LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
Rodolphe en mauvaise posture.
Rendus soudain obéissants sous la menace des fessées à venir, les
trois garçons essayent de marcher assez
vite avant de partir chacun de leur côté. Robin, les fesses à l'air, est un peu
à la traîne. Il trottine derrière d'une démarche ridicule. Pas facile de se
déplacer dans la rue en tenant son pantalon baissé sur le haut des cuisses. Son
slip, que sa mère lui a ordonné de garder bien enfoncé dans la raie des fesses
pour l'obliger à les exhiber avec l'empreinte rouge de sa main, le gène aussi.
Mais bien obligé de respecter les consignes sous peine de fessée
supplémentaire.
Arrivé à hauteur de son cousin, Gérôme lui flanque un coup de coude en
soufflant.
« T’es qu’un minable Rodolphe... Un
minable ! »
Il fait moins
le fier le Rodolphe. Il vient de dénoncer ses copains. Sa mère ne tolérant pas
ce genre de comportement, il sait ce qui l'attend. Les fessées qu'elle lui administre
sont terribles. Décontenancé et penaud, il bredouille une vague défense.
« J’ai pas voulu, je savais pas …. »
Mais ne sachant
pas comment s'en sortir, Il finit par dire n’importe quoi et avance des
explications stupides. Gérôme, furieux, continue à l’insulter tandis qu’il
trottine près de lui.
« Lâche ! Dégonflé !
Trouillard ! Ta mère va encore te flanquer une sacrée fessée. Et tout le
monde sait que ses fessées sont les plus cuisantes et les plus dures. Et c'est
tant mieux pour tes fesses, tu l'auras mérité encore plus que
nous ! »
Encore perturbé sous le coup de
l'humiliation que lui a fait subir Clarisse en l'obligeant à se déculotter dans
la rue devant tout le monde et à se ridiculiser face à ses copains, il ne sait
plus trop quoi répondre. Il essaye tout de même de trouver un argument pour
excuser sa trahison.
« Mais tu sais bien Gérôme, parfois il
faut dire la vérité sinon c’est pire après...
–
Ah ça te va bien de dire ça... Tu es encore plus menteur que nous !
Bon, on est arrivés près de notre rue, toi tu continues plus loin. Il se
retourne. Robin, dépêche-toi,
Je t'attends ! »
Robin, arrive
essoufflé, tenant son pantalon à deux mains.
« T'es
sympa ! J'arrive ! Mais qu'est-ce qu'on va
prendre. Et il faut qu'on soit arrivés les premiers pour avoir le temps de se
préparer comme on doit le faire. Sinon ça sera double ration. Je suis sûr que
ta tante va prévenir ta mère au téléphone.
– Sûr et certain ! Tante
Clarisse a déjà dû la mettre au courant. Elle ne va pas se gêner la Tante. Ça
l'amuse de flanquer des fessées ou de voir quelqu'un s'en prendre une. Et elle
tape dur ! »
Robin est arrivé devant chez lui. La
voiture de sa mère est déjà garée le long du trottoir. Il devait être là avant
elle. Il sait qu'il va s'en ramasser une sévère et qu'elle prendra prétexte de
son retard pour doubler sa punition. Elle n'admet pas devoir attendre ses
fesses quand elle a décidé de le corriger.
D'un geste amical de la main il salue son copain
qui repart en courant et, pas rassuré, essaye de se faufiler dans la maison le
plus discrètement possible. Précaution inutile, Gladys l'attend dans le salon, assise sur le
tabouret à fessées, la jupe relevée, toutes jarretelles dehors. Tenue
habituelle pour les séances de fessées en position sur ses genoux.
« Ah te voilà quand même ! Tu as encore traîné en route. Ça fait au
moins cinq minutes que je t'attends... Tu sais ce que ça va te coûter en plus
de la fessée annoncée tout à l'heure pour m'avoir désobéi et menti ?
