Soirée fessées entre amies : 2ème partie
C'est au son pétaradant de la fessée de Gérôme que se
déroule la cérémonie d'ouverture de la soirée. L'ambiance dans le salon de
Béatrice commence à monter en même temps que la température des fesses du
premier puni qui se trémousse en criant sa douleur sur les genoux de sa mère.
Dans l'intention, ce n'était à l'origine qu'une simple
fessée d'échauffement à travers le slip, mais Ma'am Thérèz a la main lourde et
fesse dur. Au bout de cinq minutes d'un vigoureux claquage, le slip en question
ne recouvre ni ne protège pratiquement plus rien. La force des claques en à
repoussé les élastiques tout au fond de la raie des fesses.
La cuisson du
derrière presque entièrement exposé, commence à se mesurer nettement à la belle
rougeur qui en envahit la surface. Satisfaite de cette entrée en matière
prometteuse, la sévère maman, après une éclatante volée d'allers et retour sur
chaque fesse décide de changer de position pour passer à la fessée déculottée.
Si tenté qu'il y ait encore de la surface à déculotter, le slip, transformé en
string, ayant pratiquement disparu entre les deux fesses. Gérôme fait son
numéro et se lamente bruyamment en attendant la suite. Sa mère n'en a cure.
« Attendez Patricia, je vais prendre Gérôme sur mes genoux
et nous allons les corriger ensemble.
– Excellente idée madame Bellebourge ! Répond la jeune
femme, ces deux grands immatures s'entendent comme larrons en foire pour ficher
la pagaille, qu'ils soient donc aussi complices sous les
punitions ! »
Elle s'est installée sur l'autre tabouret et a basculé son
frère en travers de ses cuisses après l'avoir obligé à se préparer. Les fesses
cambrées, tournées vers l'assistance, on baisse son pantalon, et on se
déculotte entièrement, le slip descendu juste en haut des cuisses. Cette
humiliante figure imposée de déculottage devient très tendance chez ces Dames
qui en font un usage gourmand. Patricia, comme toujours, se fend d’un
commentaire ironique
« Ils s'entendent tellement bien qu'ils vont même entendre
claquer leurs fesses en même temps ! »
Les deux garçons sont rapidement et sans ménagement mis en
position sans avoir le temps d'émettre une quelconques protestation. La menace
de fessées supplémentaires immédiates pour simple soupçon de rébellion, se
révèle, à la longue, très dissuasive.
Ces dames émoustillées, portent un toast au champagne à la
double fessée déculottée annoncée pour démarrer la soirée. Les maris très
discrets, n'en mènent pas large. Ils savent tous que le moindre manquement aux
règles de comportement en public, sera prétexte à déclencher une impitoyable
séance de fessées. La menace est clairement ressentie et plane au-dessus d'un
nid de fessiers serrés dans les slips.
Gérôme et Robin sont en place, pliés en deux sur les cuisses
de leur correctrice, les fesses en l'air déculottées et bien tendues, prêtes à
claquer. Celles de Gérôme renvoient déjà une belle rougeur bien répartie sur
toute la surface qui suscite la remarque d'Edwige. Elle repose sa deuxième
flûte vide sur la table en se tamponnant les lèvres avec une serviette en
papier.
« Je pense que la correction qui s'annonce n'est pas tout à
fait équitable. Si j'ai bien compris ils sont punis tous les deux pour avoir
commis la même bêtise, mais Gérôme est avantagé. Ses fesses sont mieux
préparées, il a une fessée d'avance sur Robin ! »
Patricia et madame Bellebourge se regardent en souriant d'un
air complice. Pas de concurrence entre elles, au contraire, complicité,
complémentarité, efficacité. Gladys confirme, confiante sur les capacités de sa
fille à rattraper le décalage.
« Oh ce n'est pas un problème. A la maison, nous pratiquons
souvent la méthode '' deux fessées en une''. Échauffement progressif
du derrière, slip baissé, suivi dans la foulée de la fessée proprement dite,
entièrement déculottée. Patricia fait ça très bien ! Son frère comme son
Beau-père n'aiment pas du tout mais évidemment, on ne leur demande jamais leur
avis ! »
Béatrice en maîtresse de maison et de cérémonie intervient.
