vendredi 30 août 2019

Un difficile retour à la maison - chapitre 6

Depuis qu'il est placé sous la responsabilité de Léa, Julien est condamné à porter des couches culotte 24 heures sur 24. Elle le laisse toute la journée avec comme seul vêtement sa couche-culotte.
Après sa dure journée lors de la visite de Clémence, l'amie de sa baby-sitter, ses journées sont un peu plus calmes, même s’il doit faire beaucoup de ménage pendant que Léa se prélasse dans le canapé.
Trois jours plus tard, ils sont invités chez Clémence. Ses parents étant en vacances elle leur à proposer de venir barboter dans sa piscine, ce que Léa a accepté.
Avant de partir, elle habille son pupille. Un short élastique et un polo bleu.
« Léa je crois que tu as oublié de me retirer la couche, se permet Julien
- Je n'ai rien oublié de tout. Tu la gardes, mon bonhomme, et que cela te plaise ou non. Et ne discute pas où je vais être encore obligé de fesser. »
Une fois de plus Julien doit se plier aux exigences de sa gardienne et au moment de partir Léa lui demande s’il n'a rien oublié
« Non Léa
- Et ton martinet ? Tu le prends avec toi et tu le tiens à la main le temps du trajet. »
Julien est forcé de suivre Léa avec le martinet. Elle l’oblige à le laisser visible. Quelques passants se retournent sur leur passage. Il s'agit d'un martinet un peu plus gros que les martinets traditionnels. Madame Lafitte l'a fait fabriquer par un cordonnier dans le village de son enfance. Le même qui fabriquait les martinets que sa mère commandait quand elle était enfant. Il a un manche un peu plus gros et neuf épaisses lanières en cuir noir.
Arrivé chez Clémence, elle les invites près de la piscine. Léa s'occupe directement de son pupille. Elle le déshabille et le tartine de crème solaire.
« Il ne s'agirait pas que tu attrapes des coups de soleil. Tu vas rester en couche jusqu' à ce que tu puisses te baigner. Pour l'instant il est trop tôt. Nous sortons de table il y'a à peine une heure. Profites en pour lire le temps que nous prenons notre thé. Tu sais que dois finir ce roman avant le retour de ta maman. »
Une heure plus tard, le moment tant attendu de la baignade est arrivé. Léa retire sa couche à Julien et lui enfile son slip de bain. Elle décide ensuite d'enfiler des brassards au jeune homme.
« Mais enfin Léa je sais nager, proteste t'il »
Trois claques retentissent sur ses fesses.
« Tu préfères être puni ? Tu es sous ma responsabilité ... Je ne vais pas prendre de risque.
- Mais je sais nager ! »
Léa lui inflige trois nouvelles claques.
« Sois tu obéis soit tu restes assis toute la journée et, en prime, je te les fesses au martinet. »
Une fois de plus, il doit obtempérer et va se baigner avec ses brassards.

