Après sa
dure journée lors de la visite de Clémence, l'amie de sa baby-sitter, ses
journées sont un peu plus calmes, même s’il doit faire beaucoup de ménage
pendant que Léa se prélasse dans le canapé.
Trois jours
plus tard, ils sont invités chez Clémence. Ses parents étant en vacances elle
leur à proposer de venir barboter dans sa piscine, ce que Léa a accepté.
Avant de partir,
elle habille son pupille. Un short élastique et un polo bleu.
« Léa
je crois que tu as oublié de me retirer la couche, se permet Julien
- Je n'ai
rien oublié de tout. Tu la gardes, mon bonhomme, et que cela te plaise ou non.
Et ne discute pas où je vais être encore obligé de fesser. »
Une fois de
plus Julien doit se plier aux exigences de sa gardienne et au moment de partir
Léa lui demande s’il n'a rien oublié
« Non
Léa
- Et ton
martinet ? Tu le prends avec toi et tu le tiens à la main le temps du trajet. »
Julien est
forcé de suivre Léa avec le martinet. Elle l’oblige à le laisser visible.
Quelques passants se retournent sur leur passage. Il s'agit d'un martinet un
peu plus gros que les martinets traditionnels. Madame Lafitte l'a fait
fabriquer par un cordonnier dans le village de son enfance. Le même qui
fabriquait les martinets que sa mère commandait quand elle était enfant. Il a
un manche un peu plus gros et neuf épaisses lanières en cuir noir.
Arrivé chez
Clémence, elle les invites près de la piscine. Léa s'occupe directement de son
pupille. Elle le déshabille et le tartine de crème solaire.
« Il
ne s'agirait pas que tu attrapes des coups de soleil. Tu vas rester en couche
jusqu' à ce que tu puisses te baigner. Pour l'instant il est trop tôt. Nous
sortons de table il y'a à peine une heure. Profites en pour lire le temps que
nous prenons notre thé. Tu sais que dois finir ce roman avant le retour de ta
maman. »
Une heure
plus tard, le moment tant attendu de la baignade est arrivé. Léa retire sa
couche à Julien et lui enfile son slip de bain. Elle décide ensuite d'enfiler
des brassards au jeune homme.
« Mais
enfin Léa je sais nager, proteste t'il »
Trois
claques retentissent sur ses fesses.
« Tu préfères
être puni ? Tu es sous ma responsabilité ... Je ne vais pas prendre de risque.
- Mais je
sais nager ! »
Léa lui
inflige trois nouvelles claques.
« Sois
tu obéis soit tu restes assis toute la journée et, en prime, je te les fesses
au martinet. »
Une fois de
plus, il doit obtempérer et va se baigner avec ses brassards.
Après un
moment, les filles décident d'aller faire bronzette. Julien, quant à lui, a
oublié qu'il portait des brassards. Il s'amuse à faire des sauts dans l'eau.
Léa doit le rappeler à l'ordre car il risque de les éclabousser. Dans un
premier temps Julien s'éloigne mais il finit par se rapprocher et ce qu'il
devait arriver, arrive et les filles se retrouvent toutes mouillées.
« JULIEN,
Hurle Léa ! »
Elle se
saisit du martinet posé sur une petite table et s'approche de la piscine.
« Sors
de là, tout de suite. Elle crie et montre sa colère. Le jeune homme, peu
habitué à entendre crier quand il doit être puni se met à rigoler.
- Oh ne te
fâche pas Léa. Profites en pour venir à l'eau ça va te détendre
- Tu
remontes de suite... Si je viens te chercher tu vas le regretter s'énerve la
baby-sitter ! »
Julien se
plie finalement aux injonctions de Léa, mais continue de rire. Il ne croit pas
que Léa soit réellement fâchée. Mais il cesse très vite de rire. A peine sortie
de l'eau, Léa attrape le bras de son pupille et commence à lui cingler les
cuisses tout en le tirant vers les transats. Julien ne rigole plus du tout. Ses
rires ont été remplacé par des cris de douleur.
