Soirée fessées entre amies (1ère partie)
Le carillon de
l'entrée fit presque sursauter Maxime, sa mère au téléphone lui demanda d’aller
ouvrir. Béatrice Klakerspank recevait ses amies au cour d'une soirée
prometteuse, pas vraiment improvisée mais déplacée depuis peu puisque, prévue à
l'origine, chez Gladys. Un empêchement de dernière minute l'avait obligé à
différer. Le livreur apportait les commandes en petits fours, passées la veille
chez le traiteur du quartier, où ces dames avaient l'habitude de
s'approvisionner lors de leurs réunions mensuelles.
Maxime vivait
ces préparatifs avec un certain malaise, mélange d'attente fébrile et
d'appréhension. Il avait beau savoir comment ces trop fameuses ''Réunions
Tupperware'' prenaient rapidement une toute autre tournure que leur annonce
d'origine, il passait pratiquement toute la journée la boule au ventre et le
derrière plutôt tendu dans son slip.
En réalité, ces
réunions n'avaient de « Tupperware » que le nom. On y parlait que
très rarement de ces petits récipients de conservation en plastique dont tout
le monde était déjà équipé depuis longtemps. Les objets qui alimentaient les
conversations étaient plutôt en cuir souple, à lanières ou en bois. Mis à part
quelques cuillères ou spatules, bien pratiques car à double usage, ces
instruments n'étaient pas vraiment utilisés en cuisine mais plutôt sur des
parties charnues, pour une cuisson toujours à point.
C'était en
quelque sorte une fin de journée de la femme avec présence obligatoire des
époux qui n'étaient pas invités uniquement par courtoisie et savaient à quoi
s'en tenir sur le déroulement de la soirée. Maxime, le fils de la maison, était
le petit ''favori'' auprès de sa mère qui disposait de lui en priorité. Un
titre purement honorifique qu'il ne serait venu à l'idée d'aucun de ces
messieurs de revendiquer en une telle circonstance. Il était accordé à tour de
rôle à celui qui '' ouvrait '' la séance. Un peu comme on ouvre un
bal sauf qu'il s'agissait là d'une danse un peu particulière : la valse
des fesses !
Prudence et
vigilance étaient donc à l'ordre du soir. Obéissance exigée. On se tenait
convenablement, amabilité et disponibilité de rigueur, attentifs aux
sollicitations, prévenants envers ces Dames... Le comportement sur mesure du
parfait petit Mari, aimable, serviable et obéissant. Le moindre écart de comportement constituait
le signal attendu, qui pouvait, à tout moment, mettre le feu aux fesses de ces
messieurs.
Ils avaient
beau faire et ne pas dire, pour éviter le pire, se ''tenir à carreau'' comme
des hommes avertis valant deux paires de fesses, c'était inévitable parce que
prévu ainsi.
Passé le moment
des amabilités, papotages et babillages, conversations joyeuses, boissons
diverses et petits fours, il y avait toujours une de ces Dames pour trouver une
bonne raison de déclencher les opérations : bilan collectif de fin semaine
et tournée générale. La réunion ''Tupperware'' qui n'avait jamais vraiment
commencé, tournait court et faisait place à la séquence discipline, beaucoup
plus récréative... pour la gente féminine. Le comportement de ces Messieurs,
erreurs, oublis, négligences, impolitesse, mauvaises manières, étaient passé au
crible et, les fessées réparatrices commençaient à claquer. La maîtresse de
maison inaugurait la séance par un belle fessée d'ouverture sur le mari désigné
comme le plus indiscipliné de la bande.
