lundi 19 août 2019

Les rebelles - chapitre 10 acte 2

Lors de la séance qui suit le tournoi calamiteux, Jessica T. réunit les étudiants et leur présente les nouvelles règles. En découvrant le martinet à cinq longues lanières de cuir, les étudiants devinent de suite le contenu du discourt de leur coach. Celle-ci précise les différentes punitions auxquelles les étudiants seront soumis si leurs résultats ne s’améliorent pas. Çà pourra aller de la simple fessée sur les cuisses, jusqu’à la flagellation sur les fesses et le dos, avec épilation intégrale, même pour les garçons. Elle leur dit qu’elle les avait prévenus, mais ils n’en ont fait qu’à leur tête et donc, maintenant, elle va davantage sévir. Elle a tenté de choisir la méthode douce, à présent, elle va choisir le méthode plus contraignante, mais le second tournoi ne se passera pas comme le premier. Les étudiants iront chercher les meilleurs classements. Elle est prête à parier sur ça.

Certains étudiants protestent contre ces méthodes d’une autre époque et ils lui disent qu’ils ont fait de leur mieux, mais que les autres écoles étaient meilleurs qu’eux, ce à quoi la coache réplique que les performances, ça se travaillent et que ça s’améliorent. Elle ne leur demande pas d’être les meilleurs, mais de prouver qu’ils ont réellement fait de leur mieux et ça, lors de la première compétition, ça ne s’est pas vu du tout, d’où le changement radical de méthode. Elle a l’accord de la proviseure et elle ne manquera pas d’user et d’abuser du martinet.
A la fin du discourt, Jessica T. voit les mines déconcertées des étudiants et leur demande d’aller se mettre en tenue et de vite revenir pour l’entrainement, sinon c’est elle qui viendra les chercher, au martinet, dans le vestiaire et même chez les garçons.
Les étudiants pestent contre leur coach, qu’ils prenaient pour une personne agréable, mais à présent, il en est tout autrement. Certaines étudiantes, dont les temps n’ont pas été bons, se plaignent contre ces méthodes auprès de Léa, la déléguée de classe. Elles lui demandent d’aller voir la proviseure et de plaider en leur faveur. Léa leur promet d’aller la voir, mais si Fabienne D. a donné son accord pour l’utilisation du martinet, alors il n’y a pas grand-chose à attendre de sa part.
Jessica T. gère les courses de fond et s’aperçoit que les temps de ses étudiants sont un peu meilleurs que lors des derniers entrainements. Son avertissement à certainement dû porter ses fruits. Certains étudiants sont encore à la traine et lors de leur passage à sa portée, elle leur fouette l’arrière des cuisses, ce qui leur donne un regain d’énergie, les forçant à accélérer.
A la fin de l’échauffement, les étudiants se rebellent contre les pratiques de leur coach. Augustin assure que lui et les autres font du mieux qu’ils pouvaient et que les coups de martinet sur les cuisses n’étaient pas mérités.
Jessica T. vient vers Augustin et le menaçant de son martinet lui dit que c’est elle qui commande et qu’il n’a qu’à se taire, sous peine de représailles. Augustin, très arrogant et défiant ne s’arrête pas là, il fait voir les traces rouges aux cuisses qu’il a reçu alors qu’il passait devant sa coache, malgré qu’il ait fait un temps correct. Jessica T. lui répond qu’il pouvait mieux faire et elle lui ordonne de cesser de répliquer, mais Augustin réplique que ce n’est pas normal et qu’il se plaindra à ses parents.
Jessica T. lui cingle les cuisses pour le forcer à se taire. Augustin gémit de douleur en sautillant d’un pied sur l’autre. Lorsqu’elle cesse de le fouetter, Augustin lui dit qu’il faudrait qu’elle aille se faire soigner ! Avec cette insulte, Jessica T. lui ordonne de se mettre les fesses nues, car elle va le fesser devant ses camarades pour cette insolence désobligeante. Interloqué, Augustin a du mal à retirer ses vêtements, jusqu’à ce que Jessica T. prenne son téléphone pour appeler la proviseure. Avec cette menace, Augustin obtempère et enlève son short et son slip, se retrouvant cul nu devant les autres étudiants. Toutes les regards, surtout des filles, convergent sur son pénis qu’il tente de cacher. Jessica T., toujours le téléphone à la main, lui donne l’ordre de retirer ses mains, ce qu’Augustin, tout rouge de honte, fait à contre cœur, découvrant son pénis qui se dresse contre sa volonté.
