samedi 19 octobre 2019

Madame Caroni - chapitre 16

« Lorena, ma chérie, tu t’occupes de Benoît ? Je vais chez Ludovic !
– Pas de souci, Maman ! Je me charge de tout. Sois tranquille ! »
Benoît rentra la tête dans les épaules. Le moment fatidique se rapprochait. Comment était-ce possible ? Il ne bougea pourtant pas de sa place.
Il dut cependant attendre encore quelques minutes avant que Lorena lui annonçât tranquillement :
« Maman m’a dit que je devais te donner une fessée avant de te raccompagner chez toi pour le dîner. Il serait temps qu’on s’y mette, tu ne crois pas ? »
Non ! avait envie de hurler Benoît. Mais il ne dit rien. Son cœur se mit à battre un peu plus vite et il sentait ses jambes se dérober sous lui. Son estomac se noua. Et s’il était malade, cela retarderait-il la fessée ?
« Allons, arrive ! Je sais que prendre une fessée est un mauvais moment à passer, mais je crois que tu l’as méritée. »
Benoît s’aperçut qu’il n’avait pas d’argument pour réfuter ce que Lorena venait de lui dire. Elle lui prit une main et elle le fit pivoter. Sans oser mettre son autre main devant son sexe, Benoît se contorsionnait pour échapper au regard de la jeune fille.
« Si c’est que je voie ton zizi qui t’inquiète, il faut que tu te rassures. Tous les grands garçons sont faits pareils et ce n’est pas la première fois que j’en vois un la culotte baissée et ni la première fois que je donnerai la fessée à l’un d’entre eux. Je sais comment faire, tu n’auras pas à t’en plaindre. »
Ludovic se demandait si, au contraire, il n’aurait pas à s’en plaindre. Le temps pour faire le tour de la question lui manqua. Il aurait fallu qu’il se libère de la main de Lorena qui tenait son poignet. Cela n’aurait pas posé de difficulté physique particulière, mais il n’était pas en capacité d’en estimer les conséquences. Qu’en dirait Madame Caroni ? Elle ne pourrait qu’en être fâchée. Quelle serait sa réaction ?
Cette gamine qui l’entraînait vers le canapé n’avait aucun égard pour sa pudeur. Sauf à résister, il n’avait pas le temps de dissimuler ses organes génitaux et il devait les laisser à la vue de Lorena. Elle l’emmenait vers le lieu de sa prochaine punition avec une telle certitude d’être dans son droit qu’il n’osait le contester. Peut-être était-ce dans la logique des choses.
Il n’était toujours pas arrivé à des conclusions définitives avant qu’il se retrouvât allongé en travers des genoux de Lorena. Nul doute qu’elle pensait avoir toute légitimité pour le corriger. N’était-ce pas la stricte vérité ?


