Arrivé chez le dentiste, une personne
seulement est dans la salle d'attente. Toutefois il s'agit d'un jeune homme de
l'âge de Julien. Julien redoute que sa mère le rabaisse à nouveau. Il prend
soin de retirer sa casquette et de se tenir correctement. Malheureusement le
temps d'attente est un long et Julien à la mauvaise idée de manifester son
impatience par quelques soupirs.
« Julien faut - il que je sorte le
martinet, pour t''apprendre à patienter ? Veux-tu montrer tes fesses ?
- Non maman répond Julien. »
Il a envie de disparaître sous terre. Le jeune
homme assis en face lui a un sourire moqueur.
Le reste de la "séance dentiste"
s'achève plutôt bien mais la pire des humiliations attend Julien juste après à
la brasserie ou sa mère a donné rendez-vous à deux de ses amies.
Ils y retrouvent Vanessa et Karine, deux très
belles femmes, dans le style de Valérie, ainsi que Léa la fille de Karine qui a
20 ans. Julien les connaît bien sûres toutes et il sait que par le passé Léa
s'est elle aussi retrouvée souvent les fesses à l'air pour être corrigée.
Après les salutations d'usage, madame Lafitte
sort de son sac une affiche en carton avec deux ficelles.
« Julien approche. Tourne-toi
ordonne--elle. »
Elle accroche comme un sac à dos la pancarte
au dos de son fils. Il y'a écrit dessus " JE FAIS PIPI DANS MA
CULOTTE"
« Peut-être que cela te permettra
d'éviter de souiller tes couches mon garçon. Et rassure-toi cela ne te
dispensera pas de la fessée que je t'ai promise pour ce soir annonce Madame
Lafitte. »
Confus Julien lit très vite l'inscription sur
sa pancarte grâce aux miroirs disposés dans toute la brasserie. Sa mère le
place assis sur son tabouret de manière à ce que tous les clients du restaurant
puissent lire la ce qu’il y a d’écrit sur son dos.
Julien n'ose plus relever la tête tandis que
Léa ne peut s'empêcher de rire sous cape. Bien entendu la discussion tourne
autour de son accident de ce matin. Les deux femmes n'hésitent pas à lui faire
part de leurs désapprobations. Il se sent la risée de tout l'établissement.
Quand sa mère l'envoi se laver les mains avant
le déjeuner, il doit traverser tout le restaurant avec son affiche dans le dos.
Il est accompagné par Léa qui a dû elle aussi passer par la case toilette.
Cette dernière en rajoute un peu.
« Attends-moi quand tu auras terminé,
gros bébé, lui lâche-t-elle en rentrant dans les WC réservés aux dames.
Julien a l'impression de vivre le plus long
repas de toute sa vie. Dès qu'il entend un rire, il a l'impression que ce sont
des moqueries à son égard. Pour ne pas en rajouter, il fait bien attention à
respecter toutes les règles que sa mère lui impose. Cela ne lui empêche pas les
recommandations d'usages dites assez fortes et qui montre qu'il est encore un
enfant accompagné de sa maman qui prend soin de lui.
Au moment du dessert, il est question des
vacances que les trois femmes doivent prendre ensemble la semaine prochaine. Au
fur et à mesure que la discussion se poursuit, Valerie évoque le problème pour
garder Julien. Finalement il est convenu que Léa sera sa baby-sitter.
Julien rage intérieurement. Être gardé, à son
âge, par une fille qui n’a qu’un an de plus que lui. Une fille qu’il a vu
prendre des fessées. Léa, quant à elle, est ravie de la confiance qu'on lui
accorde.
L'après-midi est réservé au shoping. Madame
Lafitte a eu l'indulgence de retirer à Julien sa pancarte pour se promener dans
la rue et aller dans les magasins.
Dans un premier temps, Julien fait bonne
figure. En effet il trouve l'après-midi pénible entre les essayages de sa mère
ou les siens. Madame Lafitte multiplie les achats pour elle et lui.
Au bout d'un moment, bien qu'il sache qu'une
terrible bastonnade l'attend dès le retour à la maison, Julien aimerait que
cette séance shoping prenne fin. Il trouve le temps long et il commence à le
manifester en n'arrêtant pas de soupirer.
