lundi 12 août 2019

Les rebelles - chapitre 10 acte 1

Jessica T., trente-trois ans, est une coache sportive récemment embauchée à l’école Ste CROIX. Elle est chargée d’entrainer les étudiants pour l’athlétisme et la gymnastique, qui seront des disciplines utiles pour l’obtention du diplôme final. Son collègue Philippe M. est chargé des disciplines sportives facultatives dans le gymnase : basket, handball, grimpé à la corde, etc. Les deux professeurs sont complémentaires dans la répartition des activités.
Pour donner davantage d’intérêt à l’enseignement sportif, la proviseure de l’école Fabienne D. a organisé avec d’autres écoles du Sud-Est de la France des tournois inter établissements. Jessica T. est donc naturellement choisie pour la préparation physique des étudiants. Fabienne D., qui souhaite toujours l’excellence de son établissement, missionne Jessica T. pour obtenir les meilleures performances de ces étudiants lors des tournois, car elle ne veut surtout pas que son école devienne la risée des autres chefs d’établissements. Fabienne D., qui vise une place au rectorat de la région Provence-Alpes-Côte-D’azur, veut briller, pour le plus grand bien de ses étudiants et pour sa promotion personnelle, par la même occasion.
Comme beaucoup d’étudiants, les disciplines sportives ont toujours été négligées, car les notes obtenues ont toujours été affectées d’un coefficient un et n’ont jamais eu un réel effet sur l’obtention d’un diplôme. La méthode d’enseignement évoluant, le sport est maintenant relevé au coefficient trois, donc avec un impact plus significatif dans la note finale du diplôme. L’une des devises de l’établissement Ste CROIX est « un esprit sain dans un corps sain » et le « corps sain » est atteint par l’enseignement et la pratique assidue d’activités sportives en tout genre, d’où le renforcement de l’équipe d’éducation physique et le recrutement de Jessica T.
La nouvelle coache adore son travail et s’investit grandement, ce qui fait qu’elle est aussi exigeante vis-à-vis de ses étudiants, ce qui ne l’empêche pas de lier des relations de confiance avec eux, presque d’amitié.
Les premières séances de course de fond ou de sprint sont calamiteuses, surtout chez les filles qui ne montrent pas un grand intérêt à courir, parce qu’elles n’en ont ni le gout ni l’entrainement. Les étudiants disent qu’ils n’aiment vraiment pas courir, ce qui irrite un peu Jessica T. qui s’est engagée vis-à-vis la proviseure à avoir de bonnes équipes dans les tournois mensuels. Jessica T. décide augmenter les séances d’entrainement, pour motiver les étudiants et les amener au niveau requis.
Certains étudiants mettent de la bonne volonté, mais ne parviennent pas à atteindre les performances attendues. D’autres traînent les pieds et ne courent pas comme ils le devraient, prétextant une fatigue, un point de côté ou une crampe. En fait, certains étudiants utilisent tous les prétextes pour se fatiguer le moins possible et « tirer au flanc » ! Un très faible nombre d’étudiants améliorent sensiblement leur niveau, ce qui désole Jessica T., car elle commence à envisager le fait de ne pas pouvoir tenir sa parole, ce qui serait une mauvaise entame dans son poste de coach.
Les séances d’entrainement enchatonnent sans que des performances ne s’améliorent vraiment si bien que Fabienne D. convoque Jessica T. pour lui demander quelques explications sur les piètres résultats des entraînements, car la date du premier tournoi approche et les étudiants de Ste CROIX ne semblent pas prêt du tout. Jessica T. promet de faire son possible pour motiver davantage les équipes.
Malgré ses conseils, ses encouragements ou ses reproches et n’arrivant pas à avoir de bons temps lors des courses, Jessica T. n’a d’autres solutions que de laisser faire les choses et de souhaiter que ses étudiants fassent de leur mieux durant le premier tournoi de l’année scolaire. Peut-être auront-ils à cœur de se surpasser ?

