Je n’aurais peut-être pas dû. Mais pouvais-je faire
autrement ?
Madame Anne-Sophie m’avait contacté pour des raisons
techniques liées au blog. Nous avons échangé quelques SMS. Alors qu’elle
prenait de mes nouvelles, je laissais échapper mon désappointement d’avoir
encore été flashé par un radar pour un petit excès de vitesse. Sa réaction a
été immédiate.
J’eus beau argumenter que ce n’était pas de ma faute et que je
n’avais pas fait exprès, la décision était définitive.
« Tu m'énuméreras les bêtises que tu as faites et je te
corrigerai en conséquence. Tu vas prendre cher ! »
S’en suivaient les indications pour me rendre à cette
convocation dans la nouvelle maison de Madame Anne-Sophie en Normandie.
Deux heures de route. Ça laisse le temps le temps de penser
à ce qui va arriver. Je sentais l’angoisse monter petit à petit et un nœud se
former dans mon ventre. C’était la troisième fois que je rencontrai Madame
Anne-Sophie et la deuxième où j’y allais en sachant qu’une correction m’y
attendait.
La première fois, de ses propres dires, elle m’avait testé
pour connaître mes limites. La rencontre s’était déroulée autour d’un scénario
fictif (voir l’article qui raconte cette entrevue). Cette fois-ci, il n’en
était plus question. Il s’agissait de me punir d’une faute que j’avais
réellement commise.
Je me suis arrêté quelques kilomètres avant d’arriver à ma
destination. Voulais-je vraiment aller jusqu’au bout ? Je devais m’attendre
à une réelle correction et Madame Anne-Sophie m’avait prévenu que quelques
marques persistantes sur mes fesses me feraient le plus grand bien. J’ai pris
mon courage à deux mains et j’ai achevé mon voyage.
Des travaux ont un peu contrarié mon arrivée et je suis
passé une première fois devant sa maison avec un bon quart d’heure d’avance. Je
l’ai reconnue tout de suite. Elle correspondait tout à fait aux photos qui sont
sur internet. Je suis allé me garer un peu plus loin. Un SMS.
« Si tu arrives plus tôt, je peux te recevoir avant. Je
suis prête. »
J’ai été tenté d’y aller tout de suite. Plus vite commencé,
plus vite fini. Mais j’avais encore besoin de temps pour me préparer à la
confrontation. Un petit moment d’hésitation.
« Tu n’es pas obligé d’y aller, me dis-je. Tu peux
repartir et lui dire que tu as eu un empêchement de dernière minute. »
Puis la raison (est-ce vraiment le bon mot ?)
l’emporta.
« Tu as fait tout ce chemin, ce n’est pas pour renoncer
au dernier moment ! »
Je répondis au SMS.
« Je devrai être là dans dix minutes. »
Le temps de garer ma voiture là où Madame Anne-Sophie
m’avait dit de le faire et il était l’heure.
Son accueil fut des plus chaleureux. Elle recevait une
vieille connaissance, c’est du moins l’impression qu’elle m’a donnée. Il est
vrai que nous avons échangé plusieurs fois depuis notre première rencontre,
soit par courriel, soit par SMS. J’ai l’impression de la connaître un peu et
elle sans doute aussi en ce qui me concerne. Quelques préliminaires.
« Pose ton sac. Veux-tu un verre d’eau ? Passer
aux toilettes ? »
Son ton change. Sur une table, il y a une tapette en cuir,
un instrument avec un manche et qui s’évase pour prendre la forme d’une étroite
raquette de ping-pong. Son usage ne laisse pas de doute.
« Alors comme ça, tu te permets des excès de
vitesse ? »
Je la regarde. Ce n’est plus la même. Toute trace de chaleur
a disparu. Je tente un timide.
« Mais je n’ai pas fait attention. »
Cela déclenche sa fureur.
« Pas fait attention ? Mais tu te moques de moi ! »
Madame Anne-Sophie m’a longuement fait la morale sur les
risques je courrais et surtout ceux que je faisais courir aux autres.
« Imagine qu’il y ait eu un enfant ! »
Elle me parle de l’argent que je dilapide en amendes tout en
faisant l’hypothèse que ce n’était pas important pour moi. Elle aborde la
question des points sur mon permis.
