LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
SALE TEMPS POUR DOUGLAS
Du palier en haut de l’escalier, Rodolphe voit son beau-père,
toujours assis à table, et sa mère, campée devant lui, en déhanché sur ses
hauts talons. Elle a les bras croisés sous son opulente poitrine, en voie
d'émancipation d'un décolleté outrageusement plongeant, et pianote avec ses
doigts pour montrer son impatience. Elle est frémissante d'une colère à peine
contenue. Il est question de ce qui s'est passé cet après-midi et de la
correction qu'elle lui a administrée en présence de Bettina. Douglas, qui
semble la trouver un peu trop sévère, et pour cause, puisqu'elle l'est tout
autant avec lui, le lui dit timidement. L'occasion pour lui de faire
discrètement allusion au propre traitement qu'elle lui inflige à la moindre
occasion. Clarisse, qui ne tolère aucune remarque sur la discipline, si minime soit-elle,
le reprend immédiatement.
Douglas, se sachant vaincu d'avance se défend
timidement et implore sans illusion.
« Oh Non Clarisse... je t'en prie… Pas la fessée... je ne disais pas ça pour ça...
– Parce que tu crois
que je n'ai pas compris ce que tu voulais dire ?... Deuxième fessée pour
avoir essayé de manigancer ! En prenant la défense de Rodolphe c'est la
tienne que tu essayes de placer... Je vais commencer par signaler sa conduite à
l'institut et demander à ses professeurs d’être encore plus sévères avec lui.
Je me charge de le discipliner le reste du temps.
– Tu as raison ma chérie... Je ne dis pas le contraire... »
Elle l'interrompt en pointant sur lui un doigt menaçant.
« Pareil pour tes fesses, mon petit bonhomme ! Parce que sur
d'autres plans tu n'es pas mieux que lui ! Tu recevras autant de fessées
qu'il le faudra, tant que tu ne te comporteras pas en adulte
responsable ! »
Elle enchaîne dans la foulée.
« Et à propos d'adulte responsable. Tu étais où cet
après-midi ? Je t'ai appelé à ton bureau pour que tu passes prendre ma
commande chez Béatrice. Ça te concerne d'ailleurs. Des nouveaux slips à fessée,
sur mesure, pour ton gros cul ! Parce que maintenant, il faut du sur
mesure à monsieur... Elle insiste. Réponds, tu étais où ? »
Tapi dans son coin, Rodolphe écoute et se retient de ne pas
pouffer de rire. Il n'est pas mécontent que ce soit au tour de son beau-père de
devoir rendre des comptes à sa mère.
Pris de court, Douglas se fait tout petit sur sa chaise en serrant les
fesses. Il connaît trop bien les réactions de sa femme quand elle commence un
interrogatoire sur ce ton. Ça sent la fessée... et il vient déjà de s'en faire
tarifer deux sur sa liste de punitions.
Il ne sait pas comment elle l'a su, mais pour le questionner
ainsi sur son emploi du temps de la journée, il se dit qu’elle doit être au
courant de sa petite virée au PMU avec Stephen le mari d'Edwige. Comme un gamin
pris la main dans le bocal à bonbons, il essaye vainement de trouver une
parade. Elle insiste, les mains sur les hanches, en tapotant nerveusement du
talon aiguille sur le carrelage.
« Alors...Douglas, j'attends tes explications ! Mais
d'abord, mets-toi debout et regarde-moi quand je te parle ... Où étais-tu
quand j'ai appelé à ton bureau ? »
Douglas ne sait pas quoi répondre. Il se tient devant elle,
tête baissée, mains croisées derrière le dos, position réglementaire pour se
faire sermonner avant la raclée.
Clarisse a rapproché la chaise à fessées pour un usage
évident. Elle savoure le plaisir de le sentir à sa merci, d'autant plus qu'elle
connaît la réponse à sa question.
« Et bien je vais te le dire, moi, où tu étais... Au
PMU !! avec Stephen ! Pas un pour rattraper l'autre ! »
Devant l'air ahuri et interrogateur de son époux, elle
poursuit.
