Poussée par sa belle-mère, Laure
fit son entrée dans le séjour. Elle rougit en croisant le regard de sa mère
devant laquelle sa belle-mère la conduisit.
« J’ai cru comprendre qu’une
grande fille n’avait pas été sage. Qu’en dis-tu ? »
Laure aurait volontiers disparu
dans un trou de souris, mais il n’y en avait pas de disponible à proximité.
Qu’en dire ? Elle ne savait pas.
« Il me semble qu’il y a eu
une grande fille qui a reçu une fessée ! »
Laure baissa la tête. Elle avait
honte d’avoir été punie et honte que cela se discute ouvertement.
« Raconte à ta Maman
pourquoi tu as été punie. »
Laure avait conscience que son
mutisme ne tarderait pas à passer pour de la désobéissance, mais elle ne savait
pas par où commencer.
« Dis à ta Maman pourquoi tu
as été fessée. »
La claque sur les fesses la
décida à parler.
« Je n’ai pas été sage avec
Madame Martin.
– Madame Martin, releva sa
belle-mère, je trouve que ça fait un peu trop guindé pour une grande fille à
qui je donne la fessée. Il faut quelque chose de plus familier. Appelle-moi
plutôt Maman Clotilde. Après tout, je suis un peu ta Maman depuis que tu as
épousé Denis et moi je te considère comme ma fille, surtout maintenant que je
te fesse quand tu en as besoin. »
Laure ne trouva rien de déplacé à
cette nouvelle demande. La nouvelle relation d’autorité qui s’était instaurée
justifiait une certaine familiarité. C’était même plutôt rassurant de savoir
que sa belle-mère l’acceptait comme l’un de ses enfants.
« Cette jeune dame a cru bon
de se retenir de faire pipi alors que je le lui ordonnais. J’ai cru au début
qu’elle n’en avait pas envie, ce qui aurait été un mensonge flagrant.
J’envisageais de la punir quand, après que j’ai dû la menacer d’une fessée,
elle s’est décidée. Vous pensez bien, Chantal, que je n’étais pas très
satisfaite de ce caprice.
– Vous avez donc décidé de la
corriger ?
– Non, pas à ce moment-là. J’ai
été très patiente.
– Ne le soyez pas autant une
prochaine fois. Notre Laure a besoin d’être reprise en main. Je souhaite qu’on
ne lui passe rien. Au moindre écart : une fessée !
– Ce n’est que quand elle m’en a
fait un deuxième que j’ai dû sévir. Elle avait décidé de m’empêcher d’essuyer
les dernières gouttes de pipi qui sortaient encore de sa fente. Là je dois avouer
que j’ai vu rouge. Mais cette petite pimbêche s’est employée à m’empêcher de la
punir comme elle le méritait. »
Le regard noir que lui jetèrent
ses deux Mamans donna le frisson à Laure. Elle se rendait compte, mais un peu
tard, qu’elle n’aurait pas dû se débattre. Dans le contexte de punition dans
lequel elle était plongée, cela ne pouvait été admis. Il y aurait des
conséquences.
« Tu es décidément très
capricieuse et désobéissante ! Va mettre ton nez dans le coin vide et
réfléchit bien à comment tu vas demander pardon à Clotilde. »
Ce fut un soulagement pour Laure
de se retrouver au coin. Sa situation ne s’était pas beaucoup améliorée. Sa
culotte baissée et sa robe retroussée exposaient ses fesses, mais c’était à
deux personnes qui les avaient largement contemplées. Denis, l’autre personne à
être au courant, était dans la même situation. Cependant, elle n’était plus au
centre de l’attention, ni sous les regards inquisiteurs de ses deux Mamans.
Certes, sa punition était loin d’être achevée, mais elle disposait d’un petit
répit. Dans son dos, la conversation continuait.
Les deux mères tombèrent d’accord
pour se féliciter de la méthode qu’elles avaient remise au goût du jour. La
fessée avait donné des résultats remarquables en un temps ridiculement court. L’obéissance,
aussi bien de Laure que de Denis, était redevenue la norme en une seule soirée.
« Je ne suis pas certaine,
ajouta Clotilde, que cela durera sans fin si nous ne l’entretenons pas, mais
nous sommes sur la bonne voie.