Après un moment, les filles décident d'aller faire bronzette. Julien, quant à lui, a oublié qu'il portait des brassards. Il s'amuse à faire des sauts dans l'eau. Léa doit le rappeler à l'ordre car il risque de les éclabousser. Dans un premier temps Julien s'éloigne mais il finit par se rapprocher et ce qu'il devait arriver, arrive et les filles se retrouvent toutes mouillées.
« JULIEN, Hurle Léa ! »
Elle se saisit du martinet posé sur une petite table et s'approche de la piscine.
« Sors de là, tout de suite. Elle crie et montre sa colère. Le jeune homme, peu habitué à entendre crier quand il doit être puni se met à rigoler.
- Oh ne te fâche pas Léa. Profites en pour venir à l'eau ça va te détendre
- Tu remontes de suite... Si je viens te chercher tu vas le regretter s'énerve la baby-sitter ! »
Julien se plie finalement aux injonctions de Léa, mais continue de rire. Il ne croit pas que Léa soit réellement fâchée. Mais il cesse très vite de rire. A peine sortie de l'eau, Léa attrape le bras de son pupille et commence à lui cingler les cuisses tout en le tirant vers les transats. Julien ne rigole plus du tout. Ses rires ont été remplacé par des cris de douleur.
« Pitié Léa je te demande pardon, arrête s'il te plaît, demande Julien !
-Je vais t'en donner de la pitié moi. Mets tes mains à plat sur le transat et penche-toi. Ecarte les jambes, allez ! »
Tout en donnant ses consignes, Léa continue de le fouetter. Julien regrette amèrement ses pitreries et pleure maintenant à chaude larmes. Malgré ses supplices, Léa continue de le punir avec une sévérité décuplée par la colère. Julien crie et pleure mais cela ne calme pas sa protectrice et même quand il tombe à genoux, elle le force à se pencher pour continuer à le flageller.
« Hé bien avec ça, je pense qu'il n'est pas prêt de recommencer, lance Clémence étonné par le spectacle auquel elle vient d'assister.
- Je l'espère répond Léa enfin calmée en reposant le martinet.
- Maintenant que nous sommes mouillées retournons nous baigner propose Clémence.
- Oui tu as raison rétorque Léa. Toi tu restes à genoux ici et tu mets tes mains sur la tête dit-elle à Julien. Et tiens-toi droit où je vais venir te fouetter de nouveau, comme tu le mérites. »
Julien sanglotant reste ainsi en pénitence un long moment pendant que les deux amies s'amusent et se détendent dans l'eau. La station pénible et encore plus forte avec le soleil brûlant, se poursuit pour lui quand elles reviennent se dorer sur les transats.
Julien a soif et ses fesses et cuisses lui font toujours mal mais Léa n'en que faire. Elle le surveille tout en l'ignorant totalement. Elle ne lui adresse la parole qu'au moment de partir pour le rhabiller et lui ordonner de reprendre son martinet.
Sur le chemin, les passants ne peuvent que constater que le martinet a bien servi. En effet si ses fesses et ses cuisses sont cachées par ses vêtements on voit aussi quelques traces de zébrures sur ses mollets et le bas des cuisses.

