Robin, tour à tour corrigé, d'abord par sa sœur,
puis par sa mère, pour ses écarts de comportement, a été prié de remonter dans
sa chambre pour y attendre l'heure du dîner.
Le derrière en feu, il y cuve une cuisante première fessée de Patricia suivie immédiatement de
deux autres administrées par Gladys. Juste recadrage disciplinaire en rappel
des valeurs de respect, d'obéissance
et de la nécessité de se plier aux
règles de fonctionnement de la maison.
Extraits
Il y
avait bien quatre couverts à table pour le dîner mais seulement trois
personnes. Edouard n’était toujours pas rentré et son cas s’aggravait au fur et
à mesure que les minutes passaient. Ce n’était plus du retard mais de l’absence
caractérisée. Autant de désinvolture et d’irrespect allait lui valoir la
correction de rigueur, que Gladys n’allait pas manquer de lui administrer dès
sa réapparition. Sûre de sa position dominante et de son autorité, elle savait
maîtriser ses réactions en ne laissant paraître aucun signe d’irritation. Elle
attendait patiemment le moment venu de la punition pour laisser exploser toute
l’énergie accumulée à retenir sa colère montante. L’incorrigible époux,
pourtant au fait des règles de la discipline conjugale, lui procurait, une
nouvelle fois, un excellent motif de lui flanquer une bonne déculottée.
Le
dîner se déroulait donc dans la bonne humeur. Du moins celle de ces dames,
joyeuses et détendues après la stimulante séance de fessées infligée à Robin
pour fêter dignement son retour à la maison. Elles lui avaient interdit de se
reculotter. Il avait dû venir se mettre à table en se déplaçant le pantalon
baissé autour des chevilles, les fesses rouges et cuisantes au fond du slip.
Beaucoup moins à l’aise que ses voisines de tables, il ne vivait pas la
situation tout à fait de la même façon. Son projet de vie du moment se limitait
à essayer de se tenir convenablement devant son assiette en évitant de trop
exprimer la douleur que lui renvoyait la cuisson de ses fesses...
Sous le regard
amusé de sa mère et de sa sœur, il s’était installé à table avec autant de
précaution que s’il avait dû s’asseoir sur du verre pilé, le bout des fesses
posé sur le bord de sa chaise pour réduire au maximum la surface de contact. Ce
qui lui demandait beaucoup d’application et de précaution. Ses fesses, gonflées
de claques et reculottées serrées, dans un slip qui lui semblait devenu trop
petit pour les contenir.entièrement, lui
cuisaient du bas des reins jusqu‘en haut des cuisses. Gladys, faisant étalage
de son cynisme habituel et, feignant d’ignorer les raisons de son agitation,
l’avait rappelé à l’ordre plusieurs fois. Cette fois ci était la troisième.
« Mais enfin
Robin, vas tu te tenir tranquille. Qu’est ce que tu as à gigoter sans arrêt ?
C’est une façon de se tenir à table ça ?
Patricia sans précaution de langage, enfonce le clou, qui
ne dépassait pas de beaucoup.
« Mais
maman, c’est parce qu’il a mal au cul, c’est tout! »
Gladys sursaute et se tourne vers elle
« Non mais
qu’est ce qu’il te prend, Patricia? Tu t’entends parler ? Qu’est ce que c’est
que ce vocabulaire?
– Oh pardon maman, excuse moi, ça ma échappé...je
voulais dire, C’est parce qu’‘il a mal aux fesses.
– Je préfère... Mais surveille ton langage s‘il te plait.
Je pourrais très bien te prendre sur mes genoux pour te déculotter et te
flanquer une fessée à toi aussi ! Ce
n’est pas parce que maintenant tu fesses ton frère que ça te dispenserait de
t’en prendre une!. Il n‘y en a pas que pour lui. Fais bien attention ! »
Vous voulez relire l'épisode en entier ?
Pas de souci, le voici : Saison 1 chapitre 4
Prochaine illustration...
...dans quelques jours, il n'y a pas de raison que cela s'arrête.A vos commentaires !
Que pensez-vous de cette rediffusion ?
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerOn continue à réviser ces classiques.
Toujours le bon mot pour amuser les convives, Miss Patricia.
Ah, décidément, les Femmes seront pour Robin, comme son infortuné camarade Gérome, le tourment (délicieux ?) de leur vie...
Gageons que l'âge leur apportera sagesse. Mais nous n'y croyons guère. Enfin, croisons les doigts.
Amicalement. Peter.