Maxime traversa
le salon les bras chargés des cartons qu'il emmena dans la cuisine. Confortablement installée dans le canapé,
Béatrice, sa mère, jambes haut croisées, sur une vue imprenable de jarretelles
bien tendues sur les cuisses, agitait dans l'air ses doigts écartés pour
accélérer le séchage de son vernis à ongles. Sa forte poitrine, largement décolletée,
tressautait en rythme comme libérée de la pesanteur. Tenue de circonstance,
elle portait une jupe très courte, qu'elle pouvait aisément retrousser,
facilitant ainsi la mise en place de ses victimes entre ses cuisses pour les
séances de fessées au martinet. Les joues de Maxime, exposées au frottement
rêche et continu des bas nylon en étaient, évidemment, les habituelles
bénéficiaires. Il avait beau souffrir de ces terribles séances de corrections
qu'il craignait par-dessus tout, il éprouvait toujours de troublantes
sensations à devoir mettre ses fesses entre les mains de ces belles et fortes
femmes, si sévères.
Habituée à se
faire obéir, au doigt et à l'œil, Béatrice donne ses consignes depuis le
canapé.
« Tu mets tout ça dans les plats que j'ai sortis... sur la
table de la cuisine. Et tu me fais ça bien. Sinon gare à tes fesses ! Je
n'hésiterai pas à leur donner un petit avant-goût de ce qui les attend pendant
la soirée ! »
Elle disait ça sur un ton détaché, avec naturel. Comme si la
menace d'une fessée était aussi banale que de proposer une partie de cartes.
– Oui maman... promis, je fais ça
bien
–
Ce soir nous attendons, Gladys, Edouard et Robin, Edwige, Claridge avec
leur mari et une nouvelle invitée... Madame Bellebourge et son fils
Gérôme. Un sacré numéro, celui-là, d'après ce que j'ai entendu. »
Maxime, curieux, passe une tête à la
porte du salon, une barquette de petits fours dans la main. Il se lèche les
doigts couverts de traces de mayonnaise.
Béatrice réagit immédiatement.
« Tu ne peux pas faire ce que je
t'ai demandé proprement, sans t'en mettre partout. Lave toi les mains, s'il te
plaît ! Sinon c'est la mienne que je vais faire claquer sur tes
fesses ! »
Le garçon fait comme s'il n'avait
pas entendu.
« Ah bon, il est comment ce
Gérôme ?
– C'est ça... fais le malin... Tu as
parfaitement compris ce que je viens de te dire. Tes fesses ne perdent rien
pour attendre... »
Elle croise ses jambes dans l'autre
sens en lâchant un grand soupire d'avertissement qui soulève son opulente
poitrine, prête à passer par-dessus bord.
« D'après ce que m'a dit Gladys il
fait la paire avec Robin. Une sombre histoire de trafic de revue érotiques, ou
un truc comme ça, J'ai comme l'impression que c'est un sacré
loustic ! Il y a des fessées qui se
perdent, mais pas pour longtemps ! »
Le carillon de
l'entrée résonna à plusieurs reprises, Les invitées arrivèrent les unes après
les autres, suivies de leur époux respectif. Embrassades, compliments de
circonstance, remerciement pour les fleurs, les vestes et manteaux sont déposés
au dressing. Les effluves de parfums capiteux se mêlent en une agréable
conjugaison de subtilité florale. Dans un bruissement soyeux, les belles
femmes, opulentes, l'allure altière, ondulant des hanches, claquant des talons
aiguilles, se retrouvent au salon autour de la table basse, garnie de petits
fours et autres amuse-bouche.
Le Champagne est gardé au frais dans un grand seau en métal argenté rempli de glaçons. Les paires de jambes gainées de bas nylon crissent en se croisant et décroisant révélant, à qui veut les voir, les jarretelles tendues sur les cuisses des plantureuses créatures. Les maris, en réserve, n'ont pas le loisir de s'en émouvoir et restent sagement assis à côté de chacune... Les fesses à portée de main en cas d'urgence. Ça respire la femme à poigne, l'ordre, la discipline et le dressage à la fessée.