Le tournoi inter établissement a lieu à AIX-EN-PROVENCE, dans l’enceinte d’une des écoles de la compétition. Jessica T. tente de motiver une dernière fois ses étudiants en leur disant que la réputation de l’école est en jeu et qu’il ne faut surtout pas décevoir la proviseure ! Ces paroles n’ont pas l’air de réellement motiver les étudiants.
Les présélections à la course du trois mille mètres sont une catastrophe pour les participants garçons et filles de Ste CROIX. Seuls quatre garçons et deux filles passent ce niveau et atteignent les huitièmes de finale, avec bien du mal. Pour le sprint sur cent mètres, le niveau est encore plus faible et seuls deux garçons et une fille passent l’étape de la présélection. Jessica T. est très déçue par le piètre engagement des équipes de Ste CROIX.
Le phénomène est le même chez les gymnastes. La prestation n’est vraiment pas au niveau des autres établissements, qui présentent des compétiteurs et compétitrices avec une bien meilleure maîtrise de leur discipline.
La déception finale arrive lorsque qu’aucun étudiant de Ste CROIX ne franchit le cap des huitièmes de finale. L’école Ste CROIX est éliminée de la suite des épreuves et n’a d’autre solution que de rentrer. Jessica T. et les étudiants sont conscients du manque d’engagement par rapport aux autres écoles mais la prise de conscience est trop tardive.

