Julien est déjà réveillé et se retient de
faire pipi quand sa mère entre dans sa chambre en nuisette et en pantoufles à
sept heures du matin. Elle ouvre directement rideaux et volets et ordonne à son
fils de se lever immédiatement. Elle tire sur la couverture. Julien qui a
encore les fesses un peu endolories, ne se fait pas prier et se lève
immédiatement.
« Tu n'as pas oublié que tu dois encore
être puni ce matin mon petit chéri. J'espère que tu n'as pas fait pipi dans ta
couche cette nuit dit-elle en vérifiant par elle-même en glissant sa main sous
la couche. En tout cas si tu as envie il va falloir encore te retenir un petit
peu. Tu dois aller au piquet. Tu vas déjà y rester le temps que je prenne mon
bain. Allez, avance ! Direction la salle de bain. »
Elle pousse son fils dans la seconde partie de
la salle de bain et place Julien à genoux face au mur. A cet endroit elle peut
observer son fils au piquet pendant qu'elle se prélasse dans son bain.
« Maman puis - je allez aux toilettes
avant s'il vous plaît
- Non Julien. Tu vas faire ton piquet
maintenant. Nous avons une matinée chargée. Nous n'avons pas de temps à perdre.
Nous avons rendez - vous chez ton médecin à 11 heures. Nous devons avant
prendre le petit déjeuner, faire ta toilette et je dois t'infliger ta
correction pour ton comportement d'hier soir. J'ai aussi quelques détails à
régler pendant que tu seras de nouveau mis au coin. Donc tu réfléchis ici
maintenant à ton attitude d'hier soir et au fait que tu me dois une obéissance
totale. »
Julien est donc condamné à se retenir encore
un long moment. A genoux les mains sur
la tête, le nez collé au mur, il tente de résister à son envie pressante tandis
que sa mère se relaxe dans un bain moussant.
La position de Julien devient vite
inconfortable. En plus son envie d'uriner est de plus en plus présente et il
est sur le point de se lâcher. Il parvient encore à se retenir un petit moment
mais lorsque sa mère fait couler l'eau de la douche pour se rincer, n'en
pouvant plus il se laisse aller et urine dans sa couche. Julien sent alors la
chaleur et le rouge monter aux joues. Il a honte et surtout que sa mère va le
punir sévèrement pour cet acte inadmissible à ses yeux.
Quand sa mère arrive près de lui en peignoir
pour se sécher les cheveux, elle s'aperçoit immédiatement que Julien n'a pas pu
résister.
« On dirait que mon petit garçon a fait
pipi dans sa couche. Tu vois bien que maman avait raison et que tu as besoin de
protections dit-elle en lui caressant les cheveux. Tu n'échapperas pas à une
nouvelle correction mon garçon. Ce sera pour quand on rentrera tout à l'heure.
Tu m'obliges encore à te châtier vilain garçon. Cela ne me fait pas plaisir
mais ne dérange pas sache le. Je m'y emploierai puisque tu m'y obliges. »
Madame Lafitte continue de s'apprêter. Après
s'être séché les cheveux elle se fait son chignon et va s'habiller dans sa
chambre. Elle revient vêtue d'une petite robe noire courte avec comme très
souvent un décolleté plongeant et entame son maquillage.
Julien quant à lui à toujours le nez collé au
mur et les mains sur la tête. La couche étant plutôt bien absorbante il ne sent
pas trop mouiller mais l'odeur qu'il dégage est présente
Une fois prête Madame Lafitte lui ordonne de
descendre et de préparer la table du petit déjeuner. Avant de descendre elle vérifie que le short
de pyjama de son fils n'est pas mouillé et elle est satisfaite.
C'est le ventre noué par la perspective des
corrections qui l'attendent que Julien s'installe à table. Il n'a pas très
faim. Mais chez Madame Lafitte le petit déjeuner est copieux et il faut tout
avaler sous peine de fessée et autres punitions. Forcément il avait du mal
mangé et trainait un peu.
« Julien il faut que je te corrige aussi
pour ton comportement à table ? Tu sais que nous sommes pressés et tu traînes. »
Ce dernier obtempère mais très vite, de
manière incontrôlé il se remet à traîner pour avaler son yaourt, son kiwi et
ses céréales.
« Eh bien voilà tu as gagné s'exclame sa
maman. Lève-toi viens ici ! »
Julien s'approche les yeux baissés. Il sait
bien que selon les règles établies par sa mère il mérite une punition. Il a
toujours trouvé sa mère trop sévère mais il n'a pas le choix que de se
soumettre à son autorité. Il le savait quand il fût obligé de rejoindre la
maison familiale.
Prévoyante, Valérie a descendu une petite
serviette pour le petit déjeuner. Elle se place de profile. Elle descend le
short de pyjama et la couche de Julien. Elle dépose la serviette sur elle pour
ne pas être mouillée et force son fils à se coucher sur elle. C'est avec la
brosse qu'elle a aussi emportée avec elle qu'elle claque les fesses et les
cuisses de son garçon.
