« Cela suffira-t-il pour te faire obéir ou faut-il
quelque chose de plus sérieux ?
– Non, Mademoiselle Lorena, s'il vous plait, je vais obéir,
je vais obéir ! »
Encore deux ou trois claques de chaque côté.
« Voyons cela. En route ! »
La dernière claque sur les fesses propulsa Béatrice sur le
palier. Sa culotte qu’on apercevait dépassant sous sa jupe n’était plus un
obstacle. Elle savait qu’à la moindre plainte, la fessée reprendrait. Des
larmes remplissaient ses yeux. Lorena savait, en quelques claques sur les
fesses, administrer une correction bien sentie.
Elle regarda rapidement vers les étages supérieur et
inférieur, heureusement personne. Béatrice souffla. Certes, elle avait de
nouveau les fesses brûlantes, mais sa fessée n’avait pas eu de témoin. C’était
donc un moindre mal.
Lorena la conduisit devant la porte de son appartement. Il
n’y avait que cinq ou six mètres à parcourir, mais, la culotte à hauteur des
genoux, ils semblèrent bien plus long à Béatrice qui pleurait toujours à
grosses larmes.
« Excusez-moi, dit la voix d’une personne que ni
Béatrice ni Lorena n’avaient entendu arriver. »
C’était un voisin qui habitait à l’étage du dessus. Lorena
ne le connaissait pas, mais Béatrice l’avait souvent croisé dans l’ascenseur.
Elle baissa la tête. L’intrusion d’un tiers était ce qu’elle redoutait le plus.
« Il y a un problème ? Je vois que vous pleurez,
Madame, puis-je faire quelque chose ?
– Je ne crois pas Monsieur que Béatrice ait besoin que vous
interveniez. Je crois que tout est normal. »
Béatrice n’était pas de cet avis.
« Comme s’il était normal, se dit-elle, que je reçoive
la fessée d’une aussi jeune fille. Non, comme s’il était normal que je reçoive
la fessée de qui que ce soit ! »
Mais elle n’osa pas exprimer son désaccord ouvertement.
Lorena ne l’avait pas autorisée à parler. Le Monsieur n’eut pas l’air convaincu
par ce que Lorena lui avait dit.
« Oui, je vois. Je préfèrerai l’entendre de la bouche
de cette dame, si vous le permettez. C’est elle qui se trouve dans une
situation qui ne semble pas lui convenir complètement. Vous comprenez…
– Je vous remercie, Monsieur, répondit Lorena, mais il n’y a
aucun souci. Je viens d’administrer une fessée à Béatrice. Il est donc normal
qu’elle pleure. Autrement, ce ne serait pas une punition. »
Béatrice rougit et baissa la tête. Lorena mettait tout sur
la table.
« Vous savez,
continua Lorena, quand on a les fesses bien rouges… »
La dernière fessée qu’elle avait reçue avait ôté toute
volonté de s’opposer à Lorena. Béatrice la laissa donc faire quand elle
s’empara de son bras, la mit face à elle, et la ceintura de son bras. Elle eut
à peine le temps de se demander si une nouvelle fessée était en préparation.
Courbée sous le bras de Lorena, Béatrice sentit qu’on relevait sa jupe, mettant
ses fesses nues sous les yeux du voisin qui venait d’arriver.
« Vous voyez ! Je serais d’ailleurs étonnée que
vous n’ayez pas une petite idée de ce qui s’est passé. Vous avez dû entendre ma
main claquer les fesses de Béatrice et celle-ci réagir à la cuisson de ses
fesses, n’est-ce pas ? »
Le Monsieur se troubla. Il ne s’attendait pas à une approche
aussi frontale.
« C’est simple, notre Béatrice a désobéi. Elle avait
besoin d’une fessée, elle l’a eue. Tout est en ordre, vous ne croyez pas ?
– Oui, en effet. »
Il ne savait plus quelle contenance prendre, face à cette
situation inattendue.
« Je pense donc qu’elle n’a pas besoin d’aide. »
Une petite claque sur les fesses de Béatrice pour récupérer
son attention.
