Deux belles fessées pour Edouard
Extrait
« Edouard, quant à lui, très
cher Edouard, attendait son tour en silence sur son tabouret à fessée. Le
cuisant épisode de la nuit et la fessée dans la cuisine au saut du lit
s’étaient révélés efficaces et l’avaient calmé dès le matin. Ses frasques nocturnes et son retour aviné plus que tardif lui
avaient déjà valu un magistral retour de fessée que Gladys lui avait mise sans
traîner, dès son arrivée vers une heure du matin. Une fessée ça n’attend pas,
il s’était pris celle la par surprise, les fesses cueillies à la volée, sans
sommation. Tout s‘était passé rapidement mais avec une redoutable efficacité.
Gladys,
n’était pas encore couchée. Elle était dans la cuisine pour finir de remplir le
lave vaisselle lorsqu’elle avait entendu les roues de la voiture crisser
lentement sur le gravier de l’allée. Cela laissait supposer l’intention
précautionneuse d’amortir le bruit des roues. Elle décida d’aller attendre le
mari dévergondé dans l’entrée et l’entendit jurer en marmonnant au cours de ses
tentatives infructueuses à rentrer sa clé dans la serrure. Les yeux au ciel,
sourire en coin, elle pu évaluer sans peine son niveau d’alcoolémie. Il finit par réussir à ouvrir la porte qu’il
poussa pour entrer en titubant. Il eut à peine le temps de s’étonner de trouver
la lumière allumée. Avant de réaliser ce qui lui arrivait il s’était senti
immédiatement tiré d’une main ferme par la cravate et courbé en deux sous le
bras de son épouse en colère. Le dialogue fut bref, mais stimulant pour Gladys,
bien décidée à corriger sévèrement son époux en situation plus que
répréhensible.
« Ah quand même, te voilà! Tu tombes bien
mon ami, j’attendais tes fesses... avec
impatience ! »
S’était
écrié Gladys en passant immédiatement la main sous son ventre pour défaire la
boucle de sa ceinture.
« Ah… c’est… c’est toi Gla...Gladys… tu n’es pas cou...couch… qu’est
ce...
–
Non figure toi, je ne suis pas couchée et je viens de te le dire. J’attendais
tes fesses! Ivrogne !
– Mais... mais qu’est ce… qu’est ce que...que
tu...tu fais ?
– Qu’est ce que je fais? Mon pauvre ami, tu es
tellement ivre que tu ne te rends même pas compte que je suis en train de te
déculotter ! Vu l’état dans lequel tu rentres, tu n’imagines tout de même pas
que je vais laisser passer ça. C’est la fessée mon cher! La fessée déculottée,
immédiatement !
–
La… la fessée ? … Mais… Mais pourquoi la … la fess… la fessée ?
–
Et bien mon cher, tu en tiens vraiment une sévère pour oser demander pourquoi
! »
Son
équilibre instable dû à son état ébriété avancé lui avait ôté toute possibilité
de résistance ou même de protestation. Elle n‘eut aucune difficulté à lui
descendre son pantalon et le déculotter pour le mettre en position de recevoir
la fessée amplement méritée qu’elle lui préparait. Elle fit rageusement claquer
l’élastique de son slip sur ses cuisses, sans qu’il réagisse. Il était à moitié
anesthésié par l’alcool. Elle allait devoir taper fort pour lui faire ressentir
l’effet de sa fessée. Ce qui ne changeait pas grand chose à sa manière
habituelle de le corriger.
La
tête en bas, les fesses relevées à la
bonne hauteur, prêtes à claquer, Edouard plus ou moins conscient, bredouillait,
une main devant sa bouche pour étouffer ses hoquets, l‘autre posée parterre en
appui.
« Pas… Pas trop fort.. la … la fess… la
fess… la fessée ! S’il… S’il te pl… plait... ché...chérie ! »
–
Tu vas voir si elle ne va pas être forte la fessée! Répondit Gladys en serrant les dents. Elle
pris son élan, la main haut levée au dessus de sa tête et démarra aussitôt à
grandes claques retentissantes. »
Vous voulez relire l'épisode en entier ?
Pas de souci, le voici : Saison 1 chapitre 7
Prochaine illustration...
...dans quelques jours, il n'y a pas de raison que cela s'arrête.A vos commentaires !
Que pensez-vous de cette rediffusion ?
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerBen dis donc, "la tournée des Grands Ducs" s'achève par la Bérézina !
Le repos du guerrier s'annonce des plus agités ! Morbleu ! Damned !
Et Dame Gladys de Tapefort risque de délaisser sa quenouille au coin du feu pour ouvrir les hostilités !!!!
"Oyez, oyez, brave gens... Un jour d'été, revenant de taverne, au matin levé/
Sire Edouard de Tapefort, malgré ruses et pas feutrés, sur sa douce épouse allait tomber...
Oyez, oyez..."
Amicalement. (Sire) Peter de Pan(toufle).
Peter.
RépondreSupprimerJoli commentaire à tournure médievale. Qu'en termes galants ces choses là sont dites...
N'empèche que sir Edouard s'en prend une sévère pour avoir joué trop longtemps les troubadours de taverne en abusant des pintes.!
Amicalement
Ramina