– Oui maman... je suis désolé... je...
– Le pauvre chéri... il est désolé. Eh
bien moi, pas du tout, au contraire ! Tu me donnes une bonne raison de te
mettre deux fessées au lieu d'une !
– Mais... mais maman j'ai fait de mon mieux !
Et toi tu es en voiture ! »
Gladys lui glisse un regard amusé et
répond avec une parfaite mauvaise foi, qui le liquéfie sur place.
« Tu n'avais qu'à courir plus
vite mon ami ! Maintenant, amène-moi
tes fesses au lieu de discuter. Si tu continues comme ça à répondre sans arrêt,
tu vas t'en prendre une troisième ! »
Satisfaite
de sa réplique, un petit sourire narquois sur les lèvres, elle retrousse
tranquillement la manche droite de son corsage pour bien dégager la main qui va
fesser. Gain de temps appréciable, le pantalon est déjà baissé depuis les
claquées sur le trottoir, et son slip, toujours tiré en string dans la raie des
fesses, les dégage presque entièrement. Elle le déculottera entièrement pour la
fessée suivante.
La première fessée
claque sur un
derrière tressautant, parfaitement arrondi et tendu grâce à une cambrure de
reins, obtenue de force, au moment de la mise en place sur
les genoux. Après
un bref passage au coin et d'inutiles supplications, la deuxième fessée, plus
sévère, est exécutée slip aux cuisses, pour un meilleur rendement sonore et une
cuisson plus en profondeur. Robin, hurlant en rythme, encaisse ses deux fessées
l'une après l'autre. Il finit en larmes, effondré à genoux entre les cuisses de
sa mère, les fesses écarlates, tenues à deux mains. Maman est satisfaite.
Sévère mais juste, elle a sévi comme il fallait, sans concession.
Au
moment où démarrait la deuxième fessée de Robin et commençait la première de Gérôme,
à plat ventre sur les genoux de Ma'am Thérez, Rodolphe qui habitait un peu plus
loin que ses deux compères, venait juste d'arriver chez lui. Il est en nage, la
trouille au ventre. Il doit vite obéir à sa mère qui, elle, ne se presse pas de
rentrer pour le faire mariner dans l'attente de sa correction annoncée. Mais
elle peut arriver d’un moment à l’autre… Machinalement il pose les mains sur ses
fesses. Les cuisantes fessées qu'il reçoit régulièrement lui ont
considérablement développé le derrière. Il a maintenant un gros fessier bien
rebondi et surtout très endurant qui emplit à craquer les slips à fessées très
serrés que Clarisse lui fait porter en permanence. Il a l’impression de sentir déjà les claques
et le martinet, là, accroché, bien en vue, près de la porte d’entrée. Suivant à
la lettre, les consignes de sa mère, il va ouvrir la fenêtre en grand.
« Quand je fesse, je veux que ça se
sache...Pour ça, il faut qu'on entende claquer vos fesses quand je
les corrige ! Rappelle-t-elle souvent, péremptoire. Une bonne
fessée ça doit claquer très fort pour être entendues par le maximum de
gens ! »
Douglas
comme Rodolphe, mari et fils, qui en reçoivent régulièrement, ne partagent pas
vraiment cet avis. Mais les rares tentatives de protestation ou de simple
discussion sont invariablement sanctionnée par une fessée supplémentaire
accompagnée d'un rappel des règles pendant qu'elle les corrige avec autorité.
« C'est comme ça mes chéris, il faut vous
y faire ! La fessée doit être bien sonore quand elle n’est pas administrée en public,
comme celle-là par exemple. Cela fait partie des règles auxquelles vous
devez vous plier ! »
Rodolphe
est près de la grande glace du salon devant laquelle Clarisse s'installe pour
le corriger. Il se tourne, cambre les reins, tend son arrière train, et
commence à se déculotter en respectant le rituel imposé par l'exigeante maman.
