Les
parents de Mei, restés en Chine, l’ont appelée et l’ont sérieusement sermonnée
en lui disant qu’elle est la honte de la famille si bien, qu’ils ont encouragé
la proviseure pour cette fessée publique. Le Papa de Mei a même promis à
Fabienne D. de fesser sa fille au même niveau de sévérité lorsque celle-ci
rentrera au pays pour les vacances d’hiver. L’éducation et la discipline sont
importantes en Chine et les étudiants qui ne se plient pas aux règles savent
très bien qu’ils sont exposés à de sévères punitions. C’est la raison pour
laquelle précisément, les parents de Mei l’ont placée dans cette école en
France, réputée pour ses excellents résultats et pour la bonne tenue de ses
élèves.
Après un
passage par l’infirmerie où elle est auscultée sous toutes les coutures comme
il se doit et intégralement épilée, puis Mei est dirigée vers le repentir
devant les deux religieuses polonaises, quinquagénaires, arrivées à
l’établissement Ste CROIX depuis la rentrée pour l’enseignement des valeurs
morales. Lorsque Mei s’est confessée de ses pêchés, elle est conduite, nue et
en pleurs, au centre de la cour, entourée de la Mère supérieure Jolanta O. et
de la Sœur Weronika S. Mei est accueillie par des quolibets de la part des
garçons qui se moquent et rigolent en regardant sa petite poitrine et ses
tétons dressés sous l’émotion et la vexation. Mei est attachée à des barrières,
penchée en avant, les cuisses écartées, afin d’offrir d’une part, ses fesses aux
lanières et d’autre part une très belle vue sur son intimité. Mei n’a reçu
qu’une seule fessée jusqu’à aujourd’hui, uniquement devant ses camarades de
classe, en cours de gymnastique, ce qui fait qu’elle est d’autant plus humiliée
d’être fessée devant toute l’école. Devant sa détresse, la Mère supérieure
Jolanta O. tente de l’apaiser en lui disant qu’elle se sentira mieux
lorsqu’elle aura payé sa dette morale envers l’école et envers elle-même.
Nous
assistons à une fessée très excitante, car Mei s’agite dans tous les sens en
hurlant de douleur sous les cinglées sonores qui lui marquent la chair. La
punition dure un bon quart d’heure, car quelques instants de répit lui sont
accordés toutes les vingt cinglées pour qu’elle reprenne son souffle.
L’infirmière en profite pour examiner ses fesses et ses cuisses. Lors de la
pause après la vingtième cinglée, nous voyons Mei, qui ne maitrise plus ses sphincters,
uriner longuement ce qui fait pouffer de rire les élèves.
D’avoir
vu cette fessée m’a excitée et je sens que ma culotte n’est plus sèche, ma
cyprine a largement coulé, malgré mes efforts pour serrer les cuisses. Mes
voisins et voisines sont à peu de chose près dans le même état que moi. Je vois
même des auréoles sur des pantalons clairs, ce qui prouve l’état des élèves !
Les plus chanceuses sont les filles qui portent une jupe, car ça ne se voit
pas. Même en voulant être discret, je vois des élèves se masturber intensément.
Certains élèves sont même obligés de partir pour se soulager dans les
toilettes. Quant à moi, je dois passer l’après-midi en jeans, sans culotte, car
celle-ci est trempée.
En
regardant plus loin dans la foule des élèves, je remarque Adilson dans une
curieuse position. Tout d’abord, je pense qu’il est en train de se soulager,
mais en y regardant de plus près, ce n’est pas le cas et ça m’intrigue. J’en
profite pour m’approcher un peu et je vois qu’il est en train de filmer la
fessée de Mei, ce qui est rigoureusement interdit, car Fabienne D. ne veut pas
que les punitions ornent les réseaux sociaux et fassent une mauvaise réputation
à l’école. Tout ce qui se passe à l’intérieur de l’école doit y rester. Seul le
corps enseignant a le droit de filmer pour les archives de l’école et pour
prouver, en cas de contestation, que les punitions n’ont pas été des tortures,
juste des corrections disciplinaires, sans plus. D’ailleurs tous les
trimestres, le rectorat demande à visionner les enregistrements pour valider
les verdicts des conseils de discipline et valider le dosage des cinglées
reçues par les élèves, en relation avec le service de santé des établissements
scolaires. Lors de ces visionnages, le proviseur et le professeur principal de
l’établissement sont convoqués pour la justification des corrections durant la
période concernée.