« Combien t’en reste-t-il ? Onze ? »
Là j’hésite. Il m’en reste moins que ça. Mentir ? Et si
elle exige de vérifier ?
« Sept !
– Combien ?
– Sept points.
– Sept points ? Il ne t’en reste que sept. Ce n’est
donc pas la première fois. Pourquoi as-tu perdu tes autres points ?
– Pareil, la vitesse.
– Tu es donc un habitué des excès de vitesse ! Tu sais
ce que cela mérite ? »
Je le sais, mais je n’ose pas répondre.
« Une fessée ! Une sévère fessée ! »
Ça y est ! Le mot est lâché. La sanction est tombée, ce
sera la fessée. Pas vraiment une surprise, mais c’est toujours difficile de se
l’entendre dire.
« Si tu étais un enfant de trois ans, il suffirait de
te gronder et une petite claque sur les fesses, mais là ce serait bien
insuffisant. S’il n’y avait eu qu’un point, une seule fessée aurait suffi, mais
je dois te faire passer l’envie de recommencer. Tu vas prendre une sévère
correction. Bien sûr, ce sera une fessée déculottée. »
Elle pend une chaise qu’elle place au milieu de la pièce.
« Viens ici ! »
Je n’ai que deux pas à faire, mais c’est un long chemin.
Madame Anne-Sophie déboucle la ceinture de mon pantalon, le déboutonne, fais
glisser la fermeture de ma braguette. Elle accompagne mon pantalon jusqu’en
dessous de mes genoux.
Elle pose son pied sur la chaise et elle me courbe sur sa
cuisse placée à l’horizontal. Elle glisse ses doigts sous l’élastique de ma
culotte et elle la baisse, la laissant à mi-cuisses. La fessée commence
aussitôt. Sa main frappe d’un côté, puis de l’autre, régulièrement. Assez fort,
mais c’est supportable.
« Une bonne fessée pour commencer, puis ce sera la
correction, allongé sur mes genoux ! »
Elle continue à me fesser tout en me grondant. Mes fesses
commençaient à me chauffer sérieusement quand elle s’arrêta. Elle remonta ma
culotte.
« Va te mettre au coin ! »
Je me rends vers l’angle de la pièce qu’elle me désigne. J’y
enfonce mon nez ;
« Croise tes bras dans ton dos… mieux que ça… relève
ton polo qu’on voit bien tes fesses bien rouges. »
Elle m’a suivi jusqu’au coin où elle me baisse la culotte.
« Chez moi quand on est au coin, c’est la culotte
baissée ! »
Le silence se fait. Je n’entends plus que ses pas qui se
déplacent pendant plusieurs minutes.
« J’espère que tu as honte !
– Oui !
– Oui qui ? »
J’hésite.
« Oui Madame ! »
L’hésitation a été de trop.
« Quand on est au coin, la moindre des choses c’est de
montrer du respect à la personne qui vient de te donner la fessée. Si je te
pose une question, c’est « oui Madame » ou « non Madame ».
Est-ce bien compris ?
– Oui Madame.
– Tu sais ce que mérite ton insolence ? Une bonne
fessée ! Remonte ta culotte ! »
Je m’exécute.
« Tu viens ici ! »
Elle désigne le sol à sa droite alors qu’elle s’est assise
sur la chaise.
« Sur mes genoux ! »
Je me retrouve à plat ventre en travers de ses cuisses. Ma
culotte est aussitôt baissée et il faut insister un peu pour qu’elle glisse
entre la robe de Madame Anne-Sophie et mon ventre. Elle relève un peu mon polo
qui devait recouvrir partiellement mes fesses. Sa main s’y abat, ça claque, ça brûle.
Je sens tout de suite qu’elle a décidé de me faire regretter
mon attitude. Les claques arrivent, sans répit, bien plus fortes que lors de la
première fessée. Madame Anne-Sophie alterne, un côté, puis l’autre. La cuisson
devient assez forte pour que j’espère la fin de la punition. Alors elle insiste
au même endroit, du même côté… cinq… dix fois… plus, j’en perds le compte.
