LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
Tante Clarisse
Après
l'éprouvante séance de fessées du samedi précédent chez Béatrice Klakerspank ,
il fallut pas moins de trois jours à Robin pour retrouver l'usage normal de son
derrière, reprendre contact avec une chaise et supporter un slip. Et encore pas
trop serré comme ces diaboliques slips à fessée qui sanglait les fesses
sous la pression du nylon.
Trois
jours sans fesser Robin, c'était bien le moins que Gladys pouvait attendre. Les
raclées régulières administrées à son incorrigible Edouard, plus endurant, ne
suffirent pas à compenser l'indisponibilité du postérieur en convalescence
forcée, de son grand garçon, Sa main s'ennuyait ferme de ses belles grosses
fesses, qu'elle fit soigneusement entretenir, huiler et pommader par sa sœur
plusieurs fois par jour pour les rendre à nouveau opérationnelles et
performantes.
Sa
patience est enfin récompensée le mercredi matin, lorsque Robin descend prendre
son petit déjeuner à la cuisine, le slip gonflé à bloc d'un magnifique
postérieur entièrement régénéré, de nouveau prêt à l'emploi. Gladys, évidemment
ne rate pas l'occasion tant attendue du retour en forme de la belle paire de
fesses pour en tester aussitôt les qualités sonores. Elle n'a aucune difficulté
à trouver un prétexte. Un bol soit disant mal lavé, des miettes de pain laissées
sur la table... Immédiatement, c'est la fessée ! ... Le malheureux n'a pas
le temps de réaliser ce qu'il lui arrive. En deux temps, trois mouvements, il
se retrouve à plat ventre, sur les genoux de sa mère, déculotté slip aux
cuisses, les fesses retentissantes sous un tonnerre de claques. Cuisante et
crépitante, la fessée résonnent à plein sur le carrelage de la cuisine. La main
ferme, le coup de poignet nerveux, Maman se régale sur les fesses de son
garçon. Elle en savoure, avec gourmandise, la ferme élasticité qui rend ses
fessées si retentissantes.
Elle
prend tout son temps, la sévère maman, le temps de bien lui rougir le derrière
sur toute sa vaste surface.
«
Ah comme c’est agréable de retrouver tes fesses en pleine forme mon
chéri. ! S'exclame-t-elle en le reculottant sans ménagement. Cette petite
interruption de programme leur a fait du bien, elles claquent de mieux en
mieux ! »
Elle
caresse et tapote affectueusement les deux fesses enluminées d'un rouge
resplendissant parfaitement visible à travers le nylon transparent du slip
tendu à bloc. Un sourire radieux de satisfaction, illumine son visage
fraîchement maquillé.
«
Rien de tel qu'une cuisante fessée dès le matin pour bien commencer la
journée ! Tu n'es pas d’accord mon chéri ? »
Robin,
les fesses en feu, solidement reculottées dans un slip devenu trop serré, s'est
laissé tomber à genoux aux pieds de sa mère. Il a posé sa tête sur les belles
cuisses gainées de nylon sur lesquelles elle vient de le faire tortiller du
derrière, et l’implore, les yeux mouillés de larmes.
«
Oh maman... maman … Pourquoi tu tapes toujours si fort quand tu
fesses ? Et pourquoi la fessée dès le matin ?
Gladys
lui relève la tête en lui soulevant le menton d'un index tendu et le regarde en
souriant d'un air faussement affectueux.
«
Parce, mon chéri, un homme qui part au travail le derrière bien claqué,
fraîchement reculotté, est un homme averti qui devra avoir un comportement
exemplaire toute la journée. Il sait aussi que ses fesses devront rendre des
comptes en rentant à la maison. Depuis
le temps que je te corrige, tu devrais, aussi, savoir qu'une bonne fessée doit
faire mal, et pour ça il faut taper fort. D'ailleurs, je n'ai pas dû claquer celle-là
assez fort. Il t'en faudrait au moins une deuxième, plus sévère, ne serait-ce
que pour te faire passer l'habitude de poser des questions stupides.
