vendredi 23 août 2019

Un difficile retour à la maison - chapitre 5

La semaine s'est montrée beaucoup moins agitée pour Julien. Il a fait beaucoup d'efforts pour éviter d'être puni en réalisant parfaitement ses corvées et le travail scolaire que sa mère lui a concocté. Il n'a subi que quelques petites fessées quotidiennes pour des broutilles.
A l'arrivée de sa baby-sitter, en ce samedi matin, il est déjà tout propre. Sa maman lui a donné sa douche et l'a habillé. Madame Lafitte donne ses consignes à Léa et lui rappelle qu'elle est bien entendue autorisée à punir Julien si besoin.
Elle rappelle également à Julien qu'il est placé sous l'autorité de Léa et qu'il a intérêt à lui obéir. Quant à la mère de Léa elle lui dit qu'elle lui fait confiance pour que tout se passe bien.
Les deux femmes parties, Léa dit à Julien d'aller s'occuper dans sa chambre. Elle se rend immédiatement à la salle de bain. Elle se change, se maquille et laisse ses longs cheveux tombants ce qui la change nettement de ses couettes habituelles.
Quand elle débarque dans la chambre de Julien en minijupe et avec un tee-shirt laissant ses épaules dénudées. Il est subjugué par ce changement qui rend Léa des plus resplendissantes.
« Julien tu vas me ranger ta chambre et ensuite tu viendras me rejoindre en bas pour préparer le repas demande Léa
- Mais ma chambre est rangée Léa
- Ne discute et obéis ! Compris, dit-elle en quittant la pièce ? »
Une demi-heure plus tard elle est de retour
« Tu te moques de moi ? Tu n'as rien fait... Pire ton lit est complètement défait dit-elle en jetant à terre la couverture et les draps.
- Mais Léa…
- Il n'y a pas de mais viens ici je vais te donner une fessée pour t'apprendre à m'obéir.
- Tu es folle, crie Julien. Ma chambre est rangée à part ce cahier et ces stylos sur mon bureau !
- Ah je suis folle dit-elle en attrapant Julien par le bras. Tu vas me payer ton insolence, crois-moi. C'est maintenant deux fessées que tu as méritées et que tu vas recevoir. »
Julien tente d'échapper à l'emprise de sa baby-sitter mais d'une clé de bras elle parvient à le bloquer et l'attire vers elle sur le lit. De sa main libre, elle déboutonne son short puis baisse également son slip. Elle le couche ensuite sur ses genoux et lui administre une fessée magistrale.
Peu habitué aux fessées à la main, Julien est surpris de la force avec laquelle Léa lui donne cette fessée. Cette dernière pleine rage a ses forces décuplées. Julien la supplie d'arrêter et lui demande pardon mais Léa qui a elle aussi reçu une éducation stricte ne compte arrêter la fessée avant son terme.
Après un bon moment elle relâche enfin son emprise mais la punition n'est pas terminée.
« Va à la salle de bain et ramène-moi la brosse à cheveux dépêche-toi lui ordonne la jeune fille. »
Julien se relève et commence à remonter son slip, une claque sur la cuisse l'empêche de poursuivre.
« Laisse ça à sa place, et va me chercher la brosse ! »
Julien va donc la chercher à petits pas, les pieds entremêlés dans ses vêtements. A son retour, Léa lui dicte de se mettre à genoux et de lui donner la brosse. Elle force ensuite Julien à se pencher les mains appuyées sur le sol et lui claque à nouveau les fesses. Elle n'hésite à frapper fort et parviens à arracher des larmes à Julien.
« Mets tes mains sur la tête. Tu vas rester un moment comme ça pour réfléchir dit-elle en se couchant sur le lit. »
Pendant ce temps Léa s'amuse sur son téléphone portable. Et ce n'est que 45 minutes plus tard qu'elle autorise Julien à se relever et à se rhabiller.
« Allez tu vas aller faire cuire au four le plat qui dans la cuisine. Tu mets la table ensuite et après le déjeuner je te redonnerai une fessée pour ton insolence. »
Pendant qu'il s'affaire en cuisine, Léa continue de gronder Julien.
« Comme tu as pu le constater moi aussi je sais moi aussi donner des fessées et je n'hésiterai pas te rougir tes jolies petites fesses. Ta maman a bien eu raison de t'épiler c'est beaucoup plus joli et bien plus hygiénique. De toute façon les petits garçons comme toi ne doivent pas avoir de poils. Cela permet de bien te signifier qu'elle est ta place. Surtout que quand je constate ton insolence. C'est bien la preuve que tu n'es pas encore mure et que tu n'es encore un enfant. »
Le repas terminé, Julien ayant terminé la vaisselle, Léa lui demande de venir la rejoindre. Elle est assise sur le canapé. Elle a placé à côté d'elle la fameuse règle en plastique dur que Julien connaît si bien. Julien se tient devant elle, Léa prend la parole.
« Il est l'heure de régler nos comptes Juju. Baisse ton short »
Julien déboutonne sa culotte courte et défait sa fermeture éclair ce qui fait directement tomber le vêtement à ses pieds.
« Allez le slip maintenant ! »
Julien hésite mais une claque sur la cuisse l'encourage à se presser.
« Ne fais pas tant de simagrées... Je connais bien tes parties intimes maintenant et un petit garçon doit se dévêtir sans chichi devant la personne qui a autorité sur lui. Tu sais que j'ai autorité sur toi Julien n'est-ce pas. En tant qu’adulte responsable je dois pouvoir te punir comme tu le mérites et tu dois me faciliter la tâche quand je te le demande. »
Le slip rejoint la culotte. Julien se retrouve les fesses et le sexe à l'air devant sa baby-sitter. Elle commence par toucher son bas-ventre.
« Effectivement c'est plus net épilé ainsi déclare-t-elle ce qui entraine une légère réaction chez le jeune homme. Tarata petit garçon. Un petit garçon ne doit pas avoir de réaction de virilité devant une jeune femme. Une nouvelle claque sur la cuisse vient vite calmer ses ardeurs. »
Léa le prend alors par la main et l'aide à se coucher sur ses genoux.
« Julien tu vas payer ton insolence dit-elle en commençant à bien lui rougir les fesses. »
Cette nouvelle fessée à la main à le mérite de lui arracher déjà quelques supplices. Quand elle trouve que les fesses sont déjà bien rougies, elle poursuit la correction avec la règle. Là ce sont de véritables cris de douleur que prononce Julien et c'est en pleurant qu'il supplie sa gardienne d'arrêter la fessée.
« Tu ne crois pas t'en tirer à si bon compte. Tu as osé me manquer de respect. Cela ne peut rester impuni et la punition doit être sévère. »
Elle poursuit la punition méthodiquement s'appliquant à rougir les deux globes fessiers et les cuisses et ce n'est que quand elle estime la leçon est retenue qu'elle repose la règle avant d'envoyer Julien au piquet.
Les fesses brûlantes, Julien doit aller réfléchir dans la position dont il a coutume. Pendant ce temps, Léa passe son temps au téléphone avec l'une de ses amies. Elle l'invite d'ailleurs à venir passer la journée du lendemain avec elle à la maison.
Après une heure de piquet, Julien est déjà libéré. Il est soulagé car quand sa mère le met au coin cela dure plus longtemps. Il remercie Léa qui l'envoie dans sa chambre car elle a, soit disant, besoin de se reposer.

