Le
contrôle se passe mal, car Christie de G., pressée, prend les gendarmes de haut
en leur disant qu’elle est attendue chez un client important ce qui justifie,
selon elle, cette petite entorse au code de la route, ce à quoi les gendarmes
répliquent que ce sont deux grosses fautes qu’elle vient de commettre. Christie
de G. est énervée, car elle va rater son rendez-vous et elle risque en plus une
sanction de la part de sa responsable, Marie-Laure D.
En tentant de se
défendre, Christie de G. explique aux gendarmes qu’elle a eu des difficultés
avec sa nourrice, car elle a deux enfants en bas âge, ce qui lui a fait perdre
du temps au départ de son domicile. Inflexibles, les gendarmes continuent leurs
vérifications. Un des gendarmes lui dit qu’elle sera convoquée au tribunal pour
s’expliquer et avoir son amende. Le temps de finir le procès-verbal et Christie
de G. repart, toute stressée de s’être fait arrêter le jour de ce précieux
rendez-vous et de se faire convoquer au tribunal, ce qui ne présage rien de
bon.
Tentant
de reprendre ses esprits, Christie de G. arrive chez le client avec trente
minutes de retard. Le client a déjà téléphoné à Marie-Laure D., car il a
plusieurs rendez-vous après et le temps de l’entretien en sera raccourci. Marie-Laure
D. présente ses excuses pour le retard de sa commerciale et lui promet que ça
n’en restera pas là.
L’entretien
débute assez froidement, car le client passablement irrité par le retard de la
commerciale, n’est pas au mieux de l’écoute concernant le contrat. Certaines
réflexions du client en attestent, malgré toutes les excuses et les tentatives
d’explications de ce retard indépendant de la volonté de Christie de G.
En
rentrant à son bureau en fin de matinée, Christie de G. est convoquée chez Marie-Laure
D., qui lui demande des explications, car elle a eu le client au téléphone et
celui-ci était assez agacé qu’on lui fasse perdre son temps. Christie de G. dit
que le contrat est en bonne voie et qu’elle devra retourner le voir après avoir
pris en compte les remarques qu’il lui a dictées.
Ayant écouté la plaidoirie de
sa commerciale, Marie-Laure D. lui dit qu’elle réfléchit à une sanction, car la
société est passé tout près de perdre un gros client qui aurait été très dommageable
pour le chiffre d’affaire, déjà en recul ces temps-ci, mais pour d’autres
raisons. Marie-Laure D. dit tout de même qu’elle est désolée pour son passage
au tribunal, car si elle venait à perdre son permis de conduire, elle ne serait
plus en mesure de rester commerciale et serait licenciée ou au mieux
reconvertie à un poste de moindre importance, avec réduction de salaire.
Christie de G. est outrée de ce qu’elle entend, car
mère célibataire, sans ou avec ressources réduites, ça risque d’être compliqué
pour elle.
Deux
jours plus tard, Christie de G. reçoit sa convocation pour le tribunal. Christie
de G. est obligée de négocier un congé exceptionnel auprès de sa responsable
pour pouvoir se rendre à son rendez-vous. Anxieuse de cette convocation, Christie
de G. vit assez mal l’arrivée à cette échéance, car elle a besoin de son permis
de conduire et serait très embarrassée si elle se retrouvait sans.
Le jour
prévu pour sa comparution, elle confie ses deux très jeunes enfants, Ciprian,
deux ans et Ambre, un nourrisson d’un mois, à ses amis, Alexei S. et Irina S.,
en leur expliquant la situation compliquée dans laquelle elle se trouve. Mère
au foyer, Irina S. accepte de garder bien volontiers ses enfants. Christie de G. les remercie et se rend à sa convocation.
Arrivée
au tribunal, Christie de G. s’enregistre à l »entrée et elle est dirigée
vers un box ou se trouve d’autres personnes qui vont être jugées. L’atmosphère
est assez pesante, surtout pour Christie de G., car c’est sa première visite
dans un tribunal et c’est très angoissant. Elle tente de mettre en place son
système de défense pour ne pas être trop lourdement sanctionnée.
Arrive
son tour et toute penaude, elle entre dans la grande salle où les juges et le
président du tribunal sont là pour étudier et juger son cas.