« Tu te demandes comment je le sais, hein ? Je tiens ça
d'Edwige qui m'a appelé avant que tu n'arrives... »
Edwige l'avait effectivement contactée sur son portable
pendant que Rodolphe écroulé sur son lit cuvait ses trois fessées dans sa
chambre.
« Vous êtes retournés tous les deux jouer aux courses, et
comme à chaque fois, vous avez perdu... c'est ça ? Malgré l'interdiction
formelle qu'on vous avait faite ! Ça ne vous dérange pas de continuer à
gaspiller l'argent du ménage !! N'est ce pas ?
– Mais... pardon chérie... On n'a pas perdu tant que ça
et... »
Elle le coupe, indifférente à sa réponse. La sanction tombe
immédiatement
« Non, bien sûr, trois milles euros ! C'est rien du
tout !... Tes fesses ! Tout de suite ! »
Malgré son envie, Rodolphe, pris soudain d'un coup de
fatigue n'attend pas la suite de ce qui se prépare. Il la connaît trop bien.
Sans faire de bruit, il retourne dans sa chambre, se recouche, avec un réel
besoin de dormir, mais aussi, les fesses toujours sensibles et cuisantes. Il
s’endort rapidement cette fois. Peu de temps après, il est pourtant réveillé
par un claquement régulier et des éclats de voix semblant encore venir de la
cuisine. Il se relève sur la pointe des pieds pour regagner le plus
discrètement possible son poste d’observation.
Il s'en doutait avant de s'endormir. Douglas est en train
de recevoir une magistrale fessée, à plat ventre sur les genoux de Clarisse,
les fesses solidement culottées dans son slip à fessée, en “bonne position” comme
elle le dit si bien. Une pensée lui vient tout de suite à l’esprit.
« Eh bien si moi j’ai une grosse paire de fesses
qu’est-ce qu’on devrait dire de celle du beau-père''
Dans cette position provocante, le postérieur
d’Edouard qu’on voit déjà tout rouge à travers le nylon, apparaît, encore
plus proéminent, plantureux, opulent. En vingt ans de mariage, son fessier
s'est progressivement développé au rythme des séances de fessées presque
quotidiennes et présente maintenant de beaux volumes endurants qui claquent
très bien. Clarisse, évidement, en profite et multiplie les séances de
discipline sans aucune modération... Bien au contraire.
La sévère épouse est à son affaire. Elle a de quoi se
remplir agréablement la main et compte bien s'en régaler pendant un bon moment.
Elle fesse vigoureusement, comme elle a l'habitude de le faire, sans répit,
enchaînant les claquées d'une fesse à l'autre avec un plaisir manifeste. Rompue
à l'exercice de la fessée elle varie les effets pour empêcher que le derrière
s'habitue à une cadence. Le bras haut levé, elle abat sa main avec précision
plusieurs fois de suite sur la même fesse qui tressaute, comme affolée, puis
claque l'autre, n’oubliant pas une seule parcelle de la vaste surface offerte.
Tendue à bloc sur ses genoux, la belle paire de fesses, bien ronde, bien ferme
et charnue, devenant un peu plus écarlates à chaque claque, semble carrément
énorme.
Rodolphe s'amuse beaucoup à observer la fessée administrée
par sa mère qui a eu tout loisir de se faire la main sur ses fesses cet après-midi.
Comme lui, à la même place il y a quelques heures, Douglas sévèrement corrigé,
promet de ne plus désobéir, de demander la permission avant de sortir, supplie
son épouse d’arrêter la fessée. Mais elle est intraitable et tape encore plus
fort pour le punir d'oser réclamer.
« Quand on prend sa fessée, on n'a rien d'autre à faire que
de s'appliquer à bien présenter ses fesses, et pendant toute la durée de la
correction. C'est la règle, sinon on s'en prend une deuxième tout de suite
après ! Tend tes fesses... Encore ! Il faut que ça claque !