Jessica T. lui assène une vingtaine de cinglées à toutes volées qui font bondir Augustin et crier. Les fesses en feu, Augustin implore d’arrêter, qu’il a compris, qu’il est désolé et qu’il lui demande pardon. Augustin se contorsionne dans tous les sens au rythme des cinglées. Parfois les mains en protection, parfois se retournant pour glaner un peu de repos, la fessée est démonstrative et les camarades d’Augustin n’en perdent pas une miette, surtout les étudiantes qui ne cessent de regarder alternativement ses fesses marquées et son pénis qui ballottent de haut en bas lorsqu’Augustin bombe les fesses en avant et tape des pieds sous la douleur.
Lorsque Jessica T. cesse la fessée, Augustin a les mains sur les fesses et sur les cuisses pourpres et bien marquées, ne songeant même plus à dissimuler son intimité. Lorsqu’il se retourne, son pénis est en érection maximale, le gland découvert, ce qui fait glousser les filles, l’humiliant du même coup et il en rougit davantage. Le voyant tenter de ramasser son short, Jessica T. lui interdit de se couvrir les fesses et lui ordonne d’aller voir l’infirmière pour qu’elle l’épile entièrement, ça lui fera passer le gout de l’insolence et ça le fera devenir docile. Lorsqu’il reviendra, il finira la séance les fesses à l’air. N’en croyant pas ses oreilles, mais n’osant protester une seconde fois, Augustin va à contrecœur, à l’infirmerie en prenant soin de regarder partout avant d’emprunter un couloir, car ayant les fesses nues et marquées, il ne souhaite pas croiser des professeurs et encore moins des élèves. L’établissement est grand où se côtoient les classes des secondes jusqu’aux au master deux, si on le voyait les fesses à l’air, ça se saurait et ça l’information se répandrait comme une trainée de poudre.
Ayant été prévenue de l’arrivée d’Augustin, l’infirmière Laetitia F. prépare le matériel d’épilation. Elle accueille Augustin et l’invite à retirer son tee-shirt et elle l’allonge sur la table d’examen. Elle l’enduit de crème de rasage, en lui disant qu’il va y avoir du travail, mais qu’après ça, il sera aussi imberbe qu’un nouveau-né. Avec des mouvements amples, elle rase le jeune adulte, s’appliquant bien sur la région du pubis et des testicules, n’hésitant pas à saisir le membre dressé d’Augustin sans tenir compte de sa pudeur bafouée. Au fur et à mesure que l’épilation avance, Augustin se plaint d’irritations et d’échauffements. Sa peau est toute rouge. Lorsqu’il se relève, l’infirmière l’emmène dehors et le tartine d’huile d’Argan, apaisant sensiblement les brûlures, puis elle le saupoudre du talc, le faisant ressembler à un bébé après son bain. Satisfaite du résultat, Laetitia F. dit à Augustin qu’il peut rejoindre ses camarades, ce qui l’humilie car il est nu, épilé, huilé et talqué, ce qui le rend vraiment ridicule. S’il croise du monde, on va se moquer de lui et il ne le supportera pas. Laetitia F. lui répond que s’il refuse de rejoindre le stade, elle va faire venir la proviseure pour prendre la décision. Augustin dit qu’il a compris et qu’il va retourner en cours d’éducation physique et que l’intervention de la proviseure n’est pas utile, car il sait ce qu’il risque si la proviseure se déplace.
Dans le sens du retour, Augustin a moins de chance, car une section de filles de seconde plus jeunes que lui va également rejoindre le gymnase. Voyant un étudiant nu fait ricaner les jeunes filles, humiliant davantage Augustin déjà tout rouge et il sent ses larmes couler. Ce n’est que lorsque les jeunes femmes entrent dans leur vestiaires qu’Augustin sent s’atténuer la pression de l’humiliation.