– J’ai bien peur que nos deux
garnements nous donnerons bien d’autres occasions de les punir.
– A ce sujet, je dois encore
quelques fessées à mon garçon : une pour avoir tenté de résister quand
j’ai voulu le corriger, et l’autre pour sa désobéissance au coin quand vous
êtes arrivés. Il va être temps que je m’y mette si je veux avoir fini avant ce
soir.
– Vous n’oublierez pas celle que
vous devez à Laure !
– Ah oui ! Celle que je dois
à Laure. A ce sujet, j’espère que vous ne m’en voulez pas d’avoir pris
l’initiative de la fesser sans vous avoir demandé votre autorisation.
– Vous pensez Clotilde ! Pas
tant de manières entre nous ! Il est bien normal que vous fessiez Laure
quand elle en a besoin. Comme vous le disiez tout à l’heure, vous êtes
également sa mère. Une mère par mariage, mais une mère tout de même. C’est moi
qui devrais vous remercier de prendre autant à cœur la correction des écarts de
ma fille. Si elle en est là, c’est que j’en suis un peu responsable. J’ai dû
être trop laxiste !
– Pensez-vous ! Regardez mon
Denis ! Je ne crois pas que quiconque puisse dire que j’ai été coulante
avec lui. Ses fesses doivent encore s’en souvenir ! Pourtant, il en est au
même point que Laure. Pas mieux.
– Oui sans doute.
– Je crois que c’est notre sort à
nous, les mères, de devoir constamment surveiller notre progéniture, quel que
soit leur âge, et de nous sacrifier pour les remettre dans le droit chemin.
Prenez-le comme un devoir maternel ! Je vais reprendre le collier pour
éradiquer ces mauvaises habitudes qu’il a prises depuis qu’il a quitté le toit
familial. Je ne le fais pas par gaieté de cœur, mais je ne vois pas qui d’autre
pourrait le faire.
– Vous êtes toujours de bon
conseil, Clotilde. Je n’avais pas envisagé ma nouvelle relation avec ma fille
sous cet angle, mais je crois que vous avez raison. Il est nécessaire qu’elle
trouve en face d’elle un front uni de ses deux Mamans. Je vous remercie donc de
bien vouloir la surveiller quand elle est dans votre proximité et de ne pas
hésiter à la fesser quand vous jugez son comportement inadéquat. »
Dans son coin, Laure accusa le
coup. Elle avait déjà compris que la première fessée reçue de la part de sa
Maman ne serait que la première d’une longue série. Il y en avait, d’ores et
déjà, d’autres en préparation. Maintenant elle savait que sa belle-mère ne
tergiverserait plus malheureusement, celle-ci était bien plus exigeante que sa
propre mère. Cela lui promettait des moments difficiles.
« Je pense que ce front uni
que nous constituerons alors sera bénéfique à nos deux garnements.
Naturellement, je compte sur vous pour corriger Denis quand vous le jugerez
nécessaire.
– Vous croyez que …
– Absolument, la coupa
Clotilde ! Je n’ai pas de doute sur le sujet. Vous comprenez bien que
d’une part si je dois fesser Laure, la réciproque est obligatoire. D’autre part,
imaginez ce que va ressentir Denis quand vous le déculotterez pour le fesser.
Autant, quand c’est moi qui le ferai, il peut se raccrocher à des souvenirs
d’enfance, autant quand ce sera vous, Chantal, la honte d’être puni quand ce
sera par sa belle-mère, sera à son comble. Je compte sur cela pour qu’il soit
plus attentif à son comportement.
– Vous avez encore raison !
Je vois bien comment, en les fessant tous les deux, indifféremment l’une et
l’autre, nous contribuerons bien plus efficacement à éradiquer leurs attitudes
détestables. Je fesserai donc Denis quand il en aura besoin. Soyez tranquille,
je n’y manquerai pas.
Ce fut au tour de Denis qui avait
suivi toute la conversation avec inquiétude, de manquer de s’étrangler. Il eut
un fort sentiment d’indignation qui s’empara de lui, pour redescendre aussitôt.
La logique de sa mère, et maintenant de sa belle-mère, était implacable.
Qu’avait-il à opposer au devoir maternel qui venait d’être évoqué ?