Je saisis
toute l’importance de cette découverte. Je vais aller en parler à la
proviseure, dès que possible et avant la fin de la journée, pour qu’Adilson ne
puisse pas transférer son enregistrement. Pour ne pas me faire remarquer, je
recule pour assister à la fin de la correction où je vois Mei, tremblante et moite
de sueur, pousser des hurlements stridents en se contorsionnant comme une
damnée.
Dès la
fin de sa correction, Mei est détachée par les religieuses et ramenée à
l’infirmerie pour y subir un examen de pure routine, car hormis ses fesses
zébrées de boursoufflures rouges, elle est en excellente santé. Le visage
inondé de larmes, en sanglots, et marchant les cuisses écartées la rendant
vraiment ridicule, Mei suit, comme un robot, l’infirmière vers le bâtiment
principal. J’ai de la peine pour Mei car elle est dans tous ses états. Dès
qu’elle est près de moi, je lui souhaite du courage en lui caressant le bras
pour tenter de la réconforter, petit geste de tendresse auquel Mei ne réagit
même pas tant elle est dans la confusion et sous les huées du public.
Dès que
la proviseure se dirige vers l’administration, je la suis puis je l’interpelle
avant qu’elle ne soit rentrée. Je lui raconte ce que j’ai vu et Fabienne D.
trouve intéressant ce que je lui dis, car elle sait que des films ont été
diffusés sur certains sites érotiques, supprimés par les experts de l’éducation
nationale, mais ces fuites lui ont été rapportées. Des fouilles régulières sont
faites pour que les élèves n’aient pas de portables sur eux durant le temps
passé en cours, mais certains sont passés entre les mailles du filet. Peut-être
qu’Adilson est l’un des responsables de ces fuites.
Accompagnés
de Léa et de François F., la proviseure organise une fouille des sacs des étudiants
lors du premier cours de l’après-midi. Dans notre section, le responsable de la
fouille est François F. qui trouve le portable d’Adilson, sur lequel on voit le
film de la sévère fessée de Mei. Lors de la découverte, Adilson ne sait plus où
se mettre, muet de surprise. Je jubile intérieurement lorsque j’entends la
proviseure le sermonner et lui promettre un passage en conseil de discipline.
Celui-ci aura lieu en début de semaine prochaine.
Durant
toute l’après-midi, je regarde Adilson et celui-ci est tête basse, visiblement
très affecté par sa convocation en conseil. Ce sera une première pour lui et je
prie pour que la punition soit sévère, ça me ferait un très grand plaisir. Lors
de la pause, j’échange avec mes amies, sans leur dire que je suis à l’origine
de la dénonciation car je ne voudrais pas que ça arrive aux oreilles d’Adlison
par inadvertance. Ekaterina, Olga et Iourievna me disent qu’elles espèrent,
tout comme moi qu’Adilson se fasse punir sévèrement et de ce fait, je tiendrai
ma vengeance. C’est en effet mon désir. Avec cette perspective, je passe un
très bon weekend et j’imagine déjà Adilson, nu, en train de se faire fouetter
devant tout le monde.
D’habitude
très moqueurs envers les élèves qui viennent de se faire fesser, Adilson ne dit
rien à Mei qui revient en classe avec nous, les fesses et les cuisses à l’air et
enduites de crème. Mei assiste au cours, au premier rang, debout sur le pupitre
prévu pour les punis, de façon à les faire exhiber leurs fesses marquées aux
autres élèves.
