mardi 5 novembre 2019

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 5

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

SALE TEMPS POUR DOUGLAS

Du palier en haut de l’escalier, Rodolphe voit son beau-père, toujours assis à table, et sa mère, campée devant lui, en déhanché sur ses hauts talons. Elle a les bras croisés sous son opulente poitrine, en voie d'émancipation d'un décolleté outrageusement plongeant, et pianote avec ses doigts pour montrer son impatience. Elle est frémissante d'une colère à peine contenue. Il est question de ce qui s'est passé cet après-midi et de la correction qu'elle lui a administrée en présence de Bettina. Douglas, qui semble la trouver un peu trop sévère, et pour cause, puisqu'elle l'est tout autant avec lui, le lui dit timidement. L'occasion pour lui de faire discrètement allusion au propre traitement qu'elle lui inflige à la moindre occasion. Clarisse, qui ne tolère aucune remarque sur la discipline, si minime soit-elle, le reprend immédiatement. 
« Mais mon ami, je n'ai pas besoin de ton avis pour flanquer à Rodolphe les fessées que j'estime nécessaires, encore moins pour te corriger quand tu le mérites ! Et d'ajouter avec un petit sourire de contentement. D'ailleurs tu aurais mieux fait de te taire mon chéri, tu viens de gagner ta première fessée de la soirée, pour avoir osé me contredire. »

Douglas, se sachant vaincu d'avance se défend timidement et implore sans illusion.
« Oh Non Clarisse... je t'en prie… Pas la fessée...  je ne disais pas ça pour ça...
 Parce que tu crois que je n'ai pas compris ce que tu voulais dire ?... Deuxième fessée pour avoir essayé de manigancer ! En prenant la défense de Rodolphe c'est la tienne que tu essayes de placer... Je vais commencer par signaler sa conduite à l'institut et demander à ses professeurs d’être encore plus sévères avec lui. Je me charge de le discipliner le reste du temps.
Tu as raison ma chérie... Je ne dis pas le contraire... »
Elle l'interrompt en pointant sur lui un doigt menaçant.
« Pareil pour tes fesses, mon petit bonhomme ! Parce que sur d'autres plans tu n'es pas mieux que lui ! Tu recevras autant de fessées qu'il le faudra, tant que tu ne te comporteras pas en adulte responsable ! »
Elle enchaîne dans la foulée.
« Et à propos d'adulte responsable. Tu étais où cet après-midi ? Je t'ai appelé à ton bureau pour que tu passes prendre ma commande chez Béatrice. Ça te concerne d'ailleurs. Des nouveaux slips à fessée, sur mesure, pour ton gros cul ! Parce que maintenant, il faut du sur mesure à monsieur... Elle insiste. Réponds, tu étais où ? »

Tapi dans son coin, Rodolphe écoute et se retient de ne pas pouffer de rire. Il n'est pas mécontent que ce soit au tour de son beau-père de devoir rendre des comptes à sa mère.  Pris de court, Douglas se fait tout petit sur sa chaise en serrant les fesses. Il connaît trop bien les réactions de sa femme quand elle commence un interrogatoire sur ce ton. Ça sent la fessée... et il vient déjà de s'en faire tarifer deux sur sa liste de punitions. 
Il ne sait pas comment elle l'a su, mais pour le questionner ainsi sur son emploi du temps de la journée, il se dit qu’elle doit être au courant de sa petite virée au PMU avec Stephen le mari d'Edwige. Comme un gamin pris la main dans le bocal à bonbons, il essaye vainement de trouver une parade. Elle insiste, les mains sur les hanches, en tapotant nerveusement du talon aiguille sur le carrelage.

