vendredi 19 avril 2019

Consultation es fessée - Noémie - Des nouvelles fraîches

Noémie fait une troisième appel au Docteur Legendre. La fessée est maintenant bien installé dans le cadre domestique, mais pour combien de temps ?
Pour des raisons que vous comprendrez aisément, secret médical oblige, les détails trop personnels (noms de famille, lieu, prénoms parfois...) qui permettraient d'identifier les patients, ont été modifiés ou anonymisés.

À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Mercredi 3 avril 2019 21:21:47
Objet: Des nouvelles récentes

Docteur Legendre,
Je profite de ce moment de calme pour vous donner des nouvelles. Je viens de mettre mes deux garnements au lit. Ils dorment comme des anges qu’ils ne sont pas vraiment, mais cela ne m’empêche pas de les adorer.
Nous avons pris nos habitudes tous les trois ensembles. C***** ne va pratiquement plus chez elle. Elle vit ici maintenant. Je préfère l’avoir sous les yeux, il y a tant de choses à contrôler dans ses habitudes ! Une véritable gamine capricieuse ! Mais la fessée met bon ordre à tout cela.

Cela fait un peu plus d’un mois que nous cohabitons et nous avons pris notre rythme. Cela me semble parfois étrange de me retrouver à devoir jouer le rôle de Maman auprès de ces deux grands enfants, mais je sais qu’ils en ont besoin. J’ai mis en place des règles strictes qu’ils doivent respecter sans discuter et la fessée, le plus souvent déculottée, sanctionne tout écart.
Je vois bien, à leur comportement, qu’ils n’aiment pas ces moments, particulièrement quand je leur baisse la culotte alors que l’autre est présent. Cela fait pourtant partie du rituel familial d’être grondé avant de recevoir sa correction, mais toujours après avoir été déculotté. J'ai remarqué qu'une fois que je les ai mis dans cette tenue, j'obtiens une meilleure écoute de leur part. Je tiens à ce que la fessée soit donnée aussi vite que possible après une bêtise, je ne tiens donc pas compte de la présence de l’autre. Et puis, je trouve que la fessée de l’un à laquelle l’autre assiste, lui sert aussi d’avertissement. Je fais d’une pierre deux coups ou plutôt d’une fessée deux leçons.

J’ai été surprise de constater qu’ils ont maintenant moins de réticence à se trouver dénudés l’un devant l’autre pendant que je leur donne leur bain. Je les mets pourtant ensemble dans la baignoire, c’est plus pratique pour moi et nous gagnons tous du temps. Bien sûr, j’ai dû faire preuve de fermeté les premiers jours et cela leur a valu, à tous les deux, quelques bonnes fessées et de longs moments passés au coin.
Je surprends encore quelques regards inquiets jetés à l’autre quand je les déshabille ou quand je lave leur entrejambe, mais ils me laissent faire sans problème ou presque. Je les sens, l’un comme l’autre se contracter quand j’en arrive à leur toilette intime. Bien qu’ils se comportent le plus souvent comme des enfants, leur pudeur d’adulte n’a pas disparue. Je n’en tiens pas compte, mais cela leur demande un effort visible. Ils doivent contrôler leurs réactions instinctives. Je pense que la certitude de prendre une fessée au cas où ils feraient des difficultés n’y est pas pour rien.

Je suis certaine, par contre, qu’ils adorent les moments de câlin, quand je les prends sur mes genoux, que ce soit quand ils viennent me demander pardon après une bêtise ou simplement quand ils sont un peu fatigués. Je dois avouer que, moi aussi, je goûte à leur juste valeur ces instants de tendresse et de calme.
Bizarrement, dans ces temps-là, même quand on voit leurs fesses comme c’est toujours le cas après une fessée, leur nudité ne les gêne pas. Ils se laissent aller dans mes bras sans aucune réticence, même quand, en présence de l’autre, ma main caresse leurs fesses nues.