Le Champagne est gardé au frais dans un grand seau en métal argenté rempli de glaçons. Les paires de jambes gainées de bas nylon crissent en se croisant et décroisant révélant, à qui veut les voir, les jarretelles tendues sur les cuisses des plantureuses créatures. Les maris, en réserve, n'ont pas le loisir de s'en émouvoir et restent sagement assis à côté de chacune... Les fesses à portée de main en cas d'urgence. Ça respire la femme à poigne, l'ordre, la discipline et le dressage à la fessée.
Edouard, sage
comme une image ne bronche pas. On ne coupe jamais la parole à une Dame. Il
sait, comme les autres, ne devoir se manifester que s'il y est invité., Serviable,
pour s'attirer quelque indulgence, il coupe en tranches fines le cake aux
olives et fait passer les plats de petits fours. Gladys n'est pas dupe. Elle
déteste le voir faire preuve de servilité dans le but de s'attirer quelques
bonnes grâces et le reprend à voix haute devant tout le monde.
« Hypocrite !
Tu crois que je ne vois pas ton petit manège, Tu n'en fais pas autant à la
maison ! Tu vas voir tes fesses tout à l'heure ! ''
– Mais chérie, j'essaye de me rendre utile... »
Robin, pas
fâché de voir son beau-père à la même enseigne que lui, esquisse un sourire
ironique vite réprimé sous le regard réprobateur de sa soeur assise à côté de
lui.
« Moque toi !.. Dit-elle en lui tapant sur la main. Attends
que je m'occupe de tes fesses... Ça va te faire tout drôle ! »
Stephen
et Conrad un peu crispés sur leur siège, se dandinent d'une fesse sur l'autre,
le plus discrètement possible. Ils se sont déjà pris une fessée chacun avant de
partir. Le premier, avait oublié de cirer ses chaussures. Edwige ne supporte
pas les tenues négligées qui font mauvais effet. Elle lui a flanqué sa fessée
dans l'entrée au moment de sortir, pantalon aux chevilles, slip baissé, son
manteau par-dessus la tête. Reculotté aussitôt, et sorti dehors claques aux
fesses, direction la voiture. Il n'a pas dit un mot pendant le trajet.
Béatrice,
debout au milieu du salon s'assure, en bonne maîtresse de maison, que tout le
monde est bien installé. Elle remarque l'attitude de Conrad qui trahit son malaise
en soulevant de temps en temps le derrière de son siège, comme pour le
soulager. Elle lance un clin d'œil complice à son épouse qui papote sans faire
attention à lui.
« Dis-moi, Claridge, qu'est-ce qu'il a à se trémousser comme
ça ton mari ? On dirait qu'il a déjà le feu aux fesses
alors qu'on n'a même pas commencé !
– C'est normal
chérie, il s'est pris une fessée il y a à peine une heure.
– Et bien il a pris
de l'avance ! Commente Gladys. »
Patricia surenchérit avec une de ces petites phrases assassines
dont elle est coutumière.
« Eh bien, ça lui fait une bonne fessée
d'entraînement ! Et on peut savoir pour quel motif ? »
La sévère épouse ne se rate pas l'occasion de l'humilier
devant tout le monde.
« Monsieur fait preuve de mauvaise volonté pour aller
chercher ses corrections. »
Elle lui jette un regard appuyé.
« N'est-ce pas mon cher ? »
Il rougit jusqu'aux oreilles, autant que ses fesses pendant
une déculottée.
« Monsieur essaye toujours de gagner du temps avant ses
fessées. Il traîne à venir me présenter ses fesses quand je les lui demande...
ne se déculotte pas assez vite. Il manque de réactivité. »
Hochement de tête d’approbation d'Edwige et Gladys. Béatrice
fait la leçon sur un ton professoral.
« Entièrement d'accord, la contribution du puni est
indispensable à l'acceptation de la fessée et à son bon déroulement. ».
Claridge poursuit avec conviction.