Margherita enfonça la clé dans la serrure. Elle devait être discrète pour surprendre ce que faisait Ludovic. Elle pensait qu’il était resté sagement dans le coin, là où elle l’avait mis, mais elle ne le connaissait depuis bien trop de temps pour en être absolument certaine. Elle avait encore besoin de vérifier si l’obéissance qu’il montrait quand il était en sa présence, résistait à de longues minutes passées au coin. L’expérience de la veille n’avait pas été très concluante, mais c’était la première fois que Ludovic avait été mis au coin. Il fallait lui laisser au moins une deuxième chance avant d’en tirer des conclusions définitives.
A sa grande satisfaction, Ludovic était là où elle l’avait laissé. Elle n’avait aucune raison de penser qu’il en avait bougé pendant son absence. Sa position, immobile dans le coin avec tout le bas du corps dénudé le faisait plus ressembler à un enfant qu’à un adulte. Il avait l’air si fragile et si repentant qu’elle l’aurait volontiers pris dans ses bras pour le consoler.
« Il lui faudra, de dit-elle, quelques fessées, bien sûr, mais je pense qu’il sera bientôt un grand garçon adorable et bien obéissant. Il faudra que je l’en récompense. »
Elle fit un peu de bruit et constata que Ludovic rectifiait sa position, se redressant et se calant plus profondément dans le coin.
« Sa première fessée il y a vingt-quatre heures et il est déjà si obéissant. »
Puis Madame Caroni rectifia son jugement sur ce qu’elle avait réussi à produire en aussi peu de temps en convenant que l’éducation que lui avait donnée se sœur ne devait pas y être pour rien. Elle était donc loin d’en être la seule responsable.
« Ludovic, tu vas dans ta chambre ! »
Ludovic passa à côté de Madame Caroni, craintif à l’idée de mériter encore quelques claques. Sa voisine le talonnait dès qu’il s’engagea dans le couloir.
« Allons, avance ! »
Elle tapotait les fesses de Ludovic, de petites tapes affectueuses pour l’encourager et pour qu’il ne se sentent plus puni. Ludovic n’était pas certain que cela ait provoqué l’effet recherché. Il se sentit plus rassuré quand Madame Caroni s’assit sur le bord de son lit et qu’elle lui présenta une culotte propre à enfiler. C’était la deuxième fois qu’elle l’habillait. Il aurait préféré le faire seul, mais il avait bien compris que Madame Caroni ne lui donnait pas le choix. Elle s’y prenait délicatement. A part le sentiment d’être redevenu un petit garçon qu’on habillait, cela n’était pas franchement désagréable.
« Je vais surveiller comment tu fais attention à la propreté de ta culotte. A partir d’aujourd’hui, tu viendras faire pipi chez moi. Je te montrerai comment rester propre. »
Sur le moment, Ludovic pensa avoir mal entendu. Mais il dut se rendre à l’évidence.
« Pour le moment, tu files aux toilettes. »
Madame Caroni le prit par les épaules pour lui faire faire un demi-tour et une petite claque sur le fond du pantalon lui donna le signal du départ. Dès qu’ils furent arrivés aux toilettes, elle baissa le pantalon de Ludovic, puis sa culotte. Elle l’assit sur les toilettes.
« Tu fais pipi, puis tu m’attends sans bouger ! Je reviens. »
Ludovic pensa un court instant à objecter qu’il n’avait pas envie, mais cette pensée déraisonnable ne résista pas longtemps à l’examen de la situation. Sa culotte était déjà baissée… ce qui faciliterait d’autant l’administration d’une fessée. Il était préférable d’en passer par là où Madame Caroni voulait le faire passer. Il se prépara à une longue attente.
« Je te conseille de faire pipi, autrement, je pourrais prendre cela pour une désobéissance ! »
Madame Caroni le laissa là et elle sortit de l’appartement.


Pendant ce temps-là, à l’étage en-dessous, Lorena finissait la punition de Benoît. La règle qu’elle tenait à la main claquait sèchement sur les fesses. Le bruit qu’elle faisait résonnait un peu dans la pièce, mais il était couvert par le vacarme que faisait Benoît.
« Je vais te punir, lui avait-elle dit avant de commencer, parce que tu as voulu empêcher Maman, je veux dire Zia Margherita, de te punir correctement, en mettant ta main pour protéger tes fesses. »
Il n’avait pas eu l’impression d’avoir eu cette intention, mais le résultat était le même.
« Zia Margherita m’a bien recommandé de te donner une sévère fessée. Si tu interpose encore ta main, tu auras une autre fessée, et encore une autre si nécessaire jusqu’à ce que tu nous laisses faire. Quand nous te transformerons ton postérieur en une fournaise, c’est que tu l’as mérité et que tu en as besoin. C’est une leçon difficile, mais tu vas devoir l’apprendre. »
Lorena avait commencé directement la fessée avec la règle. Benoît pensait que le long temps passé au coin aurait suffi pour retrouver un épiderme capable de supporter, au moins au début, la cuisson que provoqua Lorena. Il n’avait pas l’intention de montrer à une gamine qu’elle arrivait à le punir au point de l’obliger à extérioriser son repentir.
Il ne tint pas une minute.
Au-delà de ce court moment, il avait oublié l’âge de la personne qui le corrigeait. Il tendait tout son énergie pour éviter que sa main ne vienne à la place qu’elle voulait absolument occuper, à plat sur ses fesses pour les protéger. Lorena nota tous ces efforts. Il était évident que Benoît intégrait la punition comme une séquence dont il avait besoin pour réparer le comportement irresponsable dont il s’était rendu coupable.
Elle pouvait arrêter la fessée. Le plus gros du message était passé et les longues traces sombres sur l’épiderme fessier de Benoît en attestaient.
« Va récupérer quelques minutes au coin avant que je ne te ramène chez toi. »
Dans sa précipitation à obéir aux ordres de celle qu’il ne considérait plus du tout comme une gamine, Benoît se prit les pieds dans son pantalon et il trébucha, sans, heureusement, tomber, mais en se cognant le nez contre le mur.
« Fais un peu attention, gronda Lorena ! »
Benoît ne prit pas garde à la douleur venant de son nez. Celle qui émanait de ses fesses étaient bien plus vive et il y avait urgence à se caler au coin, là où sa courte expérience lui laissait croire que le risque d’une fessée était bien moins important qu’à petite distance de Lorena. La dizaine de minutes qui suivit lui donna raison.

