jeudi 28 novembre 2019

Mes premières fessées - chapitre 16

Clotilde avait passé la nuit à la maison. Dans la chambre d’Amélie. Quand je suis descendu, elles déjeunaient toutes les deux, côte à côte, dans la cuisine.
Dès qu’elles m’ont aperçu, leurs visages se sont fermés. Se sont faits durs.
– Bonjour !
Pas de réponse.
J’ai fait une seconde tentative.
– Bonjour !
Toujours rien.
Je me suis installé, servi un grand bol de café au lait.
– Tu peux me passer la confiture, Amélie ?
– T’as qu’à te lever et venir la chercher !
J’ai explosé.
– Mais qu’est-ce qu’il y a ? Qu’est-ce vous avez ? Qu’est-ce que j’ai fait ?
– Et il demande ce qu’il y a ! Il y a que tu t’es comporté d’une façon absolument inqualifiable hier soir !
– Moi !
– Toi, oui ! Qu’est-ce que c’était que cette façon de pas quitter Clotilde des yeux pendant la fessée de Philibert ? Je t’ai vu faire. Alors t’avise pas de prétendre le contraire.
– Non, mais c’était parce que…
– Parce que quoi ?
– Non, rien.
Mieux valait garder un silence prudent.
– Tu pouvais pas lui foutre la paix à Clotilde ?
J’ai voulu me justifier. Et je me suis lamentablement emmêlé les pinceaux.
– J’ai rien vu n’importe comment. Il y avait le fauteuil.
– Mais t’as cherché à voir. La preuve ! T’es qu’un sale petit vicieux au fond. En plus du reste !
– Mais non, mais…
– Mais si ! Comme la fois de la fessée de Floriane. Où tu étais resté sournoisement planqué derrière mon dos pour te rincer l’œil. Bon, mais allez ! Les mêmes causes produisant les mêmes effets, même punition…
Je n’ai pas cherché à discuter. À quoi bon ? De toute façon…
Elle s’est levée. Et elle m’a fait lever.
– Retire ton pyjama. Complètement.
Elle m’a regardé faire et puis elle m’a saisi par la nuque. Et emmené, manu militari, jusqu’au lave-vaisselle sur lequel elle m’a fait pencher à l’équerre. Du bout du pied, elle m’a obligé à écarter les jambes. Un peu plus. Un peu plus encore.
– Là ! Qu’on voie bien tes balloches
Elle a fait couler le robinet de l’évier, juste à côté, l’a à demi rempli, y a trempé un grand torchon qu’elle a ensuite longuement essoré.
– À nous deux ! Et commence par regarder devant toi…
Il s’est passé une demi-minute, peut-être un peu plus, pendant laquelle je l’ai entendue s’entretenir à voix basse avec Clotilde. Et puis elle m’a cinglé un grand coup le derrière avec le torchon. Ce qui m’a arraché un petit cri de surprise. Ça ne ressemblait à rien de ce que je connaissais. Ni à la ceinture ni au martinet ni à la planche à découper ni à la fessée à la main. À rien. C’était à la fois plus douloureux et moins douloureux. En même temps. Insolite en tout cas. Surprenant. Elle a poursuivi sur sa lancée. Des coups rapides. Rapprochés. À pleine puissance. Qui piquaient. Qui brûlaient. Sur la peau désormais mouillée ça devenait de plus en plus intense. Derrière, tout près, il y a eu comme un halètement. Un ahanement. Clotilde ! Clotilde qui entrait dans son plaisir en regardant le torchon s’abattre sur mon fessier, en me voyant me tortiller sous les coups, en m’écoutant geindre pitoyablement.
Amélie a ordonné.
– Te retourne pas ! Je te l’interdis.
Très vite Clotilde a pris son essor, son envol. Et elle a joui. À grandes plaintes éperdues.
Les coups ont cessé. Il y a eu des chuchotements. Le bruit d’un baiser claqué.
– C’est bon, toi ! Tu peux circuler.
J’ai détalé vers la porte.
– Mais c’est qu’il bande, ce salaud !
– Il mériterait que je lui en colle une autre, tiens, pour la peine ! Oh, mais il perd rien pour attendre.