Je les ai maintenus sous une stricte chasteté pendant un mois. Ils ont porté, l’une sa ceinture et l’autre sa cage 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 durant exactement 30 jours. Je ne les leur enlevais que pour le bain du matin. Aucun des deux n’a protesté contre ce traitement. Je ne l’aurais pas admis et ils le savaient bien. Ils ont subi leur punition sans discuter et sans me demander de l’assouplir à aucun moment.
Le 25 février au soir, j’ai enlevé sa cage de chasteté à Jean-Claude et nous avons fait l’amour pour la première fois depuis un mois. J’ai retrouvé un compagnon timide hésitant, me laissant l’initiative. Je crois que ce moment nous a contentés tous les deux.
Il a un peu renâclé, le lendemain matin après le bain, quand je lui ai remis la cage. Il m’a dit qu’il avait été sage et qu’il n’avait pas fait de bêtise pour être de nouveau puni. J’ai dû lui expliquer que la punition n’était pas de porter la cage, mais de ne pas avoir le droit d’avoir une activité sexuelle. Il a eu l’air estomaqué quand il a compris que porter une cage serait désormais son quotidien durant la journée quand il ne sera pas en ma présence. « Une mesure de prévention » lui ai-je dit. Deux bonnes claques sur les fesses ont fait taire ses récriminations. Il a compris que ma décision était ferme et qu’il n’avait pas le choix.
Je la lui enlève le soir quand il rentre à la maison, mais je la lui remets tous les matins. Le week-end, quand il est sous ma surveillance, je l’en dispense. Dès qu’il doit s’éloigner de moi, je lui remets la cage. Nous faisons de nouveau régulièrement l’amour

C***** était présente quand j’ai expliqué à Jean-Claude quel serait le régime auquel il serait désormais soumis. Elle n’a pas fait de commentaire, mais j’ai bien vu que ma décision ne lui plaisait pas. Elle pensait qu’elle serait probablement soumise au même régime et elle avait raison. Je m’attendais à devoir faire preuve d’autorité. J’avais vu juste.
Le 22 mars au soir, je lui ai enlevé sa ceinture de chasteté et je ne la lui ai pas remise pour aller se coucher. J’avais senti que, depuis quelques jours auparavant, quelque chose la turlupinait. Je l’avais interrogée, mais elle n’avait rien voulu dire.
Ce soir-là, dès qu’elle s’est retrouvée sans ceinture, elle m’a demandé si elle devait retourner dormir chez elle. Je lui ai dit qu’elle pouvait continuer à vivre ici, un peu comme si elle était ma grande fille, mais quelle que soit sa décision, je lui donnerai la fessée quand j’estimerai qu’elle la mériterait. Elle a grimacé, mais n’a pas fait de commentaire. Je lui ai demandé ce qu’elle préférait. Elle a décidé de rester et elle a eu l’air soulagée quand je lui ai dit que je préférais également. Elle a ensuite passé un long moment sur mes genoux à se faire câliner. Je dois avouer que ces moments-là me consolent de tous ceux où je dois faire preuve de sévérité.
Le soir-même, elle a compris que de ne plus porter sa ceinture ne changeait rien à la discipline à laquelle elle était soumise. Je l’avais mise au lit depuis un bon moment quand j’ai entendu des gémissements et des cris sourds qui venaient de sa chambre. J’ai surpris la demoiselle en pleine séance de masturbation. C’est ce qui provoquait tout ce tintamarre.
Je l’ai sortie du lit tout en lui expliquant que je n’ai rien contre le fait qu’elle joue avec son clitoris, mais que cela ne pouvait pas se faire quand il était l’heure de dormir et encore moins en faisant autant de bruit. Elle a reçu une fessée et je l’ai recouchée. Je ne l’ai plus entendue après.
Le lendemain a été encore plus compliqué. Elle a refusé que je lui remette sa ceinture pour aller travailler. Elle a physiquement tenté de m’en empêcher. Je crois qu’elle a pris la plus grosse fessée que je n’avais jamais donnée. Il y avait des marques rouges de la ceinture sur ses fesses quand j’en ai eu fini avec elle, mais elle portait sa ceinture de chasteté quand elle est sortie de la maison. Je l’ai punie de sa résistance à mes ordres. Elle a dû la garder une semaine de plus.
Maintenant, je la lui enlève et je la lui remets sans qu’elle fasse trop d’histoire. Elle est soumise au même règles que Jean-Claude. Elle obéit, mais seulement parce qu’elle n’a pas le choix. C’est dans ces moments où je suis contente d’avoir définitivement installé mon autorité sur elle. Ça aide !

