samedi 6 avril 2019

Axel au supermarché - chapitre 92

Je marchais vers le rayon où je devais approvisionner le rayon des fournitures scolaires et de bureau. Madame Bourgeois me suivait de près. Je sentais ses pas derrière moi. C’était une présence imposante qui ne me permettait pas d’oublier la menace qui planait au-dessus de ma tête.
Leur pause terminée, chacune des trois fesseuses avait reculotté son puni tout en poursuivant sa conversation avec ses consœurs. Elles parlaient de nous, évoquant les prochaines fessées qu’elles pensaient avoir à nous donner. Nous étions à la fois présents, au cœur des échanges, et en même temps absents, tant notre participation aux échanges aurait semblé déplacée.
Il n’y avait pas eu de transition entre notre station en pénitence au piquet et notre retour au travail, sauf à considérer que le court moment où nous avions été reculottés, puisse en tenir lieu. Culottes, pantalon et jupes remis en place, une claque sur les fesses et nous étions repartis travailler. Cela allait bien avec la philosophie de ce type de punition. Dès qu’il y avait une raison, la punition tombait. Dès qu’elle était finie, on passait à autre chose.
Madame Bourgeois m’avait dirigé vers le lieu où mon carton m’attendait depuis maintenant un bon moment. J’étais resté sous sa surveillance pour en prendre livraison et le ramener vers le lieu où elle devait m’expliquer ce qu’elle attendait de moi.
Après avoir passé tout le temps de pause au piquet, j’avais du mal à revenir vers un espace où la vie normale continuait, comme si de rien n’était. J’avais pourtant l’impression que tous les clients que je croisais, pouvaient lire sur mon visage que je venais de prendre une fessée tellement le souvenir en était encore vivace. J’en ressentais encore les effets. Ils étaient présents, non seulement à mon esprit, mais la cuisson sur mes fesses était encore bien réelle. Pour une fessée donnée à main nue il était remarquable que vingt bonnes minutes après qu’elle ait cessé, la souffrance n’ait pas encore disparu.
Je voyais plutôt de la sympathie dans les regards des quelques collègues que je rencontrais. Leur état d’esprit vis-à-vis de moi et des fessées que je recevais, avait bien changé en seulement vingt-quatre heures. Ils se sentaient certainement beaucoup plus concernés.

Le travail à faire n’était pas très compliqué. Il s’agissait de réapprovisionner les rayons qui s’étaient vidés par les produits que je venais d’amener dans le carton. La difficulté consistait essentiellement à mettre les bons produits au bon endroit afin qu’il n’y ait pas d’erreur entre le prix affiché et le prix qui serait comptabilisé à la caisse.
« As-tu compris, questionna Madame Bourgeois ?
– Oui, Madame, je crois.
– Je préfère que tu viennes me demander si tu as un doute, plutôt que de faire n’importe quoi. C’est bien clair ?
– Oui, Madame. »
En moi-même, je me disais que je prendrai un risque que je ne pouvais mesurer, à questionner ma terrible cheffe de rayon et que je prendrai le temps nécessaire pour résoudre les problèmes que je pourrais rencontrer par moi-même avant de recourir à son aide.