Ayant rejoint ses camarades dont certains pouffent de rire en le voyant, Jessica T. le fait participer pour la course de sprint de deux cent mètres. Avec quatre autres étudiants, il se met sur la bande de départ. Tout le monde regarde la course, car avec la participation d’un étudiant nu, le corps luisant au soleil, ça promet d’être assez excitant. Pour motiver Augustin, Jessica T. lui montre le martinet. Sans rien pouvoir y faire, Augustin est pris d’une nouvelle érection, sous l’imminence de la course, car il sait que s’il la rate, ses fesses seront de nouveau la cible des lanières. Assez ému, car nu devant tout le monde, Augustin rate son départ et doit faire davantage d’efforts pour revenir au niveau des autres étudiants, partis plus rapidement que lui. Accélérant, il parvient tout de même à grappiller quelques places et donnant tout dans les derniers cinquante mètres, Augustin franchi la ligne d’arrivée en troisième place. A bout de souffle, il n’entend même pas les remarques désobligeantes des filles sur le fait que son pénis ballottait dans tous les sens lorsqu’il courait. Il est félicité par la coache, car il a vraiment fait une bonne performance malgré son mauvais départ. Au bord des crampes, il se remet de son gros effort. Jessica T. profite de sa belle course pour motiver les autres élèves et elle leur dit qu’avec de la persévérance, on arrive à faire de belles choses et qu’Augustin en est la preuve.
Jessica T. donne le départ pour les autres sprint garçons et filles. Elle enregistre les temps et sermonne certains étudiants, garçons ou filles, sur leur manque de motivation. Ils savent ce qui les attend s’ils n’atteignent pas le niveau requis. Augustin ne sera surement pas le dernier à se retrouver nu, épilé et les fesses marquées sur le stade ! Elle ajoute qu’elle ne fera pas de différence pour les étudiantes. S’il faut les motiver en les punissant, elle n’hésitera pas. Avec ce dernier avertissement, elle envoie tous ses élèves à la douche.
Jessica T. dit à Augustin qu’il a de la chance que le cours d’éducation physique ait été le dernier de la journée, sinon, elle l’aurait obligé de rejoindre le cours suivant entièrement nu, car il a besoin de ça pour progresser et se surpasser. Pour cette fois, elle ne mettra pas de mot dans son carnet numérique, mais s’il devait y avoir d’autres contre-performances alors il sait ce qu’il lui en coutera. Tête basse, Augustin acquiesce.
Jessica T. fait d’autres remontrances sur les performances de Iourievna et de Léa. Jessica T. leur dit que la prochaine fois, elles seront surement fessées. Elles peuvent d’ores et déjà s’y préparer. Iourievna prend sa douche, émue, consciente de son manque d’engagement. Avec ce qu’a vécu Augustin, elle se dit qu’elle ne sera pas épargnée. Elle n’a encore jamais été fessée devant les autres élèves et elle en sera humiliée si ça arrivait et le vivrait très mal.
Le soir, en rentrant, ruminant l’avertissement de sa coache, Iourievna échange avec Olga et ses parents sur l’éventualité d’une fessée devant les autres étudiants. Olga lui dit que si elle fait des efforts, elle ne sera pas punie. Alexei S. et Irina S. lui disent de ne pas trop en faire, car après tout ce n’est qu’une fessée et qu’il n’y aura pas mort d’homme et seule sera blessée sa fierté et elle ne sera pas la première ni la dernière à se retrouver nue devant ses camarades, c’est le prix à payer pour l’excellence et que si ses notes s’améliorent avec les fesses rougies, alors tant mieux et qu’elle sait qu’ils veulent que leurs trois filles réussissent et soient des adultes responsables et que tous les moyens sont bons pour y arriver donc Alexei S. et Irina S. ne s’opposeront pas à ce qu’elle reçoivent des fessées, même en public. Avec plus d’orgueil de sa part, alors elle réussira.
Durant le restant de la semaine, chaque soir, Olga emmène sa sœur jumelle courir, pour l’habituer à cette discipline qu’elle n’aime pas. Iourievna a vraiment du mal à se surpasser, contrairement à sa jumelle qui coure plus et donc mieux. Iourievna termine toujours essoufflée et en sueur.
Lors de la dernière séance entre sœurs, Olga craint le pire pour sa sœur jumelle, car son temps ne s’est pas beaucoup amélioré et elle termine son jooging en ralentissant plutôt qu’en restant sur le même rythme.
Le vendredi après-midi, en plein soleil, Jessica T. accueille les étudiants pour l’entrainement. Elle met bien en évidence le martinet, de façon à rappeler les consignes.