Ah, je crois qu’il y a quelques lueurs que j’aperçois sous la porte de la chambre de Jean-Claude. Je ne sais pas ce qu’il fait. Je crois que je vais devoir faire preuve d’autorité.
Je vous laisse pour aller voir ce qui se passe. Je vous recontacterai.

N*****



À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Mercredi 3 avril 2019 21:53:18
Objet: Tr : Des nouvelles récentes

Je reprends mon courriel. Je m’aperçois que je ne vous ai pas posé la question qui m’a amenée à reprendre contact avec vous.
Je viens de régler, avec Jean-Claude, une petite entorse aux règles que j’impose à mes deux grands enfants. Je vais vous faire état de ce qui s’est passé, ce sera une bonne illustration pour que vous compreniez bien mon questionnement.

Quand je suis arrivée, sur la pointe des pieds, dans la chambre dans laquelle était censé dormir Jean-Claude, il était enfoui sous la couette, mais il était clair qu’il ne dormait pas. Je me suis approchée sans qu’il m’entende. Cela ne risquait pas, vous allez comprendre pourquoi.
Il y avait quelques éclairs de lumière qui étaient à peine visibles à travers le tissu qui recouvrait Jean-Claude. Je me suis douté de ce qui se passait. Il m’a suffi de rabattre la couette sur ses pieds pour voir ce qu’il faisait. Dissimulé sous la couette, des écouteurs sur les oreilles, il était absorbé par le match de foot qu’il regardait sur son téléphone portable.
Mettre le téléphone dans ma poche, sortir Jean-Claude du lit, baisser son pantalon de pyjama, l’allonger sur mes genoux, lui flanquer une bonne fessée, le remettre au lit, Tout cela n’a pas pris plus de 5 minutes. Il s’est spontanément couché à plat ventre. La rougeur de ses fesses devait rendre toute autre position inconfortable. Il sanglotait dans son oreiller et il m’a demandé pardon. Je suis restée un peu auprès de lui et il s’est endormi tout de suite ou presque. C’est étonnant comment une bonne fessée aide à s’endormir. Je ne sais pas si vous l’avez déjà constaté.

Ce que je viens de vous décrire est une très bonne illustration de ce qui se passe régulièrement, soit avec Jean-Claude comme ce soir, soit avec C*****. Ils reçoivent la fessée l’une et l’autre pour des désobéissances, des caprices ou des comportements inadmissibles. Cela leur arrive plusieurs fois par semaine : deux, trois ou quatre fois, exceptionnellement plus. J’ai parfois recours à la brosse pour en augmenter la rigueur quand c’est nécessaire.
J’estime être sévère, mais juste. Pas une fois, ils se sont plaints d’avoir été punis alors qu’ils ne le méritaient pas, j’y suis très attentive. Ils ne semblent pas m’en vouloir, même quand la fessée a été mémorable. Après une punition, ils recherchent mon réconfort.

Je me demande tout de même si la situation domestique dans laquelle je les ai placés est durable. Connaissez-vous d’autres cas qui auraient une ancienneté bien plus grande que la mienne dans ce genre de régime disciplinaire ? Croyez-vous que je sois trop exigeante avec eux ?

J’espère votre réponse.
N*****



De : jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé : Vendredi 5 avril 2019 19:04:19
Objet: Re :Tr : Des nouvelles récentes

N*****
Je suis ravie d’avoir de vos nouvelles.
Vous semblez avoir fait évoluer votre situation domestique dans le bon sens depuis la dernière fois que nous avons échangé des courriels. Jean-Claude et C***** sont en de bonnes mains, les vôtres. Venons-en à votre question.