Le travail me parut facile. J’avançais vite. Le carton était déjà à moitié vide. Je restais perplexe quand je retrouvais une série de stylo dont j’avais déjà mis le modèle en rayon. Dans un premier temps, je les mis de côté. J’y revins quelques minutes plus tard. En les réexaminant, j’eus un doute : était-ce vraiment les mêmes ? Je pris le temps de chercher. Ce n’était pas aussi simple que je le pensais. Il y avait de faibles différences, mais c’était des différences tout de même. Incertain sur ce qu’il fallait faire, je cherchais un collègue pour me renseigner. J’obtins ma réponse, mais j’y avais passé un temps considérable. Je devais accélérer le rythme.
Madame Bourgeois m’avait laissé une demi-heure pour achever ce travail. Ponctuelle, elle se pointa dans le rayon dont je m’occupais à l’heure dite.
« Voyons ce que tu as fait. »
La première remarque ne tarda pas.
« Comment se fait-il que tu n’as pas fini ? Tu avais largement le temps. J’espère que tu n’as pas paressé comme tu l’as fait tout à l’heure.
– Oh non Madame, je n’ai pas arrêté mais …
– Nous verrons cela. »
Elle continua son inspection et, à deux reprises, elle fronça les sourcils.
« Crois-tu que ces surligneurs ont leur place ici ? Ce n’est pas la bonne marque. Décidément, tu n’es pas du tout attentif à ce que tu fais. »
Je me voyais très mal parti. J’avais senti l’irritation de Madame Bourgeois monter. Mes fesses me semblèrent de nouveau me cuire, réminiscence de ma dernière fessée.
« Et là, tu as mélangé deux sortes de feutres qui n’ont rien à voir. Elle me mit sous le nez deux pochettes qui, une fois qu’on les avait rapprochées l’une de l’autre, semblaient avoir de notables différences. »
Elle finit par remettre en place elle-même deux produits que j’avais inversés.
« C’est du travail de souillon ! Tu ne me feras pas croire que tu as mis une once d’attention dans ce que tu avais à faire. Es-tu venu me demander ce qu’il fallait faire quand tu avais des doutes ? Je crois que tu as pris ce travail par-dessus la jambe ! C’est la deuxième fois aujourd’hui. Je vais te faire passer l’envie d’être aussi fainéant quand tu travailles sous ma responsabilité. Il n’est pas question que je laisse passer cela ! »
J’avais compris : c’était la fessée. Madame Bourgeois me plaça devant elle et elle entreprit de baisser mon pantalon. Je réalisais alors que nous étions entourés de clients dont plusieurs s’étaient arrêtés pour regarder l’altercation. Quand le bouton qui retenait mon pantalon sauta, j’entendis un murmure d’étonnement parcourir l’assemblée. Une voix juvénile souligna la situation.
« La dame elle lui baisse le pantalon ! »
Madame Bourgeois me déculottait au milieu du magasin. Je réalisais alors que c’était là, en public, que j’allais recevoir ma fessée. J’eus une seconde de révolte, tout aussi vite éteinte. L’accablement me gagna quand j’en reconnu l’inutilité. Rien ne pouvait m’épargner cette nouvelle humiliation.
Mon pantalon défait, Madame Bourgeois me courba sous son bras. Je ne tentais pas un geste pour montrer mon désaccord. Le mot « fessée » circula de bouche en bouche parmi les spectateurs. Combien d’entre eux se doutaient, à ce moment-là, que ma tenue actuelle ne convenait pas à Madame Bourgeois pour m’administrer la punition qu’elle jugeait nécessaire ?
Ils furent rapidement édifiés sur les intentions de ma cheffe de rayon.
« Je le reconnais, s’exclama une cliente, c’est le garçon qui a pris une fessée déculottée dans le hall du magasin ! C’était quand déjà ? Il y a deux jours ! »
Ceux qui n’avaient pas encore imaginé qu’en faisant leurs courses, ils pourraient assister à la correction d’un adulte les fesses nues, commençaient à se faire une idée de ce qui se préparait. Ceux qui n’y croyaient pas encore durent se rendre à l’évidence.
Madame Bourgeois baissa mon pantalon d’un geste sec. Il y eut quelques commentaires parmi les personnes qui m’entouraient. Autant que j’eus le loisir de les comprendre, aucune ne formulait une protestation à la vue de cette tenue qui aurait pu paraître indécente s’il ne s’était s’agi d’administrer une punition.
Il y eut un cri d’étonnement quand ma culotte alla rejoindre mon pantalon. Madame Bourgeois l’avait baissée d’un seul geste résolu. Il y eut alors une bulle de silence qui s’installa autour de nous. Elle tranchait avec le brouhaha de fond du magasin.
C’est dans ce calme relatif que retentit le bruit de la première fessée, suivi aussitôt par la plainte que j’émis. Même si ma fierté m’avait commandé de la retenir, je n’aurais pas pu. J’oubliais presque instantanément qu’un bon nombre de spectateurs assistaient à ma punition.
Chaque fois que la main de Madame Bourgeois me claquait les fesses, il y avait une brûlure qui, partant de la surface de ma peau, faisait son chemin en profondeur. Puis une onde de douleur partait de cet endroit enflammé et elle s’étendait en cercles concentriques pour s’emparer de toute la surface de mes fesses. J’avais l’impression que la cuisson s’étendait au haut de mes cuisses et au bas de mon dos alors qu’ils n’avaient pas subi les attentions de Madame Bourgeois.
Mes fesses furent rapidement transformées en un brasier sur lequel, à chaque fois que la main de Madame Bourgeois s’abattait, la douleur se rajoutait à celle qui l’avait précédée, alors que je croyais qu’il n’était plus possible de cuire ma peau plus longtemps, plus intensément.
J’ai dû donner tous les signes d’un petit garçon puni. Mes jambes ont dû battre dans le vide, mes hanches se tortiller en une danse qui ne permettait en aucun cas d’éviter la main qui me punissait, mes pleurs et mes cris ont dû retentir dans le magasin au point d’attirer d’autres spectateurs, mes bras ont dû se tordre de douleur, … De tout cela je ne me souviens pas.
Je n’ai pas dû me débattre suffisamment pour attirer le courroux de Madame Bourgeois, je n’ai pas dû interposer ma main pour empêcher la sienne de faire son travail, je n’ai pas dû tenter de me débarrasser de l’étreinte dans laquelle elle me tenait, … Je n’ai rien dû faire de tout cela puisque ce ne me fut pas reproché par la suite.
Lorsque Madame Bourgeois m’a redressé sur mes jambes, je pleurais encore à chaudes larmes et à gros sanglots. Je ne savais plus exactement où j’étais. J’avais l’impression d’être immergé dans une fournaise dont mes fesses étaient le centre et mon unique préoccupation.