« Allons mesdames, Edwige n'a pas tort, mais ces messieurs
nous donnent de si nombreux motifs de fessées que nous ne sommes pas à une
près.
– Tout à fait d'accord ! Reprend Claridge. Nous savons toutes qu'à la
fin de la soirée ils auront tous les fesses aussi rouges les uns que les
autres, quel que soit le nombre de fessées. Il n'y a que cela qui
compte ! »
Sur cette pertinente conclusion, Ma'am Thérez et Patricia
démarrent chacune leur fessée en même temps. Elles claquent les deux derrières
côte à côte dans un bel élan disciplinaire qui fait plaisir à voir et réjouit
l'assistance. Sans vraiment le rechercher, et d'avantage par volonté
d'efficacité que par esprit de compétition, le crépitement des claques et les
plaintes des punis aidant, elles se stimulent naturellement l'une et l'autre.
Gérôme selon son habitude, et aussi parce que c'est déjà sa
deuxième fessée consécutive, se lâche aussitôt en hurlant sans complexe. Robin,
malgré la force des claques, tente de se retenir en serrant les dents. Il n'a
pas envie de donner à sa sœur et à l'assistance, le plaisir de l'entendre
capituler trop vite.
Les deux fessées claquent en même temps et envahissent
immédiatement, l'espace sonore du salon. D'abord à la même cadence pendant un
moment, pour progressivement se décaler ensuite. Les deux femmes ont chacune
leur rythme de croisière. Elles ne fessent pas à la même vitesse mais, par
contre, avec une même énergie qui donne des fourmis dans les mains aux
spectatrices impatientes de s'y mettre aussi.
Edwidge commente avec sa verve habituelle.
« J'adore quand les fessées démarrent comme ça, bien
claquantes dès le début ! Ça marque tout de suite le territoire !
– Et les esprits, pour servir de leçon ! Ajoute Gladys.
Gérôme hurle.
« Oui ! Ouiiiiii ! C'est bonnnnn... on a....
Raiiiiiie ! pas si fort Ma'aaaaaam,
! On a com... pris !
Patricia fesse plus fort pour venir à bout de la résistance
de son frère qui finit par craquer et crier à l'unisson de Gérôme, le turbulent
jeune homme est au bord de la rupture de cordes vocale. Ma'am Thérez a passé la
vitesse supérieure, elle tape aussi de plus en plus fort pour couvrir les
éclats de voix de son fils. Difficile, il a du coffre et de l'entraînement.
Sévèrement corrigées, les deux paires de fesses montent en cuisson et
commencent à reluire d'une resplendissante teinte écarlate qui ravie
littéralement l'assistance féminine. Les messieurs, témoins silencieux d'un
petit échantillon de ce qui les attend, ont tendance à regarder ailleurs.
Madame Bellebouge pousse encore une pétaradante pointe de
vitesse et met fin à la correction. Gérôme écroulé sur ses genoux reprend sa
respiration. Elle lui tapote le derrière en fusion.
« Voilà une excellente fessée qui va peut-être te faire
passer l'envie de te tripoter devant des magazines licencieux... Petit
vicieux ! »
Patrica achève la raclée de Robin d'une claque magistrale au
sommet de chaque fesse.
« Ils ne comprennent que comme ça, les fesses rouges et
cuisantes... Et encore... On doit y revenir régulièrement !
– C''est vrai, c'est comme nos maris, on dirait qu'ils
aiment ça ! S'amuse Edwige,
Claridge reprend un petit four pour accompagner son
champagne.
« Pas autant que nous... Moi ça m'arrange, j'ai beau
corriger Conrad régulièrement, il n'arrête pas les âneries. Elle ajoute dans un
grand éclat de rire, Et ça tombe bien, j'adoooore lui claquer les fesses !
– Comme nous toutes ! Enchaîne Edwige avec son petit
air désinvolte. Ça occupe déjà les longues soirées d'hiver. Une bonne séance de
fessées vaut mieux qu'un mauvais film à la télé ! Stéphen n'est jamais
d'accord mais je ne lui demande pas non plus son avis ! ».