– Oooooh ça fait mal chérie, ça fait mal !
– Tu l’avais ma permission cet après-midi pour aller parier
sur des courses de chevaux? Non ! Alors,
ta fessée, tu la mérites mon ami ! Et je veux te l'entendre dire !
– Oui chérie... Non ! ... Aie ! Oui... je la mérite
! Ouaiiiie pardon ! …Aie ! Aie ! Oui... je la mérite ma
fessée ! Pardon chérie... aiiiiie !! »
– Et comment la fessée ?
– Sévère chérie !... Oui... la fessée...sévère !
Sans cesser de le sermonner et de le remettre en position,
elle le fesse avec énergie. Comme tous les punis subissant une sévère
correction, il bat des jambes en l’air tout en pleurant comme un gamin ! Ce qui
provoque quelques brèves interruptions de séance pour réajuster son slip qui à tendance
à légèrement plisser sous ses gesticulations. Il doit être bien tendu sur le
derrière pour que la fessée reste parfaitement retentissante jusqu'à la
déculottée.
Rodolphe est ravi du spectacle, mais de crainte d’être
découvert, il ne cesse de faire des allers-retours entre le palier et sa
chambre. Eclatant et régulier, le claquement familier de la fessée retentit
dans tout le rez de chaussée et même dans toute la maison, et c’est ce qui l'a
réveillé. Aussi quand le bruit s’arrête, à pas de loup, il retourne prudemment
voir ce qui se passe. Il se dit comme le réclamerait sans aucun doute Bettina.
« Aller Clarisse, pas assez sévère cette fessée !
Il faut taper beaucoup plus fort et plus longtemps pour que la punition soit
vraiment efficace', comme elle dit ! »
Il s'en amuse. Trop heureux qu'il ne s'agisse pas de ses
fesses.
Quand il revient à son poste
d’espionnage, la fessée a cessé. Clarisse est visiblement partie dans la
cuisine chercher quelque chose. Il a la satisfaction de voir son beau-père,
exactement là où lui-même attendait sa fessée l’après-midi et dans la même
position. A genoux sur la chaise à fessée, les coudes posés sur le haut du
dossier, son gros derrière, maintenant uniformément cramoisi, exhibé de façon
provocante dans toute son ampleur. Son visage inondé de larmes, reniflant, le
regard craintif et implorant, il se retourne pour voir revenir son épouse d'un
pas décidé. Il ne dit plus rien, déjà maté dès la première fessée.
Mais Clarisse n'en a pas fini avec lui. L’addiction
aux paris sur les courses coûte très cher, dans les deux sens du terme, et se
paye comptant avec une correction exemplaire. Forte de son autorité, elle
revient pour une nouvelle fessée, avec dans la main droite, le martinet qu’elle
est allé décrocher. Les lourdes lanières de cuir virevoltent au rythme de sa
marche le long de sa cuisse gainée de nylon. Elle lui parle sur le ton léger
d'une conversation ordinaire.
– « Figure toi, j'en discutais
avec Bettina cet après-midi... Nous sommes du même avis. Un derrière ça se
prépare et la vraie fessée, pour être efficace, ne commence réellement que sur
des fesses écarlates. A en juger par la couleur et la cuisson des tiennes,
elles m'ont l'air tout à fait prêtes pour une deuxième tournée au martinet. Tu
vas te régaler mon chéri, et moi aussi ! »
Elle lui enserre la taille de son
bras gauche, lui fait relever le derrière pas assez bien présenté à son goût,
et le refesse sévèrement au martinet. Elle a posé son pied sur la chaise et glissé
sa cuisse sous son buste pour mieux lui maintenir le derrière en place. Le
souffle court, il pousse des petits gémissements en rythmant les cinglées, de
furieuses ruades du derrière. Elle ironise.
