mercredi 14 août 2019

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 8

La vendeuse nous fournit chacun des vêtements achetés en nombre suffisant selon les critères de Teva. Maeva se retrouvait donc avec deux tenues différentes, mais en plusieurs exemplaires, ce qui permettait d’en assurer la propreté sans changer de style. Il y avait la jupe bleu marine avec un gilet assorti de la même couleur et la jupe écossaise et son pull beige avec un col en V. Chacune était en double exemplaire. Les chemisiers, collants et culottes étaient tous blancs. Quand Maeva se regardait dans un miroir, elle avait l’impression de contempler l’image d’Epinal d’une écolière comme on les habillait il y a cinquante ans.
Il fallait compléter avec des vêtements de nuit. Teva choisit quelques chemises de nuit, qu’heureusement Maeva n’eut pas à essayer. La longueur en fut vérifiée et comme elle arrivait à mi-cuisses, ce fut jugé satisfaisant.
Il restait à passer à la caisse. La vendeuse scanna chacun des vêtements.
« Quelle étourdie je fais ! J’ai oublié d’ôter les étiquettes des vêtements que votre fille porte sur elle. Si on la laisse comme cela, elle va faire sonner tous les portiques à la sortie du magasin. Nous aurons alors toutes les trois des ennuis !
– Aucun souci, récupérez-les ! »
Pour le chemisier et le gilet, il n’y eut aucun souci. Les étiquettes étaient apparentes. La vendeuse dut glisser ses mains sous la jupe et la soulever jusqu’à découvrir une partie des fesses de Maeva. Elle effectua ce geste naturellement. C’était une petite fille qu’elle avait devant elle, il n’y avait pas de précaution particulière à prendre, même si des gens circulaient dans l’allée du magasin où elles se tenaient toutes les trois. Maeva n’avait pas le même sentiment. Elle eut un geste de recul.
« Tiens-toi tranquille, gronda la vendeuse !
– Maeva ! »
Le ton de Teva était à la menace. Maeva l’entendit comme un dernier avertissement. Elle ferma les yeux et laissa la vendeuse faire. Celle-ci lui souleva largement la jupe, bien plus que ce qui était nécessaire de l’avis de Maeva. Il s’agissait de tester son obéissance. Maeva se fit une raison. La seule chose que les passants pouvaient voir, c’était un coin de fesses recouvertes d’un collant parfaitement opaque.
La situation empira quand la vendeuse entreprit de récupérer l’étiquette du collant. Elle glissa sa main à l’intérieur et Maeva se contracta au contact des doigts sur sa culotte qui était maintenant partiellement apparente.
« Reste la culotte et nous en aurons fini. »
La vendeuse glissa de nouveau ses mains sous la jupe de Maeva, elle se saisit du haut du collant et le baissa juste en dessous des fesses. Elle souleva la jupe, mettant la culotte à la vue de tous. C’en était trop pour Maeva.
« Non, arrêtez ! »
Elle recula et se heurta à Teva.
« Je t’avais prévenue ! »
Teva retourna Maeva et la coinça sous son bras. Elle souleva la jupe, exposant la culotte et le collant à moitié baissé. Cela ne lui suffit pas elle le descendit jusqu’aux genoux de sa sœur. Maeva n’eut pas le temps de supplier que sa culotte restât en place. Teva en saisit l’élastique et la culotte alla rejoindre le collant.
Ce fut une fessée courte mais intense. L’une de celles que Teva donnait en réaction immédiate à un comportement inapproprié. Si Maeva ne le savait pas encore, elle allait, par l’expérience, l’apprendre rapidement. Pour cette première fois, Teva poursuivit la punition jusqu’à ce qu’elle entende les premiers signes d’une fessée qui avait produit l’effet désiré.
« Tu retournes voir la vendeuse, tu lui présentes tes excuses pour le temps que tu lui faits perdre. Puis tu la laisses s’occuper de l’étiquette de ta culotte. Et relève ta jupe ! »
Maeva essayait de faire abstraction de toutes les personnes qui la regardait faire les deux pas qui la ramenaient auprès de la vendeuse. La touffe de poils qui entouraient son sexe, était offerte à la vue de tous, mettant en évidence l’écart qu’il y avait entre son âge et sa tenue et surtout avec la façon dont elle venait d’être punie.
« Excusez-moi, Madame de vous avoir fait perdre votre temps. »
La vendeuse tapota les fesses nues de Maeva.
« Ce n’est pas si grave, mais j’espère qu’après cette fessée, tu vas être plus sage. »
Elle récupéra l’étiquette dont elle avait besoin.
« Voilà, c’est fait ! Ce n’était pas si difficile de rester en place ces quelques secondes. Il est vrai que ça été plus facile maintenant que la culotte est baissée. Nous aurions dû commencer par là.
– Reviens ici ! »
Teva était toujours fâchée. Cela s’entendait au son de sa voix. Ses actes le confirmèrent. Elle replaça Maeva sous son bras. Il y avait une nouvelle fessée en préparation.
« Celle-là, annonça Teva, c’est pour ta mauvaise humeur persistante. Tant qu’à faire la tête, autant que tu aies une bonne raison ! »
La deuxième fessée dépassa la première. Teva ne se contenta pas de quelques gémissements. Il n’était plus question d’épargner les fesses. Tant pis si les effets de la ceinture se faisaient encore sentir. La main ferme de Teva mena sa sœur aux larmes. C’était là où elle voulait arriver. Elle remonta la culotte de Maeva et réajusta le collant.
Elle remercia la vendeuse pour son obligeance et elle prit Maeva qui sanglotait toujours, par la main.
« Rentrons ! Fara et Moana doivent nous attendre. »

