mardi 6 août 2019

Ces dames aux mains fermes en image - saison 1 scène 7

Deux belles fessées pour Edouard

 Robin, nez au mur près de la bibliothèque, slip aux cuisses, pantalon sur les chevilles, tortillait en gémissant et à défaut de pouvoir y toucher, une reluisante paire de fesses que sa mère venait de sévèrement corriger. La première fessée de l'après midi d’une série de trois, pour son manque de travail et son comportement inadmissible à l’institut Ste Marie. C'était son week- end à Robin !

 Extrait

« Edouard, quant à lui, très cher Edouard, attendait son tour en silence sur son tabouret à fessée. Le cuisant épisode de la nuit et la fessée dans la cuisine au saut du lit s’étaient révélés efficaces et l’avaient calmé dès le matin.  Ses frasques nocturnes  et son retour aviné plus que tardif lui avaient déjà valu un magistral retour de fessée que Gladys lui avait mise sans traîner, dès son arrivée vers une heure du matin. Une fessée ça n’attend pas, il s’était pris celle la par surprise, les fesses cueillies à la volée, sans sommation. Tout s‘était passé rapidement mais avec une redoutable efficacité.

Gladis donne la fessée à son mari



Gladys, n’était pas encore couchée. Elle était dans la cuisine pour finir de remplir le lave vaisselle lorsqu’elle avait entendu les roues de la voiture crisser lentement sur le gravier de l’allée. Cela laissait supposer l’intention précautionneuse d’amortir le bruit des roues. Elle décida d’aller attendre le mari dévergondé dans l’entrée et l’entendit jurer en marmonnant au cours de ses tentatives infructueuses à rentrer sa clé dans la serrure. Les yeux au ciel, sourire en coin, elle pu évaluer sans peine son niveau d’alcoolémie.  Il finit par réussir à ouvrir la porte qu’il poussa pour entrer en titubant. Il eut à peine le temps de s’étonner de trouver la lumière allumée. Avant de réaliser ce qui lui arrivait il s’était senti immédiatement tiré d’une main ferme par la cravate et courbé en deux sous le bras de son épouse en colère. Le dialogue fut bref, mais stimulant pour Gladys, bien décidée à corriger sévèrement son époux en situation plus que répréhensible.
 « Ah quand même, te voilà! Tu tombes bien mon ami,  j’attendais tes fesses... avec impatience ! »
S’était écrié Gladys en passant immédiatement la main sous son ventre pour défaire la boucle de sa ceinture.
 « Ah… c’est… c’est toi  Gla...Gladys… tu n’es pas cou...couch… qu’est ce...
– Non figure toi, je ne suis pas couchée et je viens de te le dire. J’attendais tes fesses!  Ivrogne !
  Mais... mais qu’est ce… qu’est ce que...que tu...tu fais ?
  Qu’est ce que je fais? Mon pauvre ami, tu es tellement ivre que tu ne te rends même pas compte que je suis en train de te déculotter ! Vu l’état dans lequel tu rentres, tu n’imagines tout de même pas que je vais laisser passer ça. C’est la fessée mon cher! La fessée déculottée, immédiatement !
– La… la fessée ? … Mais… Mais pourquoi la … la fess… la fessée ?
– Et bien mon cher, tu en tiens vraiment une sévère pour oser demander pourquoi ! »
Son équilibre instable dû à son état ébriété avancé lui avait ôté toute possibilité de résistance ou même de protestation. Elle n‘eut aucune difficulté à lui descendre son pantalon et le déculotter pour le mettre en position de recevoir la fessée amplement méritée qu’elle lui préparait. Elle fit rageusement claquer l’élastique de son slip sur ses cuisses, sans qu’il réagisse. Il était à moitié anesthésié par l’alcool. Elle allait devoir taper fort pour lui faire ressentir l’effet de sa fessée. Ce qui ne changeait pas grand chose à sa manière habituelle de le corriger.

Une bonne fessée déculottée


La tête en bas,  les fesses relevées à la bonne hauteur, prêtes à claquer, Edouard plus ou moins conscient, bredouillait, une main devant sa bouche pour étouffer ses hoquets, l‘autre posée parterre en appui.
 « Pas… Pas trop fort.. la … la fess… la fess… la fessée ! S’il… S’il te pl… plait... ché...chérie ! » 
– Tu vas voir si elle ne va pas être forte la fessée!  Répondit Gladys en serrant les dents. Elle pris son élan, la main haut levée au dessus de sa tête et démarra aussitôt à grandes claques retentissantes. »



Vous voulez relire l'épisode en entier ?

Pas de souci, le voici : Saison 1 chapitre 7


Prochaine illustration...

...dans quelques jours, il n'y a pas de raison que cela s'arrête.

A vos commentaires !

Que pensez-vous de cette rediffusion ? 

2 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Ben dis donc, "la tournée des Grands Ducs" s'achève par la Bérézina !
    Le repos du guerrier s'annonce des plus agités ! Morbleu ! Damned !
    Et Dame Gladys de Tapefort risque de délaisser sa quenouille au coin du feu pour ouvrir les hostilités !!!!
    "Oyez, oyez, brave gens... Un jour d'été, revenant de taverne, au matin levé/
    Sire Edouard de Tapefort, malgré ruses et pas feutrés, sur sa douce épouse allait tomber...
    Oyez, oyez..."
    Amicalement. (Sire) Peter de Pan(toufle).

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  2. Peter.
    Joli commentaire à tournure médievale. Qu'en termes galants ces choses là sont dites...
    N'empèche que sir Edouard s'en prend une sévère pour avoir joué trop longtemps les troubadours de taverne en abusant des pintes.!
    Amicalement
    Ramina

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