– Ooooh
maman... S'il te plaît...
– Il
n'y a pas de s'il te plaît qui tienne... Ce sera pour ce soir, j'aurais
davantage de temps pour bien m'occuper de tes fesses. La prochaine fois que tu
oublieras de laver ton bol et d'essuyer la table après ton petit déjeuner, ce
ne sera pas une, mais deux fessées, l'une après l'autre !... Maintenant
monte t'habiller, et dépêches toi si tu ne veux pas arriver en retard à Ste
Marie et te prendre une nouvelle punition ! »
Robin
se relève en reniflant ses larmes et se précipite vers l'escalier en se tenant
les fesses à pleine main. La voix doucereuse de Gladys, le stoppe dans son
élan.
«
Et bien Robin... tu n'oublies rien ? » dit-elle tout en rajustant ses
jarretelles, détendues
pendant
la correction. Le malheureux mis sous pression se retrouve encore une fois pris
en défaut. Il lance un regard inquiet en direction de sa mère qui s'amuse
ouvertement de l'avoir piégé.
«
Qu'est-ce qu'on dit à maman qui a pris soin de t'administrer une si belle
fessée ?
Robin
blêmit et sent ses fesses douloureuses se crisper nerveusement dans son slip.
Gonflées par les claques, elles débordent des élastiques qui lui rentrent presque
entièrement dans la raie, .
– Euuuuh...
Mer... merci maman de m'avoir administré... une... une...
– Une
quoi Robin ?
– Une
fessée maman... Une si... si bonne fessée
– C'est
tout ce que tu as retenu comme remerciement ? Attention à tes fesses mon
chéri... ça va encore claquer !
– Euuuuh...
Non maman ! Non ! Merci pour la bonne fessée déculottée que j'ai
méritée ...
– Mais
encore ? Ce n'est pas fini !
– Oui...
merci maman … de m'avoir bien rougi les fesses...
– Bien !
Et pour finir ?
Robin
hésite en se frottant machinalement le derrière dans un mouvement réflexe.
« Euuuh...
jusqu'à la prochaine fessée qui sera encore plus sévère si je recommence mes bêtises.
«
Parfait ! Tu peux monter t'habiller. Et tu gardes ton slip à fessée pour
ressentir l'effet de cuisson le plus longtemps possible. Et n'oublie pas, on est mercredi, tu n'as pas
cours cet après-midi. Je veux que tu rentres directement à la maison sans
traîner en ville avec tes copains. Tu as du travail à faire. »
Robin
est aux ordres.
«
Oui maman, je rentre directement après mes cours...
–
Sinon ?
–
C'est... C'est la fessée !
–
Quand même ! Tu finis par comprendre ! »
Ce
mercredi midi, Robin, obéissant aux consignes, est rentré immédiatement après
la fin des cours. Il doit rester à la maison préparer un exposé pour le début
de la semaine suivante. Gladys a prévu d’aller avec Edwige, faire du shopping
en ville. Elles sont accompagnées de Clarisse Bellebouge, la sœur de Ma'am
Thérèz qu'elles ont rencontré récemment lors d'une invitation à prendre le thé
chez cette dernière.
Comme toutes ces Dames à forte personnalité,
proche de la cinquantaine, Clarisse est une femme à poigne au caractère bien
trempé. Sa silhouette imposante, toujours soigneusement mise en valeur dans des
tailleurs moulants très ajustés, attire le regard dès le premier contact. Sûr
d'elle et de son pouvoir de séduction, elle impressionne par son caractère
autoritaire. Son sport favori : La fessée ! En privé, comme en public
et en toutes circonstances, à la moindre occasion. Dans la famille Bellebourge,
tante Clarisse, est réputée pour son extrême sévérité et une infatigable
énergie à chauffer les derrières qu'elle convoque sous sa main. La puissance de
ses fessées, est redoutée de tous ceux dont les fesses déculottées ont pu se
retrouver à danser sur ses cuisses. Comblée par la nature à tous points de vue,
elle possède une large main aux doigts solides, faite pour la fessée et capable
de claquer aussi fort qu'un battoir.