Après un tour d’échauffement, les étudiants sont prêts pour la course du trois mille mètres, dans un premier temps. Par groupe non mixte de quinze étudiants, les coureurs s’élancent pour sept tours de piste. Rapidement, les écarts se creusent et Jessica T. est obligée de fouetter les mollets et les cuisses des retardataires pour les obliger à plus d’efforts. Avec les rappels à l’ordre, les garçons terminent de façon groupée, ce qui veut dire que tous ont fait les efforts nécessaires pour améliorer leur temps. Augustin termine cinquième de son groupe, ce qui est un bon temps vis-à-vis des autres.
Lorsque les filles s’élancent à leur tour, le rythme est moins élevé que chez leurs camarades masculins, mais les temps sont tout de même satisfaisants. Au quatrième tour de piste, les premières difficultés apparaissent chez certaines filles, dont Iourievna et Léa. Cette dernière, déléguée de classe, ne montre pas l’exemple et les deux élèves reçoivent des cinglées sur les cuisses lors de leur passage près de la coache, ce qui leur arrache un cri strident. Les deux filles multiplient leurs efforts, mais ne parviennent pas à rattraper le groupe de tête. Donnant tout ce qu’elles peuvent, Iourievna et Léa comblent une partie de leur retard, mais pas suffisamment pour faire un bon temps. Iourievna termine avant dernière et Léa, dernière. Totalement essoufflées en passant la ligne finale, elles sont rejointes par Jessica T. qui les accusent de ne pas avoir fait les efforts qu’elle attendait d’elles. Avec un temps aussi minable, elles seront éliminées dès la première course lors du tournoi inter établissement. Elle leur dit qu’elles se foutent du monde ! Fâchée, Jessica T. leur impose de se déculotter devant tout le monde. Iourievna et Léa crient de surprise et de peur, en suppliant et en disant qu’elles ont fait de leur mieux pour courir mais que c’était trop difficile pour elles. Quelques bonnes cinglées sur les cuisses les obligent à retirer leur short et leur culotte. Jessica T. leur ordonne de retirer leurs mains de devant leur pubis. Rougissant de honte, elles sanglotent en exhibant leur intimité. Jessica T. les humilie davantage en leur ordonnant d’écarter largement les cuisses pour vérifier leur épilation. Pleurant à chaudes larmes, les deux filles exhibent leur intimité à leurs camarades et sachant que rien ne viendra les sauver de la fessée, les deux étudiantes sont à présent résignées.
En prenant appui sur la rambarde du stade, elles sont contraintes d’écarter les cuisses pour rester stables durant leur fessée, ce qui en montre davantage devant les garçons, ravis de la vue et du spectacle qu’elles vont donner. Jessica T. leur rappelle qu’elle les avait prévenues et elle souhaite plus d’efforts de leur part.
Jessica T. cinglent les fessiers et les cuisses des deux étudiantes qui crient de douleur en se contorsionnant et en tapant des pieds sous la douleur. Olga est triste pour sa sœur jumelle, car elles sont proches et lorsqu’une a des difficultés, c’est le moral de l’autre qui est aussi atteint. Les deux étudiantes demandent pardon et promettent de faire des efforts mais qu’elles ont trop mal. Les fesses en feu, Léa tombe à genou pour faire cesser la fessée, ce qui fâche la coache qui lui dit qu’elle manque de courage, même pour sa punition et deux cinglées sur le dos la font se remettre debout. La trentaine de fouettées a bien marqué les chairs des deux filles.
A la fin de la fessée, Olga se précipite vers sa sœur et l’enlace tendrement pour tenter de la consoler comme elle peut, car Iourievna est secouée de sanglots incontrôlés. Elle constate qu’elle est trempée de sueur, d’une part, par l’effort fourni lors de la course et d’autre part, par la douleur de la fessée.
Jessica T. leur dit de se reposer un peu en attendant la suite de la séance, car elles participeront au sprint sur cent mètres. Entre deux longs sanglots et en bafouillant, Iourievna et Léa disent à leur professeur qu’elles ont les fesses et les cuisses en feu et qu’elles ne pourront pas réaliser un bon sprint. Pour cette réflexion, la coache les obligent à enlever leur tee-shirt et leur soutien-gorge mouillés. Elle se moque d’elles en disant que sans leurs vêtements, elles auront du poids en moins et pourront courir plus vite ! Ne souhaitant pas fâcher davantage leur coach, craintivement, le visage empourpré de honte et inondé de larmes, Iourievna et Léa retirent leurs derniers habits, les humiliant davantage. Leur vexation est largement visible puisque leurs tétons se dressent et deviennent durs et elles sentent que leur entrecuisse se mouille. Les garçons sourient de les voir rabaissées, même Augustin ne peut cacher un large sourire de plaisir, bien qu’il sache que l’humiliation de cette situation est dure à encaisser.