Le lendemain matin après lui avoir donné sa douche, comme d'habitude, et lui avoir remis sa couche-culotte, Léa commande à Julien de briquer parfaitement la maison pour qu'elle soit nickel au retour des mamans le lendemain. Comme de coutume, Léa s'est habillée de façon provocante et s'est maquillée. Elle est oisive sur son téléphone pendant que Julien lave les plaintes quand, surprise, les deux mères font leur retour avec un jour d’avance. Léa comprend immédiatement qu'elle va devoir rendre des comptes. Passé la surprise, sa mère s'avance vers elle. Léa se lève et fait mine de rien
« Vous êtes déjà rentrées.
- Ha oui ! Nous sommes déjà rentrées. Et je crois que l'avance de notre vol tombe à pic répond sa mère. Peux- tu m'expliquais ton accoutrement et ton maquillage ?  Je rêve ! Comment oses tu être aussi aguichante. Tu as perdu le sens commun ma petite fille ! Je pense que tu as oublié les principes que je t'ai inculqués. Je pense que tu t'es cru déjà grande. Moi qui croyait pouvoir te faire confiance. Je suis déçue. Il est évident que tu ne pourras pas rester seule maintenant que je dois m’absenter... Je suis encore ta mère et ce n'est parce que tu as vingt ans, que tu peux te permettre de t'habille comme bon te semble et de te maquiller comme tu le fais. Tu pourras agir ainsi si tu le veux quand tu n'auras plus besoin de moi. Je suis devenu trop laxiste avec toi ! Je vais te rappeler les principes qui me sont chers. Tu vas recevoir une bonne fessée. Je n'aurai jamais dû arrêter de te corriger. Tu en trop profiter. »
Elle baisse le petit short et la culotte de sa fille. Léa tente d'empêcher sa maman d'agir et proteste.
« Non maman ! Je suis trop grande et pas ici devant tout le monde.
– Non tu es une petite fille. Tu as perdu ton statut de grande fille responsable à cause de ton comportement. Comme je ne peux pas te faire confiance, tu m'obliges à te punir une nouvelle fois comme avant. Une série de claques sur les cuisses accompagnes les propos de Karine. »
Léa se protège les fesses.
« Où doit mettre ses mains une petite fille quand elle va être punie, lui demande sa génitrice ? »
Léa qui doit se résoudre à recevoir une correction répond sur la tête et à regret elle joint le geste à la parole.
Karine prend place sur le canapé et tire sa fille, l'obligeant à se coucher sur ses genoux. Après l'avoir parfaitement installée, elle lui administre une cuisante fessée. Sous les coups appuyés de sa mère, Léa grimace et demande sa clémence. Mais rien n'y fait la punition ira à son terme.
« Aïe, aïe, aïe, maman s'il te plaît ! j'ai compris aïe, aïe... »
Les fesses de Léa sont bien rouges. Sa mère n'a pas perdu la main. Cependant elle estime que la punition est insuffisante. Elle demande à son amie madame Lafitte de lui prêter sa cravache.
« Pas de problème Karine, tiens - la voici. Léa mérite une bonne leçon. Tu as entièrement raison. »
Karine demande à sa fille de se placer en appui sur la table basse, les mains bien à plat et les jambes écartées. Elle ne ménage pas sa peine pour corriger sa fille et c'est avec conviction qu'elle inflige les coups de cravaches sur les fesses et cuisses de Léa.
Les zébrures ne tardent pas à marquer la peau de la jeune fille qui gémit et se plaint à chaque coup. D'une main ferme, sa mère la maintient en position et lui prescrit une bonne vingtaine de coups sous le regard médusé de Julien et celui approbateur de Mme Lafitte.
A la fin de la correction, Léa tombe à genoux en pleure. Elle souffre énormément. Après un bref moment où elle peut récupérer, elle est envoyé au piquet mains dans le dos pour maintenir son tee-shirt relevé. Valérie invite alors son amie à venir prendre un verre d'orangeade. Les deux femmes s'installent confortablement tandis que Léa pleure au coin, le nez collé contre le mur.
« Merci Valerie. Je ne vais pas pouvoir laisser Léa seule, en autonomie pendant deux ans et je ne peux pas l'emmener avec moi. Je ne sais pas ...
- Mais Karine la solution est toute trouvée. Je vais m'occuper de Léa. Je suis sa marraine et cela ne me pose aucun problème. Je m'en occuperai comme de ma propre fille et je ne la ménagerai pas, rassure-toi. Elle ira en pension à Sainte Marie comme Julien. Je contacterai la mère supérieure pour lui expliquer avant notre rendez-vous prévu la semaine prochaine.
- Vraiment ? Ça ne te dérange pas ?
- Mais si je te le dis.
- Je vais aller lui chercher ses affaires. Tu pourras jeter les horreurs qu'elle a apportées. Je te remercie vivement annonce Karine en prenant déjà la direction de la porte.
– Pas de soucis à tout à l'heure.
- Julien approche s'il te plaît lui demande sa mère. Peux-tu m'expliquer pourquoi tu es en couche culotte à cette heure-ci ? »
Dans un premier temps, le garçon hésite à répondre à sa mère. Il se tourne vers le coin ou est placé Léa. Cette dernière n'ose pas bouger. Elle sait qu'elle n'a pas été performante de ce côté-là. Qu'elle n'aurait pas dû laisser Julien en couche toute la journée. Ce n'était pas dans les consignes de Madame Lafitte.
Devant le regard insistant de sa mère, Julien avoue que Léa l'a contraint de rester ainsi toute la semaine car elle ne voulait pas s'embêter à devoir l'emmener au WC. Il avoue avec fierté ne jamais avoir uriné et avoir su toujours se retenir sauf le premier matin.
Valérie Lafitte se lève et prend la règle en plate. Elle se dirige vers Léa et lui assène un coup de règle sur les fesses. Cette dernière ne peut retenir un cri de douleur à chaque fois.
« On va laisser tes fesses récupérer un peu et tu recevras une autre fessée ce soir, jeune fille, pour avoir été négligente dans ton travail. »
Madame Lafitte retourne ensuite auprès de son garçon et lui retire sa couche. Elle inspecte les fesses et les cuisses de son fils.
« Tu as reçu le martinet Julien ? »
Tête baissée Julien reconnait l'avoir reçu hier et raconte toute l’histoire à sa mère.
« Hé bien tu l'as pas volé. Mais tu étais privé de sortie. Puis s'adressant à sa filleule.
« Tu le savais Léa. Je te promets une sérieuse correction tout à l'heure. Cela s'ajoute à ta négligence. Julien vient que je t'habille. »

