jeudi 8 août 2019

Mes premières fessées - chapitre 1

Nous accueillons un nouvel auteur sur le Blog. Il s'agit de François Fabien.Certains d'entre vous le connaissent si vous avez consulté ses écrits sur le blog "autres fessées". ou lu plusieurs de ses commentaires sur ce blog.
Il s'agit du premier épisode, il y en aura d'autres...

Philibert avait insisté encore et encore pour que je descende passer en août, quelques jours de vacances avec lui à Saint-Raphaël, dans la résidence d’été de ses parents.
– Allez, viens ! Parce que tout seul là-bas avec juste ma mère et ma sœur, je te dis pas comment je vais m’emmerder !
On pratiquait tous les deux le volley. Depuis près de deux ans. Et il s’était pris pour moi, les derniers temps, d’une amitié que je trouvais pesante, pour ne pas dire encombrante. Il prétendait haut et fort le contraire, mais nous n’avions en fait, le volley mis à part, que très peu de points communs. Et il avait par ailleurs des fréquentations avec lesquelles, en ce qui me concernait, le courant ne passait pas du tout.

Partir en vacances avec lui ? Je n’étais vraiment pas très chaud.
Seulement… Seulement il y avait Amélie, sa sœur. Qui avait dix-huit ans. Qui était belle comme un cœur. Qui avait un charme fou. Que j’avais vue deux ou trois fois. Et qui ne m’avait pas laissé indifférent. C’est le moins qu’on puisse dire.
Alors… Alors en étant dans la place, avec un peu de chance, si je m’y prenais bien…
Et je suis parti pour Saint-Raphaël.

Philibert était aux anges.
– On va bien se marrer, tu vas voir…
En fait de se marrer, on se levait à onze heures, on passait nos après-midis à comater à la plage et nos soirées à errer sans but, d’un bar à l’autre, jusqu’à des deux heures du matin.
Avec Amélie, je ne savais pas trop sur quel pied danser. Je ne la voyais pas beaucoup. Elle avait deux copines avec lesquelles elle disparaissait la plupart du temps. Toutefois, dans les très rares moments où je me trouvais seul avec elle, elle se montrait avenante, sympathique et même, parfois, quelque peu séductrice. En sorte que je ne perdais pas espoir. Il allait juste s’agir de savoir saisir le bon moment.

Et puis il y a eu ce soir-là. Un mardi. Tous les bars avaient fermé. Les uns après les autres. Mais Philibert n’avait pas la moindre envie de rentrer.
– Il est pas tard. On va se balader un peu avant. Avec la chaleur qu’il fait…
Des rues. Des jardins. Des villas. Une grande villa.
– Attends ! Attends ! Il y a une sacrée piscine là-dedans. On va aller s’y baigner.
C’était tentant. Il faisait moite. Étouffant. Oui, mais…
– C’est chez quelqu’un !
– Ça, je sais, merci ! Je sais même chez qui c’est. Une copine à ma mère. Qu’est pas là pour le moment. Allez, viens !
Il a ouvert la grille en un tournemain. Dans l’obscurité, je n’ai pas vraiment distingué comment il s’y prenait. Je n’ai pas vraiment cherché à le savoir non plus.
On s’est déshabillés. On s’est jetés dans la piscine. On y a nagé et fait les fous près de trois quarts d’heure durant. Et puis on s’est assis sur la margelle.
– Qu’est-ce qu’on est bien !
On était bien, oui, mais lui, il se serait bien bu une bière.
– Pas toi ? Il doit bien y en avoir là-dedans ! Je vais nous chercher ça.
– T’as les clefs ?
– Bien sûr que non, mais t’inquiète ! J’ai de la ressource.

Et il est revenu avec un pack de bières. Qu’on a tranquillement siroté. Fini.
L’alcool aidant, j’étais pris d’une douce torpeur. Qu’il a secouée.
– Tu verrais cette baraque ! On va y jeter un œil de plus près ?
S’il voulait… Je n’étais pas en état d’être contrariant. Je ne l’étais plus… Alors, s’il voulait… Et je l’ai suivi. De pièce en pièce. Un peu vacillant.
– Regarde-moi ça !
Il s’était posté devant une vitrine.
– Non, mais regarde-moi ça !
– Qu’est-ce que c’est ?
– Des monnaies anciennes. Il y en a pour une fortune.
Et il a commencé à s’en remplir les poches.
– Ben, aide-moi ! Qu’est-ce tu fous ?
– Mais…
– Personne saura que c’est nous. Comment tu veux ? Et on va se faire de la thune comme de la thune avec ça.
J’avais perdu tout sens critique, toute notion de quoi que ce soit. J’étais fatigué, si fatigué… Alors moi aussi, j’en ai enfourné dans mes poches. Maladroitement. En en laissant tomber. Qui ont roulé de ci de là. Sur le tapis. Sous les meubles.
– Allez, viens ! On dégage.
On est rentrés. Et je suis tombé sur mon lit comme une masse.