Devant les étudiants, médusés du spectacle auquel ils viennent d’assister, Jessica T. leur demande de se mettre en position pour le sprint. Les garçons s’élancent et arrivent dans des temps acceptables, tandis pour les filles, c’est encore très différent. Certaines qui donnaient de bons résultats à la course d’endurance, s’écroulent au sprint. Durant la course, les garçons peuvent voir les seins des deux punies ballotter dans tous les sens et s’en rendant compte, les deux filles en perdent davantage leurs moyens. Iourievna termine dixième avec du mal tandis que Léa fini douzième avec des crampes. Mais compte tenu du contexte ( leur nudité et les moqueries des garçons sur leur seins qui s’agitent ), elles sont encouragées par la coach qui trouve qu’elles ont enfin fait une bonne course, mais que c’était dommage d’en arriver là pour les faire avancer.
Fatiguées de leurs efforts, les étudiants boivent beaucoup et la douche est profitable à tout le monde. L’eau tiède les requinquent un peu. Olga aide sa sœur à se laver, car le feu de la fessée est encore présent, ce qui est handicapant pour se baisser et se laver le bas du corps.
Rhabillées, sans sous-vêtements, en rentrant à la maison, Iourievna avoue à ses parents, sa fessée publique et le fait qu’elle a dû courir, nue, devant les autres étudiants de sa section et qu’elle en a été humiliée. Ses parents la consolent en disant qu’ils sont sincèrement désolés pour elle, mais qu’elle fera mieux la prochaine fois. Irina S. fait déculotter sa fille et lui pose des sacs remplis de glaçons sur les parties rougies pour calmer l’échauffement.
Les séances d’entrainement sur le mois s’enchaînent sur le même rythme ainsi que les fessées. Les autres filles qui reçoivent la fessée publiquement sont Manon, Emma, Sixtine et Hua pour des mauvais temps en courses et Mei, Emilie et Patricia pour des figures complètement ratées en gymnastique.
Pour les garçons, les performances s’améliorent mais Paul, Arnaud et Adilson ont droit à la fessée, entièrement nu, pour des performances insuffisantes en course.
Quatre semaines plus tard, lorsque le tournoi inter établissements a lieu, les étudiants de Ste CROIX sont en progrès et font de belles performances. Avec quelques podiums, l’école se classe seconde du tournoi et Jessica T. est toute fière de ses élèves qui ont vraiment fait preuve de courage. La proviseure sera forcément satisfaite du classement de l’école.
Dans le tableau des récompenses, Iourievna se classe à la quatrième place au sprint femme, Olga décroche une médaille d’argent au trois mille mètres femme, Léa se classe cinquième au sprint femme et Augustin prend une huitième place au trois mille mètres homme. D’autres performances en course et en gymnastique viennent couronner le bon travail des étudiants de l’école concourant au rétablissement de la réputation de l’établissement.
A la fin de l’année, Ste CROIX garde sa seconde place, mais à la vue du niveau initial, c’est une excellente place. Au mois de Juin, en fin d’année scolaire, Fabienne D. vient féliciter l’ensemble des élèves pour leur engagement et pour avoir placé l’établissement dans le haut du classement.
La proviseure, Fabienne D. félicite également Jessica T. pour ses méthodes d’entrainement qui ont finalement portés leurs fruits. Sur la section d’Olga et de Iourievna, rare sont les étudiants, garçons ou filles, qui n’ont pas été fessées au moins une fois par la coache pour un relâchement coupable de leur implication, mais « le jeu en valait la chandelle » ! et à elle seule, la section sport est responsable du tiers des fessées administrées aux étudiants. La gentille et presque copine Jessica T. du début de l’année s’est endurcie et a mené ses élèves avec toute la poigne requise.


Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? Pas certain.
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 10 acte 1 dans lequel figure le début de ce récit.
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4 commentaires:

  1. Bonjour Elena. Et bonjour tout le monde.

    Un véritable festival de fessées ! Plus ou moins accentuées. Plus ou moins dénudées. Plus ou moins mortifiantes. Sous les regards moqueurs de celles et ceux qui y échappent (au moins pour cette fois-ci). Et festival de ballottages équitablement répartis entre garçon et filles.

    Il y a des constantes d’un épisode à l’autre. Par exemple l’infirmière qui est orfèvre en matière de préparation à la punition proprement dite. Qui a ses méthodes bien à elle et qui prend un plaisir manifeste à les appliquer.
    Des constantes aussi dans la façon dont se déroulent les châtiments et dans la façon dont coupables et spectateurs y réagissent. Pour la plus grande mortification des premiers et la plus grande satisfaction des seconds. Et pour le plus grand bonheur du lecteur.

    D’un chapitre à l’autre, on retrouve avec toujours autant de plaisir les personnages principaux. Quant aux personnages « secondaires » auxquels on n’accorde pas forcément d’emblée une attention particulière, ils prennent, pour certains, un relief inattendu. Je pense notamment à Léa, la déléguée de classe, qui se trouvait « du côté du manche » et qui doit endosser, à son tour, le rôle de la punie. Situation d’autant plus humiliante et d’autant plus savoureuse pour les garçons sur lesquels elle a exercé un temps son « autorité ». D’autres encore : Olga qui me semble avoir un statut un peu à part. Qui, outre ce qui lui arrive à elle en tant que telle, constitue un témoin privilégié, à mon avis, de tout ce qui se passe dans cette école. Et dans ses marges.
    Tant de choses encore.

    À bientôt.
    Amicalement.

    François.

