LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
UNE CORRECTION EXEMPLAIRE
Après leur vigoureuse fessée au martinet, Stephen et
Douglas ont été renvoyés à genoux sur leur chaise, les fesses resplendissantes,
savamment marquées aux lanières par Bettina et bien exposées à la vue de
tout le monde. Ils continuent tous les deux à pleurer en gémissant plus ou
moins en sourdine, attentifs à tenir la position exigée, derrières tendus, bien
exposés aux regards.
Clarisse et Edwige, sereines et
détendues, sa pavanent dans le canapé pour refaire le plein d'énergie et se
revigorer la main avant la reprise des fessées. Bettina qui vient de faire ses
preuves avec une magnifique démonstration de maniement du martinet, les y a
rejoint. Elles savourent le spectacle des deux paires de fesses écarlates, en
même temps que les derniers petits biscuits qui accompagnaient le thé. Le petit
doigt en l'air, elles les croquent délicatement tout en commentant le format,
la couleur, la tenue des fessiers. On apprécie la qualité des fessées et le
travail bien fait. Elles papotent joyeusement à voix haute pour bien se faire
entendre, commentant la capacité des postérieurs à encaisser les fessées,
s'amusant à en comparer la couleur et le niveau de cuisson.
Dans un souci
d'équité devant la punition, elles prennent soin de vérifier que ces Messieurs
ont été traités, avec la même sévérité. En cas d'inégalité flagrante, une
nouvelle fessée est de règle pour rétablir l'équilibre entre les deux paires de
fesses ... dans le respect de l'ordre républicain. Liberté de corriger, Egalité
devant les fessées, Fraternité dans le repentir.
Puis la conversation s'élargit sur leur attitude au sein de
la vie conjugale, leur addiction aux jeux d'argent, leurs incartades, leur
tendance insupportable à négliger les travaux domestiques, leur comportement
habituel à leur égard, etc...
Pour autant, elles restent attentives et ne tolèrent aucun
relâchement quant au positionnement au coin des punis. Ils doivent rester à
genoux, déculottés, sur leur chaise, les mains sur la tête sans un mot ni un
geste, les fesses bien déployées à la vue de tout le monde, et on ne bouge un
petit doigt que sur autorisation. Au
moindre écart, c'est un retour immédiat sur les genoux pour une nouvelle fessée
et un quart d'heure supplémentaire au coin. De temps en temps, au milieu de la
conversation, un ordre fuse en guise d'avertissement.
« Stephen... Tes fesses ! Présente les mieux que ça !
Le séjour au piquet n'est pas terminé ! »
– Attention Douglas... tu es en train de te relâcher ! Penche-toi plus en avant... la tête en bas... Creuse encore les reins et retends ton
derrière pour montrer comme il a été bien corrigé !
Bettina toujours dans la surenchère.
– Oui, ce n'est pas pour rien que je me suis appliquée à
vous chauffer aussi la raie des fesses... On veut voir la cuisson jusqu'au fond
! »
En pleine euphorie depuis les deux fessées qu'elle vient
d'administrer coup sur coup, la
« Sérial fesseuse'' profite de son petit moment de reconnaissance.
Elle se met à disserter sur les martinets, disant en connaître un rayon en la
matière pour en utiliser très fréquemment sur les fesses de son mari. Elle
n'est pourtant pas la seule à manier le cinglant instrument de discipline, mais
elle se présente en experte.
Forte d'avoir réussi à faire apprécier la qualité de sa
force de frappe, elle a fini par obtenir une crédibilité que ces Dames ne lui
accordaient encore que trop peu en ayant tendance à ne pas la prendre au
sérieux. Son côté imprévisible, voisine sans gêne, un peu intrusive, rend les
relations parfois compliquées, et pourtant fondées sur les mêmes exigences de
discipline conjugale. Elle n'a pas d'enfant. Ce qui rend compréhensible son
empressement à saisir toutes les occasions de montrer qu'elle serait tout à
fait capable d'en éduquer. D'où son insistance, souvent, à proposer de
participer aux corrections de Rodolphe. Elle partage avec ces femmes
autoritaires, la conviction que l'emploi systématique de la fessée est la seule
méthode vraiment efficace pour améliorer les comportements répréhensibles de
ces messieurs.