* *
*

C’est Amélie qui m’a réveillé. Sur le coup de neuf heures du matin. Qui m’a secoué. Encore et encore.
– Lève-toi ! Faut que tu descendes. Tout de suite. Et je crois que t’as intérêt à te dépêcher.
– Qu’est-ce qu’il y a ? Qu’est-ce qu’il se passe ?
– Tu verras bien !
Et elle s’est éclipsée.
Je me suis habillé. Au radar. Des milliers de piverts s’étaient donné rendez-vous dans ma tête et en piquetaient l’intérieur à tout-va.
En bas, dans la cuisine, il y avait Amélie. Et Philibert qui se tenait, tout penaud, près de la fenêtre.
Il y avait aussi leur mère, madame Dubreuil, qui m’a accueilli d’un péremptoire…
– Vide tes poches !
J’ai brusquement réalisé. Les pièces ! Il y en avait sur la table. Plein. Celles que Philibert s’était appropriées, forcément. À quoi bon nier ? On était pris. Et j’ai obtempéré.
Elle m’a regardé faire. Jusqu’au bout.
– Bien. Alors je ne vous cacherai pas, les garçons, que mon amie Catherine Lançon, qui a pu visionner, ce matin, vos exploits de la nuit captés par son système de surveillance intérieur, est très remontée contre vous. On le serait à moins. Et elle a décidé de porter plainte. Vous êtes complètement irresponsables, mes pauvres enfants ! Parce que toi, Philibert, avec un casier, la fonction publique, c’est désormais complètement exclu. Ah, bravo ! Bravo ! T’as gagné ! Tu vas faire quoi, maintenant, hein, tu peux me dire ? Quant à toi, Raphaël, ton magistrat de père va certainement beaucoup apprécier de voir son fils condamné pour vol. Sans compter que ton avenir professionnel dans la filière juridique va très certainement être, lui aussi, sérieusement remis en question. Ah, vous pouvez être fiers de vous, tous les deux ! Vous pouvez !
J’étais effondré. Non, mais dans quel inextricable pétrin j’étais allé me fourrer ! Et par ma faute. Je le savais pourtant que je ne supportais pas l’alcool. Que ça me faisait perdre toute lucidité et faire n’importe quoi. Quel idiot ! Non, mais quel idiot j’étais ! Je me serais battu…
Philibert s’est fait suppliant.
– Est-ce que tu ne pourrais pas ? Est-ce qu’il y aurait pas moyen ?
– De quoi donc ?
– De la faire changer d’avis.
– C’est un peu facile, non, tu ne crois pas, d’accumuler sottise sur sottise et d’appeler ensuite maman au secours pour réparer les dégâts.
Il savait bien, oui. Mais on n’allait quand même pas payer toute notre vie pour…
– Il fallait y réfléchir avant.
Il a bataillé longtemps. Et elle a fini par se laisser fléchir. Non sans peine.
– Je vais voir ce que je peux faire, mais je ne vous promets rien. Parce que je l’ai vraiment trouvée très, très remontée contre vous. En attendant, chacun dans sa chambre. Et vous n’en sortez pas. C’est bien compris ?
C’était compris, oui. Ce n’était pas vraiment le moment de l’indisposer.

Ça a été coup de téléphone sur coup de téléphone. Toute la matinée. Et tout l’après-midi. Des coups de téléphone qui duraient, duraient… Sans que je parvienne, bien que je tende tant et plus l’oreille, à en saisir la teneur. Elle devait sûrement se montrer intraitable, cette Madame Lançon. Ne pas vouloir en démordre. Et j’étais aux quatre cents coups. J’imaginais le pire. Les gendarmes. La garde à vue. Les interrogatoires qui n’en finissaient pas. Mon père furieux. Ma mère en larmes. Mon avenir à tout jamais compromis. Pour une sottise dont je n’avais pas fini de me mordre les doigts.