« Tout à fait ! Je pense qu'on doit être intraitable
sur la rapidité d'exécution des consignes. J'exige ses fesses à disposition
dans la minute qui suit l'annonce de sa fessée. Le non-respect du délai
entraîne systématiquement une fessée supplémentaire...
– Excellent ! Après un passage au coin ? Demande
Edwige, l'œil pétillant de d'intérêt.
– Nous appliquons toutes les mêmes règles. Chaque nouvelle
fessée doit être plus sévère que la précédente pour vraiment servir de
leçon. »
Béatrice tape dans ses mains avec enthousiasme.
« Bonne méthode ! Et bien mesdames voilà une soirée qui
s'annonce réjouissante à tous points de vue ! Il manque encore madame Thérèz, notre
récente amie qui ne devrait pas tarder à nous rejoindre avec son fils Gérôme.
D'après les informations de Gladys un grand garçon particulièrement agité et
désobéissant. Si vous voyez en quoi cela nous concerne toutes. »
Elle a à peine
terminé sa phrase que le carillon de l'entrée signale son arrivée. Madame
Thérez Bellebourge toute pimpante dans sa longue robe verte à carreaux, fait
une entrée remarquée avec son fils habillé en kilt, selon la tradition
écossaise. Elégante tenue, un peu décalée mais si bien et si naturellement
portée que le couple, mère- fils, ne manque finalement pas d'allure. L'accueil
est chaleureux et les salutations distinguées comme il se doit, entre femmes
autoritaires de bonne éducation.
Patricia, avec
sa pointe d’humour habituelle, ne manque pas de faire remarquer le côté
pratique du port du Kilt pour administrer les fessées. Retrousser une jupe
permettant un accès aux fesses plus facile et plus rapide que lorsqu'il s'agit
de baisser un pantalon.
Pour toute
réponse, Gérôme, sans complexe et aussi un peu par provocation, se plante au
milieu de ces Dames et exécute une révérence en écartant les plis de son kilt
de chaque côté de ses hanches. Ça ne traîne pas. Il vient à peine de finir sa
courbette que sa mère fond sur lui, le saisit sans ménagement par l’oreille,
l'enfourne sous son bras et commence à lui relever sa jupe en lui tournant le
derrière vers l'assistance.
« A peine arrivé il faut que tu commences tes
pitreries ! S’écrie-t-elle. Tu ne vas tout de même pas déjà nous faire la
honte devant tout le monde ! Aller hop, une fessée ! C'est toi qui va
inaugurer la soirée ! »
Elle lance un regard interrogateur à Béatrice.
« Si vous n'y voyez pas d'inconvénient...
– Mais je vous en prie madame Bellebourge. Nous avons hâte
de vous voir à l'œuvre. Au diable le protocole, du moment qu'on fesse. Nous
sommes là pour ça, après tout. »
Gérôme se tortille comme ver sous le bras d sa mère.
« Roooaaaah ! Mais maman... qu'est ce... qu'est-ce
que tu fais ? J'ai juste salué
ces... ces Dames !
– Et bien tu vas les re-saluer d’une très jolie révérence
dans cinq minutes ! Mais avec les fesses rouges cette fois ci !... Tu
vas voir, elles vont adorer ! N'est-ce pas mesdames ? »
Béatrice, tient son rôle de maîtresse de cérémonie.
« Allez y madame Bellebourge, à vous l'honneur de la
première fessée. Nous sommes toutes impatientes d'y assister. »
Gladys confirme d'un ton réprobateur.
« Oui, surtout qu'elle est amplement méritée. Votre
garnement de fils, justifie sa réputation d’insolent. Ça ne m'étonne pas qu'il
s'entende comme larrons en foire avec le mien, tiens ! »
Ma'am Thérez remonte soigneusement le kilt sur les reins de
Gérôme pour bien lui dégager le derrière et l'exposer au regard de l'assistance
pendant sa fessée.
Patricia suit l'opération avec attention.
