Noémie fait une troisième appel au Docteur Legendre. La fessée est maintenant bien installé dans le cadre domestique, mais pour combien de temps ?
Pour des raisons que vous comprendrez aisément, secret médical oblige, les détails trop personnels (noms de famille, lieu, prénoms parfois...) qui permettraient d'identifier les patients, ont été modifiés ou anonymisés.
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Mercredi 3 avril 2019 21:21:47
Objet: Des nouvelles récentes
Docteur Legendre,
Je profite de ce
moment de calme pour vous donner des nouvelles. Je viens de mettre mes deux
garnements au lit. Ils dorment comme des anges qu’ils ne sont pas vraiment,
mais cela ne m’empêche pas de les adorer.
Nous avons pris nos
habitudes tous les trois ensembles. C***** ne va pratiquement plus chez elle.
Elle vit ici maintenant. Je préfère l’avoir sous les yeux, il y a tant de
choses à contrôler dans ses habitudes ! Une véritable gamine
capricieuse ! Mais la fessée met bon ordre à tout cela.
Cela fait un peu plus
d’un mois que nous cohabitons et nous avons pris notre rythme. Cela me semble
parfois étrange de me retrouver à devoir jouer le rôle de Maman auprès de ces
deux grands enfants, mais je sais qu’ils en ont besoin. J’ai mis en place des
règles strictes qu’ils doivent respecter sans discuter et la fessée, le plus
souvent déculottée, sanctionne tout écart.
Je vois bien, à leur
comportement, qu’ils n’aiment pas ces moments, particulièrement quand je leur baisse
la culotte alors que l’autre est présent. Cela fait pourtant partie du rituel
familial d’être grondé avant de recevoir sa correction, mais toujours après avoir été
déculotté. J'ai remarqué qu'une fois que je les ai mis dans cette tenue, j'obtiens une meilleure écoute de leur part. Je tiens à ce que la fessée soit donnée aussi vite que possible
après une bêtise, je ne tiens donc pas compte de la présence de l’autre. Et
puis, je trouve que la fessée de l’un à laquelle l’autre assiste, lui sert
aussi d’avertissement. Je fais d’une pierre deux coups ou plutôt d’une fessée
deux leçons.
J’ai été surprise de
constater qu’ils ont maintenant moins de réticence à se trouver dénudés l’un
devant l’autre pendant que je leur donne leur bain. Je les mets pourtant
ensemble dans la baignoire, c’est plus pratique pour moi et nous gagnons tous
du temps. Bien sûr, j’ai dû faire preuve de fermeté les premiers jours et cela
leur a valu, à tous les deux, quelques bonnes fessées et de longs moments
passés au coin.
Je surprends encore
quelques regards inquiets jetés à l’autre quand je les déshabille ou quand je
lave leur entrejambe, mais ils me laissent faire sans problème ou presque. Je
les sens, l’un comme l’autre se contracter quand j’en arrive à leur toilette
intime. Bien qu’ils se comportent le plus souvent comme des enfants, leur
pudeur d’adulte n’a pas disparue. Je n’en tiens pas compte, mais cela leur
demande un effort visible. Ils doivent contrôler leurs réactions instinctives.
Je pense que la certitude de prendre une fessée au cas où ils feraient des
difficultés n’y est pas pour rien.
Je suis certaine, par
contre, qu’ils adorent les moments de câlin, quand je les prends sur mes
genoux, que ce soit quand ils viennent me demander pardon après une bêtise ou
simplement quand ils sont un peu fatigués. Je dois avouer que, moi aussi, je
goûte à leur juste valeur ces instants de tendresse et de calme.
Bizarrement, dans ces
temps-là, même quand on voit leurs fesses comme c’est toujours le cas après une
fessée, leur nudité ne les gêne pas. Ils se laissent aller dans mes bras sans
aucune réticence, même quand, en présence de l’autre, ma main caresse leurs
fesses nues.
Je les ai maintenus
sous une stricte chasteté pendant un mois. Ils ont porté, l’une sa ceinture et
l’autre sa cage 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 durant exactement 30 jours.
Je ne les leur enlevais que pour le bain du matin. Aucun des deux n’a protesté
contre ce traitement. Je ne l’aurais pas admis et ils le savaient bien. Ils ont
subi leur punition sans discuter et sans me demander de l’assouplir à aucun
moment.