« Pitié
Léa je te demande pardon, arrête s'il te plaît, demande Julien !
-Je vais
t'en donner de la pitié moi. Mets tes mains à plat sur le transat et
penche-toi. Ecarte les jambes, allez ! »
Tout en
donnant ses consignes, Léa continue de le fouetter. Julien regrette amèrement
ses pitreries et pleure maintenant à chaude larmes. Malgré ses supplices, Léa
continue de le punir avec une sévérité décuplée par la colère. Julien crie et
pleure mais cela ne calme pas sa protectrice et même quand il tombe à genoux,
elle le force à se pencher pour continuer à le flageller.
« Hé
bien avec ça, je pense qu'il n'est pas prêt de recommencer, lance Clémence
étonné par le spectacle auquel elle vient d'assister.
- Je
l'espère répond Léa enfin calmée en reposant le martinet.
-
Maintenant que nous sommes mouillées retournons nous baigner propose Clémence.
- Oui tu as
raison rétorque Léa. Toi tu restes à genoux ici et tu mets tes mains sur la
tête dit-elle à Julien. Et tiens-toi droit où je vais venir te fouetter de
nouveau, comme tu le mérites. »
Julien
sanglotant reste ainsi en pénitence un long moment pendant que les deux amies
s'amusent et se détendent dans l'eau. La station pénible et encore plus forte
avec le soleil brûlant, se poursuit pour lui quand elles reviennent se dorer
sur les transats.
Julien a
soif et ses fesses et cuisses lui font toujours mal mais Léa n'en que faire.
Elle le surveille tout en l'ignorant totalement. Elle ne lui adresse la parole
qu'au moment de partir pour le rhabiller et lui ordonner de reprendre son martinet.
Sur le chemin,
les passants ne peuvent que constater que le martinet a bien servi. En effet si
ses fesses et ses cuisses sont cachées par ses vêtements on voit aussi quelques
traces de zébrures sur ses mollets et le bas des cuisses.
Le
lendemain matin après lui avoir donné sa douche, comme d'habitude, et lui avoir
remis sa couche-culotte, Léa commande à Julien de briquer parfaitement la
maison pour qu'elle soit nickel au retour des mamans le lendemain. Comme de
coutume, Léa s'est habillée de façon provocante et s'est maquillée. Elle est
oisive sur son téléphone pendant que Julien lave les plaintes quand, surprise,
les deux mères font leur retour avec un jour d’avance. Léa comprend
immédiatement qu'elle va devoir rendre des comptes. Passé la surprise, sa mère
s'avance vers elle. Léa se lève et fait mine de rien
« Vous
êtes déjà rentrées.
- Ha oui !
Nous sommes déjà rentrées. Et je crois que l'avance de notre vol tombe à pic
répond sa mère. Peux- tu m'expliquais ton accoutrement et ton maquillage ? Je rêve ! Comment oses tu être aussi
aguichante. Tu as perdu le sens commun ma petite fille ! Je pense que tu as
oublié les principes que je t'ai inculqués. Je pense que tu t'es cru déjà
grande. Moi qui croyait pouvoir te faire confiance. Je suis déçue. Il est
évident que tu ne pourras pas rester seule maintenant que je dois m’absenter...
Je suis encore ta mère et ce n'est parce que tu as vingt ans, que tu peux te
permettre de t'habille comme bon te semble et de te maquiller comme tu le fais.
Tu pourras agir ainsi si tu le veux quand tu n'auras plus besoin de moi. Je
suis devenu trop laxiste avec toi ! Je vais te rappeler les principes qui me
sont chers. Tu vas recevoir une bonne fessée. Je n'aurai jamais dû arrêter de
te corriger. Tu en trop profiter. »
Elle baisse
le petit short et la culotte de sa fille. Léa tente d'empêcher sa maman d'agir
et proteste.
