Il fallait compléter avec des vêtements de nuit. Teva choisit quelques chemises de nuit, qu’heureusement Maeva n’eut pas à essayer. La longueur en fut vérifiée et comme elle arrivait à mi-cuisses, ce fut jugé satisfaisant.
Il restait à passer à la caisse.
La vendeuse scanna chacun des vêtements.
« Quelle étourdie je
fais ! J’ai oublié d’ôter les étiquettes des vêtements que votre fille
porte sur elle. Si on la laisse comme cela, elle va faire sonner tous les
portiques à la sortie du magasin. Nous aurons alors toutes les trois des
ennuis !
– Aucun souci,
récupérez-les ! »
Pour le chemisier et le gilet, il
n’y eut aucun souci. Les étiquettes étaient apparentes. La vendeuse dut glisser
ses mains sous la jupe et la soulever jusqu’à découvrir une partie des fesses
de Maeva. Elle effectua ce geste naturellement. C’était une petite fille
qu’elle avait devant elle, il n’y avait pas de précaution particulière à
prendre, même si des gens circulaient dans l’allée du magasin où elles se
tenaient toutes les trois. Maeva n’avait pas le même sentiment. Elle eut un
geste de recul.
« Tiens-toi tranquille,
gronda la vendeuse !
– Maeva ! »
Le ton de Teva était à la menace.
Maeva l’entendit comme un dernier avertissement. Elle ferma les yeux et laissa
la vendeuse faire. Celle-ci lui souleva largement la jupe, bien plus que ce qui
était nécessaire de l’avis de Maeva. Il s’agissait de tester son obéissance.
Maeva se fit une raison. La seule chose que les passants pouvaient voir,
c’était un coin de fesses recouvertes d’un collant parfaitement opaque.
La situation empira quand la
vendeuse entreprit de récupérer l’étiquette du collant. Elle glissa sa main à
l’intérieur et Maeva se contracta au contact des doigts sur sa culotte qui
était maintenant partiellement apparente.
« Reste la culotte et nous
en aurons fini. »
La vendeuse glissa de nouveau ses
mains sous la jupe de Maeva, elle se saisit du haut du collant et le baissa
juste en dessous des fesses. Elle souleva la jupe, mettant la culotte à la vue
de tous. C’en était trop pour Maeva.
« Non, arrêtez ! »
Elle recula et se heurta à Teva.
« Je t’avais
prévenue ! »
Teva retourna Maeva et la coinça
sous son bras. Elle souleva la jupe, exposant la culotte et le collant à moitié
baissé. Cela ne lui suffit pas elle le descendit jusqu’aux genoux de sa sœur. Maeva
n’eut pas le temps de supplier que sa culotte restât en place. Teva en saisit
l’élastique et la culotte alla rejoindre le collant.
Ce fut une fessée courte mais
intense. L’une de celles que Teva donnait en réaction immédiate à un
comportement inapproprié. Si Maeva ne le savait pas encore, elle allait, par
l’expérience, l’apprendre rapidement. Pour cette première fois, Teva poursuivit
la punition jusqu’à ce qu’elle entende les premiers signes d’une fessée qui
avait produit l’effet désiré.
« Tu retournes voir la
vendeuse, tu lui présentes tes excuses pour le temps que tu lui faits perdre.
Puis tu la laisses s’occuper de l’étiquette de ta culotte. Et relève ta
jupe ! »
Maeva essayait de faire
abstraction de toutes les personnes qui la regardait faire les deux pas qui la
ramenaient auprès de la vendeuse. La touffe de poils qui entouraient son sexe,
était offerte à la vue de tous, mettant en évidence l’écart qu’il y avait entre
son âge et sa tenue et surtout avec la façon dont elle venait d’être punie.
« Excusez-moi, Madame de
vous avoir fait perdre votre temps. »
La vendeuse tapota les fesses
nues de Maeva.
« Ce n’est pas si grave,
mais j’espère qu’après cette fessée, tu vas être plus sage. »
Elle récupéra l’étiquette dont
elle avait besoin.
« Voilà, c’est fait !
Ce n’était pas si difficile de rester en place ces quelques secondes. Il est
vrai que ça été plus facile maintenant que la culotte est baissée. Nous aurions
dû commencer par là.