La faute
est sévère, car elle risque huit points de retrait et un stage à effectuer + deux
mille euros d’amende pour rebellions vis-à-vis des forces de l’ordre.
Christie
de G. fait profil bas et explique son cas, les ennuis avec sa nourrice et le
retard chez le client, mais déplore l’énervement face aux forces de l’ordre.
Elle s’en excuse platement. Le président lui rétorque que ce n’est pas une
raison et qu’elle aurait pu provoquer un grave accident. Cette attitude au
volant est inqualifiable et les huit points lui sont retirés. Christie de G.
respire mieux, car avec ses quatre points restants, elle pourra continuer son
emploi. Elle regagnera les autres points avec des stages et avec le temps. Elle
se fait la promesse de mieux respecter le code de la route à l’avenir.
Le président
du tribunal en vient à l’énervement et aux propos inconvenants vis-à-vis des
deux militaires de la gendarmerie. Là encore, Christie de G. s’excuse en disant
que ses propos ont largement dépassés sa pensée, car elle était en situation de
stress intense et qu’elle n’a pas mesuré l’impact de ses paroles.
Lorsque
le président du tribunal lui dit que la sanction est de deux mille euros, Christie
de G. est en sanglots et elle bafouille qu’elle n’a pas cet argent, qu’elle est
seule à travailler et qu’elle a deux enfants à sa charge. En voyant la détresse
de la jeune femme, le président du tribunal lui dit qu’il accepte de remplacer
l’amende par une punition corporelle, mais qu’il faudra payer de toute façon
les propos incorrects. Le président du tribunal lui demande de choisir. N’en
croyant pas ses oreilles, mais n’ayant pas d’autres possibilités, Christie de
G. choisit la punition corporelle. Celle-ci aura lieu dans les locaux du
tribunal, au sous-sol, dans une heure. Le président du tribunal entérine le
verdict et lève la séance avec Christie de G., toujours en pleurs.
Dans une
pièce voisine, Christie de G. signe ses papiers et un greffier retire les huit
points du permis. Vingt minutes plus tard, Christie de G. est appelée par une
infirmière pour un examen médical avant sa punition.
Christie
de G. passe devant un médecin qui lui demande de se dévêtir intégralement. Il
lui explique que la punition va être administrée avec une canne sur les fesses
et sur les cuisses. Elle recevra trente coups de canne. Christie de G. prend
peur et sanglote de nouveau, toute tremblante à l’idée d’être cinglée de la
sorte.
Lorsqu’elle
est nue, en rougissant, elle cache son intimité par pudeur. Le médecin lui dit
qu’il est habitué à voir des femmes nues et qu’elle n’a aucune raison de cacher
son corps.
Le
médecin l’examine sous tous les angles et se permet même de lui palper les « mamelles »,
bien que cette partie ne sera pas la cible de la canne, mais elle lui fait la
remarque qu’elle allaite encore et que ses palpations et ses pétrissages sont
désagréables, mais le praticien n’en tient pas compte et continue. Lorsque
vient l’examen du bas du corps, le médecin lui écarte largement les cuisses et
lui examine le vagin, humiliant Christie de G. qui n’ose pas protester, mais
qui trouve assez déplacés ces touchés vaginaux, même de la part d’un médecin,
car il est maintenant clair qu’il veut la rabaisser au maximum. Elle lui
explique qu’elle a accouché il y a un mois et que son corps n’est pas encore
bien remis. En lui faisant ce type de confidences, Christie de G. espère un
geste de clémence de sa part, qu’elle n’obtiendra pas !
L’examen médical
réalisé et validé, Christie de G. est prise en charge par l’infirmière qui, par
respect des mesures d’hygiènes, lui épile le pubis et l’entrecuisse à l’aide de
bandes de cire qui la font crier, car la zone épilée est hyper sensible.
L’infirmière n’étant pas une professionnelle, elle ne prend pas toutes de
précautions d’usage. Lorsque la zone est imberbe elle l’enduit de lotion, car
la cire a laissé une large zone rouge et irritée. Lorsqu’elle est propre,
l’infirmière lui enduit les fesses, les cuisses de lotion pour attendrir la
peau. En fait, le fait que la peau soit plus tendre augmentera la douleur et Christie
de G. s’en rendra compte qu’au moment de sa fessée.