« Alors comme ça monsieur
s'intéresse aux courses de chevaux. Et bien je vais te donner l’allure
moi ! Au pas ! Au trot ! Au galop ! Aller ! Aller, on
tortille bien ses fesses en cadence ! C'est du martinet mon cher,
largement aussi efficace que la cravache ! »
D'où il est placé, Rodolphe peut voir
les lanières s’étaler à chaque envolée sur la totalité du fessier sévèrement
corrigé qui, malgré son volume imposant, est à chaque fois complètement
enveloppé.
La vision de ces belles lanières de
cuir brillant, soigneusement patinées sur ses propres fesses et celles de son beau-père,
lui rappelle le jour où sa mère l’avait emmené en acheter un nouveau, dans le
magasin de lingerie de Claridge. Celle-ci ne vendait pas que de la lingerie,
mais aussi des articles et accessoires pour les femmes adeptes de discipline domestique. Notamment les fameux slips à fessée importés
d'Angleterre qui faisaient fureur sur les fesses des messieurs désobéissants.
Elle en vendait, à ces Dames, autant que de porte-jarretelles. Ses martinets,
fabriqués sur mesure, étaient aussi très appréciés des connaisseuses. Clarisse
lui commandait les siens à l'exacte dimension de son derrière, ceci pour
augmenter l'efficacité des fessées.
– « Mon chéri, disait-elle alors, pour administrer de bonnes
fessées il faut des instruments de discipline adaptés au format des
postérieurs qu'on corrige! »
Après
avoir, mesuré la rondeur de ses fesses avec un centimètre souple, slip rentré
dans la raie pour plus de précision, Claridge avait annoncé huit cm de
plus sur les lanières les plus longues. Devant l’air interrogateur de son amie,
lui avait dit avec un petit sourire narquois.
« On
ne sait jamais, il vaut mieux prévoir. Une fessée peut en entraîner une autre …
Autant que ce martinet puisse servir sur une autre paire de fesses que celles
du jeune homme. Une fois bien chauffées sur un derrière, ces lanières donnent
un meilleur claquant sur le suivant et le puni profite mieux de sa
fessée. ».
Clarisse avait acquiescé avec un sourire
entendu, reconnaissante à son amie d'avoir pensé qu'elle allait pouvoir l'utiliser
aussi sur les fesses de son mari, encore plus volumineuses que celles de son
fils pourtant déjà d'un beau format.
Et là, effectivement, il servait bien
ce redoutable martinet !
Rodolphe, à l'écoute, entend le beau-père
pleurer de nouveau, cognant ses genoux contre le siège de la chaise. Et puis
brusquement, Clarisse le relève, le pantalon traînant par terre, et le
saisissant par le bras le ramène, en larmes, à la chaise près de la table où la
fessée a commencé et qu'elle paraît décidée à continuer. Elle a posé en
prévision sur cette table, la planche à découper qu'elle utilise pour trancher
les légumes. Sans se préoccuper de ses pleurs, plaintes et autres
supplications, elle l'oblige à se recoucher en travers de ses cuisses pour lui
flanquer aussitôt une troisième fessée avec l'ustensile de cuisine en bois. On doit
l’entendre hurler jusque dehors.
«
Alors mon petit chéri, qu'est-ce qu'elles en pensent tes fesses de la planche à
découper, Ou plutôt de la planche à fesser ! Ça claque bien aussi avec
ça ! Et ça cuit ! Je vais te faire regretter de jouer de l'argent aux
courses mon ami, tu penseras à la fessée qui t'attend s’il te prend l'envie de
recommencer à me désobéir ! »
Enfin elle le lâche. Il tombe à
genoux à ses pieds, le slip en travers des cuisses, tendu sous ses fesses rouge
vif, entièrement cuites. Pas apitoyée pour autant, elle lui montre l'angle du
mur d'un index autoritaire et lui ordonne.
« File au coin, immédiatement, à
genoux déculotté, les fesses en l'air, bien tendues ! Et si tu as le
malheur d'essayer de te frotter le derrière, tu reviens immédiatement sur mes
genoux pour une nouvelle fessée ! Je vais t'en ficher moi du PMU ! »
Il ne se le fait pas dire deux fois
et s'y précipite en se tenant les fesses à deux mains, le visage couvert de
larmes et de bave mêlées.