Le Lundi
soir, le conseil de discipline se réunit et avec les preuves accablantes et à
l’unanimité, la culpabilité est reconnue, mais il est innocenté dans les
diffusions de films, malgré de sérieuses présomptions mais sans preuves
tangibles. Le conseil le condamne à cent dix coups de martinet. Jamais une
telle punition n’a été prononcée envers un étudiant. Adilson passe également
tout près de l’exclusion définitive de l’école et un renvoi dans son pays. Même
Laetitia F. ne tente pas d’atténuer sa peine, comme elle tente de le faire parfois
pour d’autres élèves. La fessée d’Adilson aura lieu devant toute l’école le
vendredi suivant à midi, de sorte que l’élève puni ait le weekend pour se
remettre et revenir avec de meilleures résolutions dès le Lundi suivant.
Malgré
ses vives protestations et terribles regrets, Adilson ne rien pour faire
atténuer sa punition. Etant donné le nombre important de cinglées, l’infirmière
recommande des pauses toutes les vingt fouettées et la répartition des cinglées
sur tout le corps et pas uniquement concentrée sur les fesses et les cuisses.
Elle propose trente cinglées sur les fesses, vingt sur les cuisses, vingt sur
le dos, vingt sur le ventre et vingt sur le torse. De cette façon, tout son
corps sera marqué, ce qui devrait le faire réfléchir et se repentir. Cette proposition
est votée et retenue.
A son
retour du conseil, Léa nous informe de la conclusion du conseil, je saute de
joie, car je n’en espérais pas tant. Durant les jours qui suivent, je m’arrange
pour qu’Adilson me voit en train de sourire en le regardant et lorsqu’il croise
mon regard, il sait que je vais être ravie de le voir souffrir et il ne peut
rien faire contre ça !
Le
vendredi midi, après le dernier cours, lorsque Léa emmène Adilson chez la
proviseure, mon émotion est à son comble, car je vais enfin le voir en
situation d’infériorité et humilié, comme je l’ai été. Notre professeur nous
emmène dans la cour en nous disant que nous allons assister à un beau
spectacle. Lorsque nous sommes descendus, déjà beaucoup d’élèves et de
professeurs sont rassemblés et chacun tente d’avoir la meilleure place, pour
n’en perdre aucune miette. Les commentaires fusent dans tous les sens, surtout
chez les filles des autres sections, car elles savent que c’est un garçon de
seconde année de BTS qui va se faire fesser, mais elles le découvriront lors de
son arrivée et elles en sont déjà toutes excitées.
Après un
déshabillage complet chez la proviseure, un passage à l’infirmerie où Laetitia
F. l’examine minutieusement, lui provoquant, au passage, une bonne érection, Fabienne
D. l’envoie se repentir auprès de Sœur Weronika S. qui l’accueille avec une bonne
gifle, espérant calmer sa raideur, mais il n’en est rien, car la claque n’a
fait que renforcer son humiliation et son érection. De ce fait la religieuse ne
lui donne pas le pardon pour son acte et lui dit qu’il devra affronter, seul,
la justice de l’établissement et ce n’est pas ses tentatives d’excuses qui y
changeront quelque chose et Sœur Weronika S. lui dit
qu’il commence par se maitriser et elle verra après !
Lorsque
je vois arriver Adilson, tête basse, humilié et presque en pleurs, je pousse un
cri de joie comme toutes les minettes de l’école. Mené sans douceur vers les
poteaux, il est attaché, bras et jambes écartés devant tout le monde. Dans
cette position avilissante, nous allons pouvoir apprécier son courage face aux
cinglées. J’aimerais tellement être à la place de la professeure d’informatique
Aline F. ou de l’infirmière Laetitia F. qui ont été désignées pour appliquer la
punition. Lorsqu’il ne peut plus bouger, Laetitia F. en profite pour lui
retrousser le prépuce et lui mettre le gland à l’air de sorte qu’aucune partie
de son intimité se soit cachée.