En rentrant du tournoi, Jessica T. se présente au bureau de Fabienne D. pour lui faire un rapport sur le tournoi. Jessica T. se sent rougir lorsqu’elle annonce que les meilleures performances ont été faites jusqu’en huitième de finale, mais pas plus loin. Au classement général, Ste CROIX est en dernière place des écoles inscrites au tournoi, ce qui provoque la colère légitime de Fabienne D.
Après une vive explication, Fabienne D. explique que la responsabilité des entraînements lui a été confiée, que c’était une preuve de confiance et qu’elle s’est montrée très en dessous des espérances. Jessica T. présente ses excuses et dit que la faute est à mettre sur les étudiants qui ne se sont pas assez impliqués dans l’entrainement et dans la compétition et qu’elle n’y peut malheureusement rien.
Extrêmement fâchée, Fabienne D. décide de donner une leçon à la coache pour qu’elle-même motive davantage ses étudiants, car cette situation ne doit pas se reproduire. Fabienne D. prend sa cravache et ordonne à Jessica T. de retirer complètement son pantalon de survêtement et sa culotte afin qu’elle reçoive une fessée dont elle se souviendra longtemps.
Jessica T. est offusquée d’entendre la sentence. Elle dit qu’elle ne peut pas être fessée comme les étudiants de l’école, elle est professeure et elle est trop âgée pour être fessée comme une gamine et que de toute façon, les fessées ne sont pas autorisées pour les adultes. Fabienne D. lui montre le règlement intérieur qu’elle a signé où il est stipulé que l’équipe enseignante à toute liberté pour corriger les personnes se trouvant dans l’enceinte de l’école (sans différentiation entre les jeunes adultes ou les adultes) si le besoin s’en fait sentir sur décision du chef d’établissement ou du conseil de discipline. Jessica T. ne peut rien répliquer à ce document puisqu’elle l’a signé, mais elle n’avait pas vu qu’elle pouvait être concernée par les punitions corporelles. Elle pensait que seuls les étudiants y étaient soumis.
D’un ton péremptoire et en faisant siffler sa badine dans l’air, Fabienne D. ordonne que la coache se mette le bas du corps nu. Timidement et rougissant franchement, Jessica T. enlève son bas de survêtement et retire sa culotte, découvrant son intimité qu’elle cache aussitôt. Fabienne D. lui dit que ce n’est pas la peine de couvrir son sexe, car dans la position où elle va être pour recevoir la cravache, son intimité sera très largement exhibée et elle lui donne l’ordre de bien se pencher en avant, en appui sur le bureau et d’écarter les jambes.
Jessica T. fait une dernière tentative pour échapper à la correction en demandant pardon à la proviseure tout en promettant de faire mieux pour obliger les étudiants à améliorer leurs performances.
Fabienne D. appelle Philippe M., le second professeur de sport, afin qu’il assiste à la punition. Celui-ci se précipite au bureau de la proviseure, trop heureux de voir une de ses collègues féminines se faire fesser, comme une étudiante.
En l’entendant entrer, Jessica T. est rouge pivoine d’humiliation d’être reluquée par son collègue, elle en attrape la chair de poule et sent les larmes couler sur son visage. Elle se dit qu’elle n’osera plus le regarder en face, après ça. La proviseure dit à Philippe M. que la piètre performance des étudiants est la raison de cette punition. Philippe M. devra enseigner à Jessica T. l’utilisation du martinet pour stimuler ses étudiants. La discipline fait aussi partie des attributions d’une coache, lorsque les autres méthodes ne font pas effet.
Les premières cinglées à la cravache vont crier Jessica T. et aussitôt, elle met ses mains en protection en disant que ça fait trop mal et qu’elle n’en supportera pas plus et qu’elle ne mérite pas ça, car elle n’a rien fait de mal. Ces protestations sont vaines, car la proviseure ne cesse pas de lui fouetter les fesses et les cuisses. Jessica T. se raidit et se relève pour faire cesser la fessée. Fabienne D. dit à Philippe M. de maintenir sa collègue penchée sur le bureau, car elle n’en a pas encore fini avec sa croupe.
A regret, Philippe M. fait le tour du bureau car il ne pourra plus regarder ni le sexe largement exhibé de sa collègue, ni ses ruades très excitantes lors des cinglées, Philippe M. lui prend les poignets et la maintient fermement, complètement penchée sur le bureau. Fabienne D. continue avec autant d’ardeur, les cinglées et Jessica T. sautille toujours d’une jambe sur l’autre en criant, en pleurant et en se débattant. Enervée par les hurlements stridents de sa coache sportive, Fabienne D. lui ordonne de se taire, car si elle ne le fait pas, elle la fera se déshabiller entièrement pour terminer la fessée, ce qui oblige Jessica T. à serrer les dents aussi fort qu’elle peut. Malgré ses efforts, elle laisse échapper des râles ou des grognements de douleur et prie pour ne pas provoquer de nouveau le courroux de la proviseure, car ses fesses le paieraient cher.
Lorsqu’elle juge les fesses et les cuisses de Jessica T. uniformément empourprées, la proviseure stoppe la fessée et dit à Philippe M. qu’il peut la lâcher. Laissant libre cours à ses larmes, Jessica T. s’écroule à genoux en se massant la croupe en feu et se relève péniblement. Elle ne pense même plus à cacher son pubis, qui se trouve à la vue de tout le monde car la cuisson est telle que sa pudeur est le cadet de ses soucis. Fabienne D. lui dit qu’elle sait ce qu’il lui reste à faire pour motiver ses étudiants, car il est hors de question qu’il y ait un second tournoi de mauvaise qualité. La prochaine fois, la proviseure dit à Jessica T. qu’elle pourrait se montrer moins indulgente et que Jessica T. recevrait le martinet sur tout le corps, entièrement nue, devant tous les autres enseignants.
Promettant tout ce que souhaite la proviseure, Jessica T. ramasse ses baskets, son bas de survêtement et sa culotte et sort du bureau de la proviseure, les fesses à l’air, pour regagner les vestiaires et se rhabiller à l’écart des regards indiscrets, encore secouée de sanglots et humiliée d’avoir été fessée, les cuisses écartées, devant son collègue masculin. Lorsqu’elle a remis son bas de survêtement sans sa culotte, Jessica T. quitte l’établissement pour rentrer chez elle, la démarche mal assurée du fait du frottement du pantalon sur ses chairs embrasées.