La
belle femme est donc la tante de Gérôme et la mère du fameux Rodolphe.
L'incorrigible et insupportable cousin, roublard et manipulateur, toujours prêt
à accuser les autres de ses petits méfaits. Ce qui vaut à Gérôme un certain
nombre de fessées qu'il prétend souvent injustifiées. Mais, lui-même n'étant
pas un modèle de sincérité, les mamans, comme les sœurs et les cousines
prennent rarement la peine de discerner le vrai du faux. Les deux cousins, le plus souvent complices,
se retrouvent la plupart du temps à égalité devant les punitions. Ces Dames,
d'ailleurs, ne lésinent ni sur la fréquence ni sur la sévérité des fessées.
Tante Clarisse, toujours en recherche d'efficacité, y ajoute une tendance un
peu perverse à l'humiliation qui pimente agréablement ses séances de
corrections. Rodolphe et Douglas, son
mari, en font régulièrement l'expérience.
C'est
donc le jour de la virée boutique entre femmes que ces Dames effectuent assez
régulièrement. Gladys dans ce cas, ne rentrant qu'en fin de journée vers
19 h, Patricia sa sœur, en visite chez une amie jusqu'au soir, Robin est
tranquille pour l’après-midi. Mais sachant le garçon plutôt paresseux, Gladys
lui a bien fait la leçon avant. Il doit travailler sérieusement et faire un
certain nombre de recherches de documentation. Elle vérifiera en rentrant et
gare à ses fesses en cas de travail mal fait ! Sans le moindre enthousiasme
mais, sous la menace d’une fessée de plus, il s'était mis à travailler.
A
peine une demi-heure après le départ de sa mère, il reçoit un SMS de son ami
Gérôme qui lui propose de venir le chercher pour un tournoi de fléchettes
organisé par son cousin Rodolphe à l'Olympic. Le fameux Bar, qui leur
tient lieu de quartier général. La dernière fois qu'il y a traîné lui a
d'ailleurs valu une mémorable correction pour être rentré très en retard à
cause d'un séjour prolongé au comptoir. Il résiste (mollement) en expliquant
qu'il doit travailler sous peine de fessée. Gérôme insiste avec malice, lui
faisant valoir qu'il sera de retour dans deux heures maxi, qu’il lui restera
une bonne moitié de l’après-midi pour travailler, que c’est bien suffisant... Que
sa mère et sa sœur, absentes jusqu'à la fin de la journée, n’en sauront
rien.
Comme
il en mourait d’envie, il finit par accepter en se disant qu’avec un peu de chance,
effectivement, sa mère n’en saura rien … et qu’au pire, il recevra seulement
quelques claques sur les fesses pour un travail inachevé. Ce n'est pas ce qui
pourra impressionner un postérieur habitué aux puissantes fessées de maman.
Après
quelques parties de fléchettes animées et deux tournées de bière pression,
Robin, pas très rassuré quand même, est pressé de rentrer. Le souvenir de la
séance de fessées du week-end précédent lui a quand même un peu servi de leçon
(lire saison 1 chapitres 1 et 2). Il sort du bar avec Gérôme et Rodolphe qui
râle un peu. Il râle d'ailleurs souvent.
« Vous avez peut-être gagné mais n'avez fait que
tricher !
– C'est ça, bien sûr ! réond Gérôme, t'as perdu parce que tu joues
comme un pied !
Robin confirme en rigolant.