« Au moins maintenant, on sait ce qu'il y a sous les jupes
des Écossais... »
Edwige conclu la remarque d'un humour ravageur en provocant
l'hilarité générale.
« Oui et sans surprise... Un slip bien rempli avec une belle
paire de fesses dedans ! »
Toute l'assistance est littéralement enchantée d'assister à
une entrée en matière aussi fracassante. Les trois maris beaucoup moins,
craignant déjà que cette première fessée déclenche le début des hostilités pour
leur postérieur respectif. D'autant plus inquiétant que ces Dames, en pleine
forme, le champagne aidant, encouragent maintenant la nouvelle arrivante à
faire la démonstration de son talent de fesseuse.
« La fessée ! La fessée ! La
fessée !!! »
Ma'am Thérez qui ne s'attendait pas à un tel accueil, en
rosit de plaisir. L'heure n'en étant encore qu'aux préliminaires, elle décide
de commencer par une simple fessée d'échauffement à travers le slip. Elle l'étire au maximum pour l'ajuster au
plus près, sur les hémisphères fessiers bien exposés. Etroitement moulées dans
le nylon, ils semblent encore plus volumineux au regard des invitées qui en
savourent les belles rondeurs charnues. Le garçon se met à hurler en trépignant
comme un beau diable.
« Nooooon
maman ! C'est pas juste ! Pas la fessée ! J'ai rien fait de
mal ! »
– Vous ne l'écoutez pas j'espère ... S'enquiert Béatrice
d'un ton péremptoire. Vous êtes sévère avec lui... et vous avez raison !
– Bien sûr, vous savez j'ai l'habitude. Une bonne fessée
tout de suite et ça va le calmer un moment. Sinon, je connais mon garçon, dans
cinq minutes il va se jeter sur les petits fours, et vous arroser de
plaisanteries salaces. »
Gérôme a beau gesticuler sous le bras de sa mère, celle-ci a
de la poigne et le tient fermement en position. Elle lève bien haut la main
pour prendre un maximum d'élan.
« Vous allez voir comme ses fesses claquent bien, même à
travers un slip ! »
– Non maman,
non ! Pas la fessée ! Pas ici ! Pas devant tout le
monde !
– Si justement... Je vais me gêner. Monsieur fait des
singeries devant tout le monde et bien pour la fessée c'est
pareil ! »
Les premières
claques retentissent, rythmées par les hurlements du malheureux qui fait un
boucan d'enfer alors que la fessée vient seulement de commencer. Quand bien
même maman Thérez tape fort avec sa main comme un battoir, il n'a pas encore
vraiment mal, habitué, qu'il est, à se faire corriger régulièrement. Maman fait
du bon travail. Les volées de claques allongées à la base du fessier enfoncent
progressivement les élastiques du slip dans la raie, dégageant ainsi une vaste
surface rougissante exposée au regard gourmand de toutes l'assistance.
Maa'm Thérez fesse fort et bien. Les claquées, sèches et cuisante retentissent
à bonne cadence et démontre une maîtrise de la fessée qui n'a rien à rendre aux
maîtresses femmes d'expérience participant à la soirée.
Gérôme humilié,
prend sa fessée en continuant à protester. Le bruit des claques pourtant très
fortes, couvre à peine ses vociférations. Elles sortent à jet continu de sous
le bras de sa mère qui le maintient en position.
« Arrête maman ! Ouaiiiiie ! Arrête !
Vilaine !, Ouuuuille ! Tu es méchante avec moi ! Aiiiie! J'ai rien fait qu'une
révérence ! Roaiiiie ! Maman... s'il te plaît !
– Ne soyez pas étonnées... Dit celle-ci, sans plus
s'émouvoir, et tout en continuant à lui claquer le derrière, il braille
toujours comme ça à chaque fessée . Le seul moyen de le faire taire c'est
de taper plus fort ! »
La maîtresse de maison savoure le spectacle toujours debout
au milieu du salon.