C’est une véritable correction que je reçois. Je ne peux
retenir quelques gémissements en je contracte les muscles de mes jambes pour
les empêcher de bouger. Je ne vois pas la fin de cette fessée, elle dure,
encore et encore.
« Remonte ta culotte et retourne au coin ! »
Ça y est ! Elle est enfin fine. Je me dépêche de
remonter ma culotte et de filer aussi vite que me le permet mon pantalon qui
entrave mes chevilles. Je me place au coin et je croise mes bras dans mon dos
sans que Madame Anne-Sophie ait eu besoin de me le demander. Il vaut mieux
montrer son obéissance. Peut-être cela m’épargnera-t-il une prochaine trop
sévère fessée.
Madame Anne-Sophie vient me baisser la culotte.
« Tu restes comme ça jusqu’à ce que je te le
dise ! »
Je n’ai aucune envie de bouger, ce qu’elle prendrait pour un
défi qu’elle n’hésiterait pas à relever. Il vaut mieux l’éviter. J’ai besoin de
laisser un peu de temps à mes fesses pour récupérer. Je sais que la correction
n’est pas terminée.
« Remonte ta culotte et reviens sur mes genoux. Il est
temps que tu aies ta fessée pour l’excès de vitesse ! »
Je n’ai que quelques minutes de répit. Bien que n’ayant eu
que des fessées à main nue, je sens encore leurs effets.
« Tu te doutes, me dit-elle avant de commencer, qu’une
seule fessée ne suffira pas. S’il n’y avait eu qu’une fois. Mais là, je dois
m’occuper de tes récidives. Mais tu dois d’abord avoir une fessée comme un
vilain petit garçon, allongé sur mes genoux ! »
Je ne pensais pas qu’elle pouvait être encore plus sévère et
qu’elle avait encore des réserves de rigueur. La fessée reprend. Il ne faut que
quelques claques pour retrouver la cuisson de la fin de la précédente
correction. C’est comme si elle n'avait pas été interrompue. Mes
gémissements que j’étouffe au maximum sortent de ma gorge malgré moi.
Madame Anne-Sophie reprend la même technique que
précédemment. Quand sa main s’attarde longuement au même endroit, cela devient
insupportable. Je souffle quand elle choisit un autre emplacement pour
continuer, mais rapidement, à ce nouvel endroit, c’est tout aussi difficile.
« Tu as de la chance que je sache donner la fessée des
deux mains ! »
Elle change de main sans que la fessée n’en devienne plus
supportable. Je suis soulagé quand elle me renvoie au coin. Culotte baissée j’y
attends la suite. Que me réserve-t-elle ?
« Remonte ta culotte et ton pantalon et tu viens avec
moi. »
Je remets ma culotte à sa place et je remonte mon pantalon
au ras de mes fesses. Dois-je aller plus loin ? Dois me reculotter ?
Sans doute pas, la fessée n’est pas finie. J’opte pour un moyen terme en
boutonnant le pantalon sans aller plus loin.
Madame Anne-Sophie m’emmène dans son bureau. C’est une
petite pièce dans laquelle il y a une grande table de travail. à côté de
manuels scolaires, il y a deux martinets une tawse et deux canes, une fine et
une plus grosse.
« Qui t’a autorisé à reboutonner ton pantalon ? Je
t’avais dit de le relever, pas de le reboutonner ! »
Le plus vite possible, je fais sauter le bouton, mais c’est
déjà trop tard.
« Tu as décidément du mal à obéir. Je vais te montrer
ce qu’il en coûte ! Mets tes avant-bras sur le bureau. »
Je suis maintenant courbé en deux, mon corps formant un
angle droit. Mes fesses sont bien dégagées de tout obstacle. Madame Anne-Sophie
me ceinture de son bras gauche et se place à mon côté, baisse ma culotte de sa main droite et je suis
puni pour ma désobéissance. Les fessées s’accumulent. Il en faut peu maintenant
pour que mes fesses accusent le coup à la moindre claque.
Les deux martinets, l’un après l’autre cinglent mes fesses.