Le 25 février au
soir, j’ai enlevé sa cage de chasteté à Jean-Claude et nous avons fait l’amour
pour la première fois depuis un mois. J’ai retrouvé un compagnon timide
hésitant, me laissant l’initiative. Je crois que ce moment nous a contentés tous
les deux.
Il a un peu renâclé,
le lendemain matin après le bain, quand je lui ai remis la cage. Il m’a dit qu’il
avait été sage et qu’il n’avait pas fait de bêtise pour être de nouveau puni. J’ai
dû lui expliquer que la punition n’était pas de porter la cage, mais de ne pas
avoir le droit d’avoir une activité sexuelle. Il a eu l’air estomaqué quand il
a compris que porter une cage serait désormais son quotidien durant la journée quand il
ne sera pas en ma présence. « Une mesure de prévention » lui ai-je
dit. Deux bonnes claques sur les fesses ont fait taire ses récriminations. Il a
compris que ma décision était ferme et qu’il n’avait pas le choix.
Je la lui enlève le
soir quand il rentre à la maison, mais je la lui remets tous les matins. Le
week-end, quand il est sous ma surveillance, je l’en dispense. Dès qu’il doit
s’éloigner de moi, je lui remets la cage. Nous faisons de nouveau régulièrement
l’amour
C***** était présente
quand j’ai expliqué à Jean-Claude quel serait le régime auquel il serait
désormais soumis. Elle n’a pas fait de commentaire, mais j’ai bien vu que ma
décision ne lui plaisait pas. Elle pensait qu’elle serait probablement soumise au même
régime et elle avait raison. Je m’attendais à devoir faire preuve d’autorité.
J’avais vu juste.
Le 22 mars au soir,
je lui ai enlevé sa ceinture de chasteté et je ne la lui ai pas remise pour
aller se coucher. J’avais senti que, depuis quelques jours auparavant, quelque
chose la turlupinait. Je l’avais interrogée, mais elle n’avait rien voulu dire.
Ce soir-là, dès qu’elle
s’est retrouvée sans ceinture, elle m’a demandé si elle devait retourner dormir
chez elle. Je lui ai dit qu’elle pouvait continuer à vivre ici, un peu comme si
elle était ma grande fille, mais quelle que soit sa décision, je lui donnerai
la fessée quand j’estimerai qu’elle la mériterait. Elle a grimacé, mais n’a pas
fait de commentaire. Je lui ai demandé ce qu’elle préférait. Elle a décidé de
rester et elle a eu l’air soulagée quand je lui ai dit que je préférais
également. Elle a ensuite passé un long moment sur mes genoux à se faire
câliner. Je dois avouer que ces moments-là me consolent de tous ceux où je dois
faire preuve de sévérité.
Le soir-même, elle a
compris que de ne plus porter sa ceinture ne changeait rien à la discipline à
laquelle elle était soumise. Je l’avais mise au lit depuis un bon moment quand
j’ai entendu des gémissements et des cris sourds qui venaient de sa chambre.
J’ai surpris la demoiselle en pleine séance de masturbation. C’est ce qui
provoquait tout ce tintamarre.
Je l’ai sortie du lit
tout en lui expliquant que je n’ai rien contre le fait qu’elle joue avec son
clitoris, mais que cela ne pouvait pas se faire quand il était l’heure de
dormir et encore moins en faisant autant de bruit. Elle a reçu une fessée et je
l’ai recouchée. Je ne l’ai plus entendue après.
Le lendemain a été
encore plus compliqué. Elle a refusé que je lui remette sa ceinture pour aller
travailler. Elle a physiquement tenté de m’en empêcher. Je crois qu’elle a pris
la plus grosse fessée que je n’avais jamais donnée. Il y avait des marques
rouges de la ceinture sur ses fesses quand j’en ai eu fini avec elle, mais elle
portait sa ceinture de chasteté quand elle est sortie de la maison. Je l’ai
punie de sa résistance à mes ordres. Elle a dû la garder une semaine de plus.