Le
médecin demande à Christie de G. si elle connait des personnes de confiance qui
pourraient la prendre en charge après sa correction, car il est clair qu’il
serait plus confortable pour elle qu’elle soit raccompagnée chez elle par un
tiers. Christie de G. pense de suite à ses voisins et le médecin leur téléphone
en expliquant le verdict et la fessée imminente. Irina S. accepte de prendre en
charge sa voisine et laisse Ciprian et Ambre à Olga et Iourievna, qui sont
ravies de s’occuper des deux petits durant l’absence de leurs parents. Irina S.
et son mari rejoignent le tribunal de Toulon. Alexei S. repartira de suite avec
sa voiture, tandis qu’Irina reviendra au terme de la correction avec la voiture
de Christie de G.
Christie
de G., entièrement nue, attend dans un box, son passage à la fessée, en
ruminant ses idées noires mais ce qui lui permet de ne pas déprimer est qu’après
sa fessée, elle ira rejoindre ses enfants et elle reprendra sa vie d’avant.
Soudain,
le porte d’ouvre et deux gardiennes la font entrer. Christie de G. a la gorge
serrée, car elle voit le chevalet, muni de menottes et surtout elle voit les
grandes cannes qui vont la faire crier. Ayant un mouvement de recul par
l’effroi, les deux gardiennes la prennent chacune par un bras et la forcent à
avancer. Voyant le président du tribunal qui va assister à la fessée, elle
l’implore de lui pardonner. Elle lui dit qu’elle a compris et qu’elle va faire
très attention, ce qui n’empêche pas les deux gardiennes de l’attacher les bras
au-dessus de la tête et de lui attacher les chevilles, jambes bien écartées, au
bas du chevalet, penchée en avant. Le buste reposant sur une traverse laisse
ses « mamelles » pendantes de chaque côté. Pour éviter qu’elle ne
bouge, une sangle est placée sur son dos, ce qui la plaque davantage sur la
traverse et l’immobilisant totalement du bas du dos jusqu’aux pieds.
Le
président du tribunal lit à haute voix le verdict et la raison de sa présence. Christie
de G. est en pleurs, en chair de poule et elle sent ses tétons se dresser. Son
état de mère allaitante fait que ses tétons sont vraiment très longs, les rendant
assez risible, ce que fait remarquer le médecin venu une dernière fois prendre
la tension et le pouls de la punie. Celui-ci ne s’abstient pas de lui soupeser
les « mamelles », jouer avec ses longs tétons et de lui caresser
l’entrecuisses, dont il sent la cyprine couler, état dû au stress de l’imminence
de la punition.
En voyant
faire le médecin, le président du tribunal lui dit qu’il doit cesser ses
attouchements, car la punie reste une personne et qu’à ce titre elle mérite de
la dignité !
Sur ordre
du président du tribunal, les deux gardiennes se positionnent de chaque côté de
Christie de G., munies de leur canne et commencent à cingler la punie qui hurle
dès la première fouettée. Une trainée rouge lui zèbre les fesses, suivie par une
seconde, puis une troisième. Christie de G. s’accroche à ses menottes pour
tenter de résister à la douleur qui irradie ses fesses et son bassin. Chaque
cinglée est ressentie comme une barre incandescente posée sur sa chair. Christie
de G. tente de ruer et de se débattre, mais solidement attachée, elle ne peut
que subir. Les larmes coulent et les cris se transforment en hurlements de plus
en plus stridents. Entre chaque cinglée, on entend les sanglots et les cliquetis
des menottes que Christie de G. agite en se débattant.
A un peu
plus que la moitié de la punition, Christie de G. hurle qu’elle n’en peut plus,
qu’elle a les fesses en feu et implore entre deux gémissements. Le médecin
ordonne une pause et pendant qu’il lui prend le pouls et la tension,
l’infirmière examine ses fesses couvertes de boursouflures bien rouges. Humide
de sueur, l’infirmière, compatissante, lui passe un linge mouillé sur le corps
pour la rafraichir. Pour la rassurer, l’infirmière lui dit qu’il ne reste plus
que dix cinglées à recevoir et elle aura payé sa dette. Elle va bientôt être
libre.
