vendredi 16 août 2019

Un difficile retour à la maison - chapitre 4



Arrivé chez le dentiste, une personne seulement est dans la salle d'attente. Toutefois il s'agit d'un jeune homme de l'âge de Julien. Julien redoute que sa mère le rabaisse à nouveau. Il prend soin de retirer sa casquette et de se tenir correctement. Malheureusement le temps d'attente est un long et Julien à la mauvaise idée de manifester son impatience par quelques soupirs.
« Julien faut - il que je sorte le martinet, pour t''apprendre à patienter ? Veux-tu montrer tes fesses ?


- Non maman répond Julien. »
Il a envie de disparaître sous terre. Le jeune homme assis en face lui a un sourire moqueur.
Le reste de la "séance dentiste" s'achève plutôt bien mais la pire des humiliations attend Julien juste après à la brasserie ou sa mère a donné rendez-vous à deux de ses amies.
Ils y retrouvent Vanessa et Karine, deux très belles femmes, dans le style de Valérie, ainsi que Léa la fille de Karine qui a 20 ans. Julien les connaît bien sûres toutes et il sait que par le passé Léa s'est elle aussi retrouvée souvent les fesses à l'air pour être corrigée.
Après les salutations d'usage, madame Lafitte sort de son sac une affiche en carton avec deux ficelles.
« Julien approche. Tourne-toi ordonne--elle. »
Elle accroche comme un sac à dos la pancarte au dos de son fils. Il y'a écrit dessus " JE FAIS PIPI DANS MA CULOTTE"
« Peut-être que cela te permettra d'éviter de souiller tes couches mon garçon. Et rassure-toi cela ne te dispensera pas de la fessée que je t'ai promise pour ce soir annonce Madame Lafitte. »
Confus Julien lit très vite l'inscription sur sa pancarte grâce aux miroirs disposés dans toute la brasserie. Sa mère le place assis sur son tabouret de manière à ce que tous les clients du restaurant puissent lire la ce qu’il y a d’écrit sur son dos.
Julien n'ose plus relever la tête tandis que Léa ne peut s'empêcher de rire sous cape. Bien entendu la discussion tourne autour de son accident de ce matin. Les deux femmes n'hésitent pas à lui faire part de leurs désapprobations. Il se sent la risée de tout l'établissement. 
Quand sa mère l'envoi se laver les mains avant le déjeuner, il doit traverser tout le restaurant avec son affiche dans le dos. Il est accompagné par Léa qui a dû elle aussi passer par la case toilette. Cette dernière en rajoute un peu.
« Attends-moi quand tu auras terminé, gros bébé, lui lâche-t-elle en rentrant dans les WC réservés aux dames.
Julien a l'impression de vivre le plus long repas de toute sa vie. Dès qu'il entend un rire, il a l'impression que ce sont des moqueries à son égard. Pour ne pas en rajouter, il fait bien attention à respecter toutes les règles que sa mère lui impose. Cela ne lui empêche pas les recommandations d'usages dites assez fortes et qui montre qu'il est encore un enfant accompagné de sa maman qui prend soin de lui.
Au moment du dessert, il est question des vacances que les trois femmes doivent prendre ensemble la semaine prochaine. Au fur et à mesure que la discussion se poursuit, Valerie évoque le problème pour garder Julien. Finalement il est convenu que Léa sera sa baby-sitter.
Julien rage intérieurement. Être gardé, à son âge, par une fille qui n’a qu’un an de plus que lui. Une fille qu’il a vu prendre des fessées. Léa, quant à elle, est ravie de la confiance qu'on lui accorde.
L'après-midi est réservé au shoping. Madame Lafitte a eu l'indulgence de retirer à Julien sa pancarte pour se promener dans la rue et aller dans les magasins.
Dans un premier temps, Julien fait bonne figure. En effet il trouve l'après-midi pénible entre les essayages de sa mère ou les siens. Madame Lafitte multiplie les achats pour elle et lui.
Au bout d'un moment, bien qu'il sache qu'une terrible bastonnade l'attend dès le retour à la maison, Julien aimerait que cette séance shoping prenne fin. Il trouve le temps long et il commence à le manifester en n'arrêtant pas de soupirer.
« Tu peux arrêter de souffler toutes les dix secondes je te prie lui intime sa mère. »
Julien tente de se maîtriser mais alors qu'elle lui fait essayer encore un bermuda, Julien montre une nouvelle fois son agacement.
« Bon Julien je t'avais prévenue déclare sa mère en sortant le martinet de son sac à main. »
Elle sort son fils de la cabine devant la vendeuse médusée, lui baisse son slip et en le tenant fermement par le bras et lui inflige une dizaine de coup de martinet. Comme si de rien n'était, elle lui remet son slip et demande à la vendeuse si elle peut lui apporter le même en rouge et en vert.
« Quant à toi mon garçon en plus de la fessée promise pour ton pipi culotte de ce matin, tu en recevras une autre ce soir pour ton attitude de cet après-midi !