Ma'am Thérez et Patricia ont envoyé leur puni au coin, en
pénitence, les derrières gonflés de claques, solidement reculottés dans des
slips devenus beaucoup trop serrés. Mesure souvent utilisée car finalement plus
efficace à prolonger l'effet des fessées que de laisser les fesses à l'air. Les
deux compères sont invités à réfléchir aux conséquences de leur choix de
lectures. Le bruit des lourds sanglots et des reniflements a remplacé celui des
claques sur les fesses.
Béatrice attentive au confort de ses invitées se dirigent
vers les fesseuses un verre dans chaque main.
« Bravo Mesdames ! Nous avons toutes apprécié ces deux
belles fessées, que nos turbulents jeunes gens avaient bien méritées. C'est
très prometteur pour la suite de notre soirée. Vous avez peut-être besoin de
vous désaltérer après un tel déploiement d'énergie. »
Patricia prend la flûte de champagne, alors que Madame
Bellebourge remercie courtoisement en frottant la paume de sa main encore
brûlante de la fessée. A force de lui en mettre sur les fesses, Gérôme les a de
plus en plus dures.
« Très aimable,
merci, mais, si vous aviez, je préférerais un Whisky... Mes origines
écossaises, voyez-vous... Elle réfléchit, indécise. Ou bien non...tenez, un thé plutôt. Oui c'est
cela, un thé... c'est plus désaltérant. »
Béatrice ne cille pas.
« C'est comme il vous plaira madame Bellebourge. Mais
j'ai un excellent 12 ans d'âge... Celui que prennent d'habitude Gladys et
Patricia, Il n'y a pas qu'en fessée qu'elles sont connaisseuses ! »
Elle se tourne vers son fils, resté un peu à l'écart par
prudence. Très discret pendant les deux fessées, pour ne pas la tenter. Le
spectacle aurait pu l'inciter à sévir aussi sur ses fesses.
« Maxime !... Ne reste pas planté là, rends toi
utile ! Un thé, pour madame Bellebourge, !.. Et dépêche-toi s'il
te plaît ! Si tu m'obliges à répéter, c'est la fessée ! Et pas de demi-mesure,
la fessée déculottée devant tout le monde ! C'est clair ! »
Maxime redoutait particulièrement l'heure du thé, surtout en
public. C'était, pour sa mère, une multitude d’occasions supplémentaires de
sévir sous prétexte de lui apprendre les bonnes manières. Elle exigeait de lui
qu'il respecte scrupuleusement chaque étape du rituel de la préparation et du
service du thé, à l'oriental. La moindre entorse au protocole était
systématiquement sanctionnée d'une fessée jusqu'à ce que le service soit irréprochable.
Ce qui était souvent prétexte, à trois ou quatre fessées consécutives, que la
sévère maman justifiait par la nécessité de lui apprendre les règles d'un bon
service en toutes circonstances. Maxime
finissait souvent le slip sur les cuisses, les fesses chauffées au rouge, mais
sans verser une goutte à côté, ni laisser de miettes de biscuit sur la table. Parfait
exemple de l'efficacité de la méthode. Le cérémonial du thé n'avait plus de secret
pour lui. Il s'éclipse
discrètement à la cuisine pour le préparer.
Lorsqu'il
revient avec un plateau assez lourd, chargé d'une théière, pot de lait, tasses,
petites cuillères et sucre, les conversations vont bon train sur le brûlant
sujet qui revient assez souvent en débat entre ces Dames. Les différences entre
les fessées à la main ou avec instruments.
Les maris
toujours en retrait, ils ont quand même eu droit à un verre de champagne, se
gardent bien de donner leur avis. De toute façon, elles ne le leur demande pas.
Avec ou sans instruments leurs fesses reçoivent toujours ce qu'elles ont
mérité.
Concentré sur
sa tâche, agrippé à son plateau pour ne rien renverser, Maxime se fraye
difficilement un passage entre les jambes de ces Dames assises autour de la
table basse. Sa mère, un peu perverse, mais dans l'esprit de la soirée, s'amuse
à le déstabiliser pour trouver prétexte a le corriger. Robin et Gérôme se sont
déjà pris leur déculottée il convient de mettre de l'équité dans les mesures
disciplinaires.