Le pantalon d'abord, puis le slip qu'il descend à mi cuisses. Ses fesses
libérées de la pression du nylon et de la tension des élastiques, semblent
s'épanouir et s’étaler à leur aise. Il sent l’air qui les enveloppe. Une légère
brise venue de la fenêtre ouverte en caresse la surface frémissante. S'en est
presque agréable après sa course pour arriver à temps à la maison. Mais ça y est ! Il est déculotté et ses
fesses sont prêtes, claquables à merci ...Il devrait d'ailleurs plutôt
dire : claquables sans merci ! Il en est si conscient qu'elles se
contractent machinalement. Il repère quelques petites marques de corrections
récentes et appuie dessus...pour voir …
« Même pas mal ! Se murmure-t-il à lui-même, la fessée de ce matin est loin
derrière ! »
Il se
met à genoux sur sa “chaise à fessées”, appuie les coudes sur le dossier et
présente son derrière au maximum, en arrondissant les fesses, les tendant au
mieux, dans une attitude de provocation ;. Il regarde son postérieur dans
la glace en se parlant à voix haute.
« C’est vrai qu’il est bien rond, charnu à
souhait … Bien fait pour recevoir de bonnes claques qui vont bien le
corriger ! »
Il
redoute cette fessée qu'il sait tout de même avoir amplement méritée, mais
espère, malgré tout, obtenir un soupçon de clémence en offrant à sa mère une
surface bien présentée pour qu'elle puisse fesser à sa guise. Il savait à quoi
s’attendre en désobéissant, maintenant il doit assumer en présentant au mieux
cette paire de fesses bien rebondies.
De temps en temps, il se penche pour voir par la fenêtre si
Clarisse arrive. Elle doit revenir à pied et il aura le temps
de la voir venir. Pour le moment il ne voit que Bettina, la
voisine, toujours à guetter dans son jardin. C'est une jolie femme, un
peu perverse et sans gêne, qui doit sans doute à ses
origines Anglaises son intérêt féroce pour la fessée. La fessée qu'elle aime
administrer... sans modération, mais qu'elle ne déteste pas non plus recevoir à
l'occasion. Son imposant fessier gourmand d'émotions fortes, s'y prête à merveille.
Mais elle est tout aussi friande de fessées à consommer sur place, en
spectacle. Rodolphe, ne la déteste pas vraiment, mais il se méfie de ses
interventions intempestives lorsque sa mère le corrige. Il pense qu’en le
voyant rentrer précipitamment, elle a deviné qu’il s’est passé quelque chose et
elle doit espérer assister une fois de plus à une de ses nombreuses fessées. Ça
l'excite de voir Clarisse lui claquer le derrière en espérant toujours pouvoir
en disposer aussi. Alors dès que
l'occasion d'une fessée se présente, elle traîne dehors, prête à venir à la
fenêtre se régaler du spectacle et donner ses conseils de correction.
Tout d’un coup, Rodolphe saisit qu'il a laissé le martinet à sa
place. Il devrait sans doute aller le chercher et l’accrocher au dossier de la
chaise, prêt à servir. Il est inutile en effet d’espérer y échapper. Il se
relève donc et l’accroche, sous son nez, au dossier de la chaise à fessées.
Maman verra ainsi qu'il a suivi ses instructions, qu'il est en position prêt à
recevoir la fessée méritée, sans chercher à en éviter une sévère. Cela, pense-t-il naïvement, ne peut que
plaider en sa faveur. Comme s'il ne connaissait pas l'inflexibilité de sa mère.
Mais il espère quand même, vérifiant de temps en temps si son postérieur est
dans la meilleure position en essayant de le présenter encore mieux, exposé au
maximum. Il réfléchit tout de même à ce
qu'il pourrait inventer pour atténuer la punition.... mais finalement y renonce.
Clarisse est implacable et imaginer infléchir sa volonté de sévérité est aussi
illusoire que de penser pouvoir garder son slip pendant toute la durée d'une
correction.