« C'est bien, c'est très bien ! Belle démonstration ! Toujours
appréciable de lancer la soirée avec une bonne fessée comme celle-là. »
Claridge égale à elle-même, fait preuve de son cynisme
habituel.
« Au moins voilà un garçon qui s'exprime quand on le
fesse ! C'est un bon stimulant et un excellent indicateur
d'efficacité ! »
Edouard, Stepehn et Conrad se font tout petits à côté de
leur épouse. Mais difficile de se faire oublier alors qu'ils sont eux même les
sujets privilégiés du programme de la soirée et des règlements de compte à
venir. Le prix à payer des écarts de comportement et mauvaises tenues de la
semaine. La fessée de Gérôme risque de mettre ces Dames en appétit. Inutile,
par conséquent, de s'exposer à un supplément au menu par une initiative
déplacée.
Robin que son ami finit par amuser, par ses gesticulations,
ses cris et hurlements, tant de détresse que de protestation, ne peut
s'empêcher de sourire en voyant ses fesses tressauter sous la main ferme de sa
mère. Pour le vivre presque au quotidien, il sait ce que c'est. Ce n'est pas du
tout du goût de sa sœur qui le surveille du coin de l'œil depuis le début de la
soirée.
« Ça te fait rire de voir ton copain se faire claquer les
fesses devant tout le monde? Hein, ça t'amuse de le voir prendre une
fessée en public ?
– Euh non Patricia, c'est pas ça... C'est tout ce qu'il dit
que...
– Ah oui, c'est à cause de ce qu'il dit ! Eh bien moi
je te dis que je vais t'en mettre une... Et tout de suite...
– Non Patricia, non... S'il te plaît ! »
Elle le prend par le bras et le fait se lever.
« Si... une fessée ! … Et maintenant ! Puisque tu
te moques de lui on va pouvoir comparer comment tu t'exprimes pendant que tu te
fais rougir les fesses ! C'est l'occasion... Viens par ici ! »
Tandis que les dames s'enthousiasment de la qualité de la
correction en cours, elle saisit son frère par les cheveux et le traîne vers le
milieu de la pièce où Maman Thérez continue de faire monter la température du
derrière de son fils, au bord de l'extinction de voix.
« Maman, il faut que je punisse Robin, il s'amuse de la
correction de Gérôme !
– Bonne initiative ma chérie ! Flanque-lui une bonne
fessée... Déculotté, devant tout le monde. Il le mérite, On ne se paye pas
impunément la tête de ses amis et encore moins de leurs fesses, surtout quand
elles sont en si mauvaise posture. »
Sans lâcher son
frère, Patricia saisit au passage un des tabourets disponible et s’installe
près de Madame Bellebourge,
« Je peux fesser Robin à côté de vous ? »
Sans attendre la
réponse, elle cale son plantureux fessier sur le siège pour avoir une assise
bien stable et fesser à l'aise,
« Ça ne vous gêne pas au moins ? Je ne voudrais
pas perturber le déroulement de la fessée. »
Il en faudrait plus. Imperturbable, la sévère maman continue
à corriger son turbulent fils. Après l'irrévérencieuse révérence, il exécute
maintenant des pas de danse au sol au rythme des claquées. Et ce n'est pas tout
à fait la même cadence. Son slip s'est progressivement enfoncé entre ses
fesses, exposées sans protection à une fessée qui devient de plus en plus
cuisante. A deux élastiques près tendues dans la raie, ça fait le même effet
qu'une fessée déculottée.
« Ils font bien leurs bêtises ensembles. Finit par répondre
Ma'am Thérez. Alors pourquoi ne pas les corriger en même temps. C'est plutôt
stimulant !
– C'est bien ce que je pense aussi... Se réjouit Patricia.
Les fessées en double donnent du rythme et de l'efficacité! »
Elle a relevé
sa jupe plissée sur ses hanches pour bien dégager ses fortes cuisses, gainées
de nylon noir, et réserver un espace d'accueil confortable au fessier à
corriger. Elle attire son frère, debout, entre ses jambes écartées.