A chaque
cinglée où Adilson crie ou hurle, j’applaudis. Certaines filles, dont je fais
partie, demandent que les fouettées soient plus intenses . Nous voyons Adilson
se contorsionner dans tous les sens, demandant pardon et suppliant, ce qui me
remplit de bonheur de le voir en si mauvaise posture. A force de contracter les
fesses et de gesticuler, lorsqu’il éjacule à deux reprises, nous sommes au
paroxysme du plaisir. Nous en sommes même à regretter que les fesseuses lui
laissent du repos entre les séries.
Lorsque
ses fesses, ses cuisses et son dos ont été marqués, Adilson est détaché puis
retourné face à nous pour la fin de sa punition. Il va devoir subir les fouettées
sur le ventre et le torse. Humide de sueur, Adilson ne peut rien lorsqu’on le
retourne et lorsqu’on l’immobilise à nouveau. La suite des fouettées est toute
aussi excitante, car étant face à nous, nous le voyons hurler, se dandiner dans
tous les sens et sangloter, le corps entier zébré de marques rouges, le pénis
bien dressé. Mon entrejambe est copieusement mouillé, tant ce spectacle
m’excite et à force de me caresser. Je m’imagine à la place des flagellatrices
en train de lui marquer le corps et de le faire souffrir comme lui m’a fait
souffrir, car je trouve que c’est un juste retour des choses. Les cent dix
fouettées sont passées assez vite et certaines minettes en réclament plus, tant
ça les a excitées !
Fabienne
D. ordonne de détacher le puni et de le mener à l’infirmerie pour son examen.
Adilson termine à genoux pour reprendre son souffle. Lorsqu’il s’est relevé et
lorsqu’il passe devant moi, je l’insulte copieusement en le traitant de
mauviette, tant il n’a fait preuve de courage. Je me délecte de pouvoir l’injurier
sans qu’il puisse y voir une offense et s’en plaindre.
Lors du
repas, avec le sujet principal de la conversation tourne autour de ce que nous
avons vu. Lorsqu’il arrive, toujours entièrement nu, le corps luisant car
enduit de lotion et accompagné de Léa, les sifflets et les moqueries reprennent
de plus belle, si bien que les professeurs présents sont obligés d’intervenir
pour faire cesser ce chahut. Ils promettent une bonne raclée à ceux qui serait
tentés de propager le désordre. L’étudiant a été corrigé et a payé sa dette, à
présent, il a de nouveau droit au respect, au même titre que tous les autres
élèves de l’établissement. C’est un réel ravissement que de le voir contrit, la
tête basse. Lui qui se prétendait au-dessus de tout le monde… Sa petite fierté
de mâle a été sérieusement ébranlée. Il fera moins le malin après ça.
Tout au
long des cours de l’après-midi, Adilson reste debout au premier rang, exhibant
ses marques sur son corps. De temps en temps, lorsqu’il sent des regards
inquisiteurs sur son entrecuisse, une érection involontaire le prend, ce qui
nous fait pouffer de rire, mais nous devons vite nous calmer car le professeur nous
fusille du regard et nous savons que nous ne devons pas continuer si nous ne
voulons pas finir comme lui.
Depuis
cette magistrale fessée, Adilson se la « raconte moins » et surtout
ne pense plus du tout à tendre des pièges à ses camarades féminines.
Une série écrite par Elena
Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 19Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités
Vous souhaitez réagir ?
Laissez un commentaire en bas de l'article, Elena vous répondra. Quelque chose de plus privé ? Adressez-moi-le, je transmettrai.
Bonjour,
RépondreSupprimerAmis de la poésie et de la cuisson à point... bonjour,
Ouawwww, spectaculaire épisode ou l'ami Adilson se fait tanner la peau comme le cuir d'un sac à main. Pas près de refilmer une scène de fessée sur son portable le brave garçon! Après un tel traitement le malheureux doit ressembler à un Rosbif sorti de four! On est très loin de la bonne fessée des familles. Si on peut encore appeler ça une fessée, vu que la surface corrigée s'étend recto verso!