Maintenant, je la lui
enlève et je la lui remets sans qu’elle fasse trop d’histoire. Elle est soumise
au même règles que Jean-Claude. Elle obéit, mais seulement parce qu’elle n’a
pas le choix. C’est dans ces moments où je suis contente d’avoir définitivement
installé mon autorité sur elle. Ça aide !
Ah, je crois qu’il y
a quelques lueurs que j’aperçois sous la porte de la chambre de Jean-Claude. Je
ne sais pas ce qu’il fait. Je crois que je vais devoir faire preuve d’autorité.
Je vous laisse pour
aller voir ce qui se passe. Je vous recontacterai.
N*****
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Mercredi 3 avril 2019 21:53:18
Objet: Tr : Des nouvelles récentes
Je reprends mon
courriel. Je m’aperçois que je ne vous ai pas posé la question qui m’a amenée à
reprendre contact avec vous.
Je viens de régler, avec Jean-Claude, une petite entorse aux règles que j’impose à mes deux grands enfants. Je vais
vous faire état de ce qui s’est passé, ce sera une bonne illustration pour que
vous compreniez bien mon questionnement.
Quand je suis arrivée, sur la pointe des pieds, dans la chambre dans laquelle était censé dormir Jean-Claude, il était enfoui sous la
couette, mais il était clair qu’il ne dormait pas. Je me suis approchée sans
qu’il m’entende. Cela ne risquait pas, vous allez comprendre pourquoi.
Il y avait quelques éclairs de lumière qui étaient à peine visibles à travers le tissu qui
recouvrait Jean-Claude. Je me suis douté de ce qui se passait. Il m’a suffi de
rabattre la couette sur ses pieds pour voir ce qu’il faisait. Dissimulé sous la
couette, des écouteurs sur les oreilles, il était absorbé par le match de foot
qu’il regardait sur son téléphone portable.
Mettre le téléphone
dans ma poche, sortir Jean-Claude du lit, baisser son pantalon de pyjama,
l’allonger sur mes genoux, lui flanquer une bonne fessée, le remettre au lit,
Tout cela n’a pas pris plus de 5 minutes. Il s’est spontanément couché à plat
ventre. La rougeur de ses fesses devait rendre toute autre position
inconfortable. Il sanglotait dans son oreiller et il m’a demandé pardon. Je
suis restée un peu auprès de lui et il s’est endormi tout de suite ou presque.
C’est étonnant comment une bonne fessée aide à s’endormir. Je ne sais pas si
vous l’avez déjà constaté.
Ce que je viens de vous décrire est une très bonne illustration de ce qui se passe régulièrement, soit
avec Jean-Claude comme ce soir, soit avec C*****. Ils reçoivent la fessée l’une
et l’autre pour des désobéissances, des caprices ou des comportements
inadmissibles. Cela leur arrive plusieurs fois par semaine : deux, trois
ou quatre fois, exceptionnellement plus. J’ai parfois recours à la brosse pour
en augmenter la rigueur quand c’est nécessaire.
J’estime être sévère,
mais juste. Pas une fois, ils se sont plaints d’avoir été punis alors qu’ils ne
le méritaient pas, j’y suis très attentive. Ils ne semblent pas m’en vouloir,
même quand la fessée a été mémorable. Après une punition, ils recherchent mon
réconfort.
Je me demande tout de
même si la situation domestique dans laquelle je les ai placés est durable.
Connaissez-vous d’autres cas qui auraient une ancienneté bien plus grande que
la mienne dans ce genre de régime disciplinaire ? Croyez-vous que je sois
trop exigeante avec eux ?
J’espère votre
réponse.
N*****
De : jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé : Vendredi 5 avril 2019 19:04:19
Objet: Re :Tr : Des nouvelles
récentes
N*****
Je suis ravie d’avoir
de vos nouvelles.
Vous semblez avoir
fait évoluer votre situation domestique dans le bon sens depuis la dernière
fois que nous avons échangé des courriels. Jean-Claude et C***** sont en de
bonnes mains, les vôtres. Venons-en à votre question.
Oui, je connais des
situations où la fessée, parfois sévère, est la règle entre deux adultes. Je
suis en correspondance avec certains adultes qui sont soumis à ce régime depuis
plusieurs années. Ce qu’ils me confient est assez révélateur.
