jeudi 25 avril 2019

2ème visite chez Kassandra

Après une 1ère visite il y a quelques mois, j’ai décidé de retourner voir Kassandra pour recevoir une nouvelle fessée. Je la contacte donc par e-mail en lui proposant un scénario bien précis :

« Madame,

Vous êtes la directrice du lycée dans lequel j’étudie.
J’ai dépassé les bornes avec mon professeur de maths en l’insultant, et je suis convoqué chez vous demain à 15h. Je sais à quoi m’attendre, la sanction est de 5 coups de Paddle, donnés sur les fesses, par-dessus les vêtements. Tradition américaine. 
D’autres élèves m’ont informé de la puissance de ces coups et de leur bruit sourd. J’ai peur mais je n’ai d’autre option que de venir.
Après cette punition, vous me demanderez si j’ai apporté comme convenu les 300 lignes « je ne traiterais pas mon professeur de maths de con ». 
Malheureusement pour moi je ne les ai pas faites... »

Le jour venu, je commence à me dire que j’y suis peut-être allé un peu fort. N’ayant jamais reçu de coups de paddle, j’ai peur de la douleur que cela peut provoquer, d’autant que cela aura lieu en début de séance. Cependant cela m’excite terriblement, ayant grandi aux états unis, cela me rappelle les « school swats » donnés aux élèves de certains collèges. Je n’en ai jamais eu pour ma part mais me suis toujours demandé à quel point cela pouvait être douloureux...

J’arrive sur le lieu du rendez-vous.

Kassandra m’ouvre la porte et me dit sèchement :

« Tu sais pourquoi tu es là ? »
Elle ne plaisante pas. Rapidement, la voilà avec un paddle à la main, et elle me demande de me positionner sur la commode. 
« Tu vas recevoir 5 coups de Paddle »
J’ai peur. Je suis impressionné par sa volonté d’appliquer à la lettre le scénario.
Le premier coup tombe sur mon jean. Ça pique, mais rien de bien méchant.
Les 4 autres suivent, ça monte en puissance, mais je pense qu’elle n’a pas voulue trop en faire, en gardant un peu pour la suite...

« As-tu amené les 300 lignes ? »
« Non. Je ne les ai pas faites, la punition au paddle me semblait déjà chère payé. »
(N’ayant pas trop souffert, j’ajoute volontairement un peu de provocation)

« Ah bon... pour qui te prends-tu ? Est-ce à toi de choisir si une punition est suffisante ? Viens ici, viens sur mes genoux, tu vas voir. »

Elle s’assoit sur une chaise et me demande de la rejoindre.
Elle déboutonne mon jean, me baisse le pantalon puis me bascule sur ses cuisses. J’ai honte.
Immédiatement, une série de claques vigoureuses s’abattent sur mon caleçon. Diable ! Sa main est déjà plus puissante que le paddle. Rapidement cela me brûle et devient difficile à supporter.

« Tu vas voir ce que je fais aux garçons qui insultent leur professeur de math »
Elle insère les bords de mon caleçon dans la raie de mes fesses et redouble d’intensité... CLAC CLAC CLAC
Je me demande comment sa main peut faire autant de ravages. Après une bonne centaine de claques, elle me demande de me relever et d’aller au coin.
« Va au coin, les mains sur la tête. Tu penses toujours que ton prof de maths est un con ? »

Malgré la brûlure, je décide de continuer à la provoquer un peu, voir ce que cela donnera...

« Oui, en quelques sortes. En tous cas je ne l’apprécie pas »

« Ah bon ! Parce que toi tout le monde t’apprécie ? Pour qui te prends tu ? »

Je l’entends qui se déplace derrière moi. Je crains qu’elle ne s’approche de trop près.

« Retournes toi. Choisi un instrument. Je vais te montrer ce qui arrive quand on insulte son professeur. »

Sa panoplie d’instruments est pour le moins qu’on puisse dire complète... je sélectionne une cravache, n’ayant jamais connu les sensations de cet instrument.

« Couches toi sur ce banc à fessée. »

Dès le premier coup, je regrette mon choix.
Ça claque comme un coup de fusil et ça brule très fort. Elle semble taper de toutes ses forces.
Au bout d’une vingtaine de coups, elle augmente encore la vitesse, j’entends siffler la cravache dans l’air avant qu’elle s’abatte violemment sur ma fesse. C’est terrible, je suis à bout. 

Puis elle s’arrête. La cravache que je haïssais se met à me caresser les fesses et les cuisses dans une douceur formidable. Je frissonne. 

« Je vais terminer avec ma main, 30 claques sur chaque fesse. »
Je me sens soulagé, mais...

Clac clac clac clac clac clac...
Elle frappe de toutes ses forces, à une vitesse folle, la même zone de la même fesse. Après le passage de la cravache, c’est une épreuve terrible. Je craque et je sens les larmes monter. Elle termine avec la fesse droite. 

« Je m’excuse, je serais désormais exemplaire avec mon professeur de maths ».

J’ai eu mon compte. La punition a été mémorable.

Je rentre chez moi, les fesses en feu.
Le lendemain, je ressens des picotements lorsque je m’assois. La cravache a laissé des traces bleutées. Je repense à ma punition... en imaginant le scénario de la prochaine.

Pierre


D'autres récits de visites chez Miss Kassandra

Celles de Lucas : il nous a faire par de sa première visitechez Miss Kassandra, il y a quelques temps et puis de la deuxième et il y en a eu une troisième
Quand à Pierre, il ne nous a pas fait part, sur ce blog, de sa première visite.

8 commentaires:

  1. Bonjour,
    La main de madame Kassandra est plus puissante que le paddle !!! Bonne nouvelle pour lutter contre la déforestation. Inutile d'abattre des arbres pour fabriquer des battoirs en bois. Une bonne fessée déculottée à la main est tout aussi efficace à bien rougir une paire de fesses... Et revaloriser le travail manuel!
    Cordialement.
    Ramina

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    1. bonjour
      A vous lire cela sur la fessée de madame Kassandra, si je n'était pas si éloigné je me tenterait bien à aller la voir et sentir sa main très énergique, pour corriger mes faiblesses.

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    2. Bonjour
      j'ai rencontré miss Kassandra le 7 avril mon récit se trouve dans la rubrique
      luca chez miss Kassandra du 22/11/2018 commentaire anonyme du 10/04/2019
      M

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  2. Bonjour
    Je vais bientot recevoir une fessée par Miss Kassandra j'ai un peu peur.
    Je n'en ai jamais recu de fessées.

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  3. Lou,
    C'est un mauvais moment à passer, surtout quand il s'agit d'une première.
    J’espère que vous nous en ferez le récit.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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  4. Bonjour
    Pourquoi c'est un mauvais moment a passer?
    Quand j'ai été sur son site les gens qui ont été chez elle en sont ravi.
    L.

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  5. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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    1. Bonjour Lou,
      Un bon moment et vous n'en dites pas plus ? Ce que vous nous livrez est famélique ! Un petit effort; s'il vous plait.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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