Ça n'échappe
pas à Clarisse qui le recadre immédiatement.
« Qu'est-ce que je viens de te dire Douglas ? Tu n'en a pas
encore eu assez on dirait... je n'ai pas tapé assez fort sans doute! »
Le malheureux pétrifié retire
aussitôt ses mains qu'il avait posées sans réfléchir sur ses fesses, dans un
geste réflexe. Il répond affolé sans tourner la tête calée dans l'angle du mur.
« Noooon chérie ! Plus la
fessée ! Plus la fessée ! Ça suffit. Regarde, j'ai retiré mes
mains !
Clarisse comme à son habitude est inflexible, elle ne cède rien.
L'enjeu est le respect des règles de discipline établies et acceptées.
« Trop tard mon ami, trop tard ! Je t'avais prévenu ! C'est la fessée ! »
Douglas s'effondre sur le côté en se tenant le derrière à pleine main.
De toute façon la sanction est tombée et elle ne reviendra sur sa décision.
« Roaaaaah ! Non ! S'il te plaît… C'est trop ! Tu m'en a
déjà mis trois !
– Aller, tu n'avais qu'à m'obéir très cher. Tu connais pourtant le
tarif, à chaque désobéissance, une fessée ! Monte dans la chambre et met toi en position
sur le lit! Je te rejoins tout de suite. Je ne voudrais pas que tes fesses
refroidissent, elles claquent moins bien ! » !
Rodolphe a juste le temps de se
replier dans sa chambre. Douglas entre en gémissant dans la sienne dont la
porte ouverte est juste en face, séparée par le couloir. Prudemment, il risque
un œil par l’entrebâillement. Il voit son beau-père plier le traversin en deux,
le surmonter de leurs deux oreillers l’un sur l’autre et s’installer dessus,
effectivement les fesses bien en l’air comme Clarisse lui a ordonné. Son
postérieur rouge vif magnifiquement offert, il se prend chaque fesse dans une
main pour se les masser en écartant les deux globes. Tout en essayant
d'atténuer la cuisson il tourne la tête pour regarder dans l’armoire à glace
quel aspect elles présentent. Il s’essuie les joues avec un regard tout contrit
en voyant l’état de son postérieur, puis reprend son massage en gémissant. Rodolphe
entend soudain sa mère qui à son tour monte l’escalier sans se presser, le martinet
à la main. Il fonce se mettre sous ses
draps, sans faire attention, cette fois, à la chaleur de son derrière qui
s’atténue, et fait semblant de dormir.
Peu de temps après il entend que la
fessée au martinet a repris.
« Aaie ! Ouille ! Aie ! Ouille !
Aaaah chérie, tu tapes fort !
Raiiiie...aie ! Tu tapes trop fort, aie ! aie ! Ouille ! Aaaaah pas si
fort Rooooaiiiiie ! Plus le martinet... s'il te plaît... Plus le
martinet ! »
Les cris du malheureux s'arrêtent
d'un seul coup, Clarisse semble avoir mis fin à la correction. Lourd moment de
silence seulement troublé par des sanglots et des gémissements. Rodolphe,
intrigué lève la tête de son oreiller pour tendre l'oreille. Il entend la voix
de sa mère sans vraiment comprendre ce qu'elle dit. Celle de Douglas plus
timide semble implorer la fin de la punition. Et soudain les hurlements
reprennent accompagnés du claquement sec et retentissant d'une nouvelle fessée.
Il n'a aucun mal à reconnaître le son familier d'une fessée à la main sur un
derrière déculotté. La punition n'en finit pas, légitimée par la nécessité de
faire prendre conscience des conséquences de ses actes au parieur
invétéré. Il est de nouveau en souffrance sous les sarcasmes de son épouse qui
doit hausser le ton pour se faire entendre.
« Ça suffit Douglas, cesse de pleurnicher comme un gamin et de te
plaindre sans arrêt !