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    1. Bonjour François,
      L'infirmière se doit d'ausculter les élèves avant leur fessée pour contrôler si tout se passera bien. Il est évident que oui, car ce n'est qu'une fessée ( pas assez blessante pour mettre l'intégrité des élèves en jeu ), mais le règlement intérieur de Ste CROIX exige cet examen de routine. L'infirmière prend du certain plaisir à ausculter les jeunes mâles. Ceux-ci auront un examen vexatoire avant la fessée, juste pour leur rabattre leur caquet.
      Pour Léa, bonne élève et surtout souhaitant une reconnaissance et un pouvoir sur les autres. Pouvoir lors des conseils de classe et surtout lors des conseils de discipline où sa voix compte autant qu'une autre. Il vaut mieux s'en faire une amie qu'une ennemie, faute de quoi, au moindre dérapage, elle n'aura pas de scrupules à saquer l'étudiant.
      Je mettrai Olga, la jumelle de Iourievna au même plan de Léa, bonne étudiante et moins turbulente que ses soeurs, ce qui ne lui empêche pas de recevoir des fessées lorsqu'elle le mérite.
      La discipline est assez stricte à Ste CROIX, où l'excellence prime, sur tous les plans, ce qui explique la très bonne réputation de l’établissement et les très bons résultats des élèves, quelques que soient leur niveau d'entrée.
      Amitiés.
      Elena

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  2. Merci Elena pour vos récits toujours intéressants, variés et nourris de votre culture russe où la discipline semble être restée plus rigoureuse que chez nous. Il me semble personnellement que pour certains adultes les punitions traditionnelles seraient tout à fait appropriées pour expier certains comportements, même si cela ne pourrait se faire que sur la base du volontariat.

    Il y a un mode de punition et d'humiliation atypique qui est apparu dans vos récits, c'est l'épilation forcée. Lorsqu'un jeune adulte (et a fortiori un moins jeune) ne s'est pas pleinement comporté en adulte, lui faire subir une épilation forcée c'est symboliquement lui rendre momentanément l'apparence d'un sexe d'enfant et c'est très mortifiant d'autant que cela va durer le temps de la repousse. ça marcherait moins aujourd'hui chez nous avec la mode (contestable à mes yeux) de l'épilation intégrale chez les femmes, mais pour calmer les comportements immatures où les manifestations d'orgueil déplacées de certains mâles, jeunes ou moins jeunes, ce serait redoutablement efficace !

    Je me demandais si cette pratique était sortie de votre imagination, de votre culture russe ou si vous aviez eu des témoignages de discipline domestique de ce genre ?

    Au plaisir de vous lire,

    Doumik

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  3. Bonjour Doumik,
    Les récits LES REBELLES ne sont que des fictions, avec quelques flashes ciblés russes. Une partie de moi est française, l’autre russe et j’adore faire découvrir quelques spécificités issues de la « mère patrie ».
    En ce qui concerne l’éducation, celle-ci est assez stricte, par contre, non, au niveau de l’épilation, il n’y a rien de tel. Cela dit, il est quand même assez rare qu’un homme s’épile entièrement et le fait que dans mes textes, les jeunes mâles se fassent épilés et soient présentés comme ça en public, est triplement vexatoire : Etre présenté tel un petit garçon non pubère, être fessé comme un sale gosse et le tout devant des jeunes femmes de son âge, qui se rappelleront de cet épisode toute leur vie.
    Au niveau des femmes, l’épilation est un phénomène de mode, mais pas seulement, c’est aussi plus sensuel car l’intégralité de notre corps est présentée à notre partenaire, aucune partie n’est cachée. Un gage de confiance.
    Dans les REBELLES, c’est pareil, lors des fessées des jeunes femmes, celles-ci sont exhibées en public sans artifice et leur intimité est entièrement dévoilée, donc, plus humiliant pour ces jeunes demoiselles. Si celles-ci sont penchées pour être fessées, leur intimité est d’autant plus dévoilée et la punition est augmentée par le fait que la punie sait qu’elle en montre bien plus qu’elle ne devrait, à la plus grande joie de ces jeunes messieurs.
    Amitiés.
    Elena.

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