Assise entre Clarisse et Edwige, elle commence, avec
enthousiasme, un véritable discours sur l'art et la ''lanière'' de bien
choisir son martinet.
« Je disais, tout à l'heure, pouvoir faire du bon
travail avec ce martinet. Mais, en réalité ce n'est pas avec un modèle comme celui-là
que les épouses peuvent vraiment se faire respecter de leur mari. Elle désigne
du menton les deux paires de fesses en exposition sur les chaises. Surtout quand ils sont dotés d’un fessier
aussi imposant et manifestement apte à recevoir régulièrement toutes les
solides fessées qu'ils méritent ! »”
Elle demande, alors, où ces martinets ont été achetés.
C’est Clarisse qui répond.
« Pour ce modèle-là, c'est une initiative de Gladys, l'amie de ma
sœur Thérez. Elle lui a dit que la Supérieure de Ste Marie lui avait conseillé
des martinets fabriqués par un cordonnier. Alors j'en ai acheté un pour Douglas
et un autre pour Rodolphe. »
Le jeune homme indirectement interpellé, baisse aussitôt le
nez car il n’aime pas trop qu’on parle du martinet et de lui en même temps. Il
partirait bien aux toilettes ou tiens, même... proposerait d'aller désherber le
jardin s'il pouvait disparaître à ce moment. Bettina, enthousiaste, continue
son numéro d'expertise devant Edwige et Clarisse qui l'écoutent poliment
d'abord, puis finalement intéressées.
« Un cordonnier ! Pffff ! C’est chez un bourrelier
qu’on doit faire fabriquer un martinet sur mesure pour les maris récalcitrants,
paresseux comme le mien, ou “ces deux-là” qui n’ont pas d’autres occupations
que d'aller se pavaner sur les champs de courses ! Malheureusement, il n’y a
plus de bourrelier, c’est un métier qui a pratiquement disparu !” Enfin, j'en
connaissais bien un, mais il ne travaille plus maintenant. Ou alors peut-être
pour rendre service à d’anciennes clientes. Si vous voulez je vais me
renseigner …
– Évidement, présenté
comme ça, c'est peut-être intéressant, dit Clarisse presque convaincue, malgré
l'assurance de la qualité de son martinet. Elle aussi connaît bien son
sujet. Elle ajoute : Ça fait déjà
plusieurs semaines que je m'en sers sur les fesses de Ronald et Douglas, et ma
foi, je le trouve très agréable à manier.
Il a un bon manche qui tient bien dans la main, des lanières assez
lourdes... les fessées sont bien cinglantes. Avec ça je les fais filer droit
mes petits chéris... Mais... s'il y a encore mieux, je ne demande qu'à
voir !
Edwige semble elle aussi curieuse de tenter l'expérience.
– Sûr, on peut essayer... Ajoute-t-elle, si ça permet de rendre les
corrections encore plus efficaces. ».
Bettina, satisfaite d'avoir réussi à capter l'attention
continue avec conviction.
« Si c’est d’accord, vous pourrez y emmener vos maris... Ce
serait bien parce qu’au moins là, vous aurez de vrais bons martinets fabriqués
sur mesure. Sa femme, fesseuse, expérimentée, prend bien toutes les dimensions
nécessaires sur les fesses du client déculotté. Elle propose tout un choix de
différents cuirs, des lanières rondes ou carrées, plus ou moins larges ou
fines, avec nœuds ou sans nœuds, plus ou moins souples et évidemment de la
bonne longueur. Selon elle, qui sait évaluer les capacité d'endurance d'un
fessier au premier coup d'œil, le plus efficace sur des postérieurs comme ceux
que nous avons sous les yeux c’est de choisir des martinets à vingt-quatre
lanières, en cuir bien solide et souple.
« Mais c'est déjà le cas de ceux-là ! dit Clarisse qui n'aime pas trop devoir
remettre ses choix en cause. Elle doute encore. C'est bien du vingt-quatre
lanières !
Bettina ne se laisse pas démonter... Elle a des arguments.