Une conclusion s’imposait :
Laure et lui s’étaient mis d’eux-mêmes dans cette situation. Cela faisait
plusieurs mois qu’il regardait avec inquiétude la vie qu’ils menaient tous les
deux depuis qu’ils habitaient ensemble : dépenses inconsidérées, exigences
minimales, rythme de vie déstructuré, … Il avait souvent vu le couple qu’il
formait avec Laure, comme deux adolescents profitant sans limite d’une liberté
récemment conquise.
Jusqu’à ce soir, il ne voyait pas
comment sortir de cette situation. Laure partageait son inconfort quant à cette
situation. Il en était certain. Elle ne le lui avait pas dit ouvertement, mais
il l’avait senti à plusieurs petites réactions d’inquiétude qu’elle avait
manifestées.
L’initiative de sa mère, qui
s’était traduite par la reprise durable des fessées de son enfance, était loin
de le satisfaire, mais c’était une façon de sortir de l’impasse dans laquelle
il se sentait enfermé. Il s’en serait contenté si cela avait pu rester entre sa
mère et lui. Maintenant, ça allait beaucoup plus loin. Le régime disciplinaire
auquel il était soumis devait public. Au-delà de sa mère, Laure et sa
belle-mère avaient pu constater comment il avait été puni et maintenant il
fallait qu’il se prépare à être fessé par sa belle-mère. Il n’arrivait pas à la
concevoir, … et pourtant ! Comment l’éviter maintenant que sa mère l’avait
entériné ? Il ne se voyait pas s’opposer à elle et puis … il avait besoin
d’elle et de son autorité. Où cela s’arrêterait-il ?
« Puisque nous en parlons,
je pense que les fesses de Denis ont suffisamment récupéré pour supporter une
deuxième correction. Si vous le voulez bien, je vais la lui administrer
maintenant.
– Bonne idée ! Je vais faire
de même avec Laure. Il faut que je la punisse sévèrement suite à ce qu’elle a
fait au travail aujourd’hui. Je m’y suis engagée auprès de la cheffe du
magasin, Madame André.
– Une fessée de concert !
Cela mettra les choses au point ! Allons-y »
Clotilde prit son fils par
l’oreille.
« Suis-moi ! »
Il n’avait pas vraiment le choix.
Il dut avancer courbé afin de soulager la douleur venant de son pavillon auriculaire.
Il fit les premiers pas, attentif à bien marcher au rythme de sa mère, malgré
le pantalon qui entravait son déplacement. C’est quand il vit s’avancer, face à
lui, Laure tenue de la même façon que lui par sa propre mère, qu’il se rendit
compte de l’image qu’il donnait de lui.
Laure avançait le cou tordu en un
angle improbable pour suivre au plus près les mouvements de la main de sa mère.
Ses mains maintenaient sa jupe relevée au-dessus de sa taille. Sa culotte,
entourant ses genoux, l’obligeait à adopter une démarche pataude. Ses parties
génitales étaient exposées à la vue de tous. Denis, pourtant habitué à les
contempler, les voyait sous cet angle pour la première fois. Il eut de la peine
à reconnaître le sexe de sa femme.
Laure, habituellement plutôt
pudique ne se déplaçait jamais nue dans leur appartement. En dehors des
préludes amoureux, elle ne s’exposait pas aux regards, y compris celui de son
mari. Dans l’instant, sa tenue, bien que faisant fi de sa pudeur, lui était
indifférente. Elle suppliait sa mère, toute à la fessée qui se préparait.
« Non Maman, non, pardon,
pas la fessée, s'il te plait, non ! »
Ce n’était pas une femme d’âge
mûr qui avançait sans résister à la volonté de sa mère, elle n’en avait ni la
tenue ni l’attitude et elle ne prêtait aucune attention aux autres spectateurs
de la scène. Ce n’était pas non plus une petite fille, son corps développé et
sa pilosité ne permettaient pas de le supposer, pourtant le désintérêt général
à la vue de ses parties génitales le laissait penser.
Denis avait conscience qu’il
était dans la même situation. Il visualisa ses fesses nues, son sexe qui
balançait de droite à gauche au gré de ses pas, sa démarche claudicante, mais
également du peu d’attention que les autres y portaient, y compris sa belle-mère
à qui il exposait son intimité pour la première fois. Il fut assailli d’une
bouffée de pudeur et de honte mêlées.
