C’est le moment ! Au sortir de l’hiver, les orties ont
eu le temps de repousser, elles sont toutes fraîches… et bien urticantes.
De sévères fesses sans risque
Quelques orties récemment cueillies sur le bord du chemin et
adroitement passées sur les fesses nues, vont laisser des souvenirs cuisants
pendant plusieurs jours. Au début, mais cela dure presque une journée, la
brûlure sera permanente et difficile à supporter. Puis elle s’atténuera tout en
restant présente à chaque fois que les mouvements du puni l’amèneront à un
contact d’une matière quelconque avec l’épiderme qui a été caressé par les
orties. Trois, quatre jours, la douleur sera encore présente, certes bien
diminuée, mais elle rappellera le souvenir de la punition initiale et des
motifs qui l’ont justifiée.
C’est le gros avantage de la fessée aux orties. Avec elles,
la punition restera présente bien plus longtemps qu’avec tout autre instrument,
sans encourir le risque d’infliger des dommages durables. En effet, sauf à
provoquer de graves contusions ou des coupures de la peau, aucune fessée n’aura
des effets aussi durables.
Une fessée avec des orties, si rigoureuse soit-elle est sans
aucun danger pour celui qui la reçoit. Quelle que soit la surface de la peau
traitée, quelle que soit l’intensité de l’application des végétaux, il n’y aura
aucun effet dangereux. De petites cloques se formeront sur la peau et une
rougeur soutenue apparaitra, elles seront parfois spectaculaires, elles ne
disparaitront qu’après de longues heures, mais toutes ces réactions cutanées
sont sans danger.
La brûlure sera intense, très cuisante, persistante,
provoquant des pics de douleur qu’il est impossible d’ignorer. Le temps
permettra à la douleur de s’affaiblir, mais il faudra que le puni s’arme de
patience. Prévoyez pour lui un sommeil effectué sur le ventre la nuit qui
suivra l’application des orties, tout contact sur la peau ravivera la douleur,
a fortiori de faire peser son poids sur l’épiderme enflammé.
Oui, mais comment ça marche ?
Les tiges des orties et la face internes des feuilles est
couverte de de petits aiguillons en silice qui se fichent dans l’épiderme
qu’ils touchent, se cassent à ce contact et libèrent sous la peau un cocktail
de produits irritants et qui provoque un afflux de sang, d’où la rougeur qui en
découle. La démangeaison provoquée ne fait que s’amplifier si on gratte ou si
l’on frotte.
Les orties poussent sur beaucoup de talus, dans des endroits
qui ne sont pas cultivés. Il est, à l’évidence plus facile d’en trouver si vous
habitez à la campagne qu’à la ville. Peut-être est-il possible d’en cultiver en
pot sur sa terrasse ?
Attention, les orties sèches ou montées en graines perdent
fortement, voire totalement leur pouvoir urticant. Choisissez-les donc
récentes, le printemps étant l’époque où les démangeaisons provoquées seront
les plus fortes. Si vous en avez un usage régulier, il est possible d’organiser
une tonte partielle du carré d’orties, évitant que les plus anciennes montent
en graines. Celles qui ont été coupées mettront quelques temps à repousser, le
temps que vous utilisiez les premières. Quand les secondes perdront leur
potentiel irritant, il sera temps de les couper et de ses servir de celles qui
viennent de repousser.
Les cloques et la douleur lancinante constituent une
réaction de la peau à cette agression, si elle est très forte, elle est sans
danger. On y voit immédiatement tous les avantages quand ces végétaux sont
employés comme punition.
Orties, mode d’emploi
Le moment le plus délicat pour la tutrice sera la
cueillette. A moins d’y contraindre son pupille, ce qui peut être une
excellente solution, le risque de s’y faire piquer soi-même est fort. Le port
de gants est une bonne solution, mais il suffit d’être attentif à ne toucher que
le bas des plantes. Cela demande un peu de doigté, mais c’est faisable sans
trop de risque… au pire quelques cloques sur le bout des doigts.
Formez des bouquets d’une dizaine de plantes au plus. S’ils
sont plus gros, les plantes situées au centre ne seront que de peu d’utilité.
Au besoin, utilisez plusieurs faisceaux de végétaux dont vous caresserez la
peau de votre pupille, l’un après l’autre. Il peut être utile de se protéger la
main en entourant le bas du bouquet par une feuille de papier essuie-tout. Vous
pourrez ainsi manipuler ces orties sans crainte, réservant tout leur pouvoir
urticant pour votre puni.
Il va de soi que la fessée aux orties s’administre sur la
peau nue. Toute protection, si légère soit-elle, compromettra gravement l’efficacité
de la punition. Déculottez donc au préalable votre puni, mais cela va de soi
quand il s’agit de punir, les avantages en sont nombreux, quel que soit les
modalités de la correction.