Un moment éprouvant est de s’asseoir dans sa voiture pour rentrer. Malgré sa délicatesse, elle pousse un cri en prenant place sur le siège conducteur, car elle a l’impression d’être assise sur un brasier. Tout le long du trajet, elle gémit ou elle pousse de grands cris lorsque la voiture passe sur un nid de poule.
Lorsqu’enfin, elle arrive chez elle, le fait de se relever et de sortir de son véhicule sans crier lui demande un énorme effort. Lorsqu’elle est à son domicile, la première chose qu’elle fait est de se déshabiller entièrement et de prendre une douche fraîche qui la soulage, abaissant la température de ses fessiers et de ses cuisses. La fin de la journée est assez pénible car le fait de marcher lui fait mal et le plus douloureux est de faire ses besoins, car il lui est impossible de s’asseoir sur la lunette des toilettes, sans crier. Elle est obligée de faire ses besoins à moitié debout, ce qui est loin d’être confortable pour une femme. Elle passe une nuit agitée, allongée sur le ventre car tout autre position est très douloureuse.
Les deux jours du weekend lui font le plus grand bien, car elle peut se reposer et laisser le bas de son corps nu. Ces deux jours sont aussi utiles pour réfléchir à sa situation, car elle se demande comment faire évoluer le niveau de ses étudiants. Elle a une pression de sa hiérarchie pour y arriver et elle ne veut plus revivre ce qu’elle vient de subir chez la proviseure. La prochaine fois, ce sera peut-être pire, car être fouettée, nue, devant l’ensemble de ses collègues sera une extrême humiliation et très douloureux.
Vers vingt heures, le Samedi, Philippe M. téléphone à Jessica T. pour prendre de ses nouvelles, car il a vu elle n’était pas très vaillante en quittant l’école le vendredi soir. Jessica T., surpris par ce coup de téléphone inopiné, lui répond que ça va un peu mieux, en bafouillant car toujours confuse par le fait qu’il ait largement vu son intimité, ce qui est très humiliant pour une femme. Dans la conversation, elle lui confie qu’elle ne peut pas enfiler de pantalon pour le moment, seulement une jupe ample, sans culotte, qui lui permet de se couvrir lorsqu’elle doit sortir, pour ne pas avoir trop mal, de plus elle débute sa période et cet état rajoute un désagrément supplémentaire à ce qu’elle vit.
Philippe M. lui dit qu’elle va devoir sévir pour se faire respecter de ses étudiants et ainsi éviter une seconde punition corporelle majeure. La proviseure tient son établissement d’une main ferme et c’est à ce prix que Ste CROIX est l’une des meilleures écoles de la région. Elle tiendra son engagement de la punir nue devant les autres enseignants, si le second tournoi est aussi minable que le premier. Jessica T. lui répond qu’elle le sait, mais elle ne peut pas faire la compétition à la place de ses étudiants. Leur nonchalance est révoltante, mais elle cherche la solution pour faire changer les choses.
Philippe M. lui dit qu’elle a raison, mais si elle manie bien le martinet, ses étudiants, ainsi stimulés, s’appliqueront à être moins fainéants. Jessica T. répond qu’elle n’a jamais fessé un étudiant, car on ne lui a pas appris à le faire. La répression n’était pas au programme de son apprentissage, seule la dissuasion était enseignée. Philippe M. réplique qu’il va falloir qu’elle se fasse respecter, car à Ste CROIX, l’utilisation du martinet est autorisée et même recommandée pour certains étudiants et que cela a déjà donné de bons résultats dans le passé, pour les garçons comme pour les filles. La proviseure ne fait pas de différence entre les deux sexes. Les filles ne sont pas ménagées plus que les garçons. Pour les fautes qui le nécessitent, la nudité est requise en public durant la punition et ce n’est pas parce que ce sont des filles qu’elles garderont leur culotte et leur son soutien-gorge. Elles sont nues comme leurs camarades masculins. Philippe M. lui conseille de revoir sa méthode d’enseignement et de sévir davantage pour obtenir des résultats rapidement, car il lui faudra faire revenir Ste CROIX à une place plus honorable au classement.