– Ah oui, mais... Ouuuiiile ! La fessée à la main … Aiiiie ça... ça fait mal
aussi !
– Tu ne sais pas ce que tu dis !
Tu ne veux plus le martinet... Alors c'est la fessée à la main. La
meilleure méthode pour uniformiser la couleur de tes fesses. Je ne voudrais pas
que tu t'endormes avec de vilaines traces de lanières sur le derrière.
– Aaaaaah oui mais s’il te plaît, pas sur les cuisses ! Ouille,ouille
! la fessée déculottée ! Ouiiiii sur les
fessssses ! oui ! Aaaaie ! Sur les fesses
s’il te plaÏt ! Sur les fesses, aïe aïe
! Pas sur les cuisses ! Ouille ! sur mes grosses fesses ! Ouuuuille ! Mes
grosses fesses de mari désobéissant !
Le dialogue est savoureux entre les deux.
« Décidément tu ne sais pas ce que tu veux!
– Siiiii, si, mais change de fesse s'il te plaît, pas toujours sur la
même ! Je te demande pardon chérie,
Pardon ! Pardon ! Ouille, ouille ! la fessée déculottée, oui ! ouille ! ouille !
ouille Tu fesses dur chérie ! Ça claque fort :
Rooooaiiie ! »
Malgré le vacarme ambiant, Rodolphe,
cette fois ne résiste plus au sommeil et commence à s'endormir, bercé par le
crépitement continu de la fessée dont il n’était pas franchement mécontent,
savourant un vague sentiment de revanche. Il n'y avait pas que lui à devoir
subir les exigences disciplinaires de Clarisse.
Il entendit encore d’autres
claquements et gémissements, forts, assourdis, plus forts, et en déduit dans un
demi sommeil que la fessée continuait. Il sombra dans l’inconscience au son des
claques sur les fesses de son beau-père.
Le lendemain matin, quand son réveil
sonna, comme d’habitude il fait rapidement sa toilette au lavabo du petit
cabinet de toilette de sa chambre et descend à la cuisine. Douglas était déjà
parti. Sa mère prépare le petit déjeuner.
Elle lui demande :
« Alors tu as bien dormi ? la fessée t’a
fait du bien, j’espère.
– Euh, oui Maman, j’étais fatigué. J'ai
dormi sans me réveiller sur mes deux oreilles »
Elle répond en riant. Sa forte
poitrine tressaute en cadence.
« Mais certainement pas sur tes deux
fesses ? Au fait, montre-les-moi que je vois dans quel état elles
sont. »
Docile, il sait qu'il a tout intérêt
à obéir immédiatement sans discuter, il se lève défait sa ceinture et baisse
son pantalon. Elle le courbe sous bras,
l’examine, et lui tire le slip entre les fesses. Il exhibe un fessier
proéminent d'une rondeur superbe. Elle le lui tapote avec gourmandise, à petite
claques bien sèches.
« Ça fait plaisir de voir à quel
point ton derrière encaisse bien les fessées. Pourtant je t'en ai mis des
sévères hier ! Pratiquement pas de traces, tu vas pouvoir en recevoir
autant qu’il faudra à Ste Marie dès ce matin … Puis elle explique, c’est le
Dolpic, ça chauffe dur mais çà empêche les bleus de se former. Et elle change
de sujet, Va donc te donner un coup de peigne tiens. ! »
Il y va aussitôt et découvre que le
fameux tube de Dolpic n’a pas été rangé dans l’armoire à pharmacie. Il est même
resté débouché … Tiens donc, aurait-il servi à un autre fessier que le sien,
hier soir ou déjà ce matin, tout comme le martinet.
Il en était là de ses réflexions
lorsque la voix forte de sa mère le fait sursauter.
« Eh bien Rodolphe qu'est ce tu
fabriques ? Tu veux encore arriver
en retard pour te faire remarquer c'est ça ? Très bien ! Viens ici...