« Et toi, Béatrice qu’en dis-tu ? A part
l’assistance que je t’apporte, as-tu besoin d’une aide particulière de la part
de ce Monsieur ?
– Non Mademoiselle Lorena, tout est normal.
– Vous voyez ? Je vous l’avais dit ! »
Lorena libéra Béatrice dont la jupe, en se relevant, couvrit
les fesses et les cuisses. Elle retrouva une tenue plus conforme à celle d’une
dame de son âge, si l’on excepte sa culotte qui apparaissait sous sa jupe. Les
joues de Béatrice étaient toutes rouges et elle ne voulait pas croiser le
regard du Monsieur.
« Oui, je vois. Il semble que tout soit en ordre. Vous
comprenez, une fessée, ce n’est pas habituel. J’ai cru que…
– Mais je comprends parfaitement. Ce n’était effectivement
pas habituel, mais cela pourrait le devenir étant donné que ma mère assure le
rôle de tutrice non seulement auprès de Béatrice, mais également pour Laure et
Denis qui habitent là. »
Elle désignait du menton la porte de leur appartement.
« Cela fait trois personnes à qui il faut donner une
fessée quand elles en ont besoin et cela ne se passera pas toujours derrière la
porte fermée de leur appartement. Vous pourriez donc être prochainement témoin
d’une séance de recadrage dont nos pupilles ont régulièrement besoin. La fessée
fait partie de leur éducation.
– S’il s’agit d’éducation…
– C’est exactement cela.
– Pardonnez ma méprise. Je ne savais pas. Ce que vous faites
est donc très utile. Je vous laisse à vos obligations. »
Il bredouillait ce qui rendait son propos à peine
intelligible. Il semblait maintenant pressé de partir. Le Monsieur remonta les
marches par lesquelles il était arrivé. Il était aussi rouge que Béatrice. La
situation l’avait visiblement déstabilisé.
« La vue de tes fesses rougies par la fessée l’a
impressionné. Au moins les choses sont claires, maintenant. Allez,
avance ! On n’a pas que ça à faire. »
Ce n’est qu’une fois rentré chez Béatrice que celle-ci
s’aperçut qu’elle avait laissé son manteau et ses chaussures dans l’appartement
voisin.
« Tu ne pouvais pas y penser avant ? Tête de
linotte ! »
Une claque sur les fesses souligna la remarque. C’était à
travers la jupe, il n’y avait donc pas de dommage.
« Je vais les chercher. Mets-toi au coin en
m’attendant. »
Lorena désignait l’angle que faisaient deux murs dans
l’entrée de l’appartement. Béatrice s’y dirigea en soupirant un peu trop fort.
Lorena fronça les sourcils.
« Encore une manifestation d’impertinence, se dit-elle.
Cette pimbêche n’a pas encore compris ! »
Elle suivit Béatrice, remonta sa jupe et elle lui administra
une dizaine de claques sur les fesses qui étaient nues cette fois-ci.
« Je vais t’apprendre à être insolente ! »
Il y eut quelques couinements de Béatrice qui chercha à se
faire discrète.
« Tiens ta jupe relevée. Ça te rappellera que ta
punition n’est pas terminée. Apparemment tu n’as pas encore passé assez de
temps au coin aujourd’hui pour apprendre à obéir sans discuter. Ne bouge pas de
là avant que je revienne ! »
Béatrice entendit la porte de son appartement se refermer.
L’air frais sur ses fesses réactiva son envie d’aller aux toilettes.
« Pourvu que Lorena revienne vite ! »
Attendre. Elle devait attendre.
Madame Caroni trouva Denis et Laure au coin, comme elle s’y
attendait, l’un dans la chambre et l’autre dans la cuisine. Ils tressaillirent
quand elle fit volontairement un peu de bruit dans leur dos pour leur signaler
sa présence, mais ils ne tournèrent pas la tête pour identifier de visu leur
visiteur.