Où il se confirme aussi, sans détour, que le spectacle de la fessée à un effet particulièrement érogène sur les témoins et "témouines". Il n'y a pas que les rivières à déborder en cas d'averses prolongées. Une pluie de cinglées peu provoquer aussi des inondation sous la ceinture!
Au fil des chapitres, les raclées deviennent de plus en plus féroces... Nous en sommes au 20e, on n'ose imaginer la suite! Diabolique!
Cordialement
Ramina
Bonjour Ramina.
RépondreSupprimerMerci pour votre commentaire.
Je suis consciente que mes textes dénotent vis-à-vis des autres textes. Dans ces fictions, les limites ne sont jamais dépassées. Mais il faut que les punis sentent que leurs agissements ne sont pas en phase avec les règles et les tannées sont toujours en rapport avec la faute commise.
Amitiés.
Elena.
Bonsoir Helena,
RépondreSupprimerMon commentaire est peut être un peu ambigu. Il ne remet pas en cause la nature de vos textes, mais au contraire en souligne la singularité. Avec l'humour décalé que j'aime bien pratiquer pour dédramatiser. Nous sommes dans des fictions qui expriment une vision fantasmatique de punitions ( vous dites tannées... On n'est pas loin du cuir du sac à mains !) dont la description et la mise en scène ne sont excessives que par rapport à la réalité. L'imaginaire fait la différence... Vous le faites sans tabou et, comme on dit, brut de décoffrage... rare aujourd'hui en ces temps aseptisés du politiquement correct. Nous sommes un peu en transgression de la bien pensanse actuelle. Encore que, partisan de la fessée pour la sauvegarde de valeurs finalement humanistes...
Dans un registre très différent, je n'ai pas l'impression que "Ces dames au mains fermes" donnent aussi dans la dentelle... Même si je leur en fais porter volontiers. Mais c'est un autre fantasme. La qualité de ce blog, repose, entre autre, sur l'expression de leur diversité.
Amicalement
Raminaprosélites
Bonjour Ramina.
SupprimerMerci pour ce doux commentaire qui fait plaisir à lire ( enfin pour moi ). Il est vrai que ces dames aux mains fermes sont également assez fortiches pour faire passer les fesses de ces jeunes hommes au rouge encore plus vite qu'il ne faut pour le dire. Sur ce point, nous serions à égalité de traitement de nos punis virtuels.
Amitiés.
Elena.
Bonjour Elena. Bonjour, Ramina. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerDes pantalons de couleur claire pour assister à des fessées tonitruantes, quelle monumentale erreur!
Quant à Adilson, rien d'étonnant à ce que la narratrice et ses petites camarades soient ravies de ce qu'il soit piégé à son tour, lui qui prend tant de plaisir à piéger son monde.
Il est clair qu'au fil des épisodes, les spectatrices affichent de plus en plus ouvertement, avec de moins en moins de retenue les fessées que leurs condisciples reçoivent devant elles. Et la honte qu'ils ressentent décuple encore cette excitation.
Une chose est sûre en tout cas: votre style, d'une grande originalité, ne ressemble à aucun autre. Deux lignes de vous suffisent pour savoir que vous en êtes l'auteur.
Amicalement.
François
Bonjour François,
SupprimerMerci pour vos remarques toujours bienveillantes à mon égard. Il est clair que mon style un peu brut viendrait à dénoter avec ma personnalité, qui serait plutôt l'inverse, je referme la parenthèse. Je voulais un monde un peu entre deux niveaux, pas trop décalé sur le contexte et un brin érotique. A, priori, vous avez bien accroché au concept.
Amitiés.
Elena
Je me demande bien ce que "prosélite" vient faire en continuité de Ramina! Un mot non utilisé, pas effacé qui traîne en bas du texte!
RépondreSupprimerAjouté à des fautes de frappe ou des oublis d'orthographe....Agaçant, n'est il pas!!! (rires)
Ramina