« Fais bien attention Maxime ... la moindre erreur... C'est
la fessée, en direct du canapé ! »
Le jeune homme
ne répond pas et, très appliqué, fait le service sans trembler. Béatrice tiens
son rôle d'hôtesse prévenante vis à vis de la nouvelle venue qui vient de
s'installer sur le canapé.
« Un sucre madame Bellebourge ?
– Volontiers, merci …
– Maxime ! Un sucre pour madame Bellebourge ! »
Maxime s'exécute avec trop d'empressement. Le morceau de
sucre s'échappe de la pince et tombe dans la tasse. Quelques gouttes de thé
éclaboussent les genoux de sa mère assise juste à côté. Elle n'attendait que ça et saute évidemment
sur l'occasion.
« Et voilà ! J'en étais sûre, il n'en rate pas une !
Une paire de bas toute neuve !... Je t'avais prévenu Maxime... Tu
retourneras demain m’en racheter une autre paire chez Claridge avec les
habituelles fessées à la clé ! En attendant...tu sais ce qui t'attend ici, tout
de suite?
– Euuuh oui... Oui maman ...
– Oui ? Et quoi donc ?
– La fessée maman... la fessée !
– C'est cela oui, la fessée ! Je veux toujours te l'entendre
dire pour montrer que tu en as compris le bien fondé. »
Maxime est sur le grill et sent tous les regards fixés sur
lui. Il s'applique à répondre docilement à sa mère qui prend un malin plaisir à
lui faire la leçon en public. Surtout ne pas la contrarier davantage sinon la
fessée sera plus longue et plus sévère. Ou elle lui en mettra tout simplement
une deuxième. Il parle d'un ton neutre.
– Oui maman, j'ai
bien compris.
– Alors, baisse ton
pantalon et amène-moi tes fesses... tout de suite ! Nous allons
montrer à ces dames comme elles rougissent bien ! »
La fessée arrive au bon moment. Après une vive discussion et un échange d'arguments
contradictoires une majorité s'est dégagée en faveur de la fessée déculottée à
la main. Du moins pour la soirée en cours. Après ma'am Thérez et Patricia qui
viennent d'en faire une belle démonstration, Béatrice s'apprête à confirmer.
Elle attire son fils entre ses jambes écartées pour le mettre dos tournées vers
le public pendant qu'il descend son pantalon. Cela devient la parfaite position
pour un déculottage bien humiliant. Le buste penché en avant, il offre aux
regards des connaisseuses la vision d'un fessier largement déployé, dans un
superbe slip à fessée parfaitement ajusté. Claridge en a bien fait la promotion
et en a vendu à toute ses amies.
Edwige se trémousse d'impatience sur son tabouret.
« Aaah quelle paire mes amies ! J'adooore !!
Encore une Belle fessée en perspective ! »
Claridge se place bien en face pour ne rien perdre du
spectacle à venir.
« Pour ça mesdames, on est gâtées ce soir. Nous avons
là ce qui se fait de mieux en matière de paires de fesses à claquer !
– C'est ce qu'il nous faut et on n’y est pas pour rien... A
la hauteur des fessées qu'on leur administre ! »
Rires et frémissement de l'assistance, les bas nylon crissent
aux croisement de jambes.
Sourire aux lèvres, Béatrice met son fils en position
« Tu as de la chance, mon chéri. Dit-elle avec cynisme en le
courbant en deux sur ses cuisses découvertes.
Nos amies ont choisi la fessée à la main pour la séance de ce soir, Tu
vas donc échapper à ton habituelle fessée au martinet. Mais tes fesses ne
perdent rien pour attendre, je vais te les soigner tout autant ! »
Elle saisit l’élastique de son slip et, le déculotte en
souplesse, avec jubilation. Le jeune homme, bien dressé, se prête docilement à
la préparation de sa fessée. Maman a juste à poser sa main sur ses reins pour
qu'il les cambre de lui-même en faisant ressortir ses fesses bien arrondies,
tendues à sa disposition.