« Va te mettre au coin en attendant le bain ! »
Fara regarda passer Maeva qui se dépêchait d’obéir à Teva. Tête baissée, elle fila vers l’angle du séjour où elle commençait à avoir ses habitudes. Moana sortit de sa chambre en courant et elle vint sauter dans les bras de sa mère.
« Ça ne s’est pas bien passé, si je comprends bien.
-- Ça dépend de quel point de vue. Question garde-robe, c’est parfait. Regarde-la, n’est-elle pas mignonne habillée comme cela si on fait abstraction de son air renfrogné et du fait qu’elle te tourne le dos ?
– Pas mal, en effet. Tout à fait ce qui convient pour une petite fille. Mais, le reste ?
– Deux caprices, deux fessées, une dans la cabine d’essayage et l’autre à la caisse.
– Tu l’as fessée … devant tout le monde ?
– Oui, bien sûr !
– Et c’était une fessée déculottée ?
– Evidemment. Elle l’avait méritée.
– Ohoh, je pense qu’elle n’est pas prête à recommencer.
– Malheureusement, je n’en suis pas si sûre, mais nous avançons. Elle reçoit la fessée sans s’y opposer, même en public. Elle progresse dans l’obéissance.
– Espérons-le !
– Oui, je serai de toute façon plus tenace qu’elle. Maintenant que j’ai commencé, j’irai au bout. Je vais faire couler le bain. »

