être fouettée, nue, devant l’ensemble de ses collègues
sera une extrême humiliation et très douloureux.
Vers
vingt heures, le Samedi, Philippe M. téléphone à Jessica T. pour prendre de ses
nouvelles, car il a vu elle n’était pas très vaillante en quittant l’école le
vendredi soir. Jessica T., surpris par ce coup de téléphone inopiné, lui répond
que ça va un peu mieux, en bafouillant car toujours confuse par le fait qu’il
ait largement vu son intimité, ce qui est très humiliant pour une femme. Dans
la conversation, elle lui confie qu’elle ne peut pas enfiler de pantalon pour
le moment, seulement une jupe ample, sans culotte, qui lui permet de se couvrir
lorsqu’elle doit sortir, pour ne pas avoir trop mal, de plus elle débute sa
période et cet état rajoute un désagrément supplémentaire à ce qu’elle vit.
Philippe
M. lui dit qu’elle va devoir sévir pour se faire respecter de ses étudiants et
ainsi éviter une seconde punition corporelle majeure. La proviseure tient son
établissement d’une main ferme et c’est à ce prix que Ste CROIX est l’une des
meilleures écoles de la région. Elle tiendra son engagement de la punir nue
devant les autres enseignants, si le second tournoi est aussi minable que le
premier. Jessica T. lui répond qu’elle le sait, mais elle ne peut pas faire la
compétition à la place de ses étudiants. Leur nonchalance est révoltante, mais
elle cherche la solution pour faire changer les choses.
Philippe
M. lui dit qu’elle a raison, mais si elle manie bien le martinet, ses étudiants,
ainsi stimulés, s’appliqueront à être moins fainéants. Jessica T. répond qu’elle n’a jamais fessé un étudiant, car on
ne lui a pas appris à le faire. La répression n’était pas au programme de son
apprentissage, seule la dissuasion était enseignée. Philippe M. réplique qu’il
va falloir qu’elle se fasse respecter, car à Ste CROIX, l’utilisation du
martinet est autorisée et même recommandée pour certains étudiants et que cela
a déjà donné de bons résultats dans le passé, pour les garçons comme pour les
filles. La proviseure ne fait pas de différence entre les deux sexes. Les
filles ne sont pas ménagées plus que les garçons. Pour les fautes qui le
nécessitent, la nudité est requise en public durant la punition et ce n’est pas
parce que ce sont des filles qu’elles garderont leur culotte et leur son
soutien-gorge. Elles sont nues comme leurs camarades masculins. Philippe M. lui
conseille de revoir sa méthode d’enseignement et de sévir davantage pour
obtenir des résultats rapidement, car il lui faudra faire revenir Ste CROIX à
une place plus honorable au classement.
Dès le
Lundi matin, Jessica T. demande à être reçue par Fabienne D. pour lui expliquer
son plan d’action d’inversion de la tendance. La coache lui demande la
permission d’avoir en permanence un martinet sur elle, qu’elle pourra utiliser
à sa guise lors des entraînements. Fabienne D. lui donne bien évidemment son
accord et lui conseille d’en user et lui souhaite bonne chance pour la suite et
elle lui répète ce qu’il lui en coûtera si elle devait échouer une seconde
fois.
Philippe
M. accompagne Jessica T. dans le local où sont entreposés instruments pour les
corrections. Il l’aide à choisir le martinet le plus approprié à la situation.
Leur choix s’arrête sur un martinet à cinq grosses et longues lanières de cuir sur
lequel chaque lanière mesure un mètre de long. Avec ce type de martinet, les
punis auront les fesses et les cuisses en feu rapidement, ce qui leur fera
prendre conscience des efforts à faire et les incitera à se surpasser pour atteindre
un bon niveau.
Philippe
M. conseille également de ne pas hésiter à fesser les punis en public afin de les
humilier et ainsi de les stimuler et de cette façon, elle enverra un excellent
message vis-à-vis des autres étudiants. A sa convenance, Jessica T. pourra
laisser les étudiants les fesses nues même après que leur fessée ait été
appliquée. Dans cette tenue impudique et très mortifiante, la persévérance et le
courage des punis en sera décuplés. Enfin, Philippe M. termine par dire à sa
collègue que faire épiler intégralement les punis avant une fessée est un facteur
de réussite, car ressemblant à des enfants imberbes, les jeunes adultes se verront
rabaissés et n’auront de cesse de prouver qu’ils valent mieux que ça, surtout
pour les jeunes hommes, car l’épilation intégrale est beaucoup plus systématique
chez les jeunes femmes. L’infirmière de l’établissement, Laetitia F. se fera un
plaisir d’épiler entièrement les étudiants rebelles, elle manie le rasoir avec
dextérité. Après l’épilation, Laetitia F. les enduira d’huile d’argan et de
talc pour calmer le feu du rasage ce qui les ramènera au stade de petits
garçons ou de petites filles.
A suivre.
. .
Une série écrite par Elena
Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? Pas certain.
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 9Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités
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Bonjour, Elena. Et bonjour tout le monde.
RépondreSupprimerVous nous aviez habitués à des fessées à spectre large. Il y avait foule. Et là, on se retrouve dans un huis clos à trois. Avec une directrice droite dans ses bottes qui veut des résultats. Point barre. Une Jessica qui ne parvient pas à motiver suffisamment ses élèves et qui a droit à l'humiliante correction qu'elle leur croyait réservée. Et un collègue amené, ravi, à assister à cette punition. Un collègue qui, de surcroît, se trouve en position de coacher la coache, de prendre le pas sur elle, ce qui constitue, pour celle-ci, une mortification supplémentaire.
On se doute bien que ce huis clos à trois ne va pas durer, que c'est la boule au ventre que Jessica T. va s'efforcer d'obtenir de ses élèves, à force de cinglantes punitions, qu'ils s'investissent. Faute de quoi, c'est elle qui va se trouver à nouveau en situation d'être punie. Et, cette fois, devant tous ses collègues réunis. Ce que le lecteur espère secrètement. ;)
C'est un récit très plaisant à lire.Tant par la description méticuleuse de la fessée que par l'exploration très fouillée des "états d'âme" et des appréhensions de Jessica.
J'attends la suite avec beaucoup d'impatience.
Amicalement.
François
Bonsoir Elena,
RépondreSupprimerMazette ! Aux grands maux, les grands remèdes !!!
Rabaisser la fierté des participants pour paresse en les fessant comme des gamins peut se révéler efficace mais également à double tranchant.
En effet, soit ils reprennent le dessus et s'efforcent de se qualifier comme exigé ou bien, cela ne fera que renforcer la détermination des plus rebelles, qui voudraient ainsi prouver qu'ils sont des hommes indépendants à qui l'on impose aucun choix.
A noter l'appel plein de compassion et de tact de Philippe à sa jeune collègue. Solidarité professionnelle ? Et peut-être plus si affinités... A suivre.
Amicalement. Peter.