Dès le Lundi matin, Jessica T. demande à être reçue par Fabienne D. pour lui expliquer son plan d’action d’inversion de la tendance. La coache lui demande la permission d’avoir en permanence un martinet sur elle, qu’elle pourra utiliser à sa guise lors des entraînements. Fabienne D. lui donne bien évidemment son accord et lui conseille d’en user et lui souhaite bonne chance pour la suite et elle lui répète ce qu’il lui en coûtera si elle devait échouer une seconde fois.
Philippe M. accompagne Jessica T. dans le local où sont entreposés instruments pour les corrections. Il l’aide à choisir le martinet le plus approprié à la situation. Leur choix s’arrête sur un martinet à cinq grosses et longues lanières de cuir sur lequel chaque lanière mesure un mètre de long. Avec ce type de martinet, les punis auront les fesses et les cuisses en feu rapidement, ce qui leur fera prendre conscience des efforts à faire et les incitera à se surpasser pour atteindre un bon niveau.
Philippe M. conseille également de ne pas hésiter à fesser les punis en public afin de les humilier et ainsi de les stimuler et de cette façon, elle enverra un excellent message vis-à-vis des autres étudiants. A sa convenance, Jessica T. pourra laisser les étudiants les fesses nues même après que leur fessée ait été appliquée. Dans cette tenue impudique et très mortifiante, la persévérance et le courage des punis en sera décuplés. Enfin, Philippe M. termine par dire à sa collègue que faire épiler intégralement les punis avant une fessée est un facteur de réussite, car ressemblant à des enfants imberbes, les jeunes adultes se verront rabaissés et n’auront de cesse de prouver qu’ils valent mieux que ça, surtout pour les jeunes hommes, car l’épilation intégrale est beaucoup plus systématique chez les jeunes femmes. L’infirmière de l’établissement, Laetitia F. se fera un plaisir d’épiler entièrement les étudiants rebelles, elle manie le rasoir avec dextérité. Après l’épilation, Laetitia F. les enduira d’huile d’argan et de talc pour calmer le feu du rasage ce qui les ramènera au stade de petits garçons ou de petites filles.

A suivre. . .



Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? Pas certain.
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 9
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2 commentaires:

  1. Bonjour, Elena. Et bonjour tout le monde.
    Vous nous aviez habitués à des fessées à spectre large. Il y avait foule. Et là, on se retrouve dans un huis clos à trois. Avec une directrice droite dans ses bottes qui veut des résultats. Point barre. Une Jessica qui ne parvient pas à motiver suffisamment ses élèves et qui a droit à l'humiliante correction qu'elle leur croyait réservée. Et un collègue amené, ravi, à assister à cette punition. Un collègue qui, de surcroît, se trouve en position de coacher la coache, de prendre le pas sur elle, ce qui constitue, pour celle-ci, une mortification supplémentaire.
    On se doute bien que ce huis clos à trois ne va pas durer, que c'est la boule au ventre que Jessica T. va s'efforcer d'obtenir de ses élèves, à force de cinglantes punitions, qu'ils s'investissent. Faute de quoi, c'est elle qui va se trouver à nouveau en situation d'être punie. Et, cette fois, devant tous ses collègues réunis. Ce que le lecteur espère secrètement. ;)
    C'est un récit très plaisant à lire.Tant par la description méticuleuse de la fessée que par l'exploration très fouillée des "états d'âme" et des appréhensions de Jessica.
    J'attends la suite avec beaucoup d'impatience.
    Amicalement.
    François

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  2. Bonsoir Elena,

    Mazette ! Aux grands maux, les grands remèdes !!!
    Rabaisser la fierté des participants pour paresse en les fessant comme des gamins peut se révéler efficace mais également à double tranchant.
    En effet, soit ils reprennent le dessus et s'efforcent de se qualifier comme exigé ou bien, cela ne fera que renforcer la détermination des plus rebelles, qui voudraient ainsi prouver qu'ils sont des hommes indépendants à qui l'on impose aucun choix.
    A noter l'appel plein de compassion et de tact de Philippe à sa jeune collègue. Solidarité professionnelle ? Et peut-être plus si affinités... A suivre.
    Amicalement. Peter.

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