« Baisse ton pantalon, dépêche-toi ! Je te conseille de
ne pas me faire attendre ! »
Tout à côté, les fesses Gérôme, en souffrance, tressautent
en cadence sous la main ferme de sa mère qui gratifie l'assistance conquise
d'une superbe démonstration d'autorité. La fessée dure depuis cinq bonnes
minutes devant les expertes de la déculottée en tous genres qui apprécient et
le font savoir avec enthousiasme.
« Bravo, on se régale ! Magistrale fessée comme il se doit
!
– Bien cuisante, bien claquante, la fessée efficace !
– Et quelle paire de fesses ! Elles claquent presque aussi bien que celle
de mon mari !
– Oui, il semble bien que nos époux vont devoir s'aligner
sur la concurrence ! »
Ma'am Thérez modeste sous l'avalanche de compliments,
suspend la fessée pour changer de position.
« Vous savez, vu le comportement de mon garçon, ses fesses
sont régulièrement entretenues. Et quand ce n'est pas moi qui m'en occupe, sa
sœur, ses tantes et ses cousines prennent volontiers le relais et je peux vous
dire que ça fesse sévère ! »
Aussi soudainement qu'elle a commencé, elle libère l'agité
qui saute sur place en vociférant et se frottant furieusement les fesses.
« Gérome va me chercher un tabouret. Ta fessée n'est pas
terminée. Ça ...ça
– Rooooaah maman, si !
J'en ai pris une... Ça suffit !... Méchante !
Ma'am Thérez est imperturbable... elle en a vu d'autre.
« Je vais t'en mettre une deuxième, et déculottée celle-là...
Avec Patricia qui va corriger son frère en même temps. N'est-ce pas
Patricia ?
« Tout à fait madame Bellebourge. Complices dans le vie,
solidaires sous les fessées ! »
Gérôme est furieux.
« Naaaaan ! c'est de l'acharnement ! T'as vu mes
fesses je suis sûr qu’elles sont toutes rouges !
La tension monte encore d'un cran lorsque Robin résigné, et sur
rappel à l'ordre de sa sœur, déboucle sa ceinture et commence à se déculotter.
C'est le moment que choisit Béatrice pour demander à Maxime d'aller ouvrir une autre
bouteille de champagne.
« Mes amies, je propose de porter un toast... C'est la
première fois, je crois, qu’une soirée avec nos époux commence directement par
une séance de fessées déculottées en double ! Et pourtant des fessées on
leur en met et on va leur en mettre encore ! N'est-ce pas
Mesdames ? »
Une voix rauque
et gouailleuse se fait entendre. Celle d'Edwige, assise sur l'accoudoir du
canapé, jambes haut croisées, jarretelles apparentes, comme les poutres au
plafond d'une maison de campagne.
« Et comment ! Ils ont intérêt
à préparer leurs belles grosses fesses nos petits chéris !
Et avec les dessins originaux de l'auteur;
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
Le début : chapitre 1 de la saison 1
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 19
Il y a une suite, le chapitre 21
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 19
Il y a une suite, le chapitre 21
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerAh ah ah ah ! La soirée tant attendue est arrivée !
"Le conseil des épouses".
Aussi redouté que le conseil de classe au temps du lycée : révision des notes, du comportement, avis favorable ou rejet... tout y est. Rires.
Bien vu, la fessée de Mam'e Térèze qui inaugure ainsi la soirée qui va réserver bien des surprises. Une sorte de cadeau de bienvenue. Merci pour ce privilège, cher ami. les deux univers s'entremêlent à souhait. Au milieu de ces dames, elle tranche par sa tenue des plus classique. Mais l'heure n'est pas au défilé de haute-couture. Astucieuse, la fessée en doublé ! Je n'y aurais peut-être pas pensé.