« Non
maman ! Je suis trop grande et pas ici devant tout le monde.
– Non tu es
une petite fille. Tu as perdu ton statut de grande fille responsable à cause de
ton comportement. Comme je ne peux pas te faire confiance, tu m'obliges à te
punir une nouvelle fois comme avant. Une série de claques sur les cuisses
accompagnes les propos de Karine. »
Léa se
protège les fesses.
« Où
doit mettre ses mains une petite fille quand elle va être punie, lui demande sa
génitrice ? »
Léa qui
doit se résoudre à recevoir une correction répond sur la tête et à regret elle joint
le geste à la parole.
Karine
prend place sur le canapé et tire sa fille, l'obligeant à se coucher sur ses
genoux. Après l'avoir parfaitement installée, elle lui administre une cuisante
fessée. Sous les coups appuyés de sa mère, Léa grimace et demande sa clémence.
Mais rien n'y fait la punition ira à son terme.
« Aïe,
aïe, aïe, maman s'il te plaît ! j'ai compris aïe, aïe... »
Les fesses
de Léa sont bien rouges. Sa mère n'a pas perdu la main. Cependant elle estime
que la punition est insuffisante. Elle demande à son amie madame Lafitte de lui
prêter sa cravache.
« Pas
de problème Karine, tiens - la voici. Léa mérite une bonne leçon. Tu as
entièrement raison. »
Karine
demande à sa fille de se placer en appui sur la table basse, les mains bien à
plat et les jambes écartées. Elle ne ménage pas sa peine pour corriger sa fille
et c'est avec conviction qu'elle inflige les coups de cravaches sur les fesses
et cuisses de Léa.
Les zébrures
ne tardent pas à marquer la peau de la jeune fille qui gémit et se plaint à
chaque coup. D'une main ferme, sa mère la maintient en position et lui prescrit
une bonne vingtaine de coups sous le regard médusé de Julien et celui
approbateur de Mme Lafitte.
A la fin de
la correction, Léa tombe à genoux en pleure. Elle souffre énormément. Après un
bref moment où elle peut récupérer, elle est envoyé au piquet mains dans le dos
pour maintenir son tee-shirt relevé. Valérie invite alors son amie à venir
prendre un verre d'orangeade. Les deux femmes s'installent confortablement
tandis que Léa pleure au coin, le nez collé contre le mur.
« Merci
Valerie. Je ne vais pas pouvoir laisser Léa seule, en autonomie pendant deux
ans et je ne peux pas l'emmener avec moi. Je ne sais pas ...
- Mais
Karine la solution est toute trouvée. Je vais m'occuper de Léa. Je suis sa
marraine et cela ne me pose aucun problème. Je m'en occuperai comme de ma
propre fille et je ne la ménagerai pas, rassure-toi. Elle ira en pension à
Sainte Marie comme Julien. Je contacterai la mère supérieure pour lui expliquer
avant notre rendez-vous prévu la semaine prochaine.
- Vraiment
? Ça ne te dérange pas ?
- Mais si
je te le dis.
- Je vais
aller lui chercher ses affaires. Tu pourras jeter les horreurs qu'elle a
apportées. Je te remercie vivement annonce Karine en prenant déjà la direction
de la porte.
– Pas de
soucis à tout à l'heure.
- Julien
approche s'il te plaît lui demande sa mère. Peux-tu m'expliquer pourquoi tu es
en couche culotte à cette heure-ci ? »
Dans un
premier temps, le garçon hésite à répondre à sa mère. Il se tourne vers le coin
ou est placé Léa. Cette dernière n'ose pas bouger. Elle sait qu'elle n'a pas
été performante de ce côté-là. Qu'elle n'aurait pas dû laisser Julien en couche
toute la journée. Ce n'était pas dans les consignes de Madame Lafitte.
Devant le
regard insistant de sa mère, Julien avoue que Léa l'a contraint de rester ainsi
toute la semaine car elle ne voulait pas s'embêter à devoir l'emmener au WC. Il
avoue avec fierté ne jamais avoir uriné et avoir su toujours se retenir sauf le
premier matin.