« C’est un cauchemar,
pensa-t-il ! Je ne peux pas me trouver fesses nues, traversant mon
appartement en présence de trois personnes, me préparant à recevoir une fessée.
Je vais me réveiller ! »
Il ralentit un court instant,
mais sa mère poursuivit son chemin.
« Avance ! S’il faut
que je te traîne par l’oreille jusqu’au lieu de ta punition, cela ne pose pas
de problème ! »
Elle accentua un peu le pinçon,
la douleur le contraignit à suivre la main qui le tenait. Non, décidément, il
ne rêvait pas. C’était bien réel. Pas moyen de se réveiller pour échapper à sa
situation. Un regard de sa belle-mère vers ses attributs masculins fit
s’empourprer son visage.
« Je ne peux être vu dans
une posture aussi humiliante. »
Il plaça ses deux mains devant
son sexe, conscient de la futilité du geste. Sa chemise qui n’était plus tenue,
tomba sur ses fesses. Sa mère n’apprécia pas cette pris de liberté intempestive.
Elle s’arrêta, courba Denis sous son bras, releva elle-même la chemise et elle
claqua les fesses nues jusqu’aux premiers cris de son fils. Cela ne mit pas
longtemps.
« A moins que tu ne tiennes
à ce que cette fessée dure, tu vas relever ta chemise et cesser cette comédie
de la pudeur outragée. Il n’y a que celle des adultes qui peut l’être. Et toi,
tu seras traité comme une grande personne quand tu te comporteras comme on doit
le faire quand on est responsable. Pas avant ! Pour le moment, le compte n’y
est pas, loin de là ! Pense-y à chaque fois que nous devrons te baisser la
culotte ! »
La fessée reprit brièvement et
Denis, sans cesser ses plaintes, releva les pans de sa chemise, autant qu’il
pouvait dans cette position.
« Il va bien falloir que tu
t’habitues à être déculotté en présence d’autres personnes. Ni Chantal ni moi
n’avons l’intention d’attendre d’être dans un endroit privé pour te baisser la
culotte et te punir. Tout cela se passera là où tu l’auras mérité et devant les
personnes présentes à ce moment-là, quelles qu’elles soient. Et ce sera pareil
pour Laure. »
La jeune femme ainsi interpellée eut un hoquet de
surprise ou d’indignation. Denis et elle commençaient à comprendre où leurs
mères les entraînaient. Aucun des deux ne prenait les propos qui venaient
d’être prononcées pour des paroles en l’air. Quelques claques virent confirmer
le sérieux de la déclaration.
« J’espère que c’est bien
rentré dans ta petite tête et que ça y est inscrit profondément ! »
Elle relâcha Denis qui s’empressa
de relever correctement sa chemise. Il n’avait plus de velléités de pudeur mal
placée. L’obéissance était une obligation qu’il devait observer
scrupuleusement.
Laure était déjà allongée en
travers des genoux de sa mère. La fessée avait retardé Denis et sa mère.
Pourtant il ne tarda pas à être placé dans la même position que sa femme. Il
ferma les yeux. S’il avait un souvenir ancien, donc probablement déformé, des
fessées qu’il avait reçues étant enfant, celle de cet après-midi s’était
inscrite en marque de feu sur son postérieur. Si la douleur avait disparu, la
représentation qu’il en avait en faisait un souvenir brûlant.
« Clotilde, il me semble
qu’il faille une fessée exemplaire pour ces deux garnements. Je crois avoir ce
qu’il faut. Relève-toi, Laure ! »
Interrogative, Laure reprit une
position verticale. Sa mère se leva et elle sortit de la pièce. Elle revint,
une petite minute plus tard. Elle tenait dans sa main une ceinture qui
appartenait à Denis et une brosse de bain.
« Je crois que j’ai ce qu’il
faut pour leur donner la leçon qu’ils méritent. Laquelle
voulez-vous ? »
Clotilde hésita un court instant.
« Vous avez raison. Il ne
faut pas que ces deux irréfléchis pensent s’en sortir avec une petite fessée.