– « Ouais, t'as même envoyé une
fléchette dans le mur ! »
Mais soudain, dans la rue, catastrophe !... Il
voit sa mère avec Edwige et Clarisse à une vingtaine de mètres. Toutes les
trois en petits tailleurs pimpants, bien ajustés, ondulant du derrière et
claquant du talon aiguille sur le trottoir en papotant
joyeusement. Elles ne les ont pas vu ... Vite, Robin, le premier, commence à
faire demi-tour pour revenir se réfugier dans le bar mais au moment d'en
franchir la porte, il entend dans son dos la voix forte de sa mère.
«
Mais... mais ! Qu’est-ce que tu fais là toi ? C’est comme
ça que tu travailles ?
Il reste muet, interloqué,
cherchant désespérément quelque chose à dire ... Edwige répond spontanément à une question qu'il n'a
pas formulée.
«
Beaucoup trop de monde en centre-ville, on a décidé de faire nos
courses ici …
–
Et oui mes petits messieurs... Pas de chance...Pris la main dans le sac ! »
Ajoute
Clarisse avec un petit sourire ironique. Gladys,
manifestement trouve cette explication sans intérêt, elle gronde furieuse.
«
Non mais ce n'est pas vrai, comment voulez-vous leur faire confiance, dès qu'on
a le dos tourné c'est bêtisé sur bêtise ! Ça va te coûter cher mon ami, tu
files tout de suite à la maison, et attends-toi à t'en prendre une sévère,
c'est moi qui te le dis ! »
Clarisse,
qui contient encore sa colère, mais pas pour longtemps, interpelle son fils
d'une voix tonitruante.
«
Et toi Rodolphe, encore dans le coup, forcément ! Tu n'as rien de mieux à
faire que de passer l'après-midi au bistrot à jouer aux fléchettes et
d'entraîner les autres ! »
Le
jeune homme regarde sa mère, pétrifié sous son écrasante autorité. Pris en
flagrant délit de désobéissance. Sa sévérité n'a pas de limite. Il sent déjà sa
terrible main claquer sur ses fesses déculottées. Elle le sait à sa merci et
continue de le sermonner avec un plaisir manifeste.
–«
Monsieur n'a pas de travail pour demain ? Non ? Monsieur n'a pas
besoin de travailler ? »
Puis,
se tournant vers Gérôme qui essaye de se faire aussi transparent qu'un slip à
fessées en nylon tendu sur un derrière.
«
Et toi Gérôme ? Elle est courant ta mère de ce que tu fabriques aujourd'hui
avec ton cousin ? Tu n'as pas honte ? Quand elle va savoir ça, elle va-t’en
mettre un bonne mon cher neveu ! »
Edwige, ne peut s'empêcher
d'en remettre une couche et prend un petit air faussement moralisateur en
parlant comme si elle s'adressait à des enfants.
–
« Oh les vilains garçons... C’est pas bien çà, d’être
désobéissant ! Et désobéir à maman, c’est la fessée ! La fessée déculottée ! … Et quand on a
des paires de fesses aussi bien développées que les vôtres, les fessées cela
fait mal ! Très mal... C'est fait pour ça ! “
Clarisse se réjouit ouvertement de l'occasion
offerte. Une seule correction ne suffit pas à satisfaire ses exigences
disciplinaires. C'est une véritable tournée de fessées qu'elle prépare déjà
pour punir son incorrigible garnement.
Elle sourit à Gladys avec un petit air satisfait.
– « Pour ça, on a de quoi faire, ils ont de belles grosses
fesses bien rebondies”
– Oui, on va s'en occuper, on a
l’habitude ... eux aussi d'ailleurs...Ah
ils vont s’en souvenir les petits chéris, les fesses vont leur cuire
! »
Robin esquisse une dernière
tentative d'explication, forcément mensongère.
«
Maman, je suis juste venu demander un renseignement à
Gérôme … c’est pour mon exposé .
– C'est cela oui ! Parce que, maintenant,
c'est au bistrot que tu viens chercher de la documentation, pour ton
travail ! Tu te fiches de moi là ? »
Dans
l'espoir de s'attirer les bonnes grâce de ces dames, Rodolphe y va sans
scrupule.