Lorsque Christie
de G. est calmée, le médecin donne son autorisation pour la fin de la fessée en
disant que les cannées doivent être administrées sur l’arrière des cuisses. Les
deux gardiennes reprennent leur travail et font de nouveau hurler Christie de
G. qui reprend ses contorsions.
Au
dernier coup de canne, Christie de G. a la croupe en feu et prend vraiment
conscience de la fin de sa punition lorsque les gardiennes lui retirent la
courroie et les liens des chevilles et des poignets. Christie de G. tremble de
façon incontrôlée, si bien que l’infirmière la soutient pour lui donner à boire
et l’accompagne à l’infirmerie.
Entre
temps, Irina S. est arrivée au tribunal et est convoquée à l’infirmerie pour être
avec sa voisine, le temps de son examen de sortie. En voyant les fesses et les
cuisses de son amie, Irina S. se doute qu’elle ne pourra pas s’asseoir avant
deux voire trois jours, mais l’infirmière la rassure en lui disant que ce
qu’elle voit est plus spectaculaire que grave et que les boursouflures disparaîtront d’ici moins d’une semaine. Les fessées à la canne sont très douloureuses,
mais ne sont pas graves et que Christie de G. se remettra vite. Les gardiennes
savent très bien comment faire souffrir sans blesser.
Allongée
sur le ventre, Christie de G. est heureuse de voir son amie près d’elle.
Celle-ci lui prend la main, pour la tranquilliser. Elle lui dit que ses enfants
l’attendent et qu’elle va pouvoir se reposer chez eux durant quelques jours et
que la vie reprendra son cours comme avant.
Pendant
qu’Irina S. lave Christie de G. à l’eau fraîche, l’infirmière lui étale une
crème grasse sur les fesses et sur les cuisses, permettant un apaisement
sensible de la sensation de brûlure. Pour protéger le tout, l’infirmière met
une couche à Christie de G. faisant une sorte de compresse et enveloppe chaque
cuisse dans un bandage, afin de garder la crème sur la peau. La stimulation intense
des fesses et de cuisses par la correction fait mouiller Christie de G. si bien
que l’infirmière lui conseille de garder sa couche quelques temps, nuit et
jour. Elle pourra s’en passer au bout de deux ou trois jours et qu’il ne faut
pas qu’elle s’inquiète, car être inondée de cyprine dans de pareilles
circonstances est normal car les fesses des femmes sont très érogènes et que
pratiquement toutes celles qu’elle voit passer à la fessée ont ce type de
réaction. L’infirmière a déjà vu des punis, hommes ou femmes, qui se
masturbaient de façon intense à peine arrivés à l’infirmerie, même en sa
présence.
Enfilant
simplement sa chemise comme unique vêtement, Irina S. aide son amie à se lever
et à marcher, car celle-ci avance d’une démarche peu assurée en grimaçant et
les cuisses écartées. La récente fessée et le port de sa couche ne favorisent
pas l’aisance de la démarche. En voyant la mine penaude de Christie de G.,
l’infirmière lui souhaite bon courage pour la suite.
Christie
de G. et Irina S. vont dans un bureau adjacent à l’infirmerie où elles sont
reçues par le président du tribunal, qui signe le bulletin de sortie de la
punie. Christie de G. lui dit qu’elle a compris et qu’elle fera très attention.
Les deux
femmes sont accompagnées par un gendarme au parking au second sous-sol, où se
trouve la voiture de Christie de G. et Irina S. aide son amie à s’asseoir sur le
siège passager. Christie de G. crie de douleur lorsqu’elle est assise, sentant
le feu reprendre sous ses fesses et les cuisses, ce qui la fait transpirer et
de ce fait le tissu de sa chemise lui colle à la peau, mettant en relief et
faisant largement ressortir ses formes généreuses.
Le trajet
entre le tribunal du Toulon et le domicile d’Irina S. est très douloureux pour Christie
de G. qui gémit ou crie durant tout le parcourt. Elle aura finalement payé cher
sa mauvaise conduite !
En
arrivant à la maison, Irina S. fait sortir Christie de G. de la voiture et la
fait rentrer avant que tout le quartier ne s’aperçoive de ce qui lui arrive, ce
qui serait néfaste pour sa réputation. A peine rentrée, elle s’écroule en
pleurs car folle de joie de revoir ses enfants qu’elle serre dans ses bras.