Je laissais Madame Bourgeois me conduire par le bras sans savoir où elle me menait. C’est par habitude que je posais mon nez sur le mur au pied duquel elle m’avait placé et je ne sais pas si elle me l’a ordonné, mais j’ai croisé mes mains sur ma tête. Là, je me suis immobilisé, restant d’instinct immobile comme c’est l’usage au piquet.
Ce n’est que quelques minutes plus tard, à près avoir un peu repris mes esprits, que je me suis rendu compte que Madame Bourgeois ne m’avait fait faire que quelques pas et que j’étais toujours dans le magasin, dans un espace dégagé le long d’un mur proche du rayonnage que j’avais eu à réapprovisionner.
J’avais vaguement senti qu’on accrochait quelque chose dans mon dos. Au moment où cela s’était passé, ce n’était pas ma préoccupation. Un client derrière moi le lut tout haut.
« Puni pour avoir été paresseux »
J’étais au centre de l’attention. Certains s’arrêtaient plusieurs minutes pour observer cette scène très inhabituelle. Les commentaires dans mon dos, allaient bon train.
« Eh bien, pour une fessée, c’est une fessée ! »
« Maman, regarde, le Monsieur il a eu une fessée déculottée ! »
« Je n’aimerais pas me trouver à sa place. Quelle honte de montrer ses fesses à tout le monde ! »
« Waouh, la couleur ! Quel rouge ! Je prendrais bien une photo ! »
« Ça doit filer doux dans ce magasin. Il ne doit y avoir que peu de tire-au-flanc ! »
« Je n’aimerais pas que mon chef prenne exemple sur ce qui se passe ici ! »
« Si tous les employés paresseux étaient traités comme cela dans toutes les entreprises, l’économie de notre pays se porterait bien mieux ! »
Les spectateurs se lassaient assez vite de cette scène immobile, mais ils étaient remplacés par d’autres qui découvraient cette situation, nouvelle pour eux ne présentent plus d’intérêt. J’avais l’impression que ce flux serait sans fin. Heureusement, je n’étais pas connu dans cette ville, je disposais donc d’un relatif incognito.