Devant une assistance, sérieusement excitée par le spectacle
des précédentes déculottées, la quatrième fessée de la soirée éclate bruyamment
entre les murs du salon. Pour corriger régulièrement son fils, Claridge connaît
par cœur la capacité d'endurance de ses fesses et le niveau de sévérité à
atteindre pour obtenir un résultat satisfaisant. Elle est en terrain conquis,
sur sa surface favorite et ne met pas longtemps à prendre la mesure du
volumineux derrière. La courbure de sa paume s'adapte si naturellement à la
rondeur charnue des deux fesses que la différence de sonorité se fait entendre
immédiatement. Plus claire, plus
brillante. Les quatre femmes apprécient la maîtrise de leur hôtesse à faire
claquer le gros derrière rougissant.
Plutôt stimulée par ce public de connaisseuses, cette dernière ne
faiblit pas et maintient la cadence en ironisant sur le déroulement de la
correction.
« Alors mon chéri... On la trouve comment sa fessée …
Hein ? Ce n'est pas le cinglant du martinet bien sûr, mais tout de même...
Le claquement de ma main sur tes fesses n'est pas mal non plus, ! En tout
cas elles claquent bien et chauffent encore mieux !
– Aaaah pour... Pour ça oui ! Je la sens ta
maiiiiiin ! Tu fais maaaaal maman !! Tu fesses déjà troooop
fort !!! S'il te plaît ! »
Béatrice, comme toujours, est totalement indifférente aux
supplications de son fils qui sollicite pourtant à chaque fois une clémence qui
n'arrive jamais.
« Continue à brailler comme ça Maxime... et je te fais
mettre une deuxième fessée par ton amie Claridge !
– Ooooh non maman ! Non !... Pitié, ça
suffit ! Pas d'autre fessée, s'il te plaît ! »
Maman s’amuse avec son fils. Tout en continuant à le fesser,
elle lance un clin d'oeil complice à Claridge qui le lui rend avec un grand
sourire.
« Mais si , voyons, mais si ! Il va falloir que tu
t'habitues aux fessées de Claridge mon chéri? C'est bon pour tes fesses qu'une
autre main que la mienne s'en occupe !
– Aaaah maman, c'est trop ! Pas encore la fessée... Celle-là
n'est même pas finie... et pas Claridge !
– Oh que si ! Elle va se faire un plaisir de t'en
mettre une tout à l'heure. Elles sont bonnes ses fessées... je suis sûre aussi
bonnes et cuisantes que les miennes. »
Claridge hilare, s'en réjouit ouvertement.
« Ah c'est certain qu'il ne va pas être déçu du séjour sur
mes genoux le chérubin ! »
Le malheureux s'avoue vaincu et s'abandonne sous la main de
sa mère qui continue à lui claquer les fesses en allers et retours de plus en
plus retentissants. Dix minutes de cuisante fessée ont suffi à faire monter à
l'écarlate la surface toute entière de son solide postérieur, pourtant habitué
à en recevoir des longues et des sévères. Maman est très généreuse sur les
déculottages et les distributions de fessées qui vont avec. C'est un peu son sport
favori...
La soirée se déroule, conformément aux attentes, dans une
ambiance chaleureuse. Très chaude même. Robin et Gérôme cuvent leur fessée au
coin, le corps encore secoué de quelques sanglots spasmodiques. Edouard, Conrad
et Stephen, les trois époux, d'une discrétion exemplaire et en délicate
position d'attente, ne se font aucune illusion sur les perspectives d'avenir de
leurs fesses.
Madame Bellebourge déguste son thé tranquillement en suivant
avec intérêt, les tressautements frénétiques du derrière de Maxime, rougissant
sous les belles claques cuisantes de la fessée administrée par sa mère.
Elle est agréablement surprise par la vigueur de la
correction et, la tasse et le petit doigt en l'air au-dessus de la soucoupe, se
penche délicatement vers Claridge assise à côté d'elle.
« Eh bien, dites donc... Moi qui pense être par moment trop
sévère avec mon Gérôme, quand je vois la fessée qu'administre madame Klakerspank
à son fils depuis dix minutes, je me dis que je pourrais taper encore plus
fort. !