« Alors...Douglas, j'attends tes explications ! Mais d'abord, mets-toi debout et regarde-moi quand je te parle ... Où étais-tu quand j'ai appelé à ton bureau ? »

Douglas ne sait pas quoi répondre. Il se tient devant elle, tête baissée, mains croisées derrière le dos, position réglementaire pour se faire sermonner avant la raclée.
Clarisse a rapproché la chaise à fessées pour un usage évident. Elle savoure le plaisir de le sentir à sa merci, d'autant plus qu'elle connaît la réponse à sa question.
« Et bien je vais te le dire, moi, où tu étais... Au PMU !! avec Stephen ! Pas un pour rattraper l'autre ! »
Devant l'air ahuri et interrogateur de son époux, elle poursuit.
« Tu te demandes comment je le sais, hein ? Je tiens ça d'Edwige qui m'a appelé avant que tu n'arrives... »
Edwige l'avait effectivement contactée sur son portable pendant que Rodolphe écroulé sur son lit cuvait ses trois fessées dans sa chambre.
« Vous êtes retournés tous les deux jouer aux courses, et comme à chaque fois, vous avez perdu... c'est ça ? Malgré l'interdiction formelle qu'on vous avait faite ! Ça ne vous dérange pas de continuer à gaspiller l'argent du ménage !! N'est ce pas ?
Mais... pardon chérie... On n'a pas perdu tant que ça et... »
Elle le coupe, indifférente à sa réponse. La sanction tombe immédiatement
« Non, bien sûr, trois milles euros ! C'est rien du tout !... Tes fesses ! Tout de suite ! »

Malgré son envie, Rodolphe, pris soudain d'un coup de fatigue n'attend pas la suite de ce qui se prépare. Il la connaît trop bien. Sans faire de bruit, il retourne dans sa chambre, se recouche, avec un réel besoin de dormir, mais aussi, les fesses toujours sensibles et cuisantes. Il s’endort rapidement cette fois. Peu de temps après, il est pourtant réveillé par un claquement régulier et des éclats de voix semblant encore venir de la cuisine. Il se relève sur la pointe des pieds pour regagner le plus discrètement possible son poste d’observation.
Il s'en doutait avant de s'endormir. Douglas est en train de recevoir une magistrale fessée, à plat ventre sur les genoux de Clarisse, les fesses solidement culottées dans son slip à fessée, en “bonne position” comme elle le dit si bien. Une pensée lui vient tout de suite à l’esprit.
« Eh bien si moi j’ai une grosse paire de fesses qu’est-ce qu’on devrait dire de celle du beau-père''
Dans cette position provocante, le postérieur d’Edouard qu’on voit déjà tout rouge à travers le nylon, apparaît, encore plus proéminent, plantureux, opulent. En vingt ans de mariage, son fessier s'est progressivement développé au rythme des séances de fessées presque quotidiennes et présente maintenant de beaux volumes endurants qui claquent très bien. Clarisse, évidement, en profite et multiplie les séances de discipline sans aucune modération... Bien au contraire.

La sévère épouse est à son affaire. Elle a de quoi se remplir agréablement la main et compte bien s'en régaler pendant un bon moment. Elle fesse vigoureusement, comme elle a l'habitude de le faire, sans répit, enchaînant les claquées d'une fesse à l'autre avec un plaisir manifeste. Rompue à l'exercice de la fessée elle varie les effets pour empêcher que le derrière s'habitue à une cadence. Le bras haut levé, elle abat sa main avec précision plusieurs fois de suite sur la même fesse qui tressaute, comme affolée, puis claque l'autre, n’oubliant pas une seule parcelle de la vaste surface offerte. Tendue à bloc sur ses genoux, la belle paire de fesses, bien ronde, bien ferme et charnue, devenant un peu plus écarlates à chaque claque, semble carrément énorme.

Rodolphe s'amuse beaucoup à observer la fessée administrée par sa mère qui a eu tout loisir de se faire la main sur ses fesses cet après-midi. Comme lui, à la même place il y a quelques heures, Douglas sévèrement corrigé, promet de ne plus désobéir, de demander la permission avant de sortir, supplie son épouse d’arrêter la fessée. Mais elle est intraitable et tape encore plus fort pour le punir d'oser réclamer.