Il aurait été ennuyeux et humiliant d’être vu dans cette
position infantilisante. Qu’auraient-ils pu donner comme explication si une
personne étrangère les avait surpris le nez dans le coin et les bras croisés
dans le dos ? Il aurait été évident pour tout le monde qu’ils étaient
punis.
Devoir se tenir au coin à leur âge ! Voilà qui n’était
pas commun pour la plupart des personnes, mais qui était, pour eux, une
habitude à laquelle il fallait se plier. Madame Caroni l’exigeait. Dans la
situation présente, c’était un moindre mal. Leur voisine n’avait pas demandé à
ce qu’ils se tiennent en pénitence culotte baissée. Les apparences étaient à
peu près sauves, mais il était préférable de rester sagement au coin plutôt que
de mériter une nouvelle fessée. Il y avait peu de risque que ce soit une autre
personne que Madame Caroni qui pénètre ainsi dans leur appartement. Il n’y
avait que trois personnes qui en détenaient la clé, leurs mères et leur
voisine. C’était donc probablement l’une d’elles, il fallait l’espérer.
Madame Caroni décida de les laisser là où ils étaient, le
temps d’inspecter leur travail. Elle commença dans la cuisine. Laure avait fini
de nettoyer le premier placard et le deuxième était également propre. Par
contre, elle n’avait pas touché au troisième. Les conséquences de son
dilettantisme du début de la soirée.
« Une bonne fessée de rappel est indispensable, se dit
Madame Caroni. »
Laure, dans son coin, était tendue. Elle devait s’attendre à
être punie. Elle savait que son travail de la soirée n’était pas suffisant.
Madame Caroni devait faire son devoir.
« Laure, viens ici ! »
Elle se présenta aux pieds de Madame Caroni, tête basse.
Celle-ci lui remonta le menton jusqu’à croiser son regard.
« Les deux placards que tu as nettoyés sont bien
propres, je te félicite. »
Les joues de Laure rosirent de plaisir. Elle aimait bien
quand Madame Caroni était contente d’elle.
« Le troisième placard n’a pas été touché. C’est
exact ? »
Laure hocha la tête. Une petite claque sur les fesses la
rappela à l’ordre. Laure avait tendance à oublier les règles élémentaires de
politesse envers les grandes personnes.
« Tu me réponds lorsque je te questionne !
– Oui Madame. Je n’ai pas eu le temps.
– Tu n’as pas eu le temps parce que tu as commencé par
t’occuper de ton téléphone, n’est-ce pas ?
– Oui Madame.
– Si, comme je te l’avais demandé, tu t’étais mise à ton
travail dès que tu étais arrivée, tu aurais nettoyé le troisième placard.
– Oui, Madame.
– Bien ! Nous allons éviter que cela ne se reproduise.
Va chercher ton téléphone ! »
Laure ouvrit des grands yeux épouvantés. Son téléphone ?
Pour quoi faire ? Elle obéit cependant. Quand elle revint, Madame Caroni
tendit la main et Laure y déposa son smartphone. La voisine ouvrit le
téléphone, ôta la batterie et posa le téléphone sur le coin d’une étagère, la
batterie posée à côté
« Tu n’as pas le droit d’y toucher pendant toute une
semaine. Il restera là. Est-il besoin de te préciser ce qui t’arrivera si tu
n’obéis pas ? »
Laure secoua la tête, puis se ravisant.
« Oh non, Madame !
– Demain soir, tu nettoieras ce placard et tu feras
également les trois du haut ainsi que le frigidaire. »
Le visage Laure se rembrunit. C’était beaucoup à faire en un
seul soir. Elle n’aurait jamais le temps.
« Je sais que c’est beaucoup, dit Madame Caroni, mais
cela fait partie de ta punition pour le travail que tu n’as pas fait
aujourd’hui. Si tu t’y mets dès que tu arrives et que tu travailles dur, tu y
arriveras. Bien sûr, tu auras une fessée si tout n’est pas fini quand je
viendrai contrôler. »
Laure fit une petite moue, mais elle acquiesça.
« Oui Madame. »
Elle comprenait la logique de Madame Caroni. Elle était
punie par là où elle avait failli aujourd’hui.