Irina S.
explique à ses trois filles pourquoi Christie de G. porte une couche et des
bandages aux cuisses qu’elle devra garder plusieurs jours. Etant entre filles, Christie
de G. demande la permission de retirer sa chemise trempée de sueur et de se
mettre à l’aise avec juste un paréo sur les épaules. Christie de G. passe la
fin de l’après-midi à se laver à l’eau fraiche, à s’hydrater, à allaiter Ambre,
à se reposer et laisser Irina S. ou ses filles lui soigner les fesses et les
cuisses. Le fait qu’elle soit prise en charge par ses voisins l’aide beaucoup,
car les deux enfants ont besoin d’attention et ce sont Ekaterina, Olga et
Iourievna qui suppléent leur mère qui se repose.
Durant le
week-end où Christie de G. est chez ses voisins, elle est obligée de faire ses besoins
à genoux, un bassin entre les cuisses, dans le jardin pour ne pas en mettre
partout, car la position assise est trop douloureuse. Cet état de fait la vexe,
car elle n’a jamais été habituée à se faire ses besoins en public et son amour
propre en prend un sacré coup. Elle est toute rouge en se rendant dehors avec
son bassin.
Le
Dimanche matin, les hanches simplement ceint d’un paréo et d’un long tee-shirt,
Christie de G. va se promener avec ses amis pour se dégourdir les jambes. Elle
doit reprendre ses activités courantes. La marche n’est pas très aisée, mais
avec les soins, sa mobilité reviendra vite.
Dès le
Lundi, Christie de G. est convoquée chez sa responsable qui lui demande de ses
nouvelles et de lui donner le verdict du tribunal. Christie de G. est fière de
répondre qu’elle n’a pas perdu son permis, mais qu’en revanche, elle a reçu
trente coups de canne sur les fesses et sur les cuisses et c’est la raison du
port de son pantalon. Elle pourra remettre un tailleur de rigueur d’ici la fin
de semaine, car les traces auront disparu ainsi que la douleur et que seuls des
picotements seront encore perceptibles lorsqu’elle s’assoie.
Avec
l’aide qu’Alexei S. et qu’Irina S. lui auront procurée durant cette période
troublée, une sincère amitié réciproque sera indéfectible.
Une série écrite par Elena
Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? Pas certain.
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 10 acte 2Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités
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C'est un vieux fantasme, mais je ne vois pas pourquoi on ne proposerait pas des châtiments corporels alternatifs aux peines ou aux amendes pour certaines infractions. On peut aussi l'envisager en terme de discipline domestique pour sanctionner certains comportements, se mettre en règle avec soi-même et être dissuadé de recommencer. C'est d'ailleurs ce que propose Madame Anne-Sophie mais elle n'est plus en région parisienne.
RépondreSupprimerDans cette épisode, je trouve que Christie de G s'en sort bien vis-à-vis de sa supérieure Marie-Laure D car son retard a été préjudiciable à un gros client et qu'il aurait pu changer de partenaire. Marie-Laure D pourrait montrer la bonne volonté de sa société en proposant au client de fixer lui-même la sanction qui lui paraît appropriée pour sa commerciale. Au risque, si le client est un brin pervers, que celui-ci lui démontre que cette commerciale a elle-même une responsable hiérarchique et que de son point de vue les deux sont solidairement responsables au titre du préjudice qu'il a subi de la société...
Ouh là ! C'est une remarque de haut vol. Je n'y avais pas pensé du tout et c'est une excellente idée. Il faudra que je réfléchisse davantage pour intégrer des éléments de ce genre qui demandent à être développés. Merci pour les axes de réflexions.
SupprimerAmitiés.
Elena
Ouh là ! C'est une remarque de haut vol. Je n'y avais pas pensé du tout et c'est une excellente idée. Il faudra que je réfléchisse davantage pour intégrer des éléments de ce style qui demandent à être développés.
RépondreSupprimerMerci pour les pistes de réflexions.
Amitiés.
Elena.
Bonjour à toutes et tous!
RépondreSupprimerEt bien mesdames et messieurs il s'en passe de belles dans les sous sols du tribunal de Toulon. Ville autrefois célèbre pour son bagne dont Jean Val Jean ( héros du roman de Victor Hugo "les Misérables") réussit à s'évader. Et c'est bien du bagne dont il s'agit pour la malheureuse Christine G qui y subit un véritable calvaire.