– Reviens ici ! »
Teva était toujours fâchée. Cela
s’entendait au son de sa voix. Ses actes le confirmèrent. Elle replaça Maeva
sous son bras. Il y avait une nouvelle fessée en préparation.
« Celle-là, annonça Teva,
c’est pour ta mauvaise humeur persistante. Tant qu’à faire la tête, autant que
tu aies une bonne raison ! »
La deuxième fessée dépassa la
première. Teva ne se contenta pas de quelques gémissements. Il n’était plus
question d’épargner les fesses. Tant pis si les effets de la ceinture se
faisaient encore sentir. La main ferme de Teva mena sa sœur aux larmes. C’était
là où elle voulait arriver. Elle remonta la culotte de Maeva et réajusta le
collant.
Elle remercia la vendeuse pour
son obligeance et elle prit Maeva qui sanglotait toujours, par la main.
« Rentrons ! Fara et
Moana doivent nous attendre. »
« Va te mettre au coin en
attendant le bain ! »
Fara regarda passer Maeva qui se
dépêchait d’obéir à Teva. Tête baissée, elle fila vers l’angle du séjour où
elle commençait à avoir ses habitudes. Moana sortit de sa chambre en courant et
elle vint sauter dans les bras de sa mère.
« Ça ne s’est pas bien
passé, si je comprends bien.
-- Ça dépend de quel point de
vue. Question garde-robe, c’est parfait. Regarde-la, n’est-elle pas mignonne
habillée comme cela si on fait abstraction de son air renfrogné et du fait
qu’elle te tourne le dos ?
– Pas mal, en effet. Tout à fait
ce qui convient pour une petite fille. Mais, le reste ?
– Deux caprices, deux fessées,
une dans la cabine d’essayage et l’autre à la caisse.
– Tu l’as fessée … devant tout le
monde ?
– Oui, bien sûr !
– Et c’était une fessée
déculottée ?
– Evidemment. Elle l’avait
méritée.
– Ohoh, je pense qu’elle n’est
pas prête à recommencer.
– Malheureusement, je n’en suis
pas si sûre, mais nous avançons. Elle reçoit la fessée sans s’y opposer, même
en public. Elle progresse dans l’obéissance.
– Espérons-le !
– Oui, je serai de toute façon
plus tenace qu’elle. Maintenant que j’ai commencé, j’irai au bout. Je vais
faire couler le bain. »
C’est Teva qui donna le bain à
ses deux filles. Après avoir déshabillé Maeva, elle l’assit sur ses genoux pour
un bref câlin.
« Viens tout contre moi, ma
méchante petite fille. »
Maeva répondit à son étreinte
avec soulagement. Teva lui signifiait que l’épisode du magasin d’habillement
était derrière elles.
« N’as-tu pas quelque chose
à me demander ?
– Je te demande pardon, Teva.
Pardon pour avoir fait des caprices.
– Ma petite sœur adorée, tu sais
bien que tu seras pardonnée. Dommage qu’il te faille autant de fessée pour y
arriver. Allez, dans le bain. »
Teva déposa sa sœur dans l’eau
chaude, puis elle s’occupa de Moana. Maeva regardait la douceur des gestes et
la tendresse avec laquelle sa sœur baignait sa nièce. Teva était ferme. Ses
consignes ne se discutaient pas. Moana obéissait et devançait chacune de
demandes de sa mère, ce qui donnait une impression d’harmonie et de complicité
entre la mère et la fille.
« Ensuite, ce sera mon tour,
se dit Maeva. »
Elle se surprenait elle-même à
attendre ce moment avec impatience, quand les mains de Teva parcourront tout
son corps, même dans ses espaces les plus intimes. Elle se sentait entourée et
protégée.
« Quelle chance j’ai de
pouvoir vivre tout le temps chez Teva. »
Elle réfléchit un court instant
et elle rajouta Fara et Moana dans le facteur chance dont elle bénéficiait.
Elle écarta la pensée des fessées que cela impliquait. Lucidement, elle se
disait qu’elle en était à l’origine et que bientôt, quand elle serait sage et
obéissante comme Moana, ce ne serait plus qu’un désagréable et lointain
souvenir et qu’elle pourrait retrouver toutes les prérogatives d’un adulte.
Ce fut bientôt son tour. Sa
toilette se passa aussi bien que celle de Moana. Alors que Teva lui lavait les
fesses, elle vit les sourcils de sa sœur se froncer. Son cœur se serra.