Estelle, que j’ai retrouvée dans le même petit café que la veille, avait l’air préoccupée.
– Ça va pas ?
– Non. Enfin, si ! Mais faudrait que je te parle de quelque chose.
– Eh bien, vas-y !
– C’est que c’est pas facile…
– Essaie toujours…
– Je t’ai dit hier que j’avais quelqu’un. Et qu’il était marié. Eh ben, c’est mon beau-frère. Le frère de ma sœur.
– Aïe !
– Elle est pas au courant, Dieu merci ! Mais ma mère, si ! Et elle prend ça très mal.
– Ce qui peut se comprendre.
– Je sais bien, oui ! Et je suis pas particulièrement fière de moi sur ce coup-là. Mais je l’ai dans la peau. Dix mille fois j’ai voulu mettre un terme. Dix mille fois j’ai flanché. J’y arrive pas. C’est au-dessus de mes forces.
– Et ta mère…
– Arrête pas de me tanner. « Il faut que t’y parviennes, Estelle ! Il faut absolument que t’y parviennes. Et je t’assure que si c’est moi qui prends les choses en mains… » Et elle l’a fait. Elle a commencé à le faire.
– C’est-à-dire ?
– Qu’elle m’a…
– Oui ?
– Comment j’ai honte ! Qu’elle m’a…
Elle a baissé la voix, détourné la tête.
– Donné des fessées.
– Et ça n’a pas suffi.
– Non. La preuve ! Enfin, si ! Un peu. Quelques jours. Et puis je rechute. Du coup, elle veut passer, comme elle dit, à la vitesse supérieure. C’est-à-dire qu’elle envisage, si je ne romps pas rapidement et de façon définitive avec lui, de m’en flanquer devant toi. Elle pense qu’il y rien qui peut me vexer davantage. Et elle a pas tort. Seulement…
– C’est pas pour autant que tu vas rompre.
– J’en suis incapable. Alors attends-toi à recevoir, dans les jours qui viennent, un appel de sa part. Je préfère te prévenir.
– Et si tu refuses d’en passer par où elle veut ?
– Elle m’a menacée de mettre ma sœur au courant et, dans la foulée, tout le reste de la famille. Elle en est parfaitement capable. Et c’est un risque que je ne veux absolument pas courir.
Je lui ai pris la main par-dessus la table.
– Bienvenue au club.
– Comment ça ?
– Si ça peut te rendre les choses un peu moins difficiles, sache que moi aussi, j’y ai droit aux fessées.
– Toi !
– Et plus souvent qu’à mon tour.
– T’es gentil, mais tu dis ça juste pour me rassurer. C’est pas vrai en fait, hein !
– Viens !
Je l’ai entraînée dehors. Jusqu’à une porte cochère. Sous laquelle j’ai baissé mon pantalon. En lui tournant le dos.
Elle a poussé un petit cri de stupéfaction.
– Ah, ben d’accord !
– Tu vois que t’es pas toute seule.
– On n’y est pas allé de main morte, dis donc !
– À qui le dis-tu !
– C’est qui ? Cette femme dont tu m’as parlé ?
– Oui. Enfin non. Plus maintenant. Je te raconterai. J’ai pas trop le temps, là.
On s’est quittés d’un baiser. Dont on s’est effleuré les lèvres.