« Quand on prend sa fessée, on n'a rien d'autre à faire que de s'appliquer à bien présenter ses fesses, et pendant toute la durée de la correction. C'est la règle, sinon on s'en prend une deuxième tout de suite après ! Tend tes fesses... Encore ! Il faut que ça claque !
– Oooooh ça fait mal chérie, ça fait mal !
Tu l’avais ma permission cet après-midi pour aller parier sur des courses de chevaux? Non !  Alors, ta fessée, tu la mérites mon ami ! Et je veux te l'entendre dire !
Oui chérie... Non ! ... Aie ! Oui... je la mérite ! Ouaiiiie pardon ! …Aie ! Aie ! Oui... je la mérite ma fessée ! Pardon chérie... aiiiiie !! »
– Et comment la fessée ?
– Sévère chérie !... Oui... la fessée...sévère !
– C'est bien !... On reconnaît ses fautes et on réclame sa correction ! »


Fessée déculottée


Sans cesser de le sermonner et de le remettre en position, elle le fesse avec énergie. Comme tous les punis subissant une sévère correction, il bat des jambes en l’air tout en pleurant comme un gamin ! Ce qui provoque quelques brèves interruptions de séance pour réajuster son slip qui à tendance à légèrement plisser sous ses gesticulations. Il doit être bien tendu sur le derrière pour que la fessée reste parfaitement retentissante jusqu'à la déculottée. 

Rodolphe est ravi du spectacle, mais de crainte d’être découvert, il ne cesse de faire des allers-retours entre le palier et sa chambre. Eclatant et régulier, le claquement familier de la fessée retentit dans tout le rez de chaussée et même dans toute la maison, et c’est ce qui l'a réveillé. Aussi quand le bruit s’arrête, à pas de loup, il retourne prudemment voir ce qui se passe. Il se dit comme le réclamerait sans aucun doute Bettina.
« Aller Clarisse, pas assez sévère cette fessée ! Il faut taper beaucoup plus fort et plus longtemps pour que la punition soit vraiment efficace', comme elle dit ! »
Il s'en amuse. Trop heureux qu'il ne s'agisse pas de ses fesses.

Quand il revient à son poste d’espionnage, la fessée a cessé. Clarisse est visiblement partie dans la cuisine chercher quelque chose. Il a la satisfaction de voir son beau-père, exactement là où lui-même attendait sa fessée l’après-midi et dans la même position. A genoux sur la chaise à fessée, les coudes posés sur le haut du dossier, son gros derrière, maintenant uniformément cramoisi, exhibé de façon provocante dans toute son ampleur. Son visage inondé de larmes, reniflant, le regard craintif et implorant, il se retourne pour voir revenir son épouse d'un pas décidé. Il ne dit plus rien, déjà maté dès la première fessée.
 Mais Clarisse n'en a pas fini avec lui. L’addiction aux paris sur les courses coûte très cher, dans les deux sens du terme, et se paye comptant avec une correction exemplaire. Forte de son autorité, elle revient pour une nouvelle fessée, avec dans la main droite, le martinet qu’elle est allé décrocher. Les lourdes lanières de cuir virevoltent au rythme de sa marche le long de sa cuisse gainée de nylon. Elle lui parle sur le ton léger d'une conversation ordinaire.

« Figure toi, j'en discutais avec Bettina cet après-midi... Nous sommes du même avis. Un derrière ça se prépare et la vraie fessée, pour être efficace, ne commence réellement que sur des fesses écarlates. A en juger par la couleur et la cuisson des tiennes, elles m'ont l'air tout à fait prêtes pour une deuxième tournée au martinet. Tu vas te régaler mon chéri, et moi aussi ! »
Elle lui enserre la taille de son bras gauche, lui fait relever le derrière pas assez bien présenté à son goût, et le refesse sévèrement au martinet. Elle a posé son pied sur la chaise et glissé sa cuisse sous son buste pour mieux lui maintenir le derrière en place. Le souffle court, il pousse des petits gémissements en rythmant les cinglées, de furieuses ruades du derrière. Elle ironise.
« Alors comme ça monsieur s'intéresse aux courses de chevaux. Et bien je vais te donner l’allure moi ! Au pas ! Au trot ! Au galop ! Aller ! Aller, on tortille bien ses fesses en cadence ! C'est du martinet mon cher, largement aussi efficace que la cravache ! »

D'où il est placé, Rodolphe peut voir les lanières s’étaler à chaque envolée sur la totalité du fessier sévèrement corrigé qui, malgré son volume imposant, est à chaque fois complètement enveloppé.