« Oui, mais
les lanières dont je vous parle font seulement la moitié de la longueur
maximale et une douzaine de longueurs différentes afin que leurs extrémités se
répartissent bien sur l'ensemble du fessier. Et aussi, avec une moitié des
lanières carrées assez épaisses et l’autre moitié, rondes suffisamment fines.
Ce qui permet de varier les impacts à chaque cinglée... »
Les deux maîtresses femmes sont finalement curieuses
d'essayer. Avec un martinet comme cela sous la main pour chacune, elle est sûre
que Stephen et Douglas réfléchiraient un peu plus avant de désobéir. Elles
approuvent et disent que dans ce cas, elles viendront elles aussi pour bien
choisir.
« A condition de pouvoir leur tester les martinets sur
le derrière dans le magasin, dit Edwige, pour reprendre l'initiative.
Clarisse
approuve immédiatement.
« Oui,
ça serait la moindre des choses pour vérifier la qualité des instruments. Il
faudrait profiter d'une grosse désobéissance pour leur
flanquer leur fessée déculottée en public, devant les clientes. »
La proposition
est adoptée à l'unanimité sous la condition de retrouver, et convaincre le
fameux artisan fabricant de martinets sur mesure. On rit beaucoup et c'est dans
cette atmosphère joyeuse qu'il est décidé de reprendre les fessées, maintenant que le
derrière des maris et le bras de leur épouse est quelque peu reposé.
Bettina, intarissable, et toujours dans les mesures
extrêmes, évoque perfidement une méthode très efficace qu'elle utilise avec
Walter son mari en cas de corrections très sévères. Après concertation et dans
l'euphorie générale, l’idée d’une bonne friction au gant de crin du fessier de
chacun est retenue en préparation des fessées suivantes. Rodolphe, toujours
prêt à rendre service pour s'attirer les bonnes grâces, propose de l’apporter.
Edwige en a un. Elle seule sait
précisément où il est et Il est obligé de lui demander où il va le trouver.
Tandis qu'elle va chercher son mari par l'oreille pour le
ramener avec sa chaise au milieu du salon, elle lui indique.
« Tu vas le trouver facilement Rodolphe, il est dans le
placard de la salle de bains, et avec un petit sourire lourd de sous-entendu,
elle ajoute. Rapporte aussi le tube de Dolpic neuf qui est sur l’étagère au-dessus
...il va servir ! »
Bettina qui a précédemment vanté l’efficacité du gant de
crin, ne semble pas convaincue de l'utilisation du Dolpic et insiste.
« Une bonne friction au gant de crin, de leurs
derrières déculottés, avant une nouvelle fessée au martinet, après ce qu'ils
ont déjà reçu, je pense que cela devrait les corriger suffisamment
bien ! ! »
Clarisse qui vient aussi de ramener tranquillement son mari
au milieu de la pièce, connaît bien les vertus de la fameuse
pommade chauffante. C'est elle qui en a conseillé l'usage à Edwige.
« Mais non, Bettina... Voyons. Le Dolpic ça présente
aussi l'avantage d'empêcher d’avoir trop de bleus sur les fesses le lendemain.
– Et alors, on s’en fiche qu'ils aient des marques sur les
fesses ! Au contraire, cela leur rappelle la punition qu'ils ont reçue en
espérant que ça leur serve de leçon. »
Edwige lui rétorque, en coinçant la tête de son mari sous
son bras. Elle le courbe en deux sur le dossier de la chaise pour lui faire
relever le derrière à la bonne hauteur.
« Oui, mais si j'estime que Stephen dois encore
recevoir une bonne fessée demain,
je, préfère qu'il me présente une paire de fesses en bon état de réception,
plutôt qu'un derrière couvert de bleus, n’est-ce pas mon chéri ? »
Le malheureux, la tête penchée vers le sol n'a pas vraiment
le cœur à s'exprimer sur le sujet. C'est Clarisse qui répond.
« Tu devrais être contente Bettina, grâce au Dolpic, la
fessée va leur cuire plus longtemps. On va les punir encore mieux et ce sera
plus agréable, pour nous demain, de claquer un fessier en pleine forme si on
décide de le faire ! »
Bettina ne discute pas davantage. Après tout, un final au
gant de crin avec fessée au Dolpic à la clé, ça fait tout de même une belle
correction. Clarisse houspille son fils qui reste planté au milieu du salon à
écouter.