C’est Teva qui donna le bain à ses deux filles. Après avoir déshabillé Maeva, elle l’assit sur ses genoux pour un bref câlin.
« Viens tout contre moi, ma méchante petite fille. »
Maeva répondit à son étreinte avec soulagement. Teva lui signifiait que l’épisode du magasin d’habillement était derrière elles.
« N’as-tu pas quelque chose à me demander ?
– Je te demande pardon, Teva. Pardon pour avoir fait des caprices.
– Ma petite sœur adorée, tu sais bien que tu seras pardonnée. Dommage qu’il te faille autant de fessée pour y arriver. Allez, dans le bain. »
Teva déposa sa sœur dans l’eau chaude, puis elle s’occupa de Moana. Maeva regardait la douceur des gestes et la tendresse avec laquelle sa sœur baignait sa nièce. Teva était ferme. Ses consignes ne se discutaient pas. Moana obéissait et devançait chacune de demandes de sa mère, ce qui donnait une impression d’harmonie et de complicité entre la mère et la fille.
« Ensuite, ce sera mon tour, se dit Maeva. »
Elle se surprenait elle-même à attendre ce moment avec impatience, quand les mains de Teva parcourront tout son corps, même dans ses espaces les plus intimes. Elle se sentait entourée et protégée.
« Quelle chance j’ai de pouvoir vivre tout le temps chez Teva. »
Elle réfléchit un court instant et elle rajouta Fara et Moana dans le facteur chance dont elle bénéficiait. Elle écarta la pensée des fessées que cela impliquait. Lucidement, elle se disait qu’elle en était à l’origine et que bientôt, quand elle serait sage et obéissante comme Moana, ce ne serait plus qu’un désagréable et lointain souvenir et qu’elle pourrait retrouver toutes les prérogatives d’un adulte.
Ce fut bientôt son tour. Sa toilette se passa aussi bien que celle de Moana. Alors que Teva lui lavait les fesses, elle vit les sourcils de sa sœur se froncer. Son cœur se serra.
« Ai-je fait une bêtise sans m’en rendre compte ? »
Elle regardait sa sœur avec inquiétude. Teva s’en aperçut et elle déposa un bisou sur le front de sa sœur, puis une caresse sur ses fesses.
« Ne crains rien, petite crevette, je n’ai rien à te reprocher. C’est que, avec tous ces poils que tu as là, elle montrait la vulve de Maeva, je ne suis pas certaine d’arriver à une propreté parfaite. Je vais t’enlever tout cela. »
L’idée d’émettre une protestation traversa la tête de Maeva. Elle disparut aussi vite qu’elle était arrivée.
« Puisque Teva l’a décidé, c’est que c’est sûrement mieux. »
Elle ne pouvait s’empêcher de ressentir une crainte sourde sur ce qui allait lui arriver, mais même cette appréhension était délicieuse.
Lavée et séchée, Maeva étrenna sa nouvelle chemise de nuit. Elle avait, à ce sujet, un sentiment ambivalent. Teva la trouvait fort à son goût et elle envoya Maeva la montrer à Fara.
« Dans cette chemise de nuit, tu es mignonne à te faire un bisou. »
Fara la prit brièvement dans ses bas, le temps de lui faire un bisou sur la joue. Maeva était satisfaite que sa tenue de nuit fasse plaisir à ses nouveaux parents. Elle appréciait beaucoup moins le grand dessin qui trônait sur sa poitrine. C’était un gros nounours et Maeva trouvait que c’était plutôt pour les bébés.
C’était également très facile, ainsi habillée, de lui retrousser le bas de la chemise pour lui donner la fessée. Quoique, en y réfléchissant bien, quelle que soit sa tenue, jupe, pantalon ou chemise de nuit, rien n’arrêterait ni Fara, ni Teva, s’il fallait la déculotter pour la punir. Cela revenait au même.
Elle aimait encore moins de n’avoir qu’à peine la moitié des cuisses couvertes et l’absence de culotte. Cela la gênait de devoir passer toute la soirée dans une tenue aussi déshabillée. Elle avait l’impression qu’au moindre de ses gestes, ses fesses seraient à la vue de tout le monde, même si, en l’occurrence, le monde se limitait à trois personnes.
Elle n’y avait pas fait attention hier, emportée par le torrent de nouveautés dans sa nouvelle résidence, mais elle s’en était bien rendu compte, ce soir, quand Fara l’avait juchée sur sa hanche. La chemise de nuit remontait et c’était ses fesses nues qui avaient reposé sur le bras de son beau-frère et son pubis sur son flanc. Elle s’y était sentie vraiment petite fille. Elle se disait que cela limiterait son plaisir à être prise sur les genoux ou dans les bras, s’il fallait, à chaque fois, montrer ses fesses.
Pourtant, c’était le plus souvent Fara ou Teva qui, dans ces situations, finissaient de lui remonter la chemise de nuit, pour lui caresser les fesses. Ça, par contre, elle en redemandait. Elle ne s’en était pas lassée hier et elle comptait bien en avoir également sa part ce soir. La chemise remontée n’avait alors plus d’importance.
« Je ne sais vraiment pas ce que je veux, constata Maeva. »
Ce constat la laissa perplexe.
« Maeva, viens-ici, je t’attends ! »
Un ordre aussi clair de Teva ne pouvait être ignoré. Maeva se hâta.
Sur le lit de Maeva, Teva avait disposé une grande serviette. Elle y assit sa sœur, puis elle la coucha sur le dos et elle lui plia les jambes, les pieds sur le lit.
« Ecarte les jambes, bien grand. »
Teava saupoudra de talc l’entrejambe de Maeva.
« Je vais t’enlever tous ces poils. Cela va tirer un peu, mais je vais faire attention. Sois sage, je reviens. »
A son retour, elle portait un bol rempli d’un liquide visqueux dont elle enduit une spatule.
« Ne bouge pas, ça va être un peu chaud.
Teva étala la cire qui était effectivement un peu chaude, mais c’était supportable. Ce fut plus douloureux quand il fallut arracher la bande de cire. Maeva cria, mais Teva ne s’en formalisait pas. Les cris devinrent plus francs après deux autres arrachages de poils. Teva finit par gronder.