C’est encore Amélie qui est venue me chercher dans ma chambre, en début de soirée, pour entendre, de la bouche de sa mère, l’énoncé du verdict.
– Alors, voilà ! Catherine Lançon consent à ne pas porter plainte à la condition expresse que je vous administre dès à présent, à l’un comme à l’autre, une sévère fessée déculottée dont elle va suivre le déroulé sur Skype. Dans un premier temps. Parce qu’elle a bien l’intention, dès son retour, de vous en infliger une deuxième, et au martinet celle-là, sur le théâtre même de vos exploits.
Philibert a hurlé.
– Oh, non ! Pas une fessée, non !
– Comme tu voudras, mon garçon ! Mais, dans ce cas, attends-toi à voir débarquer les gendarmes demain matin à la première heure. Alors ? Tu décides quoi ?
Il a haussé furieusement les épaules.
– J’ai pas le choix.
– Pas vraiment, non.
– Mais c’est dégueulasse.
– Pas autant que de s’introduire frauduleusement chez les gens pour les piller.
Elle s’est tournée vers moi.
– Et toi, Raphaël ?
Oh, moi, moi, la perspective de recevoir une fessée m’anéantissait et me terrorisait, mais celle de devoir affronter mes parents, les gendarmes et le déshonneur d’être tenu pour un voleur m’épouvantait bien davantage encore. Alors, moi non plus, dans ces conditions, moi non plus.
Et je l’ai murmuré. D’une toute petite voix étranglée.
– Moi non plus, je n’ai pas le choix.
Amélie a eu un discret petit sourire entendu. À l’évidence, nous voir fessés devant elle n’était pas pour lui déplaire. Elle a cherché mon regard. Je le lui ai dérobé. J’avais honte. Tellement ! Immensément honte.
– Parfait ! Eh bien alors, vous vous déshabillez.
Et madame Dubreuil est allée s’installer devant l’ordinateur. Avant de préciser.
– Complètement. Vous enlevez tout.
Ce qui a stupéfait Philibert.
– Tout ?
La réponse est venue de madame Lançon derrière l’écran, là-bas.
– Tout, oui !

On s’est déshabillés. Je me suis déshabillé. En prenant bien soin de tourner le dos à Amélie. On s’est déshabillés et on a attendu, nus, bras ballants, les yeux fixés sur le mur jaune pâle qui nous faisait face.
Madame Dubreuil s’est enfin retournée.
– Ça y est, vous deux ? Vous êtes prêts ? Alors venez là !
Bien obligés, pour parvenir jusqu’à sa mère, de faire face à Amélie. Qui a jeté un très bref regard sur les attributs de son frère et un beaucoup plus long, beaucoup plus appuyé, sur les miens. Sans la moindre vergogne. Et dans l’intention clairement affichée de me mettre mal à l’aise. Ce qui s’est effectivement produit : d’instinct, j’ai ramené mes deux mains en coquille devant moi. J’étais, comme ça, parfaitement ridicule. Ce dont j’ai pris presque aussitôt conscience. Et je les ai prestement retirées, mais c’était fait. Elle a esquissé un petit sourire satisfait. Un sourire de triomphe. Et j’ai rougi.
Madame Dubreuil nous a attirés, l’un après l’autre, devant l’œilleton de la caméra. D’abord Philibert.
– Que tu connais déjà.
Il s’est avancé, tête basse.
– Oui, mais que je n’avais encore jamais eu l’occasion de voir dans cette tenue.
– Et voici son petit camarade, Raphaël.
– Il a quel âge, ce grand garçon ?
– Vingt-trois ans.
– Et il en a déjà reçu des fessées ?
Jamais, non. Je n’en avais jamais reçues.
– Il faut un commencement à tout.
Et elle a eu un petit rire moqueur.