«
Oh c’est pas vrai Madame, il a joué toute les
parties avec nous ...même qu’il a gagné la dernière manche, c'est pas vrai
Gérôme ? »
Gérôme ne répond rien, mais
Clarisse furieuse de ce qu'elle vient d'entendre, réagit immédiatement. Elle saisit son garçon par l'oreille et le soulève
lentement d'une main ferme au point de l'obliger à se hisser sur la pointe des
pieds pour amortir la douleur. Les dents
serrées sur un sourire féroce, elle le fixe d'un regard dur.
«
Alors comme ça, non seulement on entraîne ses petits camarades, mais en plus on
les dénonce ! Ça ne te gêne pas que Robin se prenne une fessée à cause de
toi ! »
–
Ouille ouille, maaaman, moooon oreille... tuuuu fais mal ! De... de
toooooute... Aiiiie ! fa...faaaçon... il... il l'aurait eu saaaa...
fessée !
– Oui, et bien toi aussi tu vas l'avoir et tu vas
la sentir passer ! Tu files en vitesse à la maison préparer tes
fessssses !!! Pour accentuer la menace, elle appuie sur les ''S'' qu'elle
fait siffler à plaisir entre ses dents. Et prépare les bien parce que je te
garantis que ça va claquer sec ! »
Rodolphe
n'en même pas large devant sa mère. Du haut de son mètre soixante-quinze
rehaussé de dix-huit centimètres de talons aiguille, elle le domine d'une bonne
tête. Elle a de la poigne et elle le maintient en l'air sans difficulté par le
col de sa veste, la pointe des pieds touchant à peine le sol. Ce n'est plus le
petit monsieur hâbleur et arrogant qui fanfaronne auprès de qui veut
l'entendre, mais un petit garçon soumis de vingt et un an, tenu en respect par
sa mère sous la menace de la fessée. Et il craint par-dessus tout les
humiliantes fessées déculottées qu'elle lui administre, à la maison comme en
public. Ce qu'elle fait sans états d'âme sur le trottoir, devant ces
Dames.
«
D'ailleurs, tu vas baisser ton pantalon et montrer à Gladys et Edwige comment
je t'ai appris à préparer tes fesses pour bien recevoir tes fessées !
Aller exécution !
Rodolphe
connaît l'inflexibilité de sa mère à obtenir ce qu'elle veut. Éberlué, il pleurniche
sans conviction.
–
« Mais... mais maman. Pas... pas ici dans la rue... pas sur le trottoir !
–
Mais si mon cher, dans la rue, pour que tout le monde te voie ! Tu baisses
ton pantalon, immédiatement et tu montres à ces dames comment tu dois
positionner tes fesses pour prendre tes fessées. Et puisque tu discutes les
consignes tu vas te déculotter entièrement, le slip sur les cuisses. Aller, dépêche-toi,
démonstration ! Ou je t'en colle
une tout de suite, en direct sur le trottoir ! »
Rodolphe,
tout piteux, obéit sans plus discuter. Dans la position où il est, droit comme
un ''i'' presque suspendu par le col par sa mère qui le tient à bout de bras,
son pantalon descend tout seul en accordéon sur ses chevilles lorsqu'il
déboucle sa ceinture.
«
Le slip Rodolphe ! Le slip aussi ! Tu obéis et tu te déculottes...
entièrement... Sinon c'est la fessée... sur le champ, devant tout le
monde ! »
Pétrifié de honte, il saisit l'élastique de
son slip de chaque côté de ses hanches et se déculotte lentement. Son slip très
serré l'oblige à tortiller des fesses pour parvenir à les dégager du nylon,
sous le regard goguenard des trois femmes et deux passantes hilares qui
semblent faire la leçon à leur mari en s'éloignant. L'élastique claque au
milieu des cuisses. La belle paire de fesses frissonne sous une légère brise
une peu fraîche.