Elles m’attendaient à l’arrêt du bus. Les deux jumelles. Gwenaëlle et Hortense.
– Ben, alors tu nous bats froid ? On te voit plus.
– Mais non ! Pas du tout ! Pas du tout ! Seulement…
– C’est vraiment pas sympa. T’aurais pu donner des nouvelles quand même ! Parce que nous, on est toutes mignonnes avec toi, toutes gentilles et voilà le remerciement qu’on en a. Pareil pour Morgane et Pauline. Pas un mot. Pas un coup de téléphone. Rien. Après tout ce qu’elles ont fait pour toi ! Oh, mais ça va pas se passer comme ça. Et je peux te dire que la fessée que tu vas te ramasser…
J’ai pas pu m’empêcher de jeter un rapide coup d’œil sur les gens autour. Un type, la quarantaine, étouffait à l’évidence une forte envie de rire. Une fille, une jeune, avait pris un air absent. Trop absent pour l’être vraiment. Une autre me fixait éberluée, les yeux écarquillés.
Hortense a claironné.
– Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? Qu’est-ce t’as à regarder tout le monde comme ça ? Tu t’en fous, tu parles, de ce qu’ils peuvent penser tous ceux-là. Tu les connais pas. Et tu les reverras jamais. De toute façon, je suis bien tranquille que, s’ils savaient tout ce que t’as fait, quel sale type tu es sous tes faux airs de sainte-nitouche, ils trouveraient que des fessées, c’est vraiment pas cher payé.
Elle s’est penchée vers la fille à l’air éberlué, lui a chuchoté quelque chose à l’oreille.
– Non, mais vous vous rendez compte ?
Elle se rendait compte, oui. Et son regard s’est attardé sur moi, lourdement réprobateur.
Le bus est arrivé. Je me suis empressé de m’en approcher.
– Où tu vas comme ça ?
– Ben…
– T’es si pressé que ça ?
– Non, mais…
– Eh ben alors ! Tu peux bien rester discuter un peu avec nous, non ?
Et j’ai battu en retraite.
Sur le marchepied, la fille s’est retournée et m’a lancé un dernier regard. De profond mépris.

Les jumelles sont allées s’installer sur le banc, sous l’abribus.
– Viens là ! Tu seras bien là.
Entre elles.
– On va attendre qu’il en arrive d’autres, des gens. C’est trop marrant de voir leurs têtes et la façon dont ils te regardent quand ils entendent que tu t’en prends, des fessées. Non ? Tu trouves pas ?
– Il a pas l’air.
– C’est qu’il est encore trop coincé. Mais quand il en aura pris l’habitude, lui aussi ça l’amusera.  Autant que nous.
Un vieux monsieur s’est arrêté et puis, coup sur coup, une fille, d’une vingtaine d’années, et un type, à peu près du même âge.
– T’as rien à nous dire ?
Non. Rien. Rien de spécial. Je voyais pas.
– Tu vois pas. Vraiment ? On va t’aider alors… Il s’est passé quoi hier ?
– Hier ? Ah, oui… Philibert…
– Quoi, Philibert ?
J’ai baissé la voix. Murmuré.
– Il s’est pris une fessée.
Hortense a claironné.
On le sait bien qu’il s’est pris une fessée, Philibert. On est au courant, merci. Mais c’est pas de lui qu’il s’agit, c’est de toi.
Le jeune type et la fille ont échangé un rapide sourire entendu.
– Alors ? Je répète ma question. Il s’est passé quoi, hier ?
Gwenaëlle a précisé.
– Et même avant-hier.
Inutile de tergiverser. Je n’aurais fait qu’aggraver mon cas.
– Elles ont pris des photos.
– Qui, ça ?
– Amélie et Clotilde.
– Et de qui ?
– De moi.
– De toi, oui ! Et de toi qui venais de te ramasser une bonne correction.
La fille a gloussé. Le type m’a dévisagé d’un air ironique.
Hortense les a pris à partie.
– Non, parce que vous savez pas ce qu’il fait, ce petit saligaud ? Il mate dans les toilettes de la fac.
Hein ? Mais qu’est-ce qu’elle leur racontait, là ? C’était pas vrai ! Pas du tout !
– Oui. Il a bricolé les bouches d’aération et il s’en donne à cœur-joie.
Protester ? Nier ? Elles étaient deux. Et elles avaient énormément d’aplomb. Ça me serait encore retombé sur le coin de la figure. Elles en auraient rajouté une couche, m’auraient inventé d’autres forfaits. Je ne les connaissais pas depuis longtemps, mais j’avais déjà parfaitement compris qu’elles étaient redoutables. Et capables de tout. Alors mieux valait faire profil bas. Le plus bas possible.
Deux autres filles se sont arrêtées, approchées, ont tendu l’oreille.
– Alors vous pensez bien qu’avec les copines, quand on s’en est rendu compte, on est toutes tombées d’accord. Pas question de laisser passer un truc pareil. Et on lui a mis le marché en mains. Ou une bonne fessée pour lui en faire passer l’envie ou bien alors on portait plainte. Collectivement. Et, en prime, on te lui concoctait un de ces petits articles dans le journal de la fac qu’il nous en aurait dit des nouvelles. Il a pas hésité une seule seconde.
L’une des filles a proclamé.
– Vous avez bien fait, alors là !
Et les autres ont bruyamment approuvé.
Gwenaëlle a proposé.
– Tenez, vous voulez voir ?
Elle a sorti son portable, s’est levée.
Les trois filles sont venues se pencher par-dessus son épaule. Le type aussi.
Il y en a une qui s’est exclamée.
– Oh, la vache ! Comment il a pris cher !
Les deux autres ont surenchéri.
– Ah, ça, pour une bonne volée, c’est une bonne volée.
– Tu vas pas le plaindre quand même !
– Oh, pour ça, non !
Et le type a conclu.
– Tu l’avais bien cherché, mec !