« Ai-je fait une bêtise sans
m’en rendre compte ? »
Elle regardait sa sœur avec
inquiétude. Teva s’en aperçut et elle déposa un bisou sur le front de sa sœur,
puis une caresse sur ses fesses.
« Ne crains rien, petite
crevette, je n’ai rien à te reprocher. C’est que, avec tous ces poils que tu as
là, elle montrait la vulve de Maeva, je ne suis pas certaine d’arriver à une
propreté parfaite. Je vais t’enlever tout cela. »
L’idée d’émettre une protestation
traversa la tête de Maeva. Elle disparut aussi vite qu’elle était arrivée.
« Puisque Teva l’a décidé,
c’est que c’est sûrement mieux. »
Elle ne pouvait s’empêcher de
ressentir une crainte sourde sur ce qui allait lui arriver, mais même cette
appréhension était délicieuse.
Lavée et séchée, Maeva étrenna sa
nouvelle chemise de nuit. Elle avait, à ce sujet, un sentiment ambivalent. Teva
la trouvait fort à son goût et elle envoya Maeva la montrer à Fara.
« Dans cette chemise de
nuit, tu es mignonne à te faire un bisou. »
Fara la prit brièvement dans ses
bas, le temps de lui faire un bisou sur la joue. Maeva était satisfaite que sa
tenue de nuit fasse plaisir à ses nouveaux parents. Elle appréciait beaucoup
moins le grand dessin qui trônait sur sa poitrine. C’était un gros nounours et
Maeva trouvait que c’était plutôt pour les bébés.
C’était également très facile,
ainsi habillée, de lui retrousser le bas de la chemise pour lui donner la
fessée. Quoique, en y réfléchissant bien, quelle que soit sa tenue, jupe,
pantalon ou chemise de nuit, rien n’arrêterait ni Fara, ni Teva, s’il fallait
la déculotter pour la punir. Cela revenait au même.
Elle aimait encore moins de
n’avoir qu’à peine la moitié des cuisses couvertes et l’absence de culotte.
Cela la gênait de devoir passer toute la soirée dans une tenue aussi déshabillée.
Elle avait l’impression qu’au moindre de ses gestes, ses fesses seraient à la
vue de tout le monde, même si, en l’occurrence, le monde se limitait à trois
personnes.
Elle n’y avait pas fait attention
hier, emportée par le torrent de nouveautés dans sa nouvelle résidence, mais
elle s’en était bien rendu compte, ce soir, quand Fara l’avait juchée sur sa
hanche. La chemise de nuit remontait et c’était ses fesses nues qui avaient
reposé sur le bras de son beau-frère et son pubis sur son flanc. Elle s’y était
sentie vraiment petite fille. Elle se disait que cela limiterait son plaisir à
être prise sur les genoux ou dans les bras, s’il fallait, à chaque fois,
montrer ses fesses.
Pourtant, c’était le plus souvent
Fara ou Teva qui, dans ces situations, finissaient de lui remonter la chemise
de nuit, pour lui caresser les fesses. Ça, par contre, elle en redemandait.
Elle ne s’en était pas lassée hier et elle comptait bien en avoir également sa
part ce soir. La chemise remontée n’avait alors plus d’importance.
« Je ne sais vraiment pas ce
que je veux, constata Maeva. »
Ce constat la laissa perplexe.
« Maeva, viens-ici, je
t’attends ! »
Un ordre aussi clair de Teva ne
pouvait être ignoré. Maeva se hâta.
Sur le lit de Maeva, Teva avait
disposé une grande serviette. Elle y assit sa sœur, puis elle la coucha sur le
dos et elle lui plia les jambes, les pieds sur le lit.
« Ecarte les jambes, bien
grand. »
Teava saupoudra de talc
l’entrejambe de Maeva.
« Je vais t’enlever tous ces
poils. Cela va tirer un peu, mais je vais faire attention. Sois sage, je
reviens. »
A son retour, elle portait un bol
rempli d’un liquide visqueux dont elle enduit une spatule.
« Ne bouge pas, ça va être
un peu chaud.