La vision de ces belles lanières de cuir brillant, soigneusement patinées sur ses propres fesses et celles de son beau-père, lui rappelle le jour où sa mère l’avait emmené en acheter un nouveau, dans le magasin de lingerie de Claridge. Celle-ci ne vendait pas que de la lingerie, mais aussi des articles et accessoires pour les femmes adeptes de discipline domestique.  Notamment les fameux slips à fessée importés d'Angleterre qui faisaient fureur sur les fesses des messieurs désobéissants. Elle en vendait, à ces Dames, autant que de porte-jarretelles. Ses martinets, fabriqués sur mesure, étaient aussi très appréciés des connaisseuses. Clarisse lui commandait les siens à l'exacte dimension de son derrière, ceci pour augmenter l'efficacité des fessées.

– « Mon chéri, disait-elle alors, pour administrer de bonnes fessées il faut des instruments de discipline adaptés au format des postérieurs qu'on corrige! »

  Après avoir, mesuré la rondeur de ses fesses avec un centimètre souple, slip rentré dans la raie pour plus de précision, Claridge avait annoncé huit cm de plus sur les lanières les plus longues. Devant l’air interrogateur de son amie, lui avait dit avec un petit sourire narquois.
 « On ne sait jamais, il vaut mieux prévoir. Une fessée peut en entraîner une autre … Autant que ce martinet puisse servir sur une autre paire de fesses que celles du jeune homme. Une fois bien chauffées sur un derrière, ces lanières donnent un meilleur claquant sur le suivant et le puni profite mieux de sa fessée. ». 
 Clarisse avait acquiescé avec un sourire entendu, reconnaissante à son amie d'avoir pensé qu'elle allait pouvoir l'utiliser aussi sur les fesses de son mari, encore plus volumineuses que celles de son fils pourtant déjà d'un beau format.
Et là, effectivement, il servait bien ce redoutable martinet !

Rodolphe, à l'écoute, entend le beau-père pleurer de nouveau, cognant ses genoux contre le siège de la chaise. Et puis brusquement, Clarisse le relève, le pantalon traînant par terre, et le saisissant par le bras le ramène, en larmes, à la chaise près de la table où la fessée a commencé et qu'elle paraît décidée à continuer. Elle a posé en prévision sur cette table, la planche à découper qu'elle utilise pour trancher les légumes. Sans se préoccuper de ses pleurs, plaintes et autres supplications, elle l'oblige à se recoucher en travers de ses cuisses pour lui flanquer aussitôt une troisième fessée avec l'ustensile de cuisine en bois. On doit l’entendre hurler jusque dehors.

 « Alors mon petit chéri, qu'est-ce qu'elles en pensent tes fesses de la planche à découper, Ou plutôt de la planche à fesser ! Ça claque bien aussi avec ça ! Et ça cuit ! Je vais te faire regretter de jouer de l'argent aux courses mon ami, tu penseras à la fessée qui t'attend s’il te prend l'envie de recommencer à me désobéir ! »
fessée déculottée planche à pain