Dès le retour à la maison, vers seize heures, Madame Lafitte ordonne à son fils de pendre sa casquette, de retirer ses sandales et de mettre ses chaussons.
« Et maintenant vas te mettre au coin en attendant que je range nos emplettes. Tu recevras ta première correction après. N'oublies pas de bien coller ton nez au mur et ne t'avises pas de bouger. »
Julien est très angoissé. Il se tient du mieux possible. Sa mère s'affaire à ranger tous les achats de l'après-midi. Quinze minutes plus tard elle fait siffler dans l'air une baguette en bambou qu'elle vient de descendre du jardin. Julien connaît ce bruit qui lui est familier et c'est tout tremblant qu'il rejoint sa maman.
« Julien pourquoi vais-je te punir ?
- Car j'ai fait pipi dans ma couche ce matin maman.
- Exactement et c'est une faute extrêmement grave mon garçon. Et qu'est-ce que cela mérite ? »
Julien les yeux baissés répond timidement une fessée
« Une fessée ? Oui c'est peu dire mon garçon. Je vais t'infliger une bonne correction. Place les mains sur ta tête le temps que je déculotte. »
Julien s'exécute et il a déjà les larmes aux yeux au moment où sa mère lui retire complètement son short et son slip. Elle prend son temps. Elle replie les affaires de son fils. L'attente augmente l'angoisse de Julien. Madame Lafitte se saisit de sa baguette.
« Mets-toi en position Julien. Je suppose que tu te souviens de ce que j'attends ... »
Julien se place au bout de la grande table. Il couche son torse sur la table et place ses mains de chaque côté.
« Ecarte les jambes... Mieux que ça commande sa mère. Elle remonte le pan de chemise de son fils et le fait encore attendre un peu... »
Tout en marchand et en faisant claquer ses talons, elle refait la morale à son garçon.
« Je vais te regretter ton attitude Julien. Ton comportement inadmissible mérite une sanction exemplaire. Tu vas recevoir 20 coups de trique. Après tu retourneras au piquet et je tu seras de nouveau fessée après pour ton comportement dans les magasins cet après-midi. »
Le premier coup tombe. Suivit du second et du troisième. A chaque coup julien lève un pied et pousse un cri de douleur mais parvient à garder la position. Quant au 10ème il tente de se redresser, la main de sa mère le replaque aussitôt. C'est à gros sanglots que se termine la correction.
« A genoux ordonne Valérie à son fils. »
Il se relève difficilement, se tourne vers sa maman et fait l'effort de s'agenouiller devant elle. Les yeux baissés, il demande humblement pardon et la remercie.
Elle lui caresse doucement les cheveux et le mouche avec un mouchoir en papier
« Tu seras totalement pardonné après ton piquet mon chéri. Tu es aussi, pour l'ensemble de ton œuvre, privé de sortie jusqu'à la rentrée. Maintenant au piquet et pense à bien exposer tes fesses.
Julien a bien du mal à tenir la position exigée. Ses fesses et ses cuisses le font énormément souffrir. Au bout d'un petit moment, comme il n'entend aucun bruit, il se retourne et tente de voir l'état de ses cuisses. Il se caresse doucement les fesses pour essayer d'atténuer la douleur. Il n'entend pas sa mère arriver. Elle a quitté ses talons bruyants pour une paire de pantoufles et se montre donc nettement plus discrète.
A l'aide de la règle qui est toujours placée près du coin, elle fesse son garçon. Une dizaine de coups rapides.
« Quand un petit garçon est puni au piquet, il reste en silence sans bouger le nez collé au mur. Il n'est pas permis de se retourner ou de bouger... Si tu oses encore une fois enfreindre les règles ma fine baguette de bambou te fera regretter tes agissements ! »
La douleur est ravivée et les gémissements de Julien reprennent mais il prend garde de ne pas remuer.
Madame Lafitte s'est tranquillement installée dans le canapé. Elle déguste un thé tout en regardant la télévision. Malgré la souffrance, Julien se tient parfaitement dans son coin. Il trouve le temps de plus long et comme ce matin il déplore son attitude et aussi la sévérité extrême de sa mère.