L'après-midi et la soirée se déroule tranquillement et il obtempère aux injonctions de sa gardienne pour éviter ses foudres. Même lorsqu'elle lui enfile sa couche, Julien se soumet sans broncher
Le lendemain les choses sont beaucoup plus compliquées. Si Julien a été couché comme d'habitude à vingt heures pétantes, Léa, quant à elle, a veillé tard et fait la grasse matinée. Ne pouvant se lever, il ne peut retenir une envie pressante et mouille sa couche.
Vers onze heures, elle vient seulement lever son pupille.
« Mais quelle horreur s'écrie t'elle en ouvrant la fenêtre. Sors de ton lit gros bébé. Tu as fait pipi au lit. Tu n'es vraiment qu'un bambin. Tu as honte j'espère ! Tu vas rester avec les fesses mouillées un moment mon petit. Quand j'aurai pris mon petit déjeuner tu auras le droit à une fessée magistrale »
Elle attrape Julien par l'oreille et le fait descendre dans le salon.
« A genoux mains sur la tête le nez collé au mur. Tu vas rester là le temps que je déjeune. Toi tu te passeras de petit déjeuner. Ça t'apprendra à souiller tes culottes. »
Léa prend son temps. Pendant ce temps Julien se sentant sous étroite surveillance n'ose bouger d'un cil. Il sait que Léa va lui faire regretter cet accident. Malgré sa position inconfortable, il n'est pas pressé de sortir de là.
« Monte dans la salle de bain et fais-moi couler un bain bien moussant lui ordonne Léa. Quand il sera prêt tu reprendras ta position de pénitence face à la baignoire et le nez au mur. »
Au bout d'un petit moment, Léa le rejoint. Elle se met nue et se plonge dans son bain ou elle allume une cigarette. Julien qui sent alors l'odeur du tabac n'y croit pas. Sa baby-sitter ose fumer dans la maison de sa mère, elle qui a une sainte horreur du tabac ! Cependant il trouve plus judicieux de ne pas la ramener et reste à sa place sans bouger en silence.
Il est plus de midi trente quand Léa sort enfin de son bain. Elle enfile un peignoir et va s'habiller dans sa chambre. Elle revient se pomponner dans la salle de bain. Elle prend vraiment tout son temps. Se maquille, se parfume, se coiffe.... Julien a mal aux genoux et a le ventre qui grogne tellement il a faim. Mais cela ne semble pas être le problème de Léa.
« Redescends commande t'elle mon amie Clémence va arriver. Je n’ai pas le temps de m'occuper de toi pour l'instant. »
Julien ose un timide
« Puis-je me rendre aux WC ?
- Tu n'as qu'à faire dans ta couche, on n'est plus à ça près, lui répond-elle de façon cinglante. »
En arrivant dans le salon, Julien doit se résoudre à faire encore une fois dans sa couche. Léa qui l'a suivi le renvoie à son piquet.
« Pitié Léa ose encore Julien. J'ai trop mal au genoux
- Tu veux de la pitié ? Je vais t'en donner moi dit-elle en allant se saisir de la cravache accrochée au mur près de la porte. »
Le sang de Julien se glace. Il sent la peur monter en lui. C'est à ce moment-là que la sonnette retentie. Sauvé par le gong se dit Julien. Mais cela ne fait que retarder le moment de sa correction.
Après avoir accueilli son amie, Léa revient vers son pupille
« Bon à nous deux gros bébé. Ce grand dadais a encore souillé sa couche. Et par deux fois en plus. Désolée Clémence je vais devoir lui apprendre à se tenir comme un grand garçon en donnant un coup sur chacun de ses mollets.
Elle lui retire alors son bas de pyjama et lui ordonnes de retirer sa couche et d'aller la jeter à la poubelle.
Julien rouge de honte d'être humilié ainsi devant une inconnue s'exécute et revient les mains placées devant pour cacher ses attributs.
« Retire tes mains, les bébés n'ont pas besoin de cacher leurs petits kikis, ironise Léa
- Oh mais il est tout épilé s'étonne Clémence ! »
Julien aimerait disparaitre six pieds sous terre.
« Approche, lui demande sa gardienne en le tirant par le bras. Tu es tout mouillé. Je vais te fouetter mais avant cela à la douche déclare-t-elle en lui donnant un nouveau coup sur les fesses. Clémence accompagne nous si tu veux. »
Devant sa camarade, Julie lave soigneusement Julien et une fois sa toilette terminée, sans prendre la peine de l'essuyer, elle lui inflige une sévère correction avec la cravache sur ses fesses mouillées. Cela rend la punition encore sévère et fait souffrir Julien qui hurle sa souffrance à chaque coup.
Ce n'est qu'après cette séance, qu'elle essuie Julien et lui remet une couche.
"Tu resteras la journée en couche aussi. Je n'ai pas que ça faire que de t'emmener au WC. Tu as intérêt à la garder au sec jusqu'à ce que je te conduise aux toilettes. »
Pendant que les deux amies papotent Julien est invité à rester au coin les fesses à l'air et ce n'est que quand elle décide de manger qu'il peut lui aussi se restaurer.