« Il est temps de rentrer chez toi, allez, dépêche-toi, on y va. »
Précipitation ? Malchance ? Manque de pratique ? Benoît marcha sur le bout d’une des jambes de son pantalon, ce qui compromit son équilibre. Pour se rattraper, il voulut écarter les jambes, ce qui était impossible avec un pantalon baissé sur ses chevilles. Il se serait allongé aux pieds de Lorena si les réflexes de cette dernière ne lui avaient pas permis de retenir Benoît suffisamment longtemps pour qu’il retrouve son assise naturelle, sur ses deux jambes.
« Quel maladroit ! Deux fois en dix minutes ! Mais tu vas te faire mal, mon garçon ! »
Benoît ne trouvait maintenant plus du tout scandaleux qu’elle l’appelle ainsi. Son niveau d’exigence avait considérablement baissé après cette deuxième fessée.
« A ce rythme-là, je ne vais jamais arriver à te ramener entier chez toi. Il vaut mieux que je prenne quelques précautions. »
Lorena courba Benoît sous son coude. Il serra les fesses. Une nouvelle fessée ? Il aurait volontiers protesté s’il l’avait osé. Ce n’était pas de sa faute si sa maladresse, en se précipitant pour obéir, lui avait fait perdre l’équilibre. Cela ne méritait pas une fessée. Il s’y était pourtant résigné. Les décisions de Lorena avaient force de loi.
Les claques ne venaient pas. Par contre, Lorena essayait de lui ôter son pantalon, mais les chaussures de Benoît constituaient un obstacle infranchissable.
« Je n’y arrive pas comme cela, viens avec moi ! »
Lorena recula vers le canapé, sans changer la position dans laquelle elle avait mis Benoît. Une fois assis sur le canapé, la manœuvre fut grandement facilitée. Lorena commença par ôter les chaussures de Benoît et le pantalon glissa tout seul. Il ne restait plus qu’à remettre les chaussures aux pieds de Benoît, ce dont Lorena se chargea.
« Attends, je remonte ta culotte. »
Benoît se sentit bien plus à l’aise une fois ses fesses recouvertes par un sous-vêtement. Lorena plia le pantalon sur son avant-bras.
« En route ! Je te ramène chez toi ! »