« Alors Rodolphe, qu'est-ce que tu attends ? Si tu
veux je peux commencer par me faire la main sur tes fesses avec le
Dolpic ! »
Le garçon sait que sa mère met toujours ses menaces à
exécution. Il part aussitôt chercher le tube de Dolpic et le gant de crin,
et, honneur à la maîtresse de maison, les tend à Edwige qui entreprend aussitôt
d'en frictionner vigoureusement les fesses de son mari. Bettina assiste au
spectacle, bien décidée à vérifier l’emploi du gant de crin ! C'est son idée
après tout ! Intraitable, elle surveille l'opération et, comme à son
habitude, encourage à la sévérité
« Plus fort ! Bien sur le bas des fesses ! Oui, sur les
côtés ! C’est pas assez sur la fesse gauche...là ! Bien sur l’arrondi du
derrière ! Entre les fesses, dans la raie, oui, fesses écartées. »
Stephen s’est remis à brailler en suppliant et tortille du
derrière dans tous les sens. Mais l'épouse a de la poigne et le maîtrise
aisément pour le lui astiquer à sa guise. Il a beau être encore rouges de la
précédente fessée, elle estime nécessaire d'en raviver l'éclat. Deux minutes
suffisent. Elle rend le gant de crin à Rodolphe et lui demande de lui passer le
martinet dont elle cingle immédiatement le gros fessier cramoisi à sa
disposition. Le malheureux fait
des sauts de carpe sur sa chaise en hurlant sa douleur. Il pleure, et supplie
entre deux sanglots,
« Oh non pitié, pas
encore la fessée au martinet ! Raaaaah, ça fait trop mal ! Non, s'il
te plaît ! S'il te plaît !
– Mais si mon chéri ! Mais si ! Tu vas voir comme ça va te
faire du bien ! Avec ça tu vas devenir, docile, obéissant ... »
Douglas qui est dans la même position que son voisin, à
genoux fesses tendues, courbé sous le bras de son épouse, ne dit rien. Il
couine et attend son tour en tremblant. Il transpire la peur. Une ligne de
sueur descend le long de ses reins, s'insinue dans la raie de ses fesses, puis,
plus bas entre ses cuisses jusqu'à l'élastique de son slip. Elle ne va pas mettre
longtemps à sécher
Rodolphe a donné le gant de crin à sa mère. Elle en fait
aussitôt bon usage et l’utilise vigoureusement sur le postérieur de son puni
qui, lui aussi, se remet à supplier et à s’égosiller. Comme celui de Stéphen
son fessier est frictionné soigneusement en totalité et se retrouve vite dans
un état de chaleur semblable à celui d'un feu de forêt. Clarisse jette alors le
gant de crin et demande à Rodolphe de lui passer l'autre martinet, qu'elle fait
immédiatement claquer sur les belles fesses empourprées du pauvre homme.
Les deux fessées au martinet retentissent en même temps sur
les derrières déculottés qui renvoient aux oreilles comblées des trois
fesseuses, une agréable musique, chaude et bien rythmée. Bettina emportée par
l'atmosphère ambiante, encourage et ponctue les cinglées en hochant la tête en
cadence.
Rodolphe, savoure le spectacle. S'il se réjouit
intérieurement de ne pas être à la place des deux punis, il se trouve cependant
partagé entre des sentiments un peu contradictoires. Pour en subir
régulièrement les effets, il sait combien sont douloureuses et humiliantes ces
séances de plusieurs fessées consécutives. Même si elles sont amplement
méritées, il trouve que, non seulement celles-ci dure longtemps mais qu’elles
sont aussi très sévères. Certes les fessées de maman sont toujours longues et
sévères. D'après ce qu'il a vu et entendu celle, d'Edwige aussi d'ailleurs. Et
après tout, une bonne fessée, c’est une bonne fessée. Comme dit maman avant
d'en entamer une nouvelle ''Une vraie bonne série de fessées, ça doit durer
jusqu'à ce que les fesses soient écarlates et entièrement cuites !