Enfin elle le lâche. Il tombe à genoux à ses pieds, le slip en travers des cuisses, tendu sous ses fesses rouge vif, entièrement cuites. Pas apitoyée pour autant, elle lui montre l'angle du mur d'un index autoritaire et lui ordonne.
« File au coin, immédiatement, à genoux déculotté, les fesses en l'air, bien tendues ! Et si tu as le malheur d'essayer de te frotter le derrière, tu reviens immédiatement sur mes genoux pour une nouvelle fessée ! Je vais t'en ficher moi du PMU ! »
Il ne se le fait pas dire deux fois et s'y précipite en se tenant les fesses à deux mains, le visage couvert de larmes et de bave mêlées.
Ça n'échappe pas à Clarisse qui le recadre immédiatement.
« Qu'est-ce que je viens de te dire Douglas ? Tu n'en a pas encore eu assez on dirait... je n'ai pas tapé assez fort sans doute! »
Le malheureux pétrifié retire aussitôt ses mains qu'il avait posées sans réfléchir sur ses fesses, dans un geste réflexe. Il répond affolé sans tourner la tête calée dans l'angle du mur.
« Noooon chérie !  Plus la fessée ! Plus la fessée ! Ça suffit. Regarde, j'ai retiré mes mains !
Clarisse comme à son habitude est inflexible, elle ne cède rien. L'enjeu est le respect des règles de discipline établies et acceptées.
« Trop tard mon ami, trop tard ! Je t'avais prévenu !  C'est la fessée ! »
Douglas s'effondre sur le côté en se tenant le derrière à pleine main. De toute façon la sanction est tombée et elle ne reviendra sur sa décision.
« Roaaaaah ! Non ! S'il te plaît… C'est trop ! Tu m'en a déjà mis trois !
– Aller, tu n'avais qu'à m'obéir très cher. Tu connais pourtant le tarif, à chaque désobéissance, une fessée !  Monte dans la chambre et met toi en position sur le lit! Je te rejoins tout de suite. Je ne voudrais pas que tes fesses refroidissent, elles claquent moins bien ! » !

Rodolphe a juste le temps de se replier dans sa chambre. Douglas entre en gémissant dans la sienne dont la porte ouverte est juste en face, séparée par le couloir. Prudemment, il risque un œil par l’entrebâillement. Il voit son beau-père plier le traversin en deux, le surmonter de leurs deux oreillers l’un sur l’autre et s’installer dessus, effectivement les fesses bien en l’air comme Clarisse lui a ordonné. Son postérieur rouge vif magnifiquement offert, il se prend chaque fesse dans une main pour se les masser en écartant les deux globes. Tout en essayant d'atténuer la cuisson il tourne la tête pour regarder dans l’armoire à glace quel aspect elles présentent. Il s’essuie les joues avec un regard tout contrit en voyant l’état de son postérieur, puis reprend son massage en gémissant. Rodolphe entend soudain sa mère qui à son tour monte l’escalier sans se presser, le martinet à la main.  Il fonce se mettre sous ses draps, sans faire attention, cette fois, à la chaleur de son derrière qui s’atténue, et fait semblant de dormir.

Peu de temps après il entend que la fessée au martinet a repris.
« Aaie ! Ouille  ! Aie ! Ouille ! Aaaah chérie, tu tapes fort !  Raiiiie...aie ! Tu tapes trop fort, aie ! aie ! Ouille ! Aaaaah pas si fort Rooooaiiiiie ! Plus le martinet... s'il te plaît... Plus le martinet ! »
Les cris du malheureux s'arrêtent d'un seul coup, Clarisse semble avoir mis fin à la correction. Lourd moment de silence seulement troublé par des sanglots et des gémissements. Rodolphe, intrigué lève la tête de son oreiller pour tendre l'oreille. Il entend la voix de sa mère sans vraiment comprendre ce qu'elle dit. Celle de Douglas plus timide semble implorer la fin de la punition. Et soudain les hurlements reprennent accompagnés du claquement sec et retentissant d'une nouvelle fessée. Il n'a aucun mal à reconnaître le son familier d'une fessée à la main sur un derrière déculotté. La punition n'en finit pas, légitimée par la nécessité de faire prendre conscience des conséquences de ses actes au parieur invétéré. Il est de nouveau en souffrance sous les sarcasmes de son épouse qui doit hausser le ton pour se faire entendre.