Ce ne fut que quand Lorena ouvrit la porte en grand et qu’elle lui montra l’espace libre dans la cage d’escalier que Benoît comprit que Lorena envisageait de la raccompagner chez lui dans cette tenue.
« Mais, mon pantalon… il faut que je le mette !
– Tu n’en as pas besoin pour un aussi petit trajet, mais si ta tenue ne te convient pas, je peux t’ôter ta culotte, si tu préfères ! »
Non, Benoît ne préférait pas. Il sortit précipitamment de l’appartement.
« Eh bien, voilà ! Quand tu veux ! »
Lorena le conduisit devant la porte de l’ascenseur. Il n’arriva pas tout de suite. Sans doute était-il utilisé par une autre personne. Benoît trouvait les minutes très longues. Plus longtemps il resterait là, plus il y aurait un risque qu’un voisin survienne et l’aperçoive dans cette tenue. Comment l’expliquerait-il ?
Cette angoisse passa vite au second plan.
« Y aura-t-il quelqu’un dans l’ascenseur, se demandait Benoît avec une angoisse croissante, quand la porte s’ouvrira ? »
L’attente ne fut pourtant pas bien longue, mais elle dura des heures pour Benoît qui se demandait bien comment il arriverait à dissimuler se tenue, ce qui était impossible. Comment justifier ce qui se passait ? Il ne pouvait pas expliquer qu’il venait de prendre une fessée et que c’était pour cela qu’il se promenait en culotte dans l’escalier ! Quelle contenance prendre ? Que penserait la personne rencontrée ?
L’angoisse monta quand il entendit des pas dans l’escalier. Une personne descendait et elle déboucherait dans quelques secondes à l’étage où Lorena et lui attendaient. Ses jambes faillirent se dérober sous lui quand il aperçut des jambes féminines.
« Ah Lorena ! Tout s’est bien passé ? »
Benoît sentit une vague de bonheur l’envahir. C’était Madame Caroni. Ce n’était que Madame Caroni !
« Parfaitement, Maman, il n’a fait aucune difficulté. Je le raccompagne chez lui et je reviens.
– Je te laisse faire. Tu te débrouilles très bien ! »
Madame Caroni rentra chez elle sans plus s’occuper de ce qui arrivait à Benoît.
Quand l’ascenseur s’arrêta à l’étage où Lorena et lui attendaient, la sueur coulait du front de Benoît. Il resta un moment sans respirer, le temps que la porte s’ouvre. Il n’y avait personne. Benoît eut un hoquet nerveux, mais il était soulagé.
« Encore quelques minutes et je suis à l’abri chez moi. »
A ce moment précis, la deuxième fessée prévue pour ce soir semblait une péripétie de peu d’importance. Il y avait fort peu de risque de croiser quelqu’un… à moins qu’il n’y ait une personne à attendre au quatrième étage pour emprunter l’ascenseur ?
« Tiens, mets-toi au coin ! ça te rappellera que tu es encore puni ! »
Benoît sentit que l’ascenseur s’arrêtait. La porte s’ouvrit. Tous ses muscles étaient tendus à se rompre. Le bruit de la porte qui coulissait.
« Oh… mais qu’est-ce que…
– Ne soyez pas inquiète, Madame, répondit Lorena. Je raccompagne ce jeune homme chez lui. Ma mère a dû être un peu ferme pour lui faire comprendre que certains comportements n’étaient pas admissibles. »
Lorena prit Benoît par le bras et lui fit faire demi-tour. Il reconnut tout de suite la propriétaire de la voix féminine qui avait marqué son effarement en l’apercevant au fond de l’ascenseur. C’était la jeune femme qui habitait à côté de chez lui. Ils ne se connaissaient pas particulièrement, mais ils se croisaient régulièrement. Elle aurait maintenant une toute autre vision de lui et il ne saurait plus comment se tenir en sa présence.
Une claque sur les fesses lui ordonna de se mettre en marche. Les yeux de la jeune femme s’arrondirent. Benoît pensa à protester, mais il en devina à temps les conséquences. Lorena n’hésiterait pas à le fesser sur place, voire à le déculotter en présence de la voisine. Il était préférable de faire profil bas.
La jeune femme s’engouffra dans l’ascenseur sans avoir réussi à articuler une phrase complète, pas même un bonjour, ni un au revoir.
« J’ai l’impression qu’elle ne s’est pas remise de te voir dans cette tenue. Il y a pourtant des chances qu’elle doive s’y habituer. Ce ne sera certainement pas la seule fois, si j’ai bien compris les intentions de Maman, n’est-ce pas ? »
Benoît ne savait pas quoi répondre. Il ne pouvait tout de même pas confirmer la prévision de Lorena !
« Tu ne réponds pas ? Ce n’est pas très poli de ta part ! »
Une claque sur les fesses confirma la réprimande.
« Tu as besoin d’apprendre la politesse, c’est comme cette jeune femme. Quelques fessées lui feraient sans doute le plus grand bien ! »