« Tu peux arrêter de souffler toutes les
dix secondes je te prie lui intime sa mère. »
Julien tente de se maîtriser mais alors
qu'elle lui fait essayer encore un bermuda, Julien montre une nouvelle fois son
agacement.
« Bon Julien je t'avais prévenue déclare
sa mère en sortant le martinet de son sac à main. »
Elle sort son fils de la cabine devant la
vendeuse médusée, lui baisse son slip et en le tenant fermement par le bras et
lui inflige une dizaine de coup de martinet. Comme si de rien n'était, elle lui
remet son slip et demande à la vendeuse si elle peut lui apporter le même en
rouge et en vert.
« Quant à toi mon garçon en plus de la
fessée promise pour ton pipi culotte de ce matin, tu en recevras une autre ce
soir pour ton attitude de cet après-midi !
Dès le retour à la maison, vers seize heures,
Madame Lafitte ordonne à son fils de pendre sa casquette, de retirer ses
sandales et de mettre ses chaussons.
« Et maintenant vas te mettre au coin en
attendant que je range nos emplettes. Tu recevras ta première correction après.
N'oublies pas de bien coller ton nez au mur et ne t'avises pas de
bouger. »
Julien est très angoissé. Il se tient du mieux
possible. Sa mère s'affaire à ranger tous les achats de l'après-midi. Quinze
minutes plus tard elle fait siffler dans l'air une baguette en bambou qu'elle
vient de descendre du jardin. Julien connaît ce bruit qui lui est familier et
c'est tout tremblant qu'il rejoint sa maman.
« Julien pourquoi vais-je te punir ?
- Car j'ai fait pipi dans ma couche ce matin
maman.
- Exactement et c'est une faute extrêmement
grave mon garçon. Et qu'est-ce que cela mérite ? »
Julien les yeux baissés répond timidement une
fessée
« Une fessée ? Oui c'est peu dire mon
garçon. Je vais t'infliger une bonne correction. Place les mains sur ta tête le
temps que je déculotte. »
Julien s'exécute et il a déjà les larmes aux
yeux au moment où sa mère lui retire complètement son short et son slip. Elle
prend son temps. Elle replie les affaires de son fils. L'attente augmente
l'angoisse de Julien. Madame Lafitte se saisit de sa baguette.
« Mets-toi en position Julien. Je
suppose que tu te souviens de ce que j'attends ... »
Julien se place au bout de la grande table. Il
couche son torse sur la table et place ses mains de chaque côté.
« Ecarte les jambes... Mieux que ça
commande sa mère. Elle remonte le pan de chemise de son fils et le fait encore
attendre un peu... »
Tout en marchand et en faisant claquer ses
talons, elle refait la morale à son garçon.
« Je vais te regretter ton attitude
Julien. Ton comportement inadmissible mérite une sanction exemplaire. Tu vas
recevoir 20 coups de trique. Après tu retourneras au piquet et je tu seras de
nouveau fessée après pour ton comportement dans les magasins cet
après-midi. »
Le premier coup tombe. Suivit du second et du
troisième. A chaque coup julien lève un pied et pousse un cri de douleur mais
parvient à garder la position. Quant au 10ème il tente de se redresser, la main
de sa mère le replaque aussitôt. C'est à gros sanglots que se termine la
correction.
« A genoux ordonne Valérie à son
fils. »
Il se relève difficilement, se tourne vers sa
maman et fait l'effort de s'agenouiller devant elle. Les yeux baissés, il
demande humblement pardon et la remercie.
Elle lui caresse doucement les cheveux et le
mouche avec un mouchoir en papier
« Tu seras totalement pardonné après ton
piquet mon chéri. Tu es aussi, pour l'ensemble de ton œuvre, privé de sortie
jusqu'à la rentrée. Maintenant au piquet et pense à bien exposer tes fesses.