« Faits un peu moins de bruit. On croirait qu’on t’égorge. Qu’est-ce que tu es douillette. »
Maeva mit alors sa main pour empêcher Teva de déposer de la cire sur le bord des lèvres de son vagin.
« Ça suffit, Maeva. Tu en as mis partout ! »
Une bonne claque sur le haut de la cuisse rappela Maeva à plus de sagesse. Celle-ci se tint tranquille pendant une minute ou deux. Puis elle mit sa main sur celle de Teva pour empêcher l’arrachage d’une nouvelle bande de cire.
« Maeva, tu dépasses les bornes ! »
Teva écarta les mains de sa sœur sans ménagement.
« Si je revois tes mains à m’empêcher de finir cette épilation, tu auras la ceinture en plus de la fessée que je vais te donner. »
Teva arracha la bande, ce qui tira des cris à Maeva. L’épilation n’était pas terminée, mais Maeva avait besoin d’une correction pour lui apprendre à ne plus interférer avec le travail de sa sœur. Celle-ci prit les deux jambes de sa sœur et elle les releva au-dessus de sa tête, en les maintenant d’une seule main. Maeva se retrouvait dans la position d’un bébé dont on voulait changer la couche. Mais ce n’était pas l’intention de Teva.
Celle-ci se plaça à côté de Teva. Il s’agissait de dégager la trajectoire pour sa main. La première claque tomba sur la fesse droite de Maeva, puis une deuxième sur la gauche. Maeva se réveilla à ce moment-là, ses cris informèrent le reste de la maisonnée qu’une fessée était en cours. Teva prenait bien soin d’entretenir la cuisson sur toute la surface qu’elle avait dégagée en retenant les jambes en position haute.
Maeva n’en pouvait plus. Ce n’était pas que cette fessée soit particulièrement plus sévère que les autres, mais la position que Teva lui avait fait adopter était humiliante. C’était celle d’un bébé. De plus, elle avait l’impression d’assister à sa fessée, tout en la subissant.
Elle voyait Teva préparer sa main, qui prenait la trajectoire de ses fesses. Visiblement, donner une fessée demandait un effort ce que Maeva n’avait pas imaginé. Teva devait y mettre une réelle énergie pour que sa main arrive sur les fesses de sa sœur avec assez de vitesse, donc de force. Le visage de Teva montrait une concentration, gage du sérieux qu’elle mettait dans cette activité : fesser Maeva.
Maeva pouvait anticiper chaque brûlure ainsi provoquée. Elle se rendait compte de la fermeté de sa sœur qui, claque après claque, décidait de poursuivre la correction. Elle choisissait alors le prochain emplacement où elle appliquerait sa main, tout en vérifiant, de temps en temps, si les réactions de Maeva étaient à la hauteur de ce qu’elle en attendait.
Maeva avait une bien meilleure vue sur son environnement proche. Elle voyait tout ce qui se passait, bien mieux que quand elle avait le nez dans les coussins du canapé quand, à plat-ventre sur des genoux elle offrait ses fesses à une correction. Elle n’était pas certaine que c’était un avantage.
Cela lui permit de voir Fara arriver sur le seuil de la chambre, Moana dans les bras. Ils restèrent à regarder le châtiment qu’elle recevait. Fara approuvait, de petits hochements de tête. Maeva lui aurait volontiers demandé de laisser Teva et elle à leur intimité, mais cela aurait pu être interprété comme de l’insolence avec les risques que cela représentait.
Teva la remit dans sa position initiale. Ses fesses la brûlaient.
« Tu interromps l’épilation encore une fois et tu as la ceinture ! »
C’était une promesse à considérer sérieusement. Supporter une petite douleur maintenant ou en subir une grosse plus tard. Non, ce n’était pas comme cela que se présentait le problème. De toute façon, l’épilation irait à son terme, Teva l’avait décidé. Quoi que fasse Maeva, elle n’échapperait pas, pour quelques minutes encore, à la désagréable sensation d’arrachage des poils sur son pubis. Par contre, elle pouvait, ou non, y rajouter celle de la ceinture sur ses fesses. Maeva pouvait être raisonnable et se contraindre à accepter des désagréments. Eviter la ceinture en était une suffisamment forte. Maeva laissa Teva procéder à la fin de son épilation.
Ce fut ensuite beaucoup plus agréable. Teva enduisit toute la zone qu’elle venait d’épiler et elle massa pour faire pénétrer le produit. Les picotements que Maeva ressentait, disparurent dès le contact avec la crème apaisante. Et puis il y avait les doigts de Teva qui caressaient toute sa zone pubienne. C’était troublant, mais tellement relaxant.
Pour Teva, les comptes n’étaient pas encore tout à fait soldés. Elle le fit comprendre sans détour à sa sœur. L’ayant remise sur pied, elle souleva l’arrière de la chemise de nuit, une bonne claque sur les fesses.
« Tu vas de mettre dans ton coin habituel pour réfléchir aux inconvénients qu’il y a dans cette maison à faire la comédie à tout bout de champ. »
Teva la suivit et attendit qu’elle se mette en pénitence. Comme Maeva n’avait pas relevé sa chemise de nuit pour exposer ses fesses, Teva s’en chargea, ce qui se traduisit par une nouvelle claque sur les fesses.
« Quand tu iras au coin après avoir reçu une fessée, je veux voir tes fesses et je veux que tout le monde puisse constater qu’elles sont encore rougies grâce à la correction que tu viens de recevoir. Est-ce compris ?
– Oui Teva.
– Tu restes là sans bouger. Je viendrai te chercher pour le dîner. »
Maeva estima qu’il restait une demi-heure avant qu’il soit temps de passer à table. Elle avait tout ce temps à passer ici. Maeva se prépara à une longue attente.