« Cela devrait être plus simple demain. Tu n’auras plus
ton téléphone pour te distraire. »
Laure soupira. Madame Caroni était sévère, mais juste.
« Il reste, bien entendu la fessée pour le travail qui
n’est pas fait. Je crois que tu l’as bien méritée.
– Oui Madame, dit Laure d’une voix faible et tremblante.
– Alors mets-toi en place. »
Laure baissa la tête pour passer sous le bras de Madame
Caroni. Elle retrouva vite les sensations familières, à la fois rassurantes et
inquiétantes. Après cette fessée, elle en aurait fini, du moins
l’espérait-elle.
Posément, sans se presser, Madame Caroni releva la jupe et
la fixa dans le dos de Laure sous son propre bras. Les cuisses de Laure
tremblaient légèrement. C’était la peur de la fessée maintenant toute proche.
Madame Caroni ne s’était pas munie d’un instrument punitif, mais Laure savait,
pour l’avoir éprouvé plusieurs fois, que la main de sa voisine suffisait pour
lui faire regretter le travail qu’elle n’avait pas fait.
Madame Caroni baissa la culotte. Elle la laissa à
mi-cuisses. Il y avait ainsi largement assez de place pour corriger Laure.
« Bon, se dit-elle, une petite fessée rapide mais
cuisante. Ce sera plus sérieux demain si ma grande chipie n’aura pas fait son
travail. »
Elle commença une fessée rapide et énergique. Laure n’avait
pas le temps de crier sa douleur une fois que la main de Madame Caroni s’était
retirée, qu’elle était déjà de retour pour une deuxième application sur
l’épiderme de Laure. Elle persista jusqu’à ce que le rouge des fesses soit bien
net
Laure criait et
suppliait depuis longtemps. Aucun de ses mouvements ne montrait une tentative
de se soustraire à la punition qu’elle avait admis avoir méritée. Madame Caroni
sourit tout en continuant la punition. Quelle différence avec la première fois
qu’elle lui avait baissé la culotte.
Laure savait que la fessée était nécessaire et que rien ne
ferait changer d’avis sa tutrice. Se débattre serait toujours aussi inefficace
et la conduirait sans aucun doute possible, vers une deuxième fessée. Elle
préférait subir bravement la première et s’en tenir, tout en essayant
d’améliorer son comportement pour éviter les suivantes. Pour l’instant, elle
était loin d’y arriver.
« Va te mettre au coin dans la chambre en attendant que
je sois prête à te mettre au lit ! »
Laure s’y dirigea sans attendre. C’était dans l’ordre des
choses. Madame Caroni la regardait marcher avec empressement vers son lieu de
pénitence. Elle n’avait pas besoin d’aller vérifier. Laure s’y mettrait
sagement, exactement comme elle le lui avait appris. Cela faisait partie des
acquis de ces deux premières semaines.
Denis avait entendu le bruit de la fessée donnée à Laure. Le
calme relatif qui avait suivi, troublé uniquement par les pleurs de Laure
traversant l’appartement pour aller dans la chambre.
« Sans doute pour aller au coin, se dit-il. C’est
presque toujours le cas après une fessée. »
Ce serait bientôt son tour. Passerait-il l’examen
pointilleux de sa voisine ? Rien de moins sûr. Le repassage n’était pas
son fort, mais Madame Caroni avait décrété que les tâches ménagères devaient
être partagées équitablement. S’occuper du linge était tombé dans son
escarcelle cette semaine. Madame Caroni se faisait fort de leur apprendre à
tous les deux tout ce qu’il y avait à faire dans une maison. L’apprentissage et
le travail mal fait de finissait systématiquement par une fessée.
Bien qu’il ait eu l’impression d’apprendre vite, il oubliait
toujours quelque chose et le niveau d’exigence de Madame Caroni était très
élevé. Recevoir la fessée était courant, presque tous les soirs. Depuis une
petite semaine, Madame Caroni soulignait aussi ses réussites et la bonne
volonté qu’il mettait dans son travail. Cela le remplissait de fierté. Madame
Caroni était sévère, mais juste.