Sont ce les influences de la littérature Russe sur l'inspiration de notre amie Héléna ? Nous sommes plus proche de "Crime et Châtiment" que des petites fessées bluettes de la Comtesse de Ségur.
Atmosphère, atmosphère! Plutôt torride dans ce chapitre 11, qui propose un condensé de toutes les turpitudes possibles en guise d'expiation des fautes dans une surenchère d'humiliation proche de l'avilissement. L'infraction au sens interdit, n'interdit rien en matière de sanction salace. Parce qu'on n'y va pas avec une baguette magique.
La fessée à la canne (on peut dire raclée!)est administrée sans concession après l'intervention d'un toubib pervers pour un contrôle vicieux de la pauvre femme ravalée, un moment, au rang animalier. On rend l'outrage à agent par l'outrage à la contrevenante qui paye très cher le prix de sa rebellitude!
Tout y passe, du palpage et soupesage des "mamelles" au touché vaginal
avec dégoulinure de cyprine. Les fesses sont passées à la crème assouplissante comme on attendrit une viande trop ferme.
Heureusement, notre auteure, magnanime, calme un peu les nerfs en soulignant l'intervention magnanime du président du tribunal qui réclame de la dignité à la personne! Après ce qu'elle vient de subir avant même que sa correction commence, ça ne manque pas d'humour... cynique!
Et ça se termine le derrière boursoufflé, sanglé dans une couche culotte pour éviter les fuites! De quoi vous inciter à vie à s'abstenir de commettre des infractions au code de la route... Même avec deux enfants en bas âge. Im-pi-to-yable on vous dit!
Le plus drôle de l'histoire, notre amie Héléna semble fervente adepte du "tout le monde à poil" pour recevoir la fessée. Mais quand il n'y a plus de système pileux après une (douloureuse ) épilation en règle ... Comment qu'on fait quoi ?? (Rires, à la Peter)
En tout cas, pas de quartier, chapitre impressionnant et spectaculaire à bien des égards. On en a le poil qui se hérisse!
Cordialement
Ramina
Bonjour, Elena. Et bonjour tout le monde!
RépondreSupprimerAprès la coach sportive, au tour d'une conductrice pressée de se voir infliger une bonne correction. Ce ne sont plus des étudiantes et étudiants qui "y ont droit" désormais, mais des femmes plus âgées et installées dans la vie. La situation, pour elles, n'en est que plus humiliante. Certes, le président du tribunal lui laisse le choix, un choix qui, au fond, n'en est pas vraiment un.
Et nous voilà partis pour une longue correction qui se déroule selon un "cérémonial" qui a pour but de bien marquer la coupable de telle façon qu'elle ne soit pas tentée de récidiver. Elle le sera d'autant moins que le châtiment va être très appuyé et provoquer chez elle des manifestations physiques mortifiantes.
Ce que j'apprécie, entre autres, dans vos récits, c'est que la correction ne prend pas fin avec la fessée proprement dite. On le croit. On se l'imagine. On pousse un soupir de soulagement avec la punie. Mais en réalité, on joue les prolongations. Il y a, bien sûr, la douleur physique qui va lanciner quelques jours durant, mais il y a aussi les témoins directs ou indirects, toutes les personnes mises au courant, par la force des choses, de ce qui s'est passé et dont il faut affronter les regards. Regards dans lesquels elle pourra interminablement lire, ultérieurement, le souvenir de la correction qui lui a été infligée.
Vous lire est toujours un véritable enchantement.
Amicalement.
François
Bonjour François.
SupprimerUn grand merci pour vos encouragements et vos compliments. C’est très agréable. Je mets beaucoup d’intensité dans mes textes afin qu’ils soient intéressants et un brin coquin ! Dans certains, j’y inclus des éléments de ma culture et tout cela les rends très proches de moi et intimistes !