Teva étala la cire qui était
effectivement un peu chaude, mais c’était supportable. Ce fut plus douloureux
quand il fallut arracher la bande de cire. Maeva cria, mais Teva ne s’en
formalisait pas. Les cris devinrent plus francs après deux autres arrachages de
poils. Teva finit par gronder.
« Faits un peu moins de
bruit. On croirait qu’on t’égorge. Qu’est-ce que tu es douillette. »
Maeva mit alors sa main pour
empêcher Teva de déposer de la cire sur le bord des lèvres de son vagin.
« Ça suffit, Maeva. Tu en as
mis partout ! »
Une bonne claque sur le haut de
la cuisse rappela Maeva à plus de sagesse. Celle-ci se tint tranquille pendant
une minute ou deux. Puis elle mit sa main sur celle de Teva pour empêcher
l’arrachage d’une nouvelle bande de cire.
« Maeva, tu dépasses les
bornes ! »
Teva écarta les mains de sa sœur
sans ménagement.
« Si je revois tes mains à
m’empêcher de finir cette épilation, tu auras la ceinture en plus de la fessée
que je vais te donner. »
Teva arracha la bande, ce qui
tira des cris à Maeva. L’épilation n’était pas terminée, mais Maeva avait
besoin d’une correction pour lui apprendre à ne plus interférer avec le travail
de sa sœur. Celle-ci prit les deux jambes de sa sœur et elle les releva au-dessus
de sa tête, en les maintenant d’une seule main. Maeva se retrouvait dans la
position d’un bébé dont on voulait changer la couche. Mais ce n’était pas
l’intention de Teva.
Celle-ci se plaça à côté de Teva.
Il s’agissait de dégager la trajectoire pour sa main. La première claque tomba
sur la fesse droite de Maeva, puis une deuxième sur la gauche. Maeva se
réveilla à ce moment-là, ses cris informèrent le reste de la maisonnée qu’une
fessée était en cours. Teva prenait bien soin d’entretenir la cuisson sur toute
la surface qu’elle avait dégagée en retenant les jambes en position haute.
Maeva n’en pouvait plus. Ce
n’était pas que cette fessée soit particulièrement plus sévère que les autres,
mais la position que Teva lui avait fait adopter était humiliante. C’était
celle d’un bébé. De plus, elle avait l’impression d’assister à sa fessée, tout
en la subissant.
Elle voyait Teva préparer sa
main, qui prenait la trajectoire de ses fesses. Visiblement, donner une fessée
demandait un effort ce que Maeva n’avait pas imaginé. Teva devait y mettre une
réelle énergie pour que sa main arrive sur les fesses de sa sœur avec assez de
vitesse, donc de force. Le visage de Teva montrait une concentration, gage du
sérieux qu’elle mettait dans cette activité : fesser Maeva.
Maeva pouvait anticiper chaque
brûlure ainsi provoquée. Elle se rendait compte de la fermeté de sa sœur qui,
claque après claque, décidait de poursuivre la correction. Elle choisissait
alors le prochain emplacement où elle appliquerait sa main, tout en vérifiant,
de temps en temps, si les réactions de Maeva étaient à la hauteur de ce qu’elle
en attendait.
Maeva avait une bien meilleure
vue sur son environnement proche. Elle voyait tout ce qui se passait, bien
mieux que quand elle avait le nez dans les coussins du canapé quand, à
plat-ventre sur des genoux elle offrait ses fesses à une correction. Elle
n’était pas certaine que c’était un avantage.
Cela lui permit de voir Fara
arriver sur le seuil de la chambre, Moana dans les bras. Ils restèrent à
regarder le châtiment qu’elle recevait. Fara approuvait, de petits hochements
de tête. Maeva lui aurait volontiers demandé de laisser Teva et elle à leur
intimité, mais cela aurait pu être interprété comme de l’insolence avec les
risques que cela représentait.
Teva la remit dans sa position
initiale. Ses fesses la brûlaient.
« Tu interromps l’épilation
encore une fois et tu as la ceinture ! »
C’était une promesse à considérer
sérieusement. Supporter une petite douleur maintenant ou en subir une grosse
plus tard. Non, ce n’était pas comme cela que se présentait le problème. De
toute façon, l’épilation irait à son terme, Teva l’avait décidé. Quoi que fasse
Maeva, elle n’échapperait pas, pour quelques minutes encore, à la désagréable
sensation d’arrachage des poils sur son pubis. Par contre, elle pouvait, ou
non, y rajouter celle de la ceinture sur ses fesses. Maeva pouvait être
raisonnable et se contraindre à accepter des désagréments. Eviter la ceinture
en était une suffisamment forte. Maeva laissa Teva procéder à la fin de son
épilation.