Madame Bourgeois vint me délivrer. Elle me fit faire face au groupe de témoins de mon humiliation.
« Rhabille-toi ! »
Je ne me le fis pas dire deux fois, même si se reculotter sous le regard d’autant de gens n’était une chose facile.
« Tu vas rectifier les erreurs que tu as faites en mettant les fournitures scolaires en rayon. Je veux que tout soit impeccable. Ne me donne pas l’occasion de te fesser une troisième fois pour le même motif aujourd’hui. Cette correction-là, je ferai en sorte qu’elle soit la plus sévère de toutes celles que tu as reçues dans ta vie. »
Les images et les sensations de quelques-unes des fessées reçues par Sœur Gabrielle et par Tatie Nathalie me vinrent à l’esprit. Non, il ne fallait pas risquer que Madame Bourgeois s’essaye au jeu de la fessée la plus forte. Elle en avait les capacités. Il était préférable qu’elle ne les exerce pas. Je n’avais pas envie d’éprouver ce qu’elle était capable de faire avec une règle ou une ceinture entre les mains.
« Cela dit, continua Madame Bourgeois, faire preuve de paresse deux fois dans la même matinée mérite une punition exemplaire. »
Mon ventre se noua à la pensée de ce que pouvait être une punition exemplaire administrée par Madame Bourgeois.
« Je ne vais pas prendre du temps sur celui que tu dois consacrer à ton travail. Par contre, ce midi, tu passeras ta pause déjeuner au coin, avec les fesses brûlantes ! Compte sur moi ! »
Je n’avais aucun doute sur la capacité de ma cheffe de rayon à m’infliger une correction mémorable. Deux fessées ce matin et une hier, cela avait suffi pour que je sois certain qu’elle n’aurait aucun mal à tenir sa promesse. Il fallait, à tous prix, éviter de la mettre en colère encore plus qu’elle ne l’était déjà.
Je me concentrais sur mon travail, y focalisant toute mon énergie. C’est à peine si j’entendais les remarques faites par les clients, informant leurs interlocuteurs que j’étais la personne qui avait reçu une fessée déculottée au milieu du magasin. Je n’y prêtais que peu d’attention,  compris quand il s’agissait de moqueries clamées assez fort pour être entendue par tous ceux qui se tenaient à portée d’oreille.
C’est sans difficulté que je rectifiais les erreurs que j’avais commises, dans la mise en rayon des fournitures scolaires. Cela fut fait en très peu de temps. Intérieurement, je ne cessais de me traiter de semi demeuré pour n’avoir pas réussi à faire ce travail correctement du premier coup. A croire que j’avais besoin d’une bonne fessée pour être attentif à ce que je faisais.
Dans un coin de ma tête, une alarme résonnait en continu et, à chaque relâchement, les conséquences d’une étourderie m’apparaissaient clairement. Le risque évident de reprendre une autre fessée maintenait ma vigilance à un très haut degré. Je retrouvais les niveaux de concentration qui étaient les miens, quand j’apprenais mes leçons sous l’autorité de Sœur Gabrielle.
Je devais faire les mêmes constats que ceux que j’avais faits à St Marie. La crainte d’une prochaine fessée qui trouvait ses racines dans le souvenir de la dernière que j’avais reçue, m’obligeait à faire les efforts nécessaires pour répondre aux exigences de Madame Bourgeois qui me paraissaient raisonnables. Je me sentais fautif de ne pas avoir été assez assidu au travail qui m’avait été donné, mais ça, c’était l’histoire de toute ma vie.
Je ne ressentais pas plus de ressentiment ou de colère envers Madame Bourgeois que j’en éprouvais à l’égard des autres personnes qui m’avaient fessé. Ce n’était pas, non plus de la reconnaissance comme celle que je ressentais envers Sœur Gabrielle ou Tatie Nathalie. Toutes deux me donnaient bien plus que de sévères, mais justes fessées. Elles avaient construit un cadre dans lequel je me sentais en sécurité. Alternant corrections et moments de tendresse, elles représentaient un repère stable dont j’avais profondément besoin. Je savais que c’était mon bien qui les guidait dans toutes les décisions qu’elle prenait à mon égard.
Sous leur tutelle, j’avais intégré que je devais obéissance à toutes les personnes qui avaient autorité sur moi. Il n’était pas contestable qu’en recommandant de me fesser, Tatie Nathalie avait transmis cette autorité à la direction du supermarché. Il était donc tout à fait légitime que Madame André, Madame Bourgeois et toutes les personnes de l’encadrement aient la responsabilité de me punir quand je l’avais mérité. Madame Bourgeois avait exercé ce droit à bon escient. Je n’avais rien à y redire, sauf à remettre en cause le cadre qui m’entourait depuis mon arrivée à St Marie. Je ne le souhaitais pas.