Résigné sur son sort, il finit par penser, qu’au contraire, il
ferait mieux de trouver les bons mots pour se repentir humblement en lui
montrant sa soumission. Quelque chose dans le genre... A genoux sur sa chaise à fessée, la tête
basse, il se parle tout haut à lui-même, comme pour tester sa
supplique.
« Maman... Je t'ai désobéi et
je mérite la fessée. Une fessée déculottée très longue et bien cuisante sur mon
gros derrière tout nu ! Donne-la-moi s’il te
plaît ...Je te demande pardon et je te promets de ne plus recommencer. »
Connaissant sa mère, il nourrit aussitôt un
doute. Non, elle ne le
croira pas et cela ne changera sans doute pas grand-chose à ce qui
l'attend ...Mais on ne sait jamais. Il tente de se rassurer un peu en
pensant que c’est la meilleure attitude à prendre pour satisfaire ses
exigences.
Tout à coup, il entend un bruit de hauts talons qui claquent dans la rue ...c’est elle ! Il la voit arriver d’un air
décidé, le visage souriant. La perspective d'une correction à administrer la
rend toujours d'humeur joyeuse. Elle s’arrête pour parler à Bettina qui,
sentant de la fessée dans l'air, l’attendait pour savoir de quoi il retournait.
Il serre nerveusement les fesses lorsqu'il les voit tourner la tête vers la maison, Clarisse
faisant le geste de donner des claques avec sa main droite. Il comprend avec
appréhension, qu’elle invite la voisine à la suivre pour assister à sa raclée.
Elles arrivent toutes les deux, discutant le plus naturellement du monde de
l'influence du choix des positions sur l'efficacité des fessées.
A les
entendre, Rodolphe, malgré lui, en a déjà les larmes aux yeux. Dans un
mouvement réflexe de soumission il accentue encore sa position de grand
garnement qui attend docilement sa fessée. Un coup d’œil dans la glace par-dessus son épaule, il ne voit plus que son
volumineux postérieur, bien arrondi, rebondi et charnu... Il lui semble remplir
toute la surface du miroir.
Clarisse
fait passer Bettina la première, lui dit de s’asseoir et claque la porte
d’entrée derrière elle. Elle se débarrasse de son sac et de sa veste de tailleur et jette un
regard à l’emplacement habituel du martinet ...Puis, le voyant déjà accroché
près du visage de son grand garçon, fixe son fessier d’un air satisfait en
ôtant ses gants doigt après doigt.
« Alors
mon chéri, c'est bien on est déjà déculotté et on attend sa fessée... Elle
arrive ! Maman t'a laissé tout le temps de bien préparer tes fesses pour
trouver un beau derrière obéissant, prêt à claquer. J'ai invité notre amie
Bettina à notre petite séance récréative.
Tu vas donc nous régaler d'une belle danse des fesses »
Rodolphe
se trémousse sur sa chaise en poussant des petits gémissements craintifs. Forte de son autorité, et de
sa maîtrise de la situation elle continue à le sermonner.
« Tu
fais moins le malin maintenant, à genoux, déculotté sur ta chaise. Tu t’es bien amusé avec
tes copains,
que tu as entraîné au bistrot pour jouer aux fléchettes, au lieu de faire ton
travail !...
– C'est vrai maman... je n'aurais pas dû... je
te jure que...
– Tais
toi ! N'essaye pas de te trouver des excuses ! Parce qu'en plus, tu
me fais la honte de dénoncer ton ami Robin... devant sa mère et Edwige !
– Mais
maman...
– Ah ça
suffit ! Tu en as assez fait comme ça ! Maman, elle, va t’administrer une fessée dont
tu vas te souvenir longtemps ! Tu pourras toujours t’en vanter auprès de tes
copains ! La meilleure fessée que tu n’auras jamais reçue et qui va te
cuire les fesses pour un bon moment... Et ça sera loin d'être la dernière !