Un bus s’est arrêté. Ils se sont dirigés vers lui. Une fille a dit quelque chose et il y a eu de grands éclats de rire.
Hortense s’est tournée vers moi.
– Tu le prends pas, toi ?
– Ben…
– Non. T’as raison. Tu vas venir avec nous plutôt. Chez nous. Qu’on règle nos comptes tous les trois.
Gwenaëlle a surenchéri.
– Oui, parce que c’est honteux ce que t’as fait.
Je me suis scandalisé.
– Hein ! Mais c’était pas vrai ! Jamais j’ai maté dans les chiottes, moi ! Jamais.
– Traite-nous de menteuses tant que tu y es !
– Mais non, mais…
– Mais si! C’est ce que t’es en train de faire. N’importe comment, que t’aies maté ou pas, c’est pas là le problème. Même si tu l’as pas fait, t’aurais pu le faire. Ce qui revient au même. T’es coupable pareil. Bon, mais de toute façon, pour le moment la question n’est pas là. Elle est que tu fais tes petits coups en douce.
– Mes petits coups en douce ?
Hortense est intervenue.
– Ah, oui, alors ! Parce que qu’est-ce que c’est que ces façons de te faire photographier, le cul à l’air et tout rouge, entre Amélie et l’autre fille, là, sans même nous inviter à la fête. On pue, nous, c’est ça ?
Je me suis tortillé sur le banc.
– Mais non ! Seulement elles l’ont décidé comme ça. D’un coup.
– Et alors ? C’est pas une raison. T’as pas de téléphone ? Non, c’est vexant pour nous. Et puis de quoi on avait l’air avec les autres, là, tout à l’heure ? Même pas de photos de toi avec nous à leur montrer. Fallait se rabattre sur celles des copines. Qu’est-ce qu’ils ont dû penser ! Faut vraiment qu’on remédie à ça. Pour que la prochaine fois, aux arrêts de bus, quand il y aura du monde… Allez ! Tu viens avec nous.

Leur mère les a accueillies avec un grand sourire.
– Alors, mes chéries, vous avez passé une bonne journée ?
– Ça a été, oui. À peu près.
– Et vous avez ramené un petit camarade ? Vous avez raison. Faut vous distraire un peu. Pas toujours rester le nez dans les bouquins. Montez vous amuser…
En haut, dans leur chambre, elles m’ont fait déshabiller, m’ont longuement contemplé le derrière. Me l’ont trituré, malaxé.
– Il y en a plusieurs en fait des fessées, superposées les unes aux autres.
Gwenaëlle a sorti son smartphone.
– Bon, allez, action ! En position !
Mais Hortense a fait la moue.
– Mouais… Je trouve pas ça trop le top, moi. Parce que c’est pas nous qu’on lui a tanné le cul sur ce coup-là. Alors se photographier avec…
– On s’en fout ! Qu’est-ce ça fait ?
– Oh, si ça fait, moi, j’trouve ! Si ! C’est pas du tout pareil si on peut se dire, en les regardant après les photos ou en les montrant, comme tout à l’heure à l’abribus, que c’est nous qui le lui avons rougi, le popotin.
– Ben, si on doit attendre que son cul soit redevenu vierge, on n’est pas sorties d’affaire…
– Ça, moi, c’est pas mon problème. Il se débrouille comme il veut, mais je veux qu’avant la fin de la semaine il nous l’ait apporté tout blanc. Sinon…


Pour les distraits qui auraient loupé ce qui s'est passé précédemment

Tout a commencé comme ça : chapitre 1
Et la semaine dernière, le chapitre 15
Et tous les autres chapitres sur la page "les auteurs invités"

Et la suite ?