Après deux heures à méditer, il est enfin libéré mais il sait qu'il n'est pas au bout de ses peines.
« Approche mon chéri et viens te coucher sur mes genoux. »
Madame Lafitte a quitté sa robe pour un short moulant et porte désormais un débardeur brodé. Julien arrive hésitant devant sa mère et se montre obéissant en se couchant sur ses genoux comme elle le lui a indiqué. Il crispe son fessier, s'attendant à une pluie de coups.
« Cesse de serrer tes fesses ainsi Julien que je puisse constater dans quel état elles sont. Te voilà bien marqué. Tu vas sûrement ressentir le mal quelques jours. Tu vas surement dormir sur le ventre. Que cela te serve de leçon. En revanche la cuisson s'est nettement améliorée. Nous allons pouvoir passer à ta punition promise. Mais avant nous allons faire ta toilette et ce soir te coucheras sans dîner. Va ranger la trique et monte avec le martinet. »
Julien dépose donc la baguette de bambou à l'entrée de la maison et décroche le martinet avant de monter dans la salle de bain. En arrivant il peut admirer ses fesses et ses cuisses dans les miroirs. Leur couleur démontre bien l'intensité de la punition qu'il a reçue.
Après lui avoir fait sa toilette du soir et lui avoir brossé les dents, sa mère lui enfile et lui boutonne sa veste de pyjama.
« Allez mon garçon, il maintenant temps de recevoir ta fessée. Va te mettre en appui sur la baignoire et tends-moi bien tes fesses. »
Munie du martinet, elle écarte les jambes de son garçonnet et commence à le fouetter. Très vite la souffrance est bien présente surtout qu'elle ravive avec la correction précédemment reçue. Julien est à nouveau en larmes et c'est seulement après une trentaine de coup que Madame Lafitte redescend son fils en le tirant par l'oreille et avec le bas du pyjama et la couche dans l'autre main.
Julien est obligé de se plier pour suivre la cadence de sa mère. Elle le place dans la position habituelle en pénitence puis elle prépare son dîner en gardant un œil attentif sur son garçon.
Pendant qu'elle dîne à son aise, Julien reste au piquet. La faim commence à se faire sentir mais il sait déjà qu'il n'aura rien à manger ce soir. Après son repas Valérie Lafitte invite son fils à venir enfiler sa couche et le short de pyjama. Auparavant elle lui applique une pommade sur les fesses. Julien en profite pour remercier encore sa mère et présenter ses excuses.
Elle conduit ensuite Julien dans sa chambre et après l'avoir bordé lui embrasse le front en lui souhaitant une bonne nuit. Il peut donc s'endormir, soulagé du pardon de sa mère, mais en ayant encore bien mal à son derrière.




Eh là, ne perdons pas le fil de l'histoire !

Le début : le chapitre 1
et l'épisode précédent : le chapitre 3

Et bien, attendons la suite.

Ce sera le chapitre 5

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