Monsieur prétend être adulte et se comporte comme un adolescent attardé pour
n'en faire qu'à sa tête. Eh bien,
on va voir çà tout de suite ! »
Elle le fait descendre de la chaise en le
tirant par l’oreille, s’y assieds confortablement, retrousse sa jupe sur ses jarretelles
et l'allonge d'autorité en travers de ses cuisses. Il n'essaye pas de résister
et tente de bafouiller ce qu'il a décidé de dire, alors qu'elle lui
positionne le derrière bien à sa main.
« Oh, Maman, j’ai beaucoup désobéi, et je mérite
une sévère fessée sur mes grosses fesses déculottées … Je sais …Tu vas me la
donner … Mais je te demande pardon, je te demande bien pardon Maman... Je
ne le ferai plus…
Ricanement de Clarisse qui s’adresse à
Bettina, avec un sourire d'exaspération.
« Cela fait...voyons...
cent fois,
mille fois ? Que j’entends cette chanson-là ! »
Bettina
suit, avec grand intérêt, les contorsions de Rodolphe pour se positionner sur
les cuisses de sa mère, fessier bien exposé, offert à la fessée. Elle jubile devant
l'imposant derrière déculotté.
«
Hummmm... C'est qu'on a droit à une magnifique paire, bien pleine et bien ronde ! Mais encore
beaucoup trop pâle... D'aussi belles fesses méritent de plus belles couleurs...
Vous allez y remédier, bien sûr, Clarisse. »
Le
regard salace, glissé sous les paupières mi closes, elle ajoute avec
obséquiosité.
« Je
peux vous aider à bien les rougir si vous voulez ...Vous allez avoir du travail
...Une solide paire de fesses comme celle-là, c’est fait pour encaisser de vraies
bonnes fessées. Il faut les faire claquer, fort et longtemps, toutes rouges et
bien cuisantes ! »
Clarisse
ne lui répond pas. La fessée ça la connaît, elle sait comment s'y prendre. Pour
taper fort elle a besoin d'une assise stable... d'un bon appui. Elle fait
rebondir plusieurs fois son large fessier sur la chaise tout en faisant sauter
celui de Rodolphe sur ses genoux pour le stimuler à le mettre bien en place.
– «
Allez Rodolphe, on se met en bonne position pour la fessée ! Mieux que çà !
tes grosses fesses en l’air bien présentées ! Bien exposées, Bien en vue
! Mieux que çà je te dis ! »
Rodolphe
n'a pas à discuter, il obéit et fait ce qu'il peut pour satisfaire l'exigeante
maman. Les mains plaquées au sol, il pousse sur ses bras, et creuse les reins
au maximum s'appliquant à bien faire ressortir ses fesses largement déployées.
Clarisse
prend son temps, s'amuse à entretenir son angoisse en retardant à plaisir le
démarrage de la correction.
– «
C'est presque ça, mais tu peux encore faire mieux. Aller fainéant... pousse
bien sur ton gros derrière... encore... encore, ordonne-t-elle en insistant à plaisir pour
l'humilier davantage devant la voisine ! Voyez-vous bien ses fesses Bettina ? Il les présente bien comme ça ou désirez-vous que je les oriente un peu plus dans
votre direction... Rapprochez-vous encore pour profiter pleinement de la
fessée que je vais lui administrer ! »
Bettina,
ne se le fait pas dire deux fois. Elle avance sa chaise et se met juste
derrière le malheureux courbé en deux, la tête en bas. Elle est Idéalement
placée pour ne plus voir sous cet angle qu'une monumentale paire de fesses
tendue vers le plafond. Elle croise haut les jambe en faisant crisser ses bas
nylon.
« D'où
je suis, je vais même pouvoir les sentir chauffer sous les claques. Dit-elle avec un petit sourire suave et un
soupçon de perversité. J'adore l'odeur des fesses chaudes ! »
Clarisse
trouve la formule amusante.