Julien a bien du mal à tenir la position
exigée. Ses fesses et ses cuisses le font énormément souffrir. Au bout d'un
petit moment, comme il n'entend aucun bruit, il se retourne et tente de voir
l'état de ses cuisses. Il se caresse doucement les fesses pour essayer
d'atténuer la douleur. Il n'entend pas sa mère arriver. Elle a quitté ses
talons bruyants pour une paire de pantoufles et se montre donc nettement plus
discrète.
A l'aide de la règle qui est toujours placée
près du coin, elle fesse son garçon. Une dizaine de coups rapides.
« Quand un petit garçon est puni au
piquet, il reste en silence sans bouger le nez collé au mur. Il n'est pas
permis de se retourner ou de bouger... Si tu oses encore une fois enfreindre
les règles ma fine baguette de bambou te fera regretter tes agissements
! »
La douleur est ravivée et les gémissements de
Julien reprennent mais il prend garde de ne pas remuer.
Madame Lafitte s'est tranquillement installée
dans le canapé. Elle déguste un thé tout en regardant la télévision. Malgré la
souffrance, Julien se tient parfaitement dans son coin. Il trouve le temps de
plus long et comme ce matin il déplore son attitude et aussi la sévérité
extrême de sa mère.
Après deux heures à méditer, il est enfin
libéré mais il sait qu'il n'est pas au bout de ses peines.
« Approche mon chéri et viens te coucher
sur mes genoux. »
Madame Lafitte a quitté sa robe pour un short
moulant et porte désormais un débardeur brodé. Julien arrive hésitant devant sa
mère et se montre obéissant en se couchant sur ses genoux comme elle le lui a
indiqué. Il crispe son fessier, s'attendant à une pluie de coups.
« Cesse de serrer tes fesses ainsi Julien
que je puisse constater dans quel état elles sont. Te voilà bien marqué. Tu vas
sûrement ressentir le mal quelques jours. Tu vas surement dormir sur le ventre.
Que cela te serve de leçon. En revanche la cuisson s'est nettement améliorée.
Nous allons pouvoir passer à ta punition promise. Mais avant nous allons faire
ta toilette et ce soir te coucheras sans dîner. Va ranger la trique et monte
avec le martinet. »
Julien dépose donc la baguette de bambou à
l'entrée de la maison et décroche le martinet avant de monter dans la salle de
bain. En arrivant il peut admirer ses fesses et ses cuisses dans les miroirs.
Leur couleur démontre bien l'intensité de la punition qu'il a reçue.
Après lui avoir fait sa toilette du soir et
lui avoir brossé les dents, sa mère lui enfile et lui boutonne sa veste de
pyjama.
« Allez mon garçon, il maintenant temps
de recevoir ta fessée. Va te mettre en appui sur la baignoire et tends-moi bien
tes fesses. »
Munie du martinet, elle écarte les jambes de
son garçonnet et commence à le fouetter. Très vite la souffrance est bien
présente surtout qu'elle ravive avec la correction précédemment reçue. Julien
est à nouveau en larmes et c'est seulement après une trentaine de coup que
Madame Lafitte redescend son fils en le tirant par l'oreille et avec le bas du
pyjama et la couche dans l'autre main.
Julien est obligé de se plier pour suivre la
cadence de sa mère. Elle le place dans la position habituelle en pénitence puis
elle prépare son dîner en gardant un œil attentif sur son garçon.
Pendant qu'elle dîne à son aise, Julien reste
au piquet. La faim commence à se faire sentir mais il sait déjà qu'il n'aura
rien à manger ce soir. Après son repas Valérie Lafitte invite son fils à venir
enfiler sa couche et le short de pyjama. Auparavant elle lui applique une
pommade sur les fesses. Julien en profite pour remercier encore sa mère et
présenter ses excuses.
Elle conduit ensuite Julien dans sa chambre et
après l'avoir bordé lui embrasse le front en lui souhaitant une bonne nuit. Il
peut donc s'endormir, soulagé du pardon de sa mère, mais en ayant encore bien
mal à son derrière.
Eh là, ne perdons pas le fil de l'histoire !
Le début : le chapitre 1
et l'épisode précédent : le chapitre 3
Et bien, attendons la suite.
Ce sera le chapitre 5
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