vendredi 12 avril 2019

Recette pour une bonne fessée : les orties, un choix judicieux


C’est le moment ! Au sortir de l’hiver, les orties ont eu le temps de repousser, elles sont toutes fraîches… et bien urticantes.

De sévères fesses sans risque

Quelques orties récemment cueillies sur le bord du chemin et adroitement passées sur les fesses nues, vont laisser des souvenirs cuisants pendant plusieurs jours. Au début, mais cela dure presque une journée, la brûlure sera permanente et difficile à supporter. Puis elle s’atténuera tout en restant présente à chaque fois que les mouvements du puni l’amèneront à un contact d’une matière quelconque avec l’épiderme qui a été caressé par les orties. Trois, quatre jours, la douleur sera encore présente, certes bien diminuée, mais elle rappellera le souvenir de la punition initiale et des motifs qui l’ont justifiée.

C’est le gros avantage de la fessée aux orties. Avec elles, la punition restera présente bien plus longtemps qu’avec tout autre instrument, sans encourir le risque d’infliger des dommages durables. En effet, sauf à provoquer de graves contusions ou des coupures de la peau, aucune fessée n’aura des effets aussi durables.
Une fessée avec des orties, si rigoureuse soit-elle est sans aucun danger pour celui qui la reçoit. Quelle que soit la surface de la peau traitée, quelle que soit l’intensité de l’application des végétaux, il n’y aura aucun effet dangereux. De petites cloques se formeront sur la peau et une rougeur soutenue apparaitra, elles seront parfois spectaculaires, elles ne disparaitront qu’après de longues heures, mais toutes ces réactions cutanées sont sans danger.
La brûlure sera intense, très cuisante, persistante, provoquant des pics de douleur qu’il est impossible d’ignorer. Le temps permettra à la douleur de s’affaiblir, mais il faudra que le puni s’arme de patience. Prévoyez pour lui un sommeil effectué sur le ventre la nuit qui suivra l’application des orties, tout contact sur la peau ravivera la douleur, a fortiori de faire peser son poids sur l’épiderme enflammé.

Des orties prêtes pour une bonne fessée

Oui, mais comment ça marche ?

Les tiges des orties et la face internes des feuilles est couverte de de petits aiguillons en silice qui se fichent dans l’épiderme qu’ils touchent, se cassent à ce contact et libèrent sous la peau un cocktail de produits irritants et qui provoque un afflux de sang, d’où la rougeur qui en découle. La démangeaison provoquée ne fait que s’amplifier si on gratte ou si l’on frotte.
Les orties poussent sur beaucoup de talus, dans des endroits qui ne sont pas cultivés. Il est, à l’évidence plus facile d’en trouver si vous habitez à la campagne qu’à la ville. Peut-être est-il possible d’en cultiver en pot sur sa terrasse ?
Attention, les orties sèches ou montées en graines perdent fortement, voire totalement leur pouvoir urticant. Choisissez-les donc récentes, le printemps étant l’époque où les démangeaisons provoquées seront les plus fortes. Si vous en avez un usage régulier, il est possible d’organiser une tonte partielle du carré d’orties, évitant que les plus anciennes montent en graines. Celles qui ont été coupées mettront quelques temps à repousser, le temps que vous utilisiez les premières. Quand les secondes perdront leur potentiel irritant, il sera temps de les couper et de ses servir de celles qui viennent de repousser.
Les cloques et la douleur lancinante constituent une réaction de la peau à cette agression, si elle est très forte, elle est sans danger. On y voit immédiatement tous les avantages quand ces végétaux sont employés comme punition.