« Et
bien vous n'allez pouvoir vous en mettre plein les narines! » Commente
-t-elle en riant.
Rodolphe
attend, en essayant de maîtriser son appréhension. Maman ne néglige aucun
détail pour se faciliter la tâche. Elle ajuste la position du slip un peu plus
bas en dessous des fesses pour bien dégager toute la surface à corriger. La
fessée va commencer. Elle enserre sa taille de son bras gauche, la main sur son
ventre, le soulève pour lui relever encore le derrière et prend un élan maximum
en levant la main très haut au-dessus de sa tête.
Bettina,
les yeux fixés sur le fessier en pénitence se mordille les lèvres
d'excitation. Rodolphe pleurniche déjà,
le nez au ras du sol.
Deux
aller et retours appliqués avec vigueur sur chaque fesse, pour en prendre la
mesure et ajuster la frappe, lui arrache un premier
gémissement incontrôlé.
Mais il n’a pas le temps d’y penser que Clarisse démarre la fessée pour de bon.
– « Ça
surprend hein ? S'exclame-t-elle joyeusement en tapant à toute
volée. Tu ne t’attendais pas à te faire cueillir le derrière par
une aussi cuisante fessée dès le début ! Et ça ne fait que
commencer mon chéri ! »
Un
déluge de claques s’abat sur son volumineux fessier, si vaste qu'il faut
au moins deux ou trois allers et retour sur chaque fesse pour bien en claquer
toute la surface. Ferme et bien enveloppante, la main de Clarisse voltige d’une fesse à l'autre : fesse droite, fesse gauche,
sur les côtés,
au milieu, en bas, en travers des deux fesses ... Puis à un rythme plus régulier, fesse droite , fesse gauche , fesse
droite ,fesse gauche...
Fascinée
par le spectacle de l'imposante paire de fesses tressautant et rougissante sous
les claques, Bettina, transportée d'enthousiasme, bat la
mesure en tortillant du derrière sur sa chaise. Elle serre les cuisses, au bord du feu de
buisson entre les jarretelles, en vivant la fessée comme si c'était elle qui
l'administrait. Elle en suit la cadence et encourage Clarisse à y mettre
davantage d'énergie :
« Plus
fort Clarisse ! Plus fort ! Allez-y, encore plus fort ! Faites-lui retentir les fesses !
– Pour
ça...vous allez voir comme elles claquent très bien !
Le malheureux garçon reçoit une volée de claques rapides en
travers des deux fesses... puis
le rythme s’accélère encore. Il sent ses larmes envahir ses yeux, couler sur
ses joues. Elles commencent à laisser de petites traces brillantes sur le
carrelage. Il se regarde dans la grande glace devant laquelle sa mère le
corrige habituellement afin de l'obliger a assister à ses propres fessées. Il
voit son fessier tressautant, déjà tout rouge, bien relevé, indécemment développé, ses pieds qui
battent l’air en cadence, et sa mère, sourcils froncés, bouche crispée sur un sourire rageur,
le regard sévère fixé sur son postérieur. Elle change exprès le rythme des
claques, accélère à fond, ralentit, insiste sur le plein milieu des fesses
de plus en plus écarlates. Ses grosses fesses qui bondissent, s’aplatissent, se contractent,
s’ouvrent et se rétractent à nouveau, au rythme de la fessée.
Il voit
Bettina,
les yeux brillants, eux aussi fixés sur son derrière, ne dissimulant pas son
plaisir ... et
ne cessant de répéter avec enthousiasme.
« Allez
! Allez ! plus fort ! Encore, encore ! Allez Clarisse ! Il l'a mérité sa fessée, plus
forte, plus retentissante !
Il
entend sa mère le sermonner d'une voix forte pour couvrir le bruit des claques.