'' Mais à entendre hurler les deux
hommes et claquer si fort leur derrière, il compatit presque à la douleur
qu'ils doivent ressentir sur leurs grosses fesses et qui, il l’imagine, doit
irradier pas seulement qu'à cet endroit.
Il en est là de ses réflexions lorsque, enfin, les deux
épouses, après s'être concertées du regard, les reposent par terre, sans
ménagement. Ils tombent à genoux tous les
deux et n'ont même pas le temps de se frotter le derrière que l'ordre fuse
aussitôt.
« Au coin! à genoux, mains sur la tête ! »
Après la danse des fesses, c'est la danse des canards. Le
pantalon sur les chevilles traînant par terre, les cuisses entravées par leur
slip tendu, ils se dandinent par terre pour filer en pleurant se remettre au
coin. Les paires de fesses tressautent au rythme de leur progression ridicule,
enluminant le salon d'un resplendissant rouge écarlate patiemment obtenu sous
le cuir des lanières. Ces Dames, exigeantes et raffinées, cultivent le goût du
travail bien fait dans le respect des règles de la fessée.
Edwige et Clarisse transpirent un peu. Quelques traces de
sueur perlent sur leur opulente poitrine à moitié sortie du décolleté sous les
violentes secousses des cinglées.
Elles s’essuient le
front et reprennent leur souffle... On entend Douglas et Stephen pleurer
bruyamment comme des gamins, le nez contre le mur. Edwige en souriant, a
débouché le tube de Dolpic, s’en enduit soigneusement et abondamment la paume
de la main droite, celle qui fesse, et passe le tube à Clarisse avec un petit
clin d’œil complice.
Elles préparent
déjà la fessée suivante pour le feu d'artifice final.
Cette fois, les deux hommes n’ont pas eu beaucoup de temps
pour récupérer… à genoux, le nez contre le mur, ils continuent à pleurer
bruyamment en attendant la suite de leur correction. Et ça ne traîne pas Attrapés
par une oreille, ils sont forcés de se relever pour être à nouveau installés
sur les cuisses des épouses qui ont pris leur place sur les chaises à fessée, le
visage de chacun tout près du fessier cramoisi et brûlant de son voisin. Dans
cette position ''tête bêche'', les deux punis sont contraints de recevoir leur
fessée, dans la chaleur et le claquement de l'autre paire de fesses qui vibre à
quelques centimètres de leur tête.
Clarisse rapproche encore sa chaise jusqu'à ce que ses
genoux touchent ceux de son amie pour que le visage et les
fesses de chacun soit pratiquement au contact.
« Fessons-les au plus près, dit-elle. Il faut que chacun sente bien le
souffle des claques sur les fesses de son voisin en même temps que celles qui
tombent sur les siennes. »
– En fait c'est une fessée double peine... Il faut que ça chauffe des
deux côtés ! »
Dit Edwige avec un petit sourire en coin.
Bettina du fond du canapé y va de son petit commentaire, pour une fois
pertinent.
« Fessée en double, comme au tennis, mais sans la raquette ! Et puis une petite touche d'humiliation supplémentaire
ne devait pas leur faire de mal... Ou plutôt si... C'est fait pour
ça ! »
Elle rit en essayant de tirer sur sa jupe comme pour la rallonger.
Geste inutile, elle ne dépasse pas le niveau de ses jarretelles.
Les deux épouses ont bien l'intention de conclure cette
séance par une dernière fessée exemplaire, à la hauteur de la gravité de leur
faute. Elles prennent tout leur temps pour bien la préparer et en faire monter
la pression sur leur puni. Ils émettent des petites plaintes pathétiques qui
les amusent plutôt qu'autre chose.
Elles s'appliquent à
bien repositionner les derrières à leurs mains, et d'ajuster les slips plus bas
sur les cuisses pour, de nouveau, dégager toute la surface à corriger. Un bref
échange de regard pour se donner le signal du départ, et la fessée recommence
avec une nouvelle ampleur.
Douglas le premier se met aussitôt à hurler !
« Aaaaah Clarisse s'il te plaît... pas si fort la fessée au Dolpic...
S'il te plaît... pas si fort !
– Mais si mon chéri... Mais si ! Pour obtenir l'effet de cuisson
durable garanti avec le Dolpic, il faut taper fort. Et de toute façon je tape
toujours fort !