C’est Philibert qui y est passé le premier.
Sa mère l’a fait basculer en travers de ses genoux, l’y a déplacé d’une dizaine de centimètres pour que son derrière soit plein écran. Et elle a lancé une première claque. Une deuxième. Tout un tas de claques. Une fesse après l’autre. Méthodiquement. Espacé. Ça résonnait. Ça rougissait. De plus en plus. J’étais bouleversé. Quelle honte il devait éprouver à être ainsi exposé à son âge, nu, sans défense, et corrigé d’importance comme un gamin infernal ! Et dire que, d’un instant à l’autre, ça allait être mon tour ! J’allais être à sa place. Quelle humiliation ! Des larmes de panique, que je refoulais du mieux que je pouvais, m’en venaient aux yeux. Et cette humiliation, qui plus est, j’allais devoir la subir devant Amélie. Qui, j’en étais maintenant sûr, allait s’en délecter. Je lui jetais de temps à autre un rapide coup d’œil. Elle s’était petit à petit insensiblement rapprochée au plus près du théâtre des opérations et fixait avec intensité, extrêmement concentrée, le derrière tuméfié de son frère. Qui s’est soudain mis à gémir. Et à se trémousser.
– Tiens-toi donc tranquille !
Et sa mère a tapé plus fort. Plus vite.
Il s’est contorsionné de plus belle. Il a battu des jambes dans tous les sens. Ce qui a tout montré. Son petit trou froncé. Ses couilles qui ballottaient et roulaient entre ses cuisses. Sa queue qui y pendouillait, toute piteuse.
Amélie a esquissé un sourire.
Il a crié.
– Que ça fait mal ! Oh, mais que ça fait mal !
À force de gesticuler et de s’agiter comme un perdu, il a fini par glisser et par échapper à sa mère. Qui l’a sèchement repositionné et qui a coincé ses jambes entre les siennes pour l’empêcher de bouger. Elle a encore lancé une vingtaine de claques. À toute volée. Qui l’ont fait hurler.
Et elle s’est arrêtée. D’un coup.
– Là ! Voilà un petit acompte. En attendant qu’à son retour madame Lançon s’occupe sérieusement de ton cas.
L’intéressée a aussitôt précisé.
– Je rentre dimanche. Lundi au plus tard. Bon, mais à l’autre maintenant.
 À mon tour.
– Et ne
 le ménage pas ce petit voleur, hein !
– Sois tranquille ! On va le vacciner.
Elle s’est tapoté les genoux.
– Allez ! En position…
En m’y laissant tomber, la mort dans l’âme, j’ai croisé, un court instant le regard d’Amélie. Un regard plein d’ironie. Et de défi. C’est ce qui m’a décidé. Je ne me donnerais pas en spectacle. Je ne lui ferais pas ce plaisir. J’allais rester stoïque, genoux et cuisses bien serrés. Pas un cri. Pas un gémissement. Pas un murmure. Rien.
Et j’ai tenu bon. Ça faisait mal, oui. Ça piquait. Ça chauffait. Mais c’était néanmoins supportable. Je m’étais attendu à pire. À bien pire.
Sauf que… c’était juste un hors-d’œuvre. Et qu’une fois le terrain préparé, rendu réceptif, elle a donné sa pleine mesure, madame Dubreuil. À grandes claques déterminées qui me rebondissaient sur le derrière. Qui le mordaient. Qui l’incendiaient. Qui s’y précipitaient. En pluie. En grêle. Que ça faisait mal ! Oh, mais que ça faisait mal ! Et j’ai gémi. Je n’ai pas pu m’en empêcher. J’ai crié. Envolées mes belles résolutions. J’ai hurlé. Et j’ai gigoté. Je me suis distordu. Sans la moindre pudeur. Sans la moindre retenue. Que ça faisait mal ! Mais que ça s’arrête ! Que ça s’arrête !
Ce qui a fini par arriver. Seulement, malgré la douleur, tous ces mouvements, toutes ces contorsions, ce contact intime avec les cuisses de Madame Dubreuil n’avaient pas été sans effet et, quand elle m’a fait relever, que je me suis redressé, j’arborais, pour ma plus grande confusion, une indiscutable érection. C’était trop. Je me suis enfui. Le plus vite que j’ai pu. J’ai détalé. Leurs rires m’ont poursuivi jusque dans ma chambre. Celui de madame Dubreuil. Celui de madame Lançon. Et celui d’Amélie. Surtout celui d’Amélie.


Et la suite ?

Ce sera la semaine prochaine

Les commentaires sont les bienvenus

François Fabien doit-il continuer dans cette direction ? Doit-il écrire un prochain épisode ?

8 commentaires:

  1. Bonjour François,
    En premier, vous venez de me piquer mon idée pour mon chapitre douze ! Bravo !!!!!!!
    Plus sérieusement, en second, c'est un très bon texte, qui appelle forcément une suite que j'aurais beaucoup de plaisir à lire et l'utilisation du martinet me parait tout à fait conforme à ce que j'y aurais mis, car il s'agit d'une intrusion chez un tiers, punissable par la loi ( peine maxi 7 ans de prison et 100 000 euros d'amende ). Ce n'est plus une bêtise de gosse. Le cadre est sympa, car c’est ma région natale. J'espère que la correction sera à la hauteur de la "bêtise".
    Le style avec l'emploi de la première personne sonne assez bien, car un lecteur peut facilement s'identifier à Raphael ( lorsqu'on est un garçon bien évidement ).
    J'ai beaucoup aimé la petite fierté de jeune mâle de Raphael, qui se promet de faire le courageux devant Amélie, ce qui parait logique, bien qu'être nu et être fessé devant elle, comme un sale gosse, est déjà un sacré camouflet... suffisant pour lui rabaisser le caquet et que son amour propre en prenne un sacré coup. Pas de quoi faire le fier après ça, surtout avec les fesses empourprées et une érection à la clé. Juste de quoi se faire oublier pour un sacré moment. A mon avis, Raphael et Philibert auront de quoi ruminer en attendant la seconde fessée qui promet d'être plus mordante que la première. L'attente est déjà une punition à elle seule. On s'imagine des tas de choses et plus le temps passe, plus l'échéance approche, augmentant du même coup, le stress...
    Encore bravo, François.
    A bientôt.
    Elena.