Julien s'en sort bien. C'est une petite fessée
qui sanctionne son attitude. Après une vingtaine de claque et relève Julien et
lui remonte la couche culotte bien humide et le pyjama.
« Maintenant avale ton petit déjeuner
rapidement lui ordonne- t -elle. Exécution ! »
Il n'a pas d'autre option que d'obéir. Il
termine son repas et après qu'il est fait la vaisselle, sa mère lui ordonne de
monter dans la salle de bain.
Elle lui retire sa veste de pyjama puis la
culotte et la couche elle le fait monter dans la baignoire et lui frotte le
visage avec la couche côté humide.
J'espère que tu as honte petit cochon dit-elle
en lui laissant la couche sur la tête et de laisser un moment ainsi avant de
revenir avec la poubelle pour la jeter.
Le rituel de la douche se déroule ensuite, le
même que la veille, le même que Julien a toujours connu, le même qui se
déroulera encore longtemps pour Julien. La seule petite modification est que
c'est une douche glacée ce matin pour Julien. Comme cela lui arrive parfois
quand il est puni.
Pour cette sortie, et comme toujours, Valérie
aime habiller son fils avec élégance et de manière juvénile. Elle lui fait
porter un bermuda bleu marine tenue par des bretelles, et une chemise blanche
Une fois correctement habillé, sa mère le fait
descendre au salon. Elle lui baisse de nouveau sa culotte et son slip en étant
assise sur le canapé. Elle demande à Julien de se coucher à travers ses genoux
et se saisit de la règle en plastique dur et épais qui est placée sur la petite
table du salon.
Avant de lui administrer sa fessée elle lui
demande
« Pourquoi vais-je devoir te donner une
grosse fessée Julien ?
- Car je ne me suis pas laissé punir hier soir
maman
- Bien ! Effectivement ! Hier soir tu t'es
montré rebelle et tu as essayé de m'empêcher de te donner une fessée amplement
méritée. Du coup ce matin tu vas en recevoir une autre. Ce n'était donc pas
malin de ta part. Je te conseille cette fois de laisser tes mains sur la tête
et de ne pas t'agiter. »
Comme à son habitude, c'est de manière
énergique que madame Lafitte rosse son fils et les pleurs et les repentirs de
Julien arrivent aussi vite. C'une bonne
quarantaine de coups qui vienne grêler ses fesses et ses cuisses. Elle sait donner
des corrections exemplaires. Elle alterne entre la fesse droite, la gauche, la
cuisse droite, la gauche et insiste parfois au même endroit.
A la fin de la fessée, Julien a les fesses et
les cuisses bien rouges mais il n'oublie pas de remercier sa mère.
« Va te mettre dans le coin près de la
fenêtre le temps que je règle quelque 2 ou 3 détails »
Manquant d'aisance avec le short et le slip
aux pieds il se plie aux exigences de sa mère. En habitué il n'oublie pas de
relever le pan de sa chemise et colle son nez contre le mur.
Après un passage rapide à sa boutique et avoir
préparé quelques choses à son bureau, Madame Lafitte rhabille son fils. Avant
de sortir elle lui fait porter une casquette "gavroche" grise et lui
rappelle le comportement qu'elle attend de lui lors des sorties.
« N'oublie pas quand tu seras assis de
tenir droit et en silence, les mains placées sur les genoux. Dans les magasins
je te rappelle de tenir droit et les mains dans le dos. Tu restes toujours à
moins 1m50 de moi et tu obéis promptement quand je te demande quelque chose.
Sinon je serai obligé de te corriger immédiatement. C'est bien compris.
D'ailleurs tu vois je vais prendre ton martinet dans mon sac pour le cas
où. »
Blême, Julien a du mal à avaler sa salive et
tente de se rassurer en se promettant de se tenir tranquille. Tenue par le poignet par sa mère qui marche
d'un pas rapide dans la rue, il tente de suivre l'allure sans se préoccuper des
quelques passants qui sont surpris de voir un grand garçon être ainsi promené
par une dame plus âgée.
Dans la salle d'attente du pédiatre, Julien se
tient de manière impeccable selon les préceptes de sa mère. Cependant il ne
peut que ressentir une terrible humiliation au milieu des autres patients
nettement plus jeunes. Dès qu'il s'est assis sa mère lui a retiré sa casquette
et lui a fait la remarque qu'à l'intérieur on se découvre.
Alors que la salle d'attente se vide et qu'il
n'y a plus que lui et sa maman qui patiente, arrive une maman et son fils d'une
petite dizaine d'années. Le jeune garçon bien agité ne tient pas en place et se
lève sans arrêt. Sa mère intervient en le menaçant d'une fessée et lui demande
de prendre exemple sur le grand garçon.
Julien rougit encore plus de honte et Valerie
enfonce le clou en s'adressant à l'autre maman qu'il a reçu une belle fessée
avant de venir. Heureusement la doctoresse ouvre la porte quelques secondes
après pour inviter Julien et sa mère à entrer.