–
« Déculottage réussi ! S'exclame Edwige avec un rire moqueur. Gladys rit
aussi.
Robin
et Gérôme suivent la scène, atterrés, muets comme la tombe d'une carpe !
C'est dire !
Imperturbable,
Clarisse semble prendre plaisir à continuer l'avilissante leçon d'obéissance en
pleine rue.
«
Et maintenant Rodolphe, explique à ces dames comment je t'ai appris à présenter
tes fesses pour bien recevoir tes fessées ? On t'écoute ! »
Le
pauvre garçon mortifié, tremblant, répond en murmurant d'une voix faible.
–
Je... je dois fléchir les jambes, cam... cambrées les reins très fort et
pousser sur les fesses pour les arrondir
au maximum en déployant toute la surface.
–
Bon début, mais ce n'est pas suffisant. Aller Rodolphe ! Pourquoi cette
position, s'il te plaît ? On t'écoute pendant que tu nous fais la
démonstration. Aller, aller ! Dépêche-toi ou c'est la fessée en
direct sur le trottoir ! Tu sais que je ne vais pas me gêner ! »
Le
malheureux n'a pas le choix et doit se soumettre aux exigences terriblement avilissantes
de sa mère. Il sait que, non seulement ça ne la dérangerait pas, mais qu'elle
prendrait un vicieux plaisir à lui claquer une bonne fessée déculottée dans la
rue, devant tout le monde et surtout ses deux copains. On est très loin du
Rodolphe arrogant des jours de frime. Celui-ci, conscient de devoir s'exhiber
en pleine rue, transpirant de honte, répond à la dernière question. Les larmes
aux yeux, il met docilement son gros fessier tendu dans la position qu'il vient
de décrire.
«
C’est pour mettre mes fesses a la disposition de maman et qu'elle puisse les
corriger tout à son aise. Elle dit que les fessées claquent beaucoup mieux sur
des fesses bien tendue et bien présentées... Bref silence. Je peux me reculotter
maintenant maman ? Maman... s'il te plaît ? »
Clarisse
fait semblant de ne pas avoir entendu. Un grand sourire de satisfaction sur les
lèvres, elle se tourne vers Gladys et Edwige qui ont suivi la leçon de
maintient avec grand intérêt.
–
« Voyez comme je l'ai bien dressé mon petit Rodolphe. Docile, obéissant, il me
met ses fesses à disposition sur commande, comme Douglas son beau-père. A force
de se faire claquer régulièrement le derrière ils ont fini tous les deux par
comprendre. Dès que j'annonce une fessée, ils se précipitent sur mes genoux
pour me présenter leurs fesses à déculotter. Et pour les récompenser de leur
obéissance, je les fesse longuement, sévèrement, sans tenir compte de leurs
pleurs et supplications. Comme quoi, on
finit toujours par obtenir ce que l'on veut avec de la persévérance...
–
Et une main ferme ! Ajoute Gladys en échangeant un clin d'oeil avec
Edwige. ».
Sur
ce, Clarisse s'approche de son fils, toujours en position, et lui soulève le
derrière de deux énormes claques sur chaque fesse qui manquent le projeter par
terre. Il gémit en se redressant pour reprendre la position qu'elle à exigé. Il
n'a pas encore reçu l'autorisation d'en changer.
–
J'ai toujours du mal à résister devant une belle paire de fesses ! s’amuse-t-elle
avec un petit rire de gorge et un regard complice vers ses deux amies. Et
celles de Rodolphe claquent à merveille. Son ton se fait plus dur pour
s'adresser à lui. Tu peux te reculotter maintenant !... Tu files à la
maison et tu me les prépares pour la vraie correction cette fois ! En
arrivant, je veux te voir en position, à genoux déculotté sur ta chaise à
fessées, les fesses en attente, bien tendues, prêtes à claquer ! Allez oust, tu obéis, en vitesse ! »
– Oui maman ! »
Aucune
raison d'en épargner un ! D'un mouvement rapide et précis, Gladys fait pivoter
Robin sur le trottoir, descend à moitié son pantalon par derrière, lui tire le
slip dans la raie des fesses pour bien les dégager et lui balance deux
retentissants allers-retours. Ça claque tellement bien qu'elle lui en remet un
dans la foulée.