Les lanières de cuir sont longues et lourdes, elles sont maniées par une Madame
Anne-Sophie qui y met toute son énergie. La tawse prend la suite. J’ai bien du
mal à retenir mes cris. Je serre les poings et les dents, je crispe mes fesses,
mais cela n’est pas très utilise contre la douleur qui embrase mon postérieur.
Une courte pause, mais c’est pour m’informer qu’il est
l’heure de subir la canne.
« Douze coups de chaque, avec la canne, c’est le
tarif ! »
La première, la fine, siffle dans l’air et sens la marque
qu’elle a laissé sur mes fesses, étroite, un concentré de douleur. La plus grosse arrive sur
mes fesses avec un bruit plus mat, un choc plus lourd. Laquelle fait le plus
mal ? Je ne saurais dire. Je réagis à chaque fois par une contraction qui
parcourt tout mon corps. Je remercierais presque Madame Anne-Sophie lorsque la
deuxième douzaine s’achève. Elle n’a pas jugé bon de poursuivre.
C’est le nez dans un des angles du bureau que je poursuis ma
punition. Cette fois-ci, mes fesses sont marquées, j’en suis sûr, compte tenu
de la douleur lancinante qui en émane.
Je ne me rappelle plus ce qui a motivé la fessée suivante.
Madame Anne-Sophie m’a emmené dans sa chambre, elle s’est assise sur le lit et
je me suis retrouvé le nez dans la couette tandis qu’à main nue, elle me
corrigeait. Il n’y avait plus besoin d’une longue fessée pour me mener au bord
de la rupture.
J’aurais volontiers souhaité que nous en restions là. Mais
ce n’était pas l’avis de Madame Anne-Sophie.
« Une dernière fessée de maintenance pour être certaine
que tu ne recommenceras plus. »
La chaise était toujours à sa place et les genoux de Madame
Anne-Sophie toujours disponibles pour m’accueillir à plat ventre.
« Je vais utiliser la tapette à fessée… et puis non, ma
main suffira. Je n’y ai même pas mal. »
Pourtant si elle y ressentait la même cuisson que celle que
je ressentais sur mes fesses… Cette dernière fessée fut longue et encore plus
vigoureuse que les premières, à moins que ce ne soit l’effet cumulé des
précédentes. Il s’en est fallu d’un rien pour que mes grognements se
transforment en cris. J’étais au bout de ce que je pouvais supporter.
Un dernier passage au coin.
Ensuite ? Madame Anne-Sophie ma offert un verre d’eau
et nous avons papoté. Surtout elle. J’étais encore sous le coup de la
correction que je venais de recevoir. Son emménagement en Normandie, son besoin
de donner la fessée auquel elle n’a résisté que quelques mois suite à son
départ de Paris, les demandes particulières des Messieurs et Dames auxquels
elle donne la fessée… un florilège d’anecdotes, toujours anonymes, bien
évidemment.
Moi j’ai surtout écouté. J’étais assis sur le canapé, mais
je serais volontiers resté debout ou dans toute autre position qui aurait moins
sollicité mes fesses. il y avait encore le retour à effectuer. Deux heures
assis dans ma voiture !
Une semaine plus tard les marques sur mes fesses avaient presque disparu. J’avais eu les fesses très douloureuses pendant deux jours au point de devoir
prendre des précautions pour m’asseoir. Puis encore trois jours ou elles
étaient encore sensibles au toucher, mais sans commune mesure. Ce matin, il y a encore deux petites marques discrètes, presque effacées, souvenir cuisant, dans ma tête maintenant plus que sur mes fesses, de ma convocation chez Madame Anne Sophie.
Des témoignages relatant des visites chez Madame Anne-Sophie
Un récit d'une visite chez Madame Anne-Sophie accompagné de quelques commentaires, et là celle de Georges, ici celle de Paul et enfin celle de J. Puis ce fut le tour de Pierre, pour finir par le premier passage de Vincent, son deuxième, son troisième et son quatrième, et celui de Marc, pur continuer par celui de John et un ode écrit par Nicolas et également un texte enflammé par Emile, la deuxième visite de Nicolas et la deuxième d'Emile.