Il leur faut quelque chose d’exemplaire. Donnez-moi la ceinture ! »
Denis esquissa un geste pour se
relever. Une sonore claque sur les fesses le dissuada d’aller plus loin.
« Non Maman, non !
Pardon, pas la ceinture !
– Ah, je vois que tu as encore
quelques souvenirs de ce que peut provoquer une ceinture correctement appliquée
sur des fesses nues. Vérifions si je sais faire aussi bien qu’il y a quelques
années ! »
Clotilde enroula l’extrémité de
la ceinture autour de sa main afin d’en raccourcir la longueur. Sur ses genoux,
Denis s’agitait, mais il ne tentait plus de quitter la position dans laquelle
sa mère l’avait placé. Ses pieds se croisaient et se décroisaient,
fléchissaient puis s’étendaient en des mouvements qui ne cessaient pas. Ses
mains pétrissaient le tissu du canapé. Son angoisse était palpable. Il
suppliait d’une voix étouffée, mais il était clair qu’il n’en attendait aucun
effet.
Clotilde prit un peu d’élan et
elle appliqua la ceinture à plat sur les fesses de son fils, les barrant d’une
trace qui vira instantanément au rouge. Le bruit n’avait pas été
impressionnant. La réaction de Denis l’était. Le hurlement qu’il poussa
exprimait un désespoir profond. Puis, il fondit en sanglots. A peine s’il
accusa le deuxième coup. Seul un cri plus fort annonça qu’il avait produit
l’effet annoncé. Puis la ceinture, vigoureusement maniée par Clotilde, tomba
comme un métronome sur les fesses sur lesquelles elle laissait à chaque fois
une marque sombre.
Laure et sa mère étaient restées
immobiles, spectatrice horrifiée pour l’une et fascinée pour l’autre par les
effets de la correction.
« Voyons si je sais faire
aussi bien ! »
La Maman de Laure la prit par le
bras et elle l’amena avec elle tandis qu’elle s’asseyait sur une chaise. Elle
guida sa fille à plat-ventre en travers de ses genoux, l’ajusta légèrement pour
lui faire prendre une position convenant à l’exercice qu’elle projetait. Elle
releva la jupe, découvrant les fesses de Laure auxquelles elle allait consacrer
toute son attention pendant les minutes à venir.
Elle soupesa la brosse puis elle
la posa sur le sommet du postérieur qui gisait sur ses genoux. Elle éprouva la
longueur du manche, se doutant que le bras de levier qu’il constituait faisait
d’une fessée administrée avec un tel ustensile, une correction redoutable.
C’était exactement ce qu’elle souhaitait. Il fallait marquer le coup afin que
Laure soit plus exigeante quant à la propreté de sa tenue de travail, sans
compter la nécessité de son obéissance, surtout quand des personnes ayant
autorité sur elle avaient décidé de la fesser. C’était sa responsabilité de
mère. Elle entendait l’assumer.
« Je crois qu’il est temps
de te punir de tes négligences et désobéissances au travail. Dorénavant, je
doublerai à la maison les fessées que tu recevras au travail. Et il n’est plus
question que tu empêches quiconque de te fesser quand tu l’auras mérité.
Surtout pas Maman Clotilde !
Elle posa la brosse sur le sommet
des fesses de Laure. A ce contact, celle-ci contracta ses fesses pendant un
long moment.
« Interdit de te débattre,
pas de main pour protéger tes fesses. Je veux que tu profites des fessées pour
réfléchir aux conséquences de tes écarts. Sois contente d’avoir trouvé autour
de toi des personnes qui prennent le temps de te corriger. Bien que tu aies trente-cinq
ans, tu en as le plus grand besoin. Est-ce bien compris ?
– Oui Maman, répondit Laure d’une
voix tremblante.
– Alors allons-y ! »
Laure n’avait aucune idée des
ravages que pouvait provoquer une brosse utilisée sans retenue sur des fesses
nues. Cette lacune fut comblée en quelques secondes. Elle s’étrangla en avalant
sa salive de travers, avant de réussir un pousser son premier cri. Malgré
l’envie qui la taraudait, l’interdit de sa mère fut le plus fort. Elle arrêta à
mi-chemin le geste de son bras pour couvrir ses fesses de sa main. Elle ne put
empêcher la sarabande folle à laquelle se livraient ses jambes. Sa mère ne lui
en fit pas le reproche.