Ils n’aiment pas
recevoir la fessée, encore moins quand on a dû leur baisser la culotte pour ce
faire. La plupart me disent que s’il pouvait l’éviter, ils le feraient sans
hésiter. Mais ils reconnaissent tous, sans exception, que cela les aide à
rester dans le droit chemin et pas un ne conteste le droit de l’autre à user de
cette méthode. En général, ils n’envisagent pas de prendre des initiatives pour
mettre fin au régime de punition qu'ils subissent.
Pour certains, cela
dure depuis de nombreuses années. Un peu plus de quinze ans par la même personne
pour un Monsieur qui correspond souvent avec moi. C’est celui qui est soumis à
régime disciplinaire stricte depuis le plus longtemps. Vous voyez, avec vos
deux mois, vous faites figure de débutante.
Les adultes qui se
comportent comme des enfants ont besoin auprès d’eux d’adultes qui se
comportent comme des adultes. C’est une source de stabilité dont ils ont
vitalement besoin. Une fessée, donnée au bon moment, par une personne dont ils reconnaissent la
légitimité est un repère dont ils pourraient difficilement se passer.
Je crois que vous
avez trouvé de vous-même les paramètres qui permettront que cela dure.
En tout premier lieu,
l’à-propos de la fessée. S’il s’agit d’une punition, elle ne peut être donnée
que quand elle est méritée, mais tout écart doit être sanctionné. Vous y êtes très
attentive, c’est indispensable.
Ensuite, les temps
où, dans vos bras, vous leur réaffirmez votre attention et votre amour (je ne
sais pas si ce terme est bien approprié pour C*****) à leur égard. Ils doivent être
certains, au fond d’eux, que vous agissez au nom de leur intérêt, pour leur
bien. Ils auront toujours besoin que vous le leur rappeliez, pas tellement en
paroles, mais plutôt en actes. Les câlins sur vos genoux, comme vous les
appelez, déconnectés de toute connotation sexuelle, sont donc les bienvenus.
Quant au niveau de
sévérité, je crois qu’il faut que vous soyez à l’observation de vos pupilles et
à leur écoute. Ils doivent avoir peur de la fessée, mais pas de vous. C’est un
équilibre subtil à maintenir.
S’ils ont confiance
en vous et si vous êtes attentive à leurs réactions, ils sauront vous faire
savoir quand quelque chose les inquiète ou quand ils ne trouvent plus leur
compte dans la situation. Un peu comme C***** l’a fait quand elle est arrivée
au bout du mois d’abstinence sexuelle et qu’elle craignait de ne plus être admise
dans votre intimité. Vous avez su le repérer. Il faut continuer dans cette
voie.
Tant qu’ils viennent
vers vous sans réticence, je ne parle pas évidemment des moments où une fessée
est imminente, c’est qu’ils admettent votre légitimité à exercer un tutorat sur
leur vie. Les fessées en sont un moment dont, certainement, ils se passeraient bien, mais elles
ont indispensables. Soyez certaine qu’ils en ont besoin et qu’ils vous sont
reconnaissants de passer de votre temps et de votre énergie à la leur
administrer.
En ce qui concerne le
niveau de sévérité, c’est à vous de le déterminer. Soyez juste et équitable
entre vos deux garnements. Prenez le temps d’expliquer le pourquoi de la
punition et de sa sévérité. Tout cela leur sera profitable.
N’hésitez pas à
revenir vers moi dès que vous en éprouverez le besoin.
Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Samedi 6 avril 2019 10:37:22
Objet: Re :Re :Tr : Des
nouvelles récentes
Bonjour Docteur,
Je vous remercie de
votre retour. Je vais suivre vos conseils. Jusqu’à maintenant ils ont été
avisés et je n'ai pas eu à le regretter, je ne vois aucune raison que cela change.
Je vous tiendrai au
courant. Encore merci.
N*****
Pour ceux à qui les premières consultations de Noémie auraient échappé
D'autres consultations du Docteur Legendre à lire sur ce blog :
Aller plus loin ?
Si vous souhaitez réagir, commenter, vous interroger ou envisager une consultation par internet sur votre propre situation ... laissez un commentaire ci-dessous.
Vous pouvez également contacter directement, par courriel, le Docteur Legendre.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.