La pédiatre est nouvelle. Avant c'était un
homme que Julien connaissait depuis sa plus tendre enfance qui s'occupait de
lui. Il connaissait la sévérité de madame Lafitte et Julien se moquait
totalement de montrer les marques de ses corrections. Mais là, la situation est
tout autre. Hier quand il a entendu sa mère prendre le rendez-vous il a vite
compris qu'elle devait être comme son prédécesseur et qu'elle ne serait pas
trop surprise de la manière dont le traité sa génitrice. Toutefois il
appréhende cette rencontre. Il se trouve vite rassuré
« Bonjour, docteur commença Madame
Lafitte ordonnant immédiatement après à son fils de saluer la pédiatre.
– Bonjour vous venez donc pour le jeune homme.
Une visite totale. Déshabillez-le s'il vous plaît. »
Julien était bouche bée. La pédiatre n'était
en rien surprise. Pire elle le considérait elle aussi comme un petit garçon
qu’il fallait qu'on aide à déshabiller.
Madame Lafitte dévêtit julien alors que la
toubib l'invite à monter sur la table d'auscultation.
Julien est ausculté puis il doit se rendre sur
la balance pour être pesé. Voyant ses fesses encore rouges, le médecin lui fait
la réflexion
« Alors, on n’a pas été sage mon
garçon »
Julien devient alors pivoine. Il passe sous la
toise pour être mesuré tandis que le docteur et sa mère se mettent à papoter
éducation. La pédiatre est en accord avec madame Lafitte sur le fait que la
fessée n'a jamais tué personne et que c'est une punition nécessaire pour faire
grandir les enfants et leur faire entendre raison
Puis elle inspecte Julien dans les moindres
détails, vérifie ses testicules etc ...
« Parfait dit-elle. N'ayez crainte il est
en parfaite santé votre garçon. Vous pouvez lui remettre ses habits. »
La maman de julien le rhabille, règle la
consultation et salue le docteur. Elle renfonce le clou en prenant dans son sac
le martinet et en claquant 3 fois la cuisse de fils qui oublie de dire au
revoir et de remercier le docteur à son tour
« Eh bien Julien qu'est-ce que tu as à
dire ? »
Trois cris ponctuent les coups donnés par
Valérie. Et Julien de répondre :
« Au revoir docteur, merci docteur, merci
maman. »
C'est la première fois qu'il se fait punir
devant témoins. De plus trois inconnus. La pédiatre, une dame et son fils.
Sa mère le reprend par le poignet ;
« Allez nous allons chez le dentiste
maintenant et tâche d'être poli ! »
La
matinée de Julien a déjà été compliquée et la suite ne s'annonce pas plus joyeuse...
Eh là, ne perdons pas le fil de l'histoire !
Le début : le chapitre 1...
... et l'épisode précédent : le chapitre 2
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Et bien, attendons la suite.
C'est le chapitre 4
Que cela ne vous empêche pas de déposer un commentaire
Pierre se lance dans l'écriture, il a besoin de savoir ce que vous en pensez.
Vous pouvez également le contacter directement : Pierre
Bonjour Pierre,
RépondreSupprimerCaptivant, votre récit. La journée de Julien est réglée selon un rituel immuable... Maman Valérie est aussi séduisante que très dominatrice. Elle s'accorderait bien avec Madame Bellebourge et son fils Gérome (voir série "Mémoires d'un garnement..." sur le blog).
Le passage chez la pédiatre me rappelle un de mes anciens dessins.
C'est très génant pour un jeune homme d'être visité par une femme médecin en présence de sa maman. J'ai connu ce moment délicat avec la remplaçante du médecin de famille qui était une dame d'âge mûr et assez forte. Moment trouble...
Amicalement. Peter Pan.
Peter,
RépondreSupprimerVers 18/19 ans, quand on se présente chez la gynéco et qu'on tombe sur le collègue, car la secrétaire s'est gourée dans le planning et qu'on est assez polie pour ne pas faire un scandale, vous pensez que l'on ressent quoi lorsque, nue, on doit écarter les cuisses et se faire palper la poitrine après ??? Moi, ce fut un gros fard ! Ca m'a fait perdre tous mes moyens.
Amitiés.
Elena.
Bonsoir Elena,
RépondreSupprimerPersonnellement, ce fut un moment de grande gène. Cette remplaçante qui occupait provisoirement ce cabinet, et qui ne me connaissait pas comme le médecin habituel, mit beaucoup de soin à cette visite pour ne rien négliger. Consciencieuse jusqu'au bout des ongles. A cet âge-là, la pudeur nous rend irritable et honteux dans pareil cas. Je compatis.
Amicalement. Peter.
Merci Peter pour cette compassion.
RépondreSupprimerJe confirme que de devoir s’exhiber devant un inconnu, surtout en pleine adolescence, c’est très humiliant. Même onze ans après je suis encore toute fâchée après la secrétaire.
Je ne sais pas ce que contenait votre auscultation, mais vous vous imaginez bien que chez le gynéco, c’est super extra intime, d’où l’humiliation en proportion.
Amitiés.
Elena
Je trouve personnellement normal qu'une maman habitue son garçon à la nudité qu'elle soit face à elle dans le cadre des toilettes et du suivi de son hygiène comme devant les personnes habilitées comme les docteurs.
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