Laure n’avait plus aucune idée de
ce qui se passait autour d’elle. Il lui semblait que le monde venait de se
réduire à l’emplacement sur ses fesses où sa Maman venait d’appliquer la
brosse. Il y avait alors un éclair intense de douleur qui se prolongeait par
une brûlure qui ne cessait de devenir toujours plus incandescente la fessée
durant, et qui s’étendait progressivement à la totalité de son postérieur.
Laure et Denis mêlaient
maintenant leurs cris. Ceux de l’un surpassaient ceux de l’autre quand la
ceinture ou la brosse s’abattaient, mais il était souvent difficile de les
distinguer, si ce n’est que ceux de Denis étaient un plus graves, même s’ils
montaient souvent dans l’aigu.
Clotilde et Chantal se
regardèrent. Elles échangèrent un léger signe de tête approbateur. Chacune
appréciait la détermination de l’autre. La connivence qui s’était instaurée
plusieurs mois auparavant quand elles avaient commencé à échanger sur la
nécessité d’intervenir dans la vie de leurs enfants, sortirait renforcée de
cette soirée. Chacune savait qu’elle pouvait maintenant faire confiance à
l’autre pour instaurer la discipline dont Denis et Laure avaient besoin. L’une
comme l’autre étaient confortées dans leur certitude de contribuer au bien de
leur enfant. C’était gratifiant.
Clotilde mit fin la première à la
fessée quand toute la peau du postérieur de son fils fut couverte de marques
laissées par la ceinture. Chantal continua un peu. Elle estimait ayant commencé
en retard, il était normal qu’elle continuât afin que les deux fessées aient la
même durée.
Les claquements des instruments
se turent. Le contraste était saisissant. Clotilde et Chantal reprirent leur
souffle. Donner une fessée était un exercice physique dépensant une énergie qui
était loin d’être négligeable. Le silence était encore perturbé par les
sanglots étouffés des deux punis.
« Je ne sais pas pour la
vôtre, mais le mien a les fesses bouillantes.
– Laure également. Je crois que
ces fessées seront dissuasives ! »
Elles avaient posé leur main sur
le postérieur de leur enfant. C’était une douce caresse dont Denis fut
reconnaissant à sa mère et cela calma les plus gros sanglots de Laure.
« Laissons-les refroidir au
coin et y réfléchir aux avantages certains que présente
l’obéissance ! »
Clotilde
et Chantal, fières du bon travail accompli, s’accordèrent un petit jus de fruit
accompagné d’un gâteau, tandis que Laure et Denis se tenaient immobiles dans
leur coin.
Rappelez-vous, Laure...
Vous l'avez déjà croisée. Elle travaille dans le super marché où Alex a dû faire un douloureux séjour. C'est dans le chapitre 89 et vous trouverez l'explication de son empressement à se rendre chez sa mère dans le chapitre 96
Nous la retrouverons bientôt...
Et les commentaires ...
Ils sont évidemment les bienvenus, voire un peu plus. C'est également une façon de contribuer au dynamisme du blog pour ceux qui ne se sentent pas une âme et surtout une plume (ou un clavier) d'auteur.
Bonjour le blog.
RépondreSupprimerBon, maintenant qu'on a fait connaissance, que je t'ai déculottée pour une première fessée on peut s'appeler par nos prénoms... Moi, c'est Clotilde... maman Clotilde. Pas de chi-chi entre nous , prépare tes fesses pour la suivante!
Aussi expéditive qu'affectueuse, la belle mère. Entente parfaite avec la mère sur la même longueur d'onde, de manche de brosse et de ceinture. Maman et belle maman au coude à coude assument leur responsabilité. L'éducation du couple se poursuit en duo sur canapé, sans filet, avec fessées en double mixte, coup droit en alternance sur chaque fesse et revers croisé le long de la raie! Il n'y a pas que la terre à être battue. Les fesses bouillantes témoignent de la fonction dissuasives des corrections. Ce que c'est que le goût et l'exigence du travail bien fait!
Tout ça pour le bien des ( grands )enfants, dans une efficace solidarité maternelle.
Cordialement
Ramina