Ce fut ensuite beaucoup plus
agréable. Teva enduisit toute la zone qu’elle venait d’épiler et elle massa
pour faire pénétrer le produit. Les picotements que Maeva ressentait,
disparurent dès le contact avec la crème apaisante. Et puis il y avait les
doigts de Teva qui caressaient toute sa zone pubienne. C’était troublant, mais
tellement relaxant.
Pour Teva, les comptes n’étaient
pas encore tout à fait soldés. Elle le fit comprendre sans détour à sa sœur.
L’ayant remise sur pied, elle souleva l’arrière de la chemise de nuit, une
bonne claque sur les fesses.
« Tu vas de mettre dans ton
coin habituel pour réfléchir aux inconvénients qu’il y a dans cette maison à
faire la comédie à tout bout de champ. »
Teva la suivit et attendit
qu’elle se mette en pénitence. Comme Maeva n’avait pas relevé sa chemise de
nuit pour exposer ses fesses, Teva s’en chargea, ce qui se traduisit par une
nouvelle claque sur les fesses.
« Quand tu iras au coin
après avoir reçu une fessée, je veux voir tes fesses et je veux que tout le
monde puisse constater qu’elles sont encore rougies grâce à la correction que
tu viens de recevoir. Est-ce compris ?
– Oui Teva.
– Tu restes là sans bouger. Je
viendrai te chercher pour le dîner. »
Maeva estima qu’il restait une
demi-heure avant qu’il soit temps de passer à table. Elle avait tout ce temps à
passer ici. Maeva se prépara à une longue attente.
Maeva demanda pardon et Teva
l’assit sur ses genoux dans la position préférée de Maeva, son ventre contre
celui de sa sœur et le visage caché dans le creux de son cou. Elle sentait la
main qui caressait ses fesses qui ne se ressentaient plus de la fessée. Elle se
disait que Teva avait une réserve inépuisable de patience et une capacité sans
fin à pardonner … après avoir puni. C’était très rassurant, surtout quand on se
trouvait dans ses bras.
Quand Teva mit fin au câlin,
Maeva envisagea de protester mais elle n’alla pas au bout de son intention.
C’était l’heure de manger. Il y eut bien quelques remarques pendant le
repas : tiens-toi droite … ne mets pas tes coudes sur la table … ne parle
pas la bouche pleine … ne coupe pas la parole … finis ce que tu as dans ton
assiette, … mais rien qui justifia une fessée. Maeva appréciait ces moments.
Elle avait le sentiment de faire partie d’une famille ce qu’elle n’avait jamais
ressenti aussi longtemps qu’elle s’en souvienne.
Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose
Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre 98, de sa sœur si sévère.
Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé
Voici le début du récit : le chapitre 1
Mais, ce n'est pas fini
Y a-t-il une suite ? Bien sûr, c'est le chapitre 9.
Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !
Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.
Bonjour JLG,
RépondreSupprimerQuelle éprouvante séance de shopping pour Maeva! Remarquablement décrite. Mais séance qui, paradoxalement, la rapproche encore de sa sœur et lui fait éprouver ensuite, à son égard, de grandes bouffées de reconnaissance. Elle sait et sent qu'elle a besoin d'une autorité qui s'exerce sur elle sans faille. Et elle abandonne, peu à peu, toute volonté propre, même si c'est parfois particulièrement difficile, pour s'abandonner à celle de sa sœur dont elle sait qu'elle s'exerce dans son intérêt.
Amicalement.
François
Bonjour François Fabien,
RépondreSupprimerVous avez bien saisi ce qui se prépare. Avec sa grande sœur pour le surveiller, et la punir quand elle en a besoin, Maeva va pouvoir repartir d'un bon pied. Mais auparavant, elle va devoir renoncer à son statut d'adulte, bien qu'elle ait vingt-huit ans, pour mieux reprendre au début tous les manques de son éducation. Il est donc nécessaire que sa tenue soit en conformité avec le processus qu'a initié Teva.
Au plaisir de vous lire,
JLG.