mardi 3 décembre 2019

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 9

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

A FESSER SANS RÉSISTANCE, ON TRIOMPHE SANS PLAISIR

La punition est longue et sévère. Clarisse et Edwige en ont décidé ainsi. C'est même le service minimum d'une première étape pour tenter de guérir leurs époux de leur ruineuse addiction aux jeux. La thérapie par la fessée est, selon elles, la meilleure méthode. Mais pour être efficace, le traitement préconisé doit être régulièrement administré, à raison d'au moins deux séances quotidiennes. 
Aucune dérogation n'est envisageable et les sentences sont systématiquement exécutées au tarif prévu. Les épouses en fixent à volonté la durée et le niveau de sévérité. Une bonne fessée déculottée dès le matin, pour prévenir les attaques possibles du virus PMU dans l'après-midi et la grosse fessée du soir, comme piqûre de rappel, avant d'aller au lit   Ordonnance à renouveler, aussi longtemps que nécessaire jusqu'à disparition des symptômes. Mais évidemment non remboursée par la sécurité sociale, déjà suffisamment déficitaire.  

A Douglas qui l'exhorte parfois à la clémence, lors de longues séances de fessées très sévères, Clarisse se plaît à rappeler leur situation matrimoniale. 

Double fessée déculottée
« N'oublie pas, mon chéri, que nous sommes mariés sous le régime de la fessée. Et j'ai bien fait stipuler sur le contrat de mariage que tu as accepté, qu'à l'inverse du fonctionnement habituel du couple, c'est le mari qui dois soumission, respect, et obéissance absolue à sa femme. La fessée faisant force de loi à tout instant et en tout lieu, pour faire appliquer les clauses du contrat... C'est clair ? »
A chaque fois que cette mise au point s'avérait nécessaire le malheureux époux se prenait systématiquement une fessée supplémentaire pour avoir osé contester l'autorité de sa femme. Les fesses écarlates et cuisantes elle l'envoyait au coin, méditer sur l'esprit des lois, cher à Montesquieu. Fesseuse avertie et femme de lettre, Clarisse se plaisait à agrémenter ses fessées de références littéraires à JJ Rousseau, la Comtesse de Ségur, ou au marquis de Sade.  

Sous l'ampleur de la correction, Stephen a abdiqué le premier depuis un moment. La tête dodelinant en rythme au ras du sol, il se contente d'accompagner sa fessée d'un long râle de souffrance entrecoupée de sanglots. Il a du mal à respirer, reniflant sa morve et s'étouffant à moitié dans ses larmes qui forment une petite flaque brillante sur le carrelage.
Douglas qui purge aussi sa peine dans la douleur, n'est pas, non plus, en mesure de contester la sévérité de sa punition. Vaincu, il finit par renoncer à toute velléité de négociation, qu'il sait, de toute manière, inutile. Affalé, sans résistance sur les genoux de sa femme, il lui abandonne entièrement ses fesses, dont a définitivement pris possession, domptées sous la puissance des claques.

 Dans la famille Bellebourge et son entourage, la très sévère Tante Clarisse, est réputée pour