Valérie
Lafitte se lève et prend la règle en plate. Elle se dirige vers Léa et lui
assène un coup de règle sur les fesses. Cette dernière ne peut retenir un cri
de douleur à chaque fois.
« On
va laisser tes fesses récupérer un peu et tu recevras une autre fessée ce soir,
jeune fille, pour avoir été négligente dans ton travail. »
Madame
Lafitte retourne ensuite auprès de son garçon et lui retire sa couche. Elle
inspecte les fesses et les cuisses de son fils.
« Tu
as reçu le martinet Julien ? »
Tête
baissée Julien reconnait l'avoir reçu hier et raconte toute l’histoire à sa
mère.
« Hé
bien tu l'as pas volé. Mais tu étais privé de sortie. Puis s'adressant à sa
filleule.
« Tu
le savais Léa. Je te promets une sérieuse correction tout à l'heure. Cela
s'ajoute à ta négligence. Julien vient que je t'habille. »
Une heure
plus tard, Karine est de retour avec une grosse valise. Avant de partir elle
embrasse chaleureusement sa fille et lui demande de se montrer obéissante et
travailleuse. C'est maintenant deux grands enfants qui vivent chez Madame
Lafitte.
Eh là, ne perdons pas le fil de l'histoire !
Le début : le chapitre 1
et l'épisode précédent : le chapitre 5
Et bien, attendons la suite.
Ce sera pour la semaine prochaine
Que cela ne vous empêche pas de déposer un commentaire
Pierre se lance dans l'écriture, il a besoin de savoir ce que vous en pensez.
Vous pouvez également le contacter directement : Pierre
Bonjour tout le monde, et plus si affinité.
RépondreSupprimerUn grand magasin à Paris, avait trouvé ce slogan pour vanter la diversité de ses offres marchandes:
" On trouve tout à la Samaritaine..."
C'est aussi ce qui fait la richesse et l'intérêt de ce blog qui propose, à travers nombre de récits, une variation très large sur notre thème favori de la fessée. Chacun y va librement de son petit fantasme et on a droit un vrai festival, propre à satisfaire les goûts les plus variés. Fessée tout nu, déculotté, à la main au martinet, cravaches et autres instrument, épilation, régression, pipi au lit... Tout y passe.
Dans ce chapitre "Baby-gros", l'ami Julien, fermement pris en main par Léa sa "douce" Baby-Sitter, est invité fessée à l'appui, à un retour vers le futur du nourrisson, avec passage direct à la couche culotte. Ce n'est pas le premier du genre, mais là, c'est carrément 25 heures sur 24 !
Le pauvre garçon en est tellement perturbé qu'il en oublie son martinet pour aller à la piscine! Léa veille au grain et l'humilie un peu plus en le lui faisant transporter à la main devant tout le monde. Un si beau martinet de fabrication artisanale!
L'auteur fait preuve d'une imaginale fertile en inventant le brassard de bain pour adulte, propre à renforcer la procédure d'infantilisation. La fessée au martinet sur le bord du bassin vient à point nommé pour contribuer au recadrage du Bambino! La copine Clémence est solidaire.
Mais surprise surprise! Il se passe toujours quelque chose au rayon fessées du Blog! Maman karine, en tête de condôle, remet les pendules à l'heure et c'est au tour de Léa de passer sur les genoux maternels pour s'en prendre une cuisante. Comme à la piscine, mais c'est l'arroseuse fessée ou la fessée arrosée!
Bref,pas facile la vie de Bébé. Le retour à la maison s'avère aussi retour aux sources. On y pratique la déculottée régressive à la moindre occasion. Les grands enfants adultes, pensionnaires de madame Lafitte, n'ont pas fini de se faire biberonner les fesses! Comme dirait un ami de nos relations: ça va chauuuffer !
Cordialement
Ramina