Eh là, ne perdons pas le fil de l'histoire !

Le début : le chapitre 1
et l'épisode précédent : le chapitre 4

Et bien, attendons la suite.

Ce sera le chapitre 6


Et s'il vous manque un épisode,

Vous le trouverez sur la page "les auteurs invités"

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Pierre se lance dans l'écriture, il a besoin de savoir ce que vous en pensez.
Vous pouvez également le contacter directement : Pierre

1 commentaire:

  1. Le comportement de Julien dans ce récit me rappelle curieusement l'attitude que
    j'avais lors de ma pré adolescence. J'étais nonchalant, remettant à plus tard les taches que me donnait ma mère. A 12 ans , j'eus la surprise de voir naitre ma petite soeur. Habitué à etre fils unique ayant ma mère à moi seul, je fus perturbé et je me mis à me comporter comme un bébé. Je recommençai à sucer mon pouce , à salir mon slip , à piquer des colères.
    Ma mère devint sévère à mon égard. n'hésitant pas à me donner des fessées déculottées. J'allais sur mes 13 ans et mon comportement puéril , mon refus de me laver au quotidien exaspéra ma mère qui me corrigea de façon magistrale.
    Ce matin là, refusant d'aller au collège , tapant des pieds , ma mère me déculotta devant ma petite soeur . Au moment de baisser mon slip blanc "Petit Bateau " elle découvrit mon sous vetement taché de pipi et de caca.
    Elle me l'ota et me le mit sous le nez puis me coucha sur ses genoux et me fessa comme jamais je ne l'avais été .
    Puis elle me releva et alla chercher une couche qu'elle me mit. je partis au collège ainsi et en rentrant le soir ma mère me déculotta pour voir l'état de la couche. elle était propre.
    Dès ce jour là , je n'ai plus sali mes slips, mais les fessées ont continué tout de meme car je suis rentré dans la période de révolte envers le monde adulte et j'ai reçu énormément de fessées jusqu'à 16 ans

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