« Alors, Denis, où en es-tu du repassage ? »
Son cœur bondit dans sa poitrine. C’était l’heure de vérité.
« Montre-moi ce que tu as fait ! »
Précédant Madame Caroni, il se dirigea vers la chambre. Il
ne devait plus y avoir aucun vêtement sale qui traînait. Il y avait veillé,
vérifiant deux fois que rien ne lui avait échappé. C’est du côté du pliage et
du rangement que se concentraient ses craintes.
« C’est bien ! Cela semble propre et bien rangé,
remarqua Madame Caroni. »
C’était ce genre d’appréciation qui faisait plaisir à Denis.
Il les attendait avec gourmandise. Laure se tenait dans son coin. Elle tournait
le dos et elle n’avait fait le moindre geste en les attendant entrer dans la
pièce. Ses fesses étaient encore ross bien foncé.
« Voyons si ton travail résiste à un examen plus
approfondi. »
Madame Caroni fouilla dans tous les coins. Ni sous le lit,
ni derrière la porte, elle ne trouva quoique ce soit qui ne soit pas à sa
place.
« Et dans l’armoire ? »
Elle en ouvrit en grand les deux battants. Cela donnait une
impression d’ordre. Madame Caroni alla y voir de plus prêt. Elle avait l’œil
assez acéré pour y repérer les problèmes.
« C’est quoi cette chemise mélangée avec les corsages
de Laure ? Ne t’avais-je pas dis de les séparer ? Un tas de
chaque ?
– Si Madame. Je me suis trompé.
– Tu t’es trompé ou tu n’as pas fait attention ? Cela
revient à peu près au même, non ?
– Oui Madame… euh, non…
– Remets-moi ça en ordre ! »
Fébrilement, Denis s’attaqua à la tâche. Cela méritait-il
une fessée ? Il fallait rectifier le rangement au plus vite.
« Fais attention, le prévint sa voisine, tu vas tout
faire tomber ! Va plus doucement ! »
Il n’était plus attentif aux conseils qu’on pouvait lui
donner. Le stress lié à la crainte de la fessée. Il se hâta tellement, qu’il
fit tomber tout le tas de chemises.
« Qu’est-ce que je t’avais dit ! Quel
maladroit ! Incapable de faire quelque chose posément, sans se précipiter.
Cela fait au moins trois fois que je te le dis cette semaine ! »
C’était vrai. Il avait fait la même erreur trois fois. La
dernière fois, Madame Caroni avait été très claire. Elle lui avait fait une
promesse qu’il fallait tenir maintenant. Elle avança vers Denis et le courba
sous son bras. Denis se laissa tomber à genoux. C’était un rituel bien huilé,
Il savait se mettre en position pour recevoir la fessée, sans en discuter la
pertinence.
Sans le lâcher, sa voisine l’écarta un peu de son genou pour
atteindre la ceinture du pantalon. Denis la sentit se défaire avec fatalisme. Son
pantalon fut descendu le long de ses cuisses et Madame Caroni souleva Denis un
peu pour passer le vêtement sous les genoux. La culotte baissée, il serra les
dents.
Plaqué contre la jambe de Madame Caroni, il reçut une
vigoureuse fessée. il était question qu’à l’avenir il se souvienne de prendre
le temps qu’il fallait pour effectuer une tâche qui demandait de l’application.
Une bonne fessée y aiderait certainement.
Vous avez loupé le début de l'histoire ?
Pas de problème, voici comment tout cela a commencé : le chapitre 1
... et ce qui s'est passé juste avant : le chapitre 7
On peut tous les retrouver sur la page "mes récits"
... et ce qui s'est passé juste avant : le chapitre 7
On peut tous les retrouver sur la page "mes récits"
Il y a une suite, bien sûr !
le chapitre 9.
Les commentaires...
Ils sont les bienvenus, voire un peu plus. Lâchez-vous ! Laissez-vous aller ! Exprimez-vous ! N'hésitez pas à dire ce que vous en pensez ! Bref, on attend vos contributions.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.