Tout de suite ! »
Ne négligeant rien, elle le fait
souvent lever plus tôt pour avoir le temps de lui flanquer une fessée, juste
avant de partir, si cela s'avère nécessaire. Assurément, elle estime que celle-là
s’impose naturellement pour avoir traîné avant de partir à l'école. Brève mais
intense, elle la lui met à la main, au milieu de la cuisine, déculotté, fesses
en l'air, à genoux sur un tabouret. Le
ramassage scolaire est à huit heures trente, l’arrêt à un quart d’heure de
marche normale. Elle ne lui lâche le derrière qu'à huit heure vingt-cinq pour
l’obliger à y aller en courant.
« Je n'allais tout de même pas te
laisser partir sans ta fessée ! Ironise-t-elle en le reculottant bien serré.
Comme ça tes fesses sont prêtes pour celles qui t'attendent à
l'école. ! »
Il arrive au Bus, à bout de souffle, à peine
reculotté, les fesses écarlates et cuisantes au fond du slip... La matinée
commence à peine qu'il s'en est déjà pris une par sa mère.
Il est parti depuis dix minutes,
lorsque le signal sonore du portable de Clarisse retentit sur la table basse du
salon. C'est Edwige qui appelle au sujet de la ruineuse virée de Stephen, son
mari, avec Douglas, le mardi précédent au PMU.
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 4
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, le chapitre 6.
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerWahou !! Excellent récit. %On s'y croirait. En lisant, j'imaginais le format BD pour l'illustrer.
Dame Clarisse garde toujours la haute main sur ses hommes. Quelle corrida ! Au final, "Doug" est aussi hypocrite que Rodolphe. Il fait porter le chapeau à ses acolytes de jeu pour se dédouaner.
Stratégie habile mais pas forcément payante. Bien sûr, Tata Clarisse n'est pas dupe. "Ma fesseuse bien-aimée" ! Seul bémol : ce n'est pas le nez qui bouge mais la main qui démange !!! Chacun/e son truc.
J'imagine d'ici le tête-à-tête de Edwige et Stephen...Pour sûr, ça va chauffeeeeeeer !
Amicalement. Peter.
Amis de la poésie, et de la fessée en RTT, bonjour,
RépondreSupprimerOups! Il y a du son ( du texte plutôt,) mais pas d'images... ça arrive. Je les ai peut -être envoyées trop tôt croyant être absent du 28 oct au 5 Nov. La SNCF m'a obligé à repousser mon voyage du 6 nov au 14... pas de commentaires d'ici là... vacances pour tout le monde ! (sourire)
Il est prévu tout de même la mise en ligne du chapitre 6 entre deux... avec les images. je dis ça comme ça, au cas ou (?)
Cordialement
Ramina
Hello Peter,
RépondreSupprimerTu ne crois pas si bien dire, la fesseuse bien aimée (bien vu!)et son amie Edwige font faire passer un sale Dimanche après midi aux deux parieurs invétérés... Trio de choc, Bettina sera même de la partie...Tous ensemble Eééééh!...
Amicalement
Ramina
Bonsoir Ramina,
RépondreSupprimerWahou ! Si Miss Betty s'en mêle, ben... Stephen peut déjà préparer la première couche d'Arnican. Tous les deux vont décrocher le martinet à défaut de décrocher la timbale !!! Courage, les champions !!!
"We can do it" disent-elles ! M'enfin !
Petite remarque positive : on sent une certaine luminosité dans les deux dessins. Gladys se détache mieux du décor. Tu élargis le champ de vision et c'est excellent. C'est du travail et j'en sais quelque chose. "Silence sur le plateau ! Moteurrr ! Action !" (Rires).
Amicalement. Peter.
(NB : J'étais surpris de ne pas voir les illustrations. On s'habitue à ton style et ça manquait.)
je me régale toujours de ces récits plein d'entrain où les fessées pleuvent à qui mieux mieux.
RépondreSupprimerQuel festival!
je me régale toujours de ces récits plein d'entrain où les fessées pleuvent à qui mieux mieux.
RépondreSupprimerQuel festival!