« Ça suffit Douglas, cesse de pleurnicher comme un gamin et de te plaindre sans arrêt !
– Ah oui, mais... Ouuuiiile !  La fessée à la main … Aiiiie ça... ça fait mal aussi !
– Tu ne sais pas ce que tu dis !  Tu ne veux plus le martinet... Alors c'est la fessée à la main. La meilleure méthode pour uniformiser la couleur de tes fesses. Je ne voudrais pas que tu t'endormes avec de vilaines traces de lanières sur le derrière.
– Aaaaaah oui mais s’il te plaît, pas sur les cuisses ! Ouille,ouille ! la fessée déculottée ! Ouiiiii sur les fessssses ! oui ! Aaaaie !  Sur les fesses s’il te plaÏt ! Sur les fesses, aïe  aïe ! Pas sur les cuisses ! Ouille ! sur mes grosses fesses ! Ouuuuille ! Mes grosses fesses de mari désobéissant !
Le dialogue est savoureux entre les deux.
« Décidément tu ne sais pas ce que tu veux!
– Siiiii, si, mais change de fesse s'il te plaît, pas toujours sur la même ! Je te demande pardon chérie, Pardon ! Pardon ! Ouille, ouille ! la fessée déculottée, oui ! ouille ! ouille ! ouille Tu fesses dur chérie ! Ça claque fort : Rooooaiiie ! » 
Malgré le vacarme ambiant, Rodolphe, cette fois ne résiste plus au sommeil et commence à s'endormir, bercé par le crépitement continu de la fessée dont il n’était pas franchement mécontent, savourant un vague sentiment de revanche. Il n'y avait pas que lui à devoir subir les exigences disciplinaires de Clarisse.
Il entendit encore d’autres claquements et gémissements, forts, assourdis, plus forts, et en déduit dans un demi sommeil que la fessée continuait. Il sombra dans l’inconscience au son des claques sur les fesses de son beau-père.

Le lendemain matin, quand son réveil sonna, comme d’habitude il fait rapidement sa toilette au lavabo du petit cabinet de toilette de sa chambre et descend à la cuisine. Douglas était déjà parti. Sa mère prépare le petit déjeuner.  Elle lui demande :
« Alors tu as bien dormi ? la fessée t’a fait du bien, j’espère.
– Euh, oui Maman, j’étais fatigué. J'ai dormi sans me réveiller sur mes deux oreilles »
Elle répond en riant. Sa forte poitrine tressaute en cadence.
« Mais certainement pas sur tes deux fesses ?  Au fait, montre-les-moi que je vois dans quel état elles sont. »
Docile, il sait qu'il a tout intérêt à obéir immédiatement sans discuter, il se lève défait sa ceinture et baisse son pantalon.  Elle le courbe sous bras, l’examine, et lui tire le slip entre les fesses. Il exhibe un fessier proéminent d'une rondeur superbe. Elle le lui tapote avec gourmandise, à petite claques bien sèches. 
« Ça fait plaisir de voir à quel point ton derrière encaisse bien les fessées. Pourtant je t'en ai mis des sévères hier ! Pratiquement pas de traces, tu vas pouvoir en recevoir autant qu’il faudra à Ste Marie dès ce matin … Puis elle explique, c’est le Dolpic, ça chauffe dur mais çà empêche les bleus de se former. Et elle change de sujet, Va donc te donner un coup de peigne tiens. ! »
Il y va aussitôt et découvre que le fameux tube de Dolpic n’a pas été rangé dans l’armoire à pharmacie. Il est même resté débouché … Tiens donc, aurait-il servi à un autre fessier que le sien, hier soir ou déjà ce matin, tout comme le martinet.
Il en était là de ses réflexions lorsque la voix forte de sa mère le fait sursauter.
« Eh bien Rodolphe qu'est ce tu fabriques ?  Tu veux encore arriver en retard pour te faire remarquer c'est ça ? Très bien ! Viens ici... Tout de suite ! »
Ne négligeant rien, elle le fait souvent lever plus tôt pour avoir le temps de lui flanquer une fessée, juste avant de partir, si cela s'avère nécessaire. Assurément, elle estime que celle-là s’impose naturellement pour avoir traîné avant de partir à l'école. Brève mais intense, elle la lui met à la main, au milieu de la cuisine, déculotté, fesses en l'air, à genoux sur un tabouret.  Le ramassage scolaire est à huit heures trente, l’arrêt à un quart d’heure de marche normale. Elle ne lui lâche le derrière qu'à huit heure vingt-cinq pour l’obliger à y aller en courant.