Maeva demanda pardon et Teva l’assit sur ses genoux dans la position préférée de Maeva, son ventre contre celui de sa sœur et le visage caché dans le creux de son cou. Elle sentait la main qui caressait ses fesses qui ne se ressentaient plus de la fessée. Elle se disait que Teva avait une réserve inépuisable de patience et une capacité sans fin à pardonner … après avoir puni. C’était très rassurant, surtout quand on se trouvait dans ses bras.
Quand Teva mit fin au câlin, Maeva envisagea de protester mais elle n’alla pas au bout de son intention. C’était l’heure de manger. Il y eut bien quelques remarques pendant le repas : tiens-toi droite … ne mets pas tes coudes sur la table … ne parle pas la bouche pleine … ne coupe pas la parole … finis ce que tu as dans ton assiette, … mais rien qui justifia une fessée. Maeva appréciait ces moments. Elle avait le sentiment de faire partie d’une famille ce qu’elle n’avait jamais ressenti aussi longtemps qu’elle s’en souvienne.




Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 7
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bien sûr, c'est le chapitre 9.

Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

2 commentaires:

  1. Bonjour JLG,

    Quelle éprouvante séance de shopping pour Maeva! Remarquablement décrite. Mais séance qui, paradoxalement, la rapproche encore de sa sœur et lui fait éprouver ensuite, à son égard, de grandes bouffées de reconnaissance. Elle sait et sent qu'elle a besoin d'une autorité qui s'exerce sur elle sans faille. Et elle abandonne, peu à peu, toute volonté propre, même si c'est parfois particulièrement difficile, pour s'abandonner à celle de sa sœur dont elle sait qu'elle s'exerce dans son intérêt.
    Amicalement.
    François

    RépondreSupprimer
  2. Bonjour François Fabien,
    Vous avez bien saisi ce qui se prépare. Avec sa grande sœur pour le surveiller, et la punir quand elle en a besoin, Maeva va pouvoir repartir d'un bon pied. Mais auparavant, elle va devoir renoncer à son statut d'adulte, bien qu'elle ait vingt-huit ans, pour mieux reprendre au début tous les manques de son éducation. Il est donc nécessaire que sa tenue soit en conformité avec le processus qu'a initié Teva.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

    RépondreSupprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.