Une heure plus tard, Karine est de retour avec une grosse valise. Avant de partir elle embrasse chaleureusement sa fille et lui demande de se montrer obéissante et travailleuse. C'est maintenant deux grands enfants qui vivent chez Madame Lafitte.



Eh là, ne perdons pas le fil de l'histoire !

Le début : le chapitre 1
et l'épisode précédent : le chapitre 5

Et bien, attendons la suite.

Ce sera pour la semaine prochaine


Et s'il vous manque un épisode,

Vous le trouverez sur la page "les auteurs invités"

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Pierre se lance dans l'écriture, il a besoin de savoir ce que vous en pensez.
Vous pouvez également le contacter directement : Pierre

1 commentaire:

  1. Bonjour tout le monde, et plus si affinité.
    Un grand magasin à Paris, avait trouvé ce slogan pour vanter la diversité de ses offres marchandes:
    " On trouve tout à la Samaritaine..."
    C'est aussi ce qui fait la richesse et l'intérêt de ce blog qui propose, à travers nombre de récits, une variation très large sur notre thème favori de la fessée. Chacun y va librement de son petit fantasme et on a droit un vrai festival, propre à satisfaire les goûts les plus variés. Fessée tout nu, déculotté, à la main au martinet, cravaches et autres instrument, épilation, régression, pipi au lit... Tout y passe.

    Dans ce chapitre "Baby-gros", l'ami Julien, fermement pris en main par Léa sa "douce" Baby-Sitter, est invité fessée à l'appui, à un retour vers le futur du nourrisson, avec passage direct à la couche culotte. Ce n'est pas le premier du genre, mais là, c'est carrément 25 heures sur 24 !
    Le pauvre garçon en est tellement perturbé qu'il en oublie son martinet pour aller à la piscine! Léa veille au grain et l'humilie un peu plus en le lui faisant transporter à la main devant tout le monde. Un si beau martinet de fabrication artisanale!
    L'auteur fait preuve d'une imaginale fertile en inventant le brassard de bain pour adulte, propre à renforcer la procédure d'infantilisation. La fessée au martinet sur le bord du bassin vient à point nommé pour contribuer au recadrage du Bambino! La copine Clémence est solidaire.

    Mais surprise surprise! Il se passe toujours quelque chose au rayon fessées du Blog! Maman karine, en tête de condôle, remet les pendules à l'heure et c'est au tour de Léa de passer sur les genoux maternels pour s'en prendre une cuisante. Comme à la piscine, mais c'est l'arroseuse fessée ou la fessée arrosée!
    Bref,pas facile la vie de Bébé. Le retour à la maison s'avère aussi retour aux sources. On y pratique la déculottée régressive à la moindre occasion. Les grands enfants adultes, pensionnaires de madame Lafitte, n'ont pas fini de se faire biberonner les fesses! Comme dirait un ami de nos relations: ça va chauuuffer !
    Cordialement
    Ramina

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