J'attend la suite avec impatience... 10/10 !! Bien sûr !
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerDepuis le temps, ça devait arriver! Pas si facile à mettre en scène mais avec beaucoup de plaisir. Celui de réunir, par la fessée et dans une même séquence, des personnages au demeurant assez différents. Mais pas incompatibles. Les tenues vestimentaires expriment ces différences évacuées par la méthode commune de punition.
je me suis beaucoup amusé à doter Gérôme d'une de ces belles paires de fesses bien rebondie qui claquent si bien sous les fessées!
On s'amuse cher ami! On s'amuse !
Cordialement
Ramina
Bonsoir Ramina,
RépondreSupprimerEn effet, Gérome n'a jamais eu un popotin aussi "rebondi" que sous ton crayon. Rires. Ca a du être un bon tour de main pour réunir tous les personnages sur une même scène. En créateur de saynète style BD, on fait tous les métiers : metteur en scène, costumier, producteur, projectionniste...Du travail de réalisateur. Manquerait plus que le clap ! "Silence sur le plateau ! Moteurs ! Action ! ". "la soirée chez Béatrice : scène 1 en une prise unique". Rires.
De mon côté, une séance "tea-time" est déjà programmée entre leurs mamans respectives. Sous l'œil intéressée des "grandes sœurs"... Of course !
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerCertes, mais le procédé calque en copier coller de Photoshop pour récupérer tes personnages permet des miracles. Après, oui il faut un peu de savoir faire. Le challenge passionnant est de conjuguer les deux univers sans altérer ni l'un ni l'autre.
Quant au popotin de notre déluré Gérôme... Et oui je trouve les fessées plus réjouissantes sur des fessier bien rebondis. Ces dames aussi d'ailleurs, qui disposent ainsi d'une plus grande surface pour exercer leur talent disciplinaire. (re-rires)
Ton dernier dessin est bien réussi aussi. Ce style rétro a beaucoup de charme. Je trouve les soeurs plus pertinentes et séduisantes que les mamie acariâtres. Mais c'est une affaire de choix et d'intention.
En attendant dimanche!
Amicalement
Ramina
PS. Tiens, ça y est on se tutoie! Comme de vielles connaissances... de pas si longtemps. J'en ai eu plusieurs fois le réflexe...retenu. Quand la fessée crée de la complicité... anonyme et à distance. Curieux phénomène, tout de même qu'internet !
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerMerci pour ton compliment encourageant au sujet du dessin de Dimanche dernier.
J'ai retrouvé un CD de Photoshop inclus dans la revue "Photo" qui doit dater de 2014, je pense. Il propose des exercices pour retoucher des photos. Il faudrait que je fasse des essais.
J'essaie d'alterner mères-poules et grandes sœurs selon les épisodes.
Le principal est de s'amuser à mêler les deux univers.
Pour les formules de politesse, c'est le fruit du bavardage. Je suis emporté par mon verbiage et... paf !
Si tu n'y vois pas d'inconvénients, nous pouvons en rester à ce choix du tutoiement. "Comme de vieilles connaissances" en effet.
Amicalement. Ramina.
Bonjour Peter.
RépondreSupprimerBien sûr ! Au diable (s'il existe)le vouvoiement protocolaire!
Photoshop est une usine à gaz pas facile à appréhender. Je ne demanderais pas mieux que de t'aider... Mais comment ?
Peux tu m'envoyer ton adresse mail ? ramina16@laposte.net
Cordialement
Ramina
Bonsoir Ramina,
RépondreSupprimerC'est parfait. Puisque tu es d'accord.
Je t'envoie tout çà.
Amicalement. Peter.
(tu as du rire en voyant la signature de mon message d'hier. Une erreur d'effacement de formule).
Ben oui, plutôt drôle... Tu pourras rigoler aussi le jour où je signerai Peter !...
RépondreSupprimerRamina.
Madame Klakerspank,je souhaiterais un rdv svp
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