Orties, mode d’emploi

Le moment le plus délicat pour la tutrice sera la cueillette. A moins d’y contraindre son pupille, ce qui peut être une excellente solution, le risque de s’y faire piquer soi-même est fort. Le port de gants est une bonne solution, mais il suffit d’être attentif à ne toucher que le bas des plantes. Cela demande un peu de doigté, mais c’est faisable sans trop de risque… au pire quelques cloques sur le bout des doigts.
Formez des bouquets d’une dizaine de plantes au plus. S’ils sont plus gros, les plantes situées au centre ne seront que de peu d’utilité. Au besoin, utilisez plusieurs faisceaux de végétaux dont vous caresserez la peau de votre pupille, l’un après l’autre. Il peut être utile de se protéger la main en entourant le bas du bouquet par une feuille de papier essuie-tout. Vous pourrez ainsi manipuler ces orties sans crainte, réservant tout leur pouvoir urticant pour votre puni.
Il va de soi que la fessée aux orties s’administre sur la peau nue. Toute protection, si légère soit-elle, compromettra gravement l’efficacité de la punition. Déculottez donc au préalable votre puni, mais cela va de soi quand il s’agit de punir, les avantages en sont nombreux, quel que soit les modalités de la correction.
Il n’est pas utile de frapper la peau avec le bouquet d’orties. Vous risqueriez de casser les tiges, ce qui rendrait la suite moins facile. Un simple contact suffira. Une caresse avec les végétaux et le liquide irritant sera libéré, s’insinuera sous la peau. Veillez à ce que la face interne des feuilles soit bien appliquée sur l’épiderme. Ce sera un gage d’efficacité.
Au besoin, mais c’est un facteur de sévérité, vous pourrez utiliser plusieurs bouquets qui, se succédant, renforceront chacun le volume de liquide urticant injecté sous la peau. Selon l’importance de la correction que la tutrice souhaitera administrer, elle pourra porter son attention non seulement sur les fesses, mais également sur les cuisses, sans négliger leur intérieur. La nuit suivante en sera d’autant plus inconfortable pour le puni.
L’apparition de cloques et de rougeurs sera presque immédiate. La forte sensation de brûlure mettra quelques secondes à arriver, donnant un bref espoir au puni, espoir qui sera vite déçu. La réaction cutanée peut être impressionnante, mais sans danger. Vous aurez, par contre, probablement à maîtriser votre pupille quand ii aura pris conscience de la nature de la punition qu’il subit.

fessée déculottée aux orties sur les genoux de sa logeuse

Et ensuite ?

Offrez à votre puni un moment de répit en le mettant au coin. Même s’il ne le manifeste pas tout de suite, il vous en sera reconnaissant, non seulement parce que vous avez décidé de mettre fin à la fessée, mais également parce que ce long moment passé en pénitence lui permettra de laisser les plus douloureux des élancements embraser la peau sans qu’elle soit en contact avec un quelconque tissu.
N’appliquer aucune pommade, ne redonnez pas de fessée dans un bref délai… laissez faire. la punition suivra son cours sans que vous ayez besoin de vous en occuper.


Besoin de conseil pour administrer une réelle fessée punitive ?


Vous pouvez également vous inspirer des consultations du Docteur Legendre ou lui adresser un courriel pour bénéficier d'une consultation par Internet.

Des avis, parfois divergents, des lecteurs de ce blog


Vos contributions sont les bienvenues

Vous avez un avis ? Faites-le partager ! Un petit commentaire ou un grand ci-dessous et le tour est joué !
En tant qu'adulte, vous avez puni ou été puni d'une bonne fessée ? Faites-nous part de vos impressions.


6 commentaires:

  1. Bonjour.
    Petit message à l'attention des charmantes personnes avec qui je corresponds.
    Mon adresse mail: ramina16@laposte.net ne fonctionne plus pour le moment. Vous pouvez me joindre sur cette autre messagerie.
    charlygrat35@gmail.com afin que je puisse récupérer votre adresse mail et vous répondre. Merci.
    Cordialement
    Ramina

    RépondreSupprimer
  2. Bonjour JLG,

    Voilà un sujet...épineux !
    Les orties contiennent du formol qui est un liquide naturel bien connu en médecine pour conserver les organismes de petites tailles.
    Mais les piqûres qu'elles infligent laissent démangeaisons et boutons.
    Et personnellement, ce n'est pas le genre d'expérience qui m'aurait tenté. En raison d'un épiderme naturel qui marque vite.
    Notre ami Mike signe cette saynète très... urticante.
    Amicalement. Peter.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Peter Pan,
      Croyez-vous, cher ami, que si vous aviez mérité une très sérieuse fessée, on vous aurait demandé votre avis ? C'est le principe même d'une punition, mais je partage l'idée que ce n'est pas une expérience tentante. Parfois... il faut aller au-delà.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

      Supprimer
  3. Bonjour JLG,

    En effet, je ne vous le fais pas dire.
    Bien que très mère-poule, ma mère avait un caractère très fort avec une pointe d'autorité. Elle aimait bien être obéie et sa patience était assez limitée. "Qui aime bien châtie bien " nous répétait-elle parfois. Autre temps...
    Amicalement. Peter.

    RépondreSupprimer
  4. Re-bonjour messieurs.
    J'aime bien la réponse radicale de JLG. Effectivement en situation de s'en prendre une, méritée je ne pense pas qu'on laisse au puni l'embarras du choix.
    Mais quand je vois l'effet durable et urticant que ça me fait sur les jambes après avoir seulement frôlé une ortie... j'en frémis d'horreur avec déjà, le derrière dans une cuvette d'eau... delà !!!!
    Cordialement
    Ramina

    RépondreSupprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.