C'est le chapitre 17.

Les commentaires sont les bienvenus

François Fabien doit-il continuer dans cette direction ? Doit-il écrire un prochain épisode ?

7 commentaires:

  1. Amis de la poésie et de la fessée au torchon... Bonjour

    Récit alerte, toujours aussi plaisant à lire. Dialogues vigoureux, langage direct sans fioritures, beaucoup moins châtié que les fesses des garçons.
    On s'exprime franc du collier sans fausse pudeur. Ces demoiselles, émancipées, appellent un cul, un cul... et en terme imagé, les attributs virils, des balloches ! La virilité des mecs en prend d'ailleurs un sacré coup, ça fout les boules!

    On se sent familier de ces personnages, placés dans un contexte supposé fictif, mais dans des situations d'un réalisme frappant. Surtout pour ces messieurs qui s'en prennent plein les fesses, notamment,à mater les filles dans les chiottes, comme des ados post pubères ! En clair dans le texte décodé...comme ça on comprend bien... (rire)
    Aller, si vous n'avez ps vu le film, vous reprendrez bien un petit coup de torchon mouillé sur les fesses... pour la route... en toute simplicité!
    Cordialement
    Ramina

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  2. Bonjour Ramina. Et bonjour à tous.
    J'aime votre regard sur "mes premières fessées". Toujours acéré et percutant. Assurément les garçons en prennent pour leur grade, mais il n'est pas impossible que le vent tourne. C'est même plus que probable.
    Quant aux "héroïnes", elles sont le plus souvent le copié/collé de conversations qu'il m'a été donné d'entendre, mais largement aménagées tout de même pour les besoins de la cause. Dans le réel, les filles entre elles, quand elles se lâchent, peuvent être absolument redoutables.
    Amicalement.
    François

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  3. François Fabien.
    Je partage votre opinion... On dit ( je ne sais pas qui d'ailleurs ) que les femmes sont souvent plus dures au mal que les hommes et du côté du manche, souvent plus impitoyables.
    Les récits d'Eléna n'en sont ils pas la preuve par(chat à)neuf(queues)
    Et ben ça y est j'ai encore dérapé!
    Amicalement
    Ramina

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    Réponses
    1. Ramina,

      Au cours de ma longue existence, j'ai souvent été amené par les circonstances à côtoyer des femmes sans complexe qui laissaient libre cours à leur imaginaire ou à leur désir de dominer, voire de se venger. Et effectivement, quand les digues ont sauté, on peut s'attendre à tout. Absolument tout.
      Amicalement.
      François

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  4. Bonjour François,
    Le coup du torchon mouillé, c'est une très bonne idée. Je suis en accord avec Ramina, les dialogues sont savoureux au possible. Le style est celui qu'on vous connait et surtout ne pas en changer. Les situations sont très réalistes, pour notre plus grand plaisir, d'ailleurs.
    A croire que les garçons font exprès de se mettre dans des situations pas possibles pour se faire surprendre et punir. Mais c'est tant mieux pour le lecteur.
    Amitiés.
    Elena.

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    Réponses
    1. Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.

      Je n'ai jamais personnellement expérimenté le torchon mouillé, mais, d'après les échos que j'ai eus, il s'agit d'une expérience très particulière et infiniment douloureuse.
      Quant aux garçons, on peut effectivement se demander s'ils ne se mettent pas inconsciemment dans une situation impossible qui va déboucher inéluctablement sur une correction.
      Amicalement.
      François

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  5. Ben dis donc qu'est ce qu'il dérouille, et par plein de femmes différentes le veinard!
    C'est très bien écrit, très prenant.
    A chaque fois qu'on se promet de faire une pause dans la lecture n passe tout de même au chapitre suivant
    Du grand art!

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