Madame Caroni se dirigea tout droit vers les toilettes sur lesquelles Ludovic attendait son retour. Il n’avait pas bougé.
« C’est bien ! Tu as été sage ! As-tu fait pipi comme je te l’avais dit.
– Oui Madame. »
A sa grande surprise, la miction s’était déclenchée quelques minutes après que Madame Caroni l’avait laissé sur la cuvette. Il aurait pourtant juré qu’il n’en avait pas envie.
« Lève-toi ! »
Madame Caroni avait pris une feuille de papier hygiénique. Elle vérifia le contenu des toilettes avant de tirer la chasse d’eau. Puis elle se saisit de sa verge d’une main et de l’autre elle en essuya l’extrémité, absorbant la goutte d’urine que le prépuce avait retenue.
Le mouvement de recul de Ludovic fut imperceptible, mais Madame Caroni le sentit.
« Attention ! Laisse-moi faire ! Tu sais ce que tu risques si tu n’es pas obéissant ! »
Ludovic ferma les yeux. Oui, il savait et il ne souhaitait éprouver une nouvelle fois le courroux de sa voisine. Le nettoyage de son gland fut rapide. A son grand soulagement, elle remonta sa culotte, puis son pantalon. Cela s’était passé sans fessée, même pas une petite claque. Ludovic se dit qu’il s’en était bien tiré. Il était assez fier de lui.
« Je crois que tu as encore du travail à faire, si je ne me trompe pas.
– Oui, Zia, je m’y mets tout de suite. »
Il se dirigea vers la cuisine. Finalement, il suffisait d’être suffisamment attentif et obéissant pour que tout se passe bien.
« Je compte sur toit pour que tout soit parfait quand je viendrai vérifier. »
Sur cette dernière recommandation, Madame Caroni le laissa au ménage qu’il avait à finir dans la cuisine.


Madame Caroni et Lorena se retrouvèrent chez elles pour le dîner.
« Alors ? Coment ça s’est passé avec Benoît ?
– Avec lui pas de souci. Je lui ai expliqué qu’il devait t’attendre au coin. Oh, je l’ai autorisé à remettre son pantalon. Tu auras le mal de le lui baisser tout à l’heure.
– S’il n’y a que cela, ce ne sera pas d’une grande difficulté. J’ai l’impression qu’il a compris le niveau d’obéissance que j’attends de lui. Qu’a dit sa femme, Clémence ?
– Je ne sais pas. Rien. En fait je ne l’ai pas vue. Il y avait quelqu’un qui parlait au téléphone dans la chambre, ça devait être elle. Elle n’est pas venue voir ce que nous faisions.
– Etonnant, commenta Madame Caroni. Etonnant ! »


Vous avez loupé le début de l'histoire ?

Pas de problème, voici comment tout cela a commencé : le chapitre 1
 ... et ce qui s'est passé juste avant : le chapitre 15
On peut tous les retrouver sur la page "mes récits"

Il y aura une suite, bien sûr !

C'est le chapitre 17

Les commentaires...

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1 commentaire:

  1. Bonjour, JLG.
    Amis de la poésie et de la fessée à tous les étages... Bonjour aussi.

    Ce qu'il y a de bien dans ces histoires, du moins celle ci, c'est un peu comme dieu ( je vais mettre une majuscule quand même)... Comme Dieu donc, qui, paraît il, est partout et entend tout... Chez JLG, la fessée est partout et on l'entend itou!
    Dans l'escalier, sur les paliers, dans les appartements, dans les toilettes(ou presque), ça claque au rez de chaussée, au premier au deuxième... ça fesse en continue à tous les étages!
    Madame Caroni et Lorena se relayent sur les fesses de Benoit et Ludovic, on fesse à l'étage du dessus ou du dessous, on ballade son puni à moitié déculotté dans l'ascenseur ou on rencontre une voisine à peine étonnée de voir ces messieurs le pantalon sur les genoux, les fesses rougies par les fessées! Les désobéissants ne savent plus où donner du derrière. Le lecteur parcoure l'immeuble au rythme des fessées. Educatif et drôle en même temps.
    L'obéissance n'a pas de prix et le niveau exigé par ces dames est tout de même assez élevé... Surtout quand ça se passe à l'étage du dessus!
    On ne s'ennuie pas une seconde.
    Cordialement
    Ramina

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