« Alors
Rodolphe, tu la reçois ta fessée ! Tu sens comme elle te chauffe bien le
derrière ? »
Il
essaie de répondre et balbutie, les mots s’étranglant dans sa gorge d’où maintenant
montent des sanglots.
«
Ouiiiiii ! Maaaaman ! Tu me corriges bien ! Pa...Paardon ! Je ne le ferai plus
! Paaardon ! Plus la fessée, Plus la fessée! »
– Voyez-vous ça, comme c'est amusant !
Répond Clarisse en le repositionnant sur ses cuisses. Sous la puissance des
claques, il a
tendance à glisser en avant sur ses bas nylon. C'est monsieur qui décide
maintenant ? La fessée continue mon cher, et
elle est loin d'être
terminée ! »
.
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 2
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, mais il faudra attendre la semaine prochaine.
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
quelle magnifique posture! les fesses bien en l'air et bien roussies sur les genoux de cette plantureuse et sévère fesseuse.j'espère retrouver un jour une telle fesseuse.
RépondreSupprimerserge
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerWahou !! Tante Clarisse en action !!!
Un vrai match de compét' !!! "Le "Roland-Garros de la fessée".
Avantage Clarisse De La Renardière. Coup droit... Revers... Set et... maaaaaatch !!!
Bettina (Mac-Miche ?): 40 ans - 1,70 m - Tennis player - Surnom : Miss Speedy.
Quant à Gérome, tout laisse à penser que sa redoutaaaaable Maman doit faire des étincelles ! C'est "la piste aux étoiles... rouges" !
Courage, camarade !
Amicalement. Peter.
Bonjour Serge,
RépondreSupprimerMerci pour l'appréciation du connaisseur!. C'est une excellente position pour administrer une sévère fessée dans de bonnes conditions. Les fesses sont bien exposées tendues et claquantes à souhait. Avec une fesseuse comme Clarisse, le derrière voit rouge!
je vous souhaite de rencontrer la plantureuse créature qui saura vous faire bénéficier des cuisants avantages de cette belle position...
Cordialement
Ramina
Bonjour Peter
RépondreSupprimerAmis de la poésie et des déculottées fesses en l'air... Bonjour aussi.
(Il n'y a pas de raison!)
Et oui, il était prévenu l'ami Rodolphe. dans la famille Bellebourge on a la main lourde! Tante Clarisse, sa maman, fesses dur et sans pitié. La trahison coûte cher, grosse fessée musclée bien méritée.
Bien vu, ton langage tennistique traduit bien la performance physique. Si j'osais je parlerais de revers croisé le long de la raie... J'ai osé (rires)
Bettina, la voisine va t elle prendre le relai pour un deuxième set avec un coup droit fulgurant? Les fesses de Rodolphe, aussi battues que la terre du même nom vont elles en prendre aussi la couleur?
Vous le saurez en lisant le quatrième épisode de notre grand...
Amicalement
Ramina
Bonsoir Ramina,
SupprimerDécidément, les récits croisés s'enrichissent mutuellement.
Tes illustrations sont au top. Les popotins de mes garnements font presque pâle figure à côté des lumineuses rotondités de tes héros !! Ca brille comme du Carolin !! Rires. En effet, on/ j'attend avec impatience la suite...
Dimanche prochain, ça va chauffeeeeeeeer ! Cauchemar en vue !
Amicalement. Peter.
RépondreSupprimerElémentaire mon cher Peter!
Je pense, comme beaucoup sans doute, que les fessées ont d'autant plus d'attrait sur de belles paires de fesses bien rebondies...
Les techniciennes de surfaces fessières les font d'autant mieux reluire sans Carolin! Hi Hi!
Alors, dimanche cauchemardesque pour Gérôme?
Bonjour Ramina,
SupprimerEh oui, les récits croisés continuent leurs chemins...
Un concentré de personnages. Echange de bons procédés. Rires.
Amicalement. Peter.