–
« Un avant-goût, pour la route, de ce qui t'attend, à toi aussi ! Maintenant tu
rentres à la maison en tenant ton pantalon baissé et tu ne
traînes pas ! On va voir si ton derrière peut gagner la dernière manche,
lui ! »
Edwige , en connaisseuse,
apprécie l'empreinte rouge de la main maternelle imprimée sur chaque fesse.
–
« Et bien mon cher Robin, ça s'annonce bien cuisant pour toi aussi. Je sens que
tu vas passer une excellente soirée sur les genoux de maman ! »
Les trois jeunes gens gens
filent effectivement sans demander leur reste, sous l'oeil goguenard de ces
Dames qui les regardent s'enfuir en riant. Clarisse semble impatiente de passer
à l'action. Elle claque du
talon aiguille sur le trottoir en lissant sa courte jupe sur son imposant
fessier.
–
« Et bien mesdames, le hasard nous donne l'occasion d'avoir chacune une belle
paire de fesses à corriger ce soir. Je vais parler à ma sœur Thérez de la
conduite de Gérôme. Il n'y a pas de raison qu'il échappe à la fessée, il fait
partie de la bande. On se téléphone pour se donner des nouvelles de nos
jeunes gens ! »
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici le précédent, c'est le chapitre 1
Il y a une suite, oui, mais il faudra attendre la semaine prochaine.
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerExcellent récit. Et plutôt inattendue, la tournée pour "les trois mousquetaires de la fléchette". Rires.
Voilà donc le moment de vérité pour l'infâme cousin Rodolphe !
Quel fayot !!! Dénoncer ses copains pour s'attirer les bonnes grâces de Maman Clarisse !!
Mam'e Clarisse (Isabelle Jacqueline) Bellburgh (Bellebourge)/ Comtesse de La Renardière / 45 ans / 1,75 m / 65 kgs / ex-Professeure de Philosophie / championne de Fitness / signes particuliers: ? / Surnom : Iron Girl / Mariée / 1 garçon / Divorcée...
Mais tel est pris qui croyait prendre, pour Roro !!
De toutes façons, ces Dames ne sont pas dupes de leurs manèges !!!
Et Gérome va faire la valse du martinet avec sa redoutaaaable Maman Térèze ! Et... ça va chauffeeeeeeeeeeeer !!
Amicalement. Peter.
Bonsoir Peter,
RépondreSupprimerOula, ça craint! Dans la famille Bellebourge, on hésite à demander la tante au pedigree plutôt original! Mam's Clarisse fesseuse émérite, ex pro-fesseur(se) de philosophie et championne de fitness!!! Ah ah! la théorie des paradoxes... une Intello de la fessée! Surnom "Iron girl" dit "Isa" la claque" ...
Effectively... Ro ro va déguster... le fourbe ! Depuis le temps qu'il passe à travers, le temps est venu des règlements de compte en travers ... des cuisses de maman!
Une fessée vaut mieux que deux tu l'auras...
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina,
SupprimerHum ! Voilà qui va présager d'une "tournée fessées-maison" pour ces Dames ! Je vois ça d'ici, dans le style :"ma bonne Clarisse, remettez-nous ça ! Mais sans glace, ma chérie !"...
J'aime bien votre expression "aussi transparent qu'un slip à fessées" ! Bien vu !
Gérome reste tout déconfit et penaud en tenue "de bonne famille". Rodolphe n'est pas sorti de l'auberge, ni du bistrot.
Chez Mam'e la Comtesse, ça va chauffer pour les fesses !
Amicalement. Peter.