Oui, je connais des situations où la fessée, parfois sévère, est la règle entre deux adultes. Je suis en correspondance avec certains adultes qui sont soumis à ce régime depuis plusieurs années. Ce qu’ils me confient est assez révélateur.
Ils n’aiment pas recevoir la fessée, encore moins quand on a dû leur baisser la culotte pour ce faire. La plupart me disent que s’il pouvait l’éviter, ils le feraient sans hésiter. Mais ils reconnaissent tous, sans exception, que cela les aide à rester dans le droit chemin et pas un ne conteste le droit de l’autre à user de cette méthode. En général, ils n’envisagent pas de prendre des initiatives pour mettre fin au régime de punition qu'ils subissent.
Pour certains, cela dure depuis de nombreuses années. Un peu plus de quinze ans par la même personne pour un Monsieur qui correspond souvent avec moi. C’est celui qui est soumis à régime disciplinaire stricte depuis le plus longtemps. Vous voyez, avec vos deux mois, vous faites figure de débutante.
Les adultes qui se comportent comme des enfants ont besoin auprès d’eux d’adultes qui se comportent comme des adultes. C’est une source de stabilité dont ils ont vitalement besoin. Une fessée, donnée au bon moment, par une personne dont ils reconnaissent la légitimité est un repère dont ils pourraient difficilement se passer.

Je crois que vous avez trouvé de vous-même les paramètres qui permettront que cela dure.
En tout premier lieu, l’à-propos de la fessée. S’il s’agit d’une punition, elle ne peut être donnée que quand elle est méritée, mais tout écart doit être sanctionné. Vous y êtes très attentive, c’est indispensable.
Ensuite, les temps où, dans vos bras, vous leur réaffirmez votre attention et votre amour (je ne sais pas si ce terme est bien approprié pour C*****) à leur égard. Ils doivent être certains, au fond d’eux, que vous agissez au nom de leur intérêt, pour leur bien. Ils auront toujours besoin que vous le leur rappeliez, pas tellement en paroles, mais plutôt en actes. Les câlins sur vos genoux, comme vous les appelez, déconnectés de toute connotation sexuelle, sont donc les bienvenus.

Quant au niveau de sévérité, je crois qu’il faut que vous soyez à l’observation de vos pupilles et à leur écoute. Ils doivent avoir peur de la fessée, mais pas de vous. C’est un équilibre subtil à maintenir.
S’ils ont confiance en vous et si vous êtes attentive à leurs réactions, ils sauront vous faire savoir quand quelque chose les inquiète ou quand ils ne trouvent plus leur compte dans la situation. Un peu comme C***** l’a fait quand elle est arrivée au bout du mois d’abstinence sexuelle et qu’elle craignait de ne plus être admise dans votre intimité. Vous avez su le repérer. Il faut continuer dans cette voie.
Tant qu’ils viennent vers vous sans réticence, je ne parle pas évidemment des moments où une fessée est imminente, c’est qu’ils admettent votre légitimité à exercer un tutorat sur leur vie. Les fessées en sont un moment dont, certainement, ils se passeraient bien, mais elles ont indispensables. Soyez certaine qu’ils en ont besoin et qu’ils vous sont reconnaissants de passer de votre temps et de votre énergie à la leur administrer.
En ce qui concerne le niveau de sévérité, c’est à vous de le déterminer. Soyez juste et équitable entre vos deux garnements. Prenez le temps d’expliquer le pourquoi de la punition et de sa sévérité. Tout cela leur sera profitable.
N’hésitez pas à revenir vers moi dès que vous en éprouverez le besoin.

Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie



À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Samedi 6 avril 2019 10:37:22
Objet: Re :Re :Tr : Des nouvelles récentes

Bonjour Docteur,
Je vous remercie de votre retour. Je vais suivre vos conseils. Jusqu’à maintenant ils ont été avisés et je n'ai pas eu à le regretter, je ne vois aucune raison que cela change.
Je vous tiendrai au courant. Encore merci.

N*****


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