François, vous avez parfaitement vu la portée de mes textes. Je les souhaite moralisateurs, à savoir que les punis doivent être parfaitement conscients de la gravité de leurs fautes et le fait qu’ils paient de leur personne pour les expier rend leur repentance plus belle. Outre la douleur et l’humiliation de la correction à proprement parlé, il y a aussi, en arrière-plan, mais bien présent le fait que les spectateurs directs ou indirects auront un regard très critique sur le ou la punie et cet état de fait restera gravé toute leur vie, à n’en pas douter. Cette vexation de tous les instants prouve bien la volonté de la personne punie de se réhabiliter aux yeux de tous.
Si une telle situation m’arrivait, je me sentirais rabaissée et je ne serais plus enclin à rééditer la ou les fautes pour lesquelles j’aurais été corrigée. J’y réfléchirais à deux fois avant de fauter à nouveau. Mais c’est bien le but de ces corrections !
Amitiés.
Elena
Bonjour Elena,
SupprimerJe pense aussi que toute fessée punitive d'adulte doit pour être complète, réelle et efficace ne pas seulement être cuisante pour les fesses de la personne mais aussi pour son ego. Quand un adulte ne s'est pas comporté en adulte, il faut que la partie humiliation (qui n'est pas là pour dégrader ou rabaisser en soi mais aider à se relever en passant par l'humilité contrainte et la mise face à ses responsabilités) soit pleinement présente dans la punition. A cet égard, la réprimande avec des mots choisis est la première étape mais elle doit s'accompagner de l'obligation pour la personne punie de verbaliser, de reconnaître très concrètement en quoi, pourquoi elle s'est mal comportée et la légitimité de la punition. Faire ensuite se déculotter elle-même la personne est le moyen de lui faire participer à sa punition donc de démontrer qu'elle assume ce qu'elle reconnaît mériter. Après la fessée elle-même, une période de pénitence au coin me paraît fondamentale pour permettre à l'adulte de se demander pourquoi il a subi ce moment d'impuissance et en quoi il doit s'amender pour le futur. L'adulte pourra ensuite donner son état d'esprit et ses bonnes résolutions en même temps qu'il remerciera d'avoir été corrigé.
En ce qui concerne la présence de témoins (je parle de discipline authentique pour des faits réels, pas de fiction), je suis plus réservé, surtout si nous ne sommes pas dans un cas de récidive. Qu'un tiers ayant été lésé soit informé de la punition ou même présent a bien sûr sa légitimité (d'autant qu'il est pédagogiquement bon que des excuses lui soit présentées). Si d'autres personnes sont présentes, je pense qu'il faut qu'elles soient soigneusement choisies car il ne faut pas de conséquences irréversibles quant à la vie sociale de la personne punie. La menace de la présence de tiers choisis peut toutefois être très dissuasive en cas de circonstances aggravantes (dont la récidive bien sûr).
Je serai ravi d'échanger nos points de vus plus concrètement en messages privés si vous en êtes d'accord.
Amitiés,
Doumik
Bonjour Doumik,
SupprimerMerci pour ce commentaire plein de justesse. Oui, en effet, je ne peux qu’être tout à fait d’accord sur votre théorie, à une exception près, c’est que les corrections d’adultes ne sont que pures fictions. Ce qui en découle relève du fantasme.
On corrige des enfants, des ado ( et encore ), car leur perception immature est encore en train de se forger. Ils apprennent en fautant plus ou moins gravement. Ce n’est pas pour rien que dans mes fictions, je prends de très jeunes adultes ( juste dix-huit ans ou juste un peu plus ), pour moi, plus proche d’un cas réel. Pour les adultes, si nous voulons transposer, ce serait des peines de prison avec ou sans sursis ou des peines de travaux d’intérêt général, bref, tout sauf des corrections.
Dans mes fictions, j’y mets tous mes fantasmes, avec tous les excès que cela peut engendrer. Mais je pense que c’est le cas de tous les textes de ce Blog.
Amitiés
Elena.
Cher Ramina,
RépondreSupprimerMerci pour votre commentaire haut en couleur. En effet, dans toutes mes fictions, des constantes reviennent, quel que soit le thème abordé.
Il est clair qu'après ça, Christie de G. s'y prendra autrement pour arriver à l'heure à ses rendez-vous professionnels.
J’aime mettre un peu de piment dans mes fictions, avec quelques humiliations pré et post punitions, de sorte que le ou la punie s’en rappelle un bon bout de temps et prenne en compte les règles de la société. Toute infraction mérite un punition.
Amitiés.
Elena