« Je n'allais tout de même pas te laisser partir sans ta fessée ! Ironise-t-elle en le reculottant bien serré. Comme ça tes fesses sont prêtes pour celles qui t'attendent à l'école. ! »
 Il arrive au Bus, à bout de souffle, à peine reculotté, les fesses écarlates et cuisantes au fond du slip... La matinée commence à peine qu'il s'en est déjà pris une par sa mère.

Il est parti depuis dix minutes, lorsque le signal sonore du portable de Clarisse retentit sur la table basse du salon. C'est Edwige qui appelle au sujet de la ruineuse virée de Stephen, son mari, avec Douglas, le mardi précédent au PMU.


Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 4
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, le chapitre 6.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.


Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre :  Ramina

6 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Wahou !! Excellent récit. %On s'y croirait. En lisant, j'imaginais le format BD pour l'illustrer.
    Dame Clarisse garde toujours la haute main sur ses hommes. Quelle corrida ! Au final, "Doug" est aussi hypocrite que Rodolphe. Il fait porter le chapeau à ses acolytes de jeu pour se dédouaner.
    Stratégie habile mais pas forcément payante. Bien sûr, Tata Clarisse n'est pas dupe. "Ma fesseuse bien-aimée" ! Seul bémol : ce n'est pas le nez qui bouge mais la main qui démange !!! Chacun/e son truc.
    J'imagine d'ici le tête-à-tête de Edwige et Stephen...Pour sûr, ça va chauffeeeeeeer !
    Amicalement. Peter.

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  2. Amis de la poésie, et de la fessée en RTT, bonjour,

    Oups! Il y a du son ( du texte plutôt,) mais pas d'images... ça arrive. Je les ai peut -être envoyées trop tôt croyant être absent du 28 oct au 5 Nov. La SNCF m'a obligé à repousser mon voyage du 6 nov au 14... pas de commentaires d'ici là... vacances pour tout le monde ! (sourire)
    Il est prévu tout de même la mise en ligne du chapitre 6 entre deux... avec les images. je dis ça comme ça, au cas ou (?)
    Cordialement
    Ramina

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  3. Hello Peter,
    Tu ne crois pas si bien dire, la fesseuse bien aimée (bien vu!)et son amie Edwige font faire passer un sale Dimanche après midi aux deux parieurs invétérés... Trio de choc, Bettina sera même de la partie...Tous ensemble Eééééh!...
    Amicalement
    Ramina

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  4. Bonsoir Ramina,

    Wahou ! Si Miss Betty s'en mêle, ben... Stephen peut déjà préparer la première couche d'Arnican. Tous les deux vont décrocher le martinet à défaut de décrocher la timbale !!! Courage, les champions !!!
    "We can do it" disent-elles ! M'enfin !
    Petite remarque positive : on sent une certaine luminosité dans les deux dessins. Gladys se détache mieux du décor. Tu élargis le champ de vision et c'est excellent. C'est du travail et j'en sais quelque chose. "Silence sur le plateau ! Moteurrr ! Action !" (Rires).
    Amicalement. Peter.
    (NB : J'étais surpris de ne pas voir les illustrations. On s'habitue à ton style et ça manquait.)

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  5. je me régale toujours de ces récits plein d'entrain où les fessées pleuvent à qui mieux mieux.
    Quel festival!

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  6. je me régale toujours de ces récits plein d'entrain où les fessées pleuvent à qui mieux mieux.
    Quel festival!

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