– Aaaah oui, mais là... C'est la troisième fessée ! ça
cuit ! Ça cuit dur ! Ça chauffe !
– Tu entends ça Edwige, Monsieur se plaint ! Non mais tu te rends compte ? Monsieur
se plaint alors que c'est seulement sa troisième fessée !"
– J'entends, j'entends ! Amusant ! Répond la sévère épouse,
occupée à mettre un feu d'enfer aux fesses de son mari, écroulé, pantelant sur
ses genoux. Pour leur rafraîchir la mémoire à défaut des fesses, rappelle-moi...
Ils ont perdu combien aux courses samedi dernier ?
– Il suffit de leur demander, répond Clarisse.
Tout en discutant, les deux
femmes continuent à fesser sans perdre le rythme ni baisser d'intensité. Elles
claquent à tour de bras
« Douglas ça nous a coûté combien votre petite
virée au PMU ? Hein ? Répond Douglas, ou je tape encore plus
fort ! »
Douglas entre les larmes et les hoquets.
« Tr... Aiiiiie ! Trois... trois milles euros... Ouaiiiie !!
Pi... Pitié ça fait mal !
– Trois mille, c'est bien ça ! Alors ça fait combien de fessées ?
Combien de fessée, Douglas ? »
– Trois... Aiiiie !
Aiiiiie ! Trois !
– Trois quoi Douglas ? Tes fesses claquent tellement fort que Je
n'ai rien entendu !
– Trois fessées chérie ! Trois fessées !!
– Voilaaaa ! Tu vois quand tu veux. Elle continue inlassablement à
fesser. Fesse droite, fesse gauche,
fesse droite, fesse gauche. Et celle que tu es en train de recevoir mon cher,
ça fait combien ?
– C'est... C'est la
troisième ! ... Ché... chérie !
– Alors, de quoi te plains-tu...Nous y sommes... le compte est
bon !
Bettina qui ne perd pas une miette du déroulement des
opérations revendique sa participation.
« Et ça fait même quatre...Avec ma fessée au martinet... ! »
Les rutilants derrières, sévèrement préparés sous les fessées
précédentes, offrent maintenant deux hémisphères charnus, souples et
rebondissants d'un claquant parfaitement retentissant. Le volume sonore des deux
fessées déculottées en simultané, encore amplifié par la résonance sur le
carrelage, emplit tout l'espace de la pièce. Ces Dames n'ont pas pour habitude
de donner dans la demi-mesure. Ça claque très fort et surtout ça cuit
horriblement, car cette fois c'est avec la main recouverte de Dolpic qui
enflamme les fesses déjà mises à vif par le gant de crin et le martinet. Ils ne
peuvent plus que pleurer abondamment, chacun s'efforçant de garder la position
obligatoire pour continuer à recevoir sa fessée, le derrière bien déployé vers
la main qui le claque.
Et pour ça, leur fessée, ils se la prennent... merveilleusement
bien ! Slip aux cuisses, fesses en
l’air, bien bombées, les mains posées sur le sol, les jambes battant l’air
frénétiquement. Ils savent qu'au moindre relâchement de tension du derrière,
c'est la fessée supplémentaire, administrée dans la foulée. C'est dire s'ils
s'astreignent à tenir leurs fesses bien positionnées pendant toute la durée de
l'interminable correction.
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 7
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour,
RépondreSupprimerUn réel plebiscite pour la fessée au martinet. J'ai adoré ce passage... Ces messieurs vont surement mieux se conduire à l'avenir ! A l'heure des violences faites aux femmes, que ce soit l'inverse n'est pas plus mal.
Amitiés.
Elena.
Bonjour Elena,
RépondreSupprimerOui, et pourtant je trouve que les fessées à la main, corps contre corps doivent procurer davantage de sensations (des deux côtés) que celles par l'intermédiaire d'un instrument... Mais bon, corriger ces messieurs de cette manière doit être probablement plus marquant.
Juste retour des choses, en ces journées de lutte contre les violence faites aux femmes. De bonnes fessées déculottées en public devraient rétablir un juste équilibre.
Finalement c'est bien ce que font "Ces Dames aux mains fermes"...
Amicalement
Ramina.