– Oui Béatrice fesse fort. Et il faut ça, quand on a des
maris ou des garçons aussi indisciplinés avec des paires de fesses aussi
solides. On ne va tout de même pas se priver si on veut être efficaces. »
Gladys qui suit la conversation de l'autre côté, se penche à
son tour vers madame Bellebourge avec un sourire engageant.
« Les fessées ça a l'air de claquer sec aussi chez
vous ! Et question arrière train, vous avez de quoi faire avec Gérôme, il
en a un bien fourni aussi ! Et il sonne bien ! On vient d'entendre ça
tout à l'heure !
– C'est vrai, je n'ai pas à me plaindre ! Et si vous
saviez le nombre de fois qu'il mérite la fessée. Heureusement sa sœur, ses
tantes et se cousines, me relayent sur ses fesses sinon je n'y arriverais pas
avec lui.
– Ils sont tous pareils... Ils ne marchent qu'à la
fessée. Et c'est pour ça qu'on organise
ces soirées. Quand ils repartent avec
cinq à six déculottées aux fesses, ils se tiennent tranquilles pendant un
moment. Ça leur fait du bien et à nous aussi !
– Je veux bien le croire, répond madame Bellebourge avec un
petit sourire en coin. Et si j'ai bien compris, tel que c'est parti les
derrières ne vont pas chômer ! »
L'attention de ces Dames est brusquement ramenée sur les
fesses en feu de Maxime qui trépident sous une retentissante accélération.
Il transpire sa souffrance sous la fessée que continue à lui administrer
sa mère. Quand ce n'est pas le
frottement de ses bas nylon sur ses joues coincées entre ses cuisses pendant
les fessées au martinet, c’est son ventre et son sexe qui s'irritent sur ses
jarretelles au rythme des claquées qu'elle lui allonge en travers de ses
genoux. Dans les deux cas, ça chauffe dur aux endroits concernés. Il ne peut
retenir longtemps ses cris de douleur et se lâche complètement, impuissant à
éviter l'humiliation de la défaite devant ces dames qui n'attendent que ça.
Encore quelques rafales bien ajustées et Béatrice met fin à
son calvaire d'un superbe doublé eu milieu que chaque fesse. Elles rebondissent lourdement une dernière
fois, resplendissantes d'un rouge écarlate parfaitement réparti sur toute la
surface. Pas une marque, pas une trace de doigt, la fessée parfaite comme sait
les administrer l'expérimentée maman.
« Alors mon chéri, tu as senti comme elle a bien claqué celle-là
? s’exclame-t-elle triomphante en lui tapotant le derrière en pleine cuisson.
J'espère que tu as apprécié cette excellente fessée ! En tous cas tes
fesses en sont rouges de bonheur! »
Maxime ne réagit pas. Effondré, sur les cuisses de sa mère, bras
ballant vers le sol, il laisse échapper de faibles gémissements entrecoupés de
sanglots.
« Oooh maman... co... comment tu... tu fais pour taper si
fort... Tu es trop sévère… J'ai l'impression que mes fesses ont doublé de
volume...
– Mais ce n'est pas qu'une impression mon chéri, Elles ont
bien gonflé sous les claques... Elles sont magnifiques... je dirais même en
pleines formes... Avec un ''S''... N'est-ce pas Mesdames ? »
Elle rit, en pivotant sur elle-même pour orienter le gros
fessier flamboyant en direction de ses amies visiblement comblées. Elle croise
les jambes pour lui donner de la hauteur et bien en déployer les appétissants
volumes. Béatrice à un sens de l'esthétique prononcé.
« Et voilà le résultat ! Profitez en Mesdames... Les fesses de Maxime, rouges et cuisantes après
une déculottée de maman ! »
Gladys s'est levée pour mieux contempler le derrière
écarlate.
« Bravo ma chère, voilà un derrière parfaitement
fessé ! Un modèle du genre !
– Ah oui, belles fesses, bien claquées ! Surenchérit
Claridge. Cuisson à point, jusqu'au fond de la raie !
– On les sens chauffer d'ici... dit madame Bellebouge,
placée juste en face.
Il ne manque plus que Patricia pour y aller de son petit
commentaire sarcastique,
– C'est vrai, comme un parfum de fesses chaudes ! Ça
sent la fessée quoi !