La fin de la matinée passa sans que je m’en aperçusse. Madame Bourgeois me donnait une nouvelle tâche à faire à peine la précédente était-elle arrivée à son terme. Je réussis à me pas faire fléchir mon attention à mon travail, ce qui m’évita de nouvelles erreurs et les fessées qui les auraient immanquablement sanctionnées.
« Je vais déjeuner. Tu viens avec moi. »
Je suivis Madame Bourgeois. Je sentais des picotements sur mes fesses et ma gorge était devenue subitement sèche, au point que je n’arrivais plus à déglutir. Madame Bourgeois m’avait promis une fessée et je ne fondais aucun espoir dans un oubli de sa part.
Madame Bourgeois me fit entrer dans la salle de restauration devant elle. Au passage, elle me dona une claque sur les fesses pour me faire avancer plus vite. La porte ouverte laissa passer le bruit caractéristique d’une fessée en cours. Florence était allongée à plat-ventre sur les genoux de Geneviève. Ses fesses dénudées était colorées d’un rouge soutenu que la main de Geneviève d’employait à renforcer. Elle s’interrompit à notre arrivée.
« Vous vous êtes mise à l’ouvrage sans tarder, remarqua ma cheffe de rayon.
– Avec cette petite peste, c’est négligence sur négligence. Trois déculottées dans la matinée, vous rendez-vous compte ? Je lui ai promis qu’elle se lasserait de recevoir la fessée avant que moi je sois fatiguée de la lui donner. Je crois que l’ensemble de ses étourderies de ce matin valent bien de passer le temps du repas au piquet avec les fesses correctement rougies. Je lui ai donné un quart d’heure pour manger, maintenant c’est la fessée et je vais la mettre le nez contre le mur à nous montrer ses fesses pendant que nous mangeons. »
Geneviève prenait les attitudes qu’aurait adoptées une Maman se plaignant des frasques de sa progénitures, mais désirant montrer, à son entourage, qu’elle ne faiblissait pas dans le maintien d’une discipline de fer. Ses récriminations ne l’auraient, en aucun cas, amenée à renoncer à son rôle. Elle tenait à aller jusqu’au bout de l’éducation qu’elle pourrait donne à sa protégée.
« J’en ai autant avec mon garnement, dit Madame Bourgeois en me désignant. Je n’ai eu que deux fessées à lui donner, mais je trouve que cela mérite également une bonne punition pour clore cette matinée d’inattentions. Je compte sur les effets d’une bonne fessée pour qu’il travaille mieux cet après-midi. »
Si j’avais eu l’espoir que cela infléchisse la résolution de Madame Bourgeois, j’aurais bien fait valoir que les corrections de ce matin avaient déjà eu cet effet. Je me tins coi, de peur qu’une intervention non autorisée dans la conversation passe pour de l’insolence.
« Je vais procéder comme vous l’avez fait : un quart d’heure pour manger, une bonne fessée et le reste du temps au piquet. C’est exactement le programme qu’il lui faut. »
Je me suis retrouvé avec mon assiette sous le nez et quinze minutes pour l’avaler pendant que Geneviève achevait de fesser Florence. J’avais sous les yeux ce qui m’attendait, ce qui ne me donnait pas un appétit d’ogre.
« Il ne te reste plus que dix minutes pour finir ton assiette. Si elle n’est pas vide à ce moment-là, c’est moi qui te ferais manger ce qu’il restera, mais tu seras alors bon pour une autre fessée ! »
Cet encouragement m’incita à avaler au plus vite mon déjeuner. Florence gagna le piquet pendant que je prenais la dernière bouchée. Elle mit son nez contre le mur et posa ses mains sur sa tête.
« Non, non, ma chérie, l’interpella Geneviève, je préfère que tu relèves ta jupe pour montrer tes fesses à toute l’assemblée. Chacun doit pouvoir constater que tu as été correctement fessée. Relève ta jupe bien haut au-dessus de tes fesses pour les dégager et croise tes bras dans ton dos pour la maintenir en position ! »
Florence adopta la position qu’exigeait Geneviève. Le rouge de ses fesses était ainsi mis en évidence. Il contrastait avec le blanc qui recouvrait le mur.


Pour suivre le fil de cette histoire :

Comprendre le contexte : l'introduction
Le premier épisode : chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 91

Le prochain épisode c'est le chapitre 93

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4 commentaires:

  1. Bonjour,
    C'est la fête! Le 14 juillet de la déculottée avec feu d'artifice sur les postérieurs des étourdis ou des nonchalants au travail.
    Le super marché de la fessée! Plus besoin d'animateur pour attirer le client. Démonstration publique de fessées déculottées par la cheffe de rayon, aux fruits et légumes. Promotion synchrone sur les tomates!

    Le festival de fessées continue. Axel se mélange les crayons, et Madame Bourgeois à la manoeuvre se charge avec enthousiasme de lui remettre le derrière d'équerre.
    Geneviève dure à l'ouvrage, déculotte et fesse à tour de bras... Florence, en surrégime, bénéficie d'une promotion sur les corrections et s'en prend trois d'affilée pour le prix d'une dans la même matinée. Prime de rendement pour la fesseuse.
    Démonstration gratuite en tête de gondole. Les punis encaisseront devant les caisses sur présentation du ticket de fessée. A l'arrière train où ça va, il faudra bientôt prendre rendez-vous ou réserver sa place sur les genoux.
    L'industrie du cuir redevient florissante avec le retour du martinet et les ventes de pommades adoucissantes grimpent en flèche...
    JlG vient trouver la solution pour relancer l'économie de supermarché!
    On dit merci qui ?
    Cordialement
    Ramina

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  2. Re...
    Commentaire du commentaire.
    Respectons à la lettre les consignes sur le mode d'emploi du commentaire, pour que ça dure... Un usage immmmmmodéré! (Rires)
    Ramina

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    Réponses
    1. Ramina,
      Nul ne peut prétendre que vous faites un usage modéré des commentaires. Ce n'est pas moi qui m'en plaindrais.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  3. JLG
    Effectivement, je consomme sans modération! Avec gourmandise.
    Ramina

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