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Tu as reçu une sacrée dérouillée Josip,mais tu l'avais bien méritée!!!!Je punis toujours en fonction de la bêtise commise.Je suis juste.Une petite bêtise,un écart de comportement mineur et c'est la fessée modérée.Cependant lorsque le monsieur ou la dame commet une bêtise énorme,je me dois de punir très sévérement.A bientôt Josip...enfin...je ne te le souhaite pas car tu sais ce qui t'attend si tu conduis de nouveau trop vite!!!!
RépondreSupprimerOui Madame,
SupprimerJe crois que je vais faire attention pendant un bon moment.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour,
RépondreSupprimerBelle séance de fessées, riche, bien fournie, dans un récit vivant et dynamique. ( On entendrait presque claquer le derrière de Josip!)
Trois fessées déculottées consécutives, à la main, (et, de toute évidence, Madame Anne Sophie à la claque magistrale), suivies de fessées au martinet, à la tawsse, aux baguettes... Cuisant feu d'artifice après le 14 juillet pour un deuxième tirage et une nouvelle prise de Bastille... fessière cette fois ! De quoi cuire et rougir durablement une paire de fesses.
Le compte semblait bon, mais non ! Cerise sur le derrière, notre ami a dû particulièrement apprécier "la fessée de maintenance," en complément de sévices. Pas de voyage pour rien, il a bien profité de son séjour sur les genoux accueillants d'Anne Sophie.
On apprécie aussi la technique de Madame qui fesse en esthète et virtuose de la déculottée. Moment particulièrement excitant de la fessée. Elle pratique les descentes et remontées systématiques de slip entre chaque séquence punitive. L'humiliation est parfaite et soigneusement entretenue pour le puni, déculotté et reculotté à chaque fois, au fur et à mesure que s'enchaînent les fessées entre les mises au coin.
Deux heures de voiture les fesses en feu... et sans excès de vitesse pour rentrer plus vite afin de ne pas rester assis trop longtemps. On espère que notre ami Josip n'a pas des sièges de voiture aussi fermes que la main de Madame Anne Sophie !
Cordialement
Ramina,
Bonjour à Tous,
RépondreSupprimerLorsqu'on a fauté, il faut savoir expier ses fautes. La fessée est une bonne manière de se racheter.
Salutations.
Elena.
Un séjour chez madame Anne Sophie me serait sûrement bénéfique
RépondreSupprimerBonjour,
SupprimerCe n'est pas très compliqué à organiser. Cliquez sur le lien "pour contacter Madame Anne Sophie" ci-dessus et suivez les indications. Attention les premiers contacts se font exclusivement par SMS.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Madame Anne-Sophie est une redoutable correctrice et le récit de la séance de punition de Josip en est une parfaite illustration.
RépondreSupprimerCôté sévérité, elle sait parfaitement doser "jusqu'où elle peut aller trop loin" en fonction de la personne punie et de la gravité de la faute, l'obligeant à tout faire pour tenir sans prononcer le "safe word" qui lui ferait perdre ce qui lui reste de dignité déjà largement et logiquement mise en cause le temps de la punition.
Elle sait également "gronder" l'adulte puni et bien lui faire comprendre que s'il est traité comme on traitait anciennement les gamins c'est précisément parce qu'il ne s'est pas comporté comme on l'attendait d'un adulte et parce que la fessée déculottée à son âge, qui peut virer en authentique raclée comme l'a vécu Josip, est parfaitement méritée et nécessaire pour mettre l'adulte en règle avec lui-même et lui faire passer le goût des incartade.
Enfin, le fait d'être déculotté pour se voir flanquer une fessée punitive à un âge avancé étant une situation parfaitement ridicule et humiliante, les déculottages et reculottages incessants sont particulièrement mortifiants et soulignent l'impuissance de la personne punie durant tout le temps de la séance de punition dont seule Madame Anne-Sophie à la maîtrise. Les séances de coin viennent accentuer cette mortification mais permettent à la personne punie de réaliser que si elle en est là c'est parce qu'elle n'a pas su se comporter en adulte.
On hésite toujours à solliciter à nouveau Madame Anne-Sophie, jusqu'au moment où l'exigence de se mettre en règle s'impose.
Merci à Josip pour ce compte-rendu précis (imposé ?) d'une raclée largement mérité.
Doumik