Il n’est pas utile de frapper la peau avec le bouquet
d’orties. Vous risqueriez de casser les tiges, ce qui rendrait la suite moins
facile. Un simple contact suffira. Une caresse avec les végétaux et le liquide
irritant sera libéré, s’insinuera sous la peau. Veillez à ce que la face
interne des feuilles soit bien appliquée sur l’épiderme. Ce sera un gage
d’efficacité.
Au besoin, mais c’est un facteur de sévérité, vous pourrez
utiliser plusieurs bouquets qui, se succédant, renforceront chacun le volume de
liquide urticant injecté sous la peau. Selon l’importance de la correction que
la tutrice souhaitera administrer, elle pourra porter son attention non
seulement sur les fesses, mais également sur les cuisses, sans négliger leur intérieur.
La nuit suivante en sera d’autant plus inconfortable pour le puni.
L’apparition de cloques et de rougeurs sera presque
immédiate. La forte sensation de brûlure mettra quelques secondes à arriver,
donnant un bref espoir au puni, espoir qui sera vite déçu. La réaction cutanée
peut être impressionnante, mais sans danger. Vous aurez, par contre,
probablement à maîtriser votre pupille quand ii aura pris conscience de la
nature de la punition qu’il subit.
Et ensuite ?
Offrez à votre puni un moment de répit en le mettant au
coin. Même s’il ne le manifeste pas tout de suite, il vous en sera
reconnaissant, non seulement parce que vous avez décidé de mettre fin à la
fessée, mais également parce que ce long moment passé en pénitence lui permettra
de laisser les plus douloureux des élancements embraser la peau sans qu’elle
soit en contact avec un quelconque tissu.
N’appliquer aucune pommade, ne redonnez pas de fessée dans
un bref délai… laissez faire. la punition suivra son cours sans que vous ayez
besoin de vous en occuper.
Besoin de conseil pour administrer une réelle fessée punitive ?
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Vous pouvez également vous inspirer des consultations du Docteur Legendre ou lui adresser un courriel pour bénéficier d'une consultation par Internet.
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En tant qu'adulte, vous avez puni ou été puni d'une bonne fessée ? Faites-nous part de vos impressions.
En tant qu'adulte, vous avez puni ou été puni d'une bonne fessée ? Faites-nous part de vos impressions.
Bonjour.
RépondreSupprimerPetit message à l'attention des charmantes personnes avec qui je corresponds.
Mon adresse mail: ramina16@laposte.net ne fonctionne plus pour le moment. Vous pouvez me joindre sur cette autre messagerie.
charlygrat35@gmail.com afin que je puisse récupérer votre adresse mail et vous répondre. Merci.
Cordialement
Ramina
je vous ai ecrit
SupprimerBonjour JLG,
RépondreSupprimerVoilà un sujet...épineux !
Les orties contiennent du formol qui est un liquide naturel bien connu en médecine pour conserver les organismes de petites tailles.
Mais les piqûres qu'elles infligent laissent démangeaisons et boutons.
Et personnellement, ce n'est pas le genre d'expérience qui m'aurait tenté. En raison d'un épiderme naturel qui marque vite.
Notre ami Mike signe cette saynète très... urticante.
Amicalement. Peter.
Peter Pan,
SupprimerCroyez-vous, cher ami, que si vous aviez mérité une très sérieuse fessée, on vous aurait demandé votre avis ? C'est le principe même d'une punition, mais je partage l'idée que ce n'est pas une expérience tentante. Parfois... il faut aller au-delà.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour JLG,
RépondreSupprimerEn effet, je ne vous le fais pas dire.
Bien que très mère-poule, ma mère avait un caractère très fort avec une pointe d'autorité. Elle aimait bien être obéie et sa patience était assez limitée. "Qui aime bien châtie bien " nous répétait-elle parfois. Autre temps...
Amicalement. Peter.
Re-bonjour messieurs.
RépondreSupprimerJ'aime bien la réponse radicale de JLG. Effectivement en situation de s'en prendre une, méritée je ne pense pas qu'on laisse au puni l'embarras du choix.
Mais quand je vois l'effet durable et urticant que ça me fait sur les jambes après avoir seulement frôlé une ortie... j'en frémis d'horreur avec déjà, le derrière dans une cuvette d'eau... delà !!!!
Cordialement
Ramina
Je suis passé par cette fessée sévère je m en souviendrai C est intenable durant 3 jours mes fesses cuisantes. La 1ere mais la dernière
RépondreSupprimerBonsoir , je suis régulièrement fessée aux orties , cela fait partie des punitions faisant partie de la discipline domestique stricte qui est mon mode de vie . C est assez dur mais je reconnais que c'est très bénéfique au maintien d une excellente éducation .
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