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  2. Bonjour, Elena,
    Merci de votre long et riche commentaire.
    Désolé de vous avoir piqué votre idée. Il faut croire que les grands esprits se rencontrent ! Ou plutôt que les passionnés de fessées viennent s’abreuver aux mêmes sources. Cela étant, j’espère que vous traiterez malgré tout ce sujet dans votre si personnel et si attrayant.
    Ce texte aura effectivement une suite et même plusieurs. Dix ? Quinze ? Vingt ? Je ne sais pas trop encore au juste. Une fois qu’on est lancé, ce n’est pas forcément facile de s’arrêter. Surtout quand on y prend beaucoup de plaisir.
    Assurément, la faute commise par ces deux garçons est grave et le châtiment, le martinet, sera en proportion. Philibert y a déjà goûté, mais, pour Raphaël il s’agit d’une première. Et il a mis là le doigt dans un engrenage dont il lui sera très difficile de s’extirper.
    Je crois que rien ne ressemble plus à la description d’une fessée en tant que telle que la description d’une autre fessée en tant que telle. C’est pourquoi ce qui, à mes yeux, est le plus intéressant, c’est le contexte, les réactions des uns et des autres. Nous sommes d’accord, je crois, pour considérer, vous et moi, que la fessée devant des tiers, surtout s’ils sont du sexe opposé, par la honte qu’elle provoque inévitablement, est redoutablement efficace et dissuasive. Pour Raphaël qui avait des vues sur Amélie, (et qui les a encore) l’épreuve est d’autant plus cruelle qu’elle n’est pas terminée. Et que, outre la correction proprement dite et la morsure du martinet, il va lui falloir appréhender, plusieurs jours durant, et les réactions d’Amélie et les siennes propres. Sans compter, mais je ne veux pas « spoiler », ce qui va se passer dans l’intervalle.
    À très bientôt.
    J’espère avoir très prochainement l’occasion de lire un texte de vous. Ils m’enchantent.
    François

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  3. François.
    Un texte, mon neuvième chapitre est en ligne depuis le début de la semaine, je ne sais pas si vous l’avez vu ?
    Trois autres suivent ( dix/un, dix/deux et onze ). JLG les a en sa possession et les mettra en ligne.
    Pour l’idée, ce n’est pas grave, je vais en trouver une autre. Ma remarque était une boutade.
    Vous avez raison de ne pas trop en dire sur les prochaines parutions, la surprise doit avoir lieu. C’est toujours bien de les découvrir en lisant le texte et merci du compliment.
    Amitiés.
    Elena

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  4. Bonsoir Elena, bonsoir François,

    En matière d'art ou de fiction, il faut toujours garder une part de mystère pour entretenir le suspense et mettre le lectorat "sous pression". L'attente rend le récit plus savoureux dès sa parution.
    Rires.
    Amicalement. Peter.

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    1. Cher Peter,
      En serait-il de même lors de l'attente de la fessée. En terme de pression ou de stress ? et voir les minutes qui défilent et qui rapprochent de l'échéance...
      Amitiés.
      Elena

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    2. Bonjour Elena,

      La pression amène le stress mais la finalité fait la différence : agréable découverte pour les arts et autres productions artistiques et douloureux moment à passer dans le cas d'une punition manuelle telle que la fessée.
      Amicalement. Peter.

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  5. Bonjour Elena, Bonjour Peter Pan, et bonjour tout le monde,

    Ventre Saint-Gris! J'avais complètement zappé ce chapitre 9. Je l'attendais pourtant. Je vais aller le dévorer de ce pas. Une inquiétude tout de même: j'espère que ce chapitre onze ne mettra pas un point final à la série! Ou, à tout le moins, si c'est le cas, qu'une autre série prendra très vite le relais.
    À très bientôt.
    Je cours vous lire.
    François.

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  6. Pas grave. Je réponds à vos questions dans mon texte ( chapitres neuf ).
    Elena.

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