Béatrice décroise les jambes pour faire redescendre le
postérieur enluminé. L'exposition est terminée.
« Et bien mon chéri, ton derrière remporte un vif succès
auprès de ces Dames. Je sens qu'il va faire un triomphe à la prochaine
fessée ! En attendant, vas te mettre au coin à côté de tes petits
camarades... Et... Attention... pas un mot ! »
Claridge s'est levée aussi de son siège et lisse sa jupe sur
ses fesses en prenant soin d'éliminer les faux plis. Elle l'étire jusqu'au
renfort noir de ses bas nylon. Trop courte pour descendre en dessous des
jarretelles.
« Bien après cette délicieuse entrée en matière, il est peut-être
temps de s'occuper un peu de nos maris. Le mien en ce moment est infernal, il a
un besoin urgent de fessées et j'ai bien l'intention de profiter de la soirée
pour lui refaire le plein ! Quelques bonnes fessées déculottées lui
feraient le plus grand bien...Et je vais même commencer tout de
suite! »
Elle se plante au milieu du salon, les mains sur les
hanches, son imposante poitrine en avant, et interpelle son époux d'une voix
forte pour que tout le monde en profite. Il se dégage de la plantureuse femme,
une impression de force et d'autorité qui inspire naturellement le respect. Pas
besoin d'y regarder à deux fois pour comprendre que le mari est fermement tenu
en main. Discipliné à la fessée, il a appris à lui obéir et à filer droit.
« Tu as entendu Conrad ? C'est ton tour ... Amène tes
fesses par ici ! Nous allons montrer à ces dames comment tu prends bien tes
fessées !
– Oh Claridge, non, je t'en prie, tu ne vas pas... pas ici
devant tout le monde.
– Ne commence pas à faire l'innocent Conrad... C'est la
fessée... Devant tout le monde ! Comme si tu n'étais pas habitué à te
prendre des déculottées en public !
Et qu'est-ce que c'est que ces manières, on proteste maintenant ? »
Elle se tourne vers ses amies en souriant.
« Voyez, il faut sans cesse le reprendre. Il a pourtant
eu sa fessée avant de partir tout à l'heure ! Et je vous garantis que
je lui en ai mis une sévère !
– Non, non... Ce n'est pas ce...
– Tais-toi et viens ici...immédiatement ! Et tu te
déculottes avant, pour montrer comment je t'ai dressé à venir chercher tes
fessées le pantalon sur les chevilles comme un gentil garçon obéissant !
Dépêches toi, tu as dix secondes, sinon c'est double tarif... deux fessées au
lieu d'une ! »
Et avec les dessins originaux de l'auteur;
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
Le début : chapitre 1 de la saison 1
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 20
Il y a une suite, le chapitre 22
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerDe mieux en mieux !!! Quel fesse-tival !
"spanking party". ha ha ha ha ha !!!!
Ces Dames se surpassent, chacune voulant épater ses amies.
Bonne adaptation de Mam'e Térèze dans ce petit monde.
Et en conclusion , la fessée promise à Conrad pour la prochaine fois. Bien vu, la fessée en binôme Mam'e Térèze/Patricia.
Excellent. Peut-être une de mes saynètes qui démarrera sur ce moment.
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerEt oui aucun de ces messieurs ne va y échapper. Les fessées en public sont plus stimulantes et efficaces.
je prends soin d'introduire vos personnages dans l'univers plus sophistiqué de "Ces dames..." en évitant de les dénaturer par trop de décalage de style. C'est intéressant d'en percevoir le caractère d'après vos dessins et dialogues pour les insérer dans mon récit.
Aller, fidèles lecteurs inconnus...encore un chapitre avant de passer à la saison 3.
Cordialement.
Ramina
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerEh oui, c'est tout le problème mais aussi l'intérêt des adaptations.
Mam'e Gladys est un personnage particulier, haut en couleurs. Elle tranche avec la bonhommie de Mam'e Térèze.
Question dialogue, j'évite qu'ils prennent trop de place dans la surface du dessin. Mais je suis assez bavard de ce côté-là.
Mais ne boudons pas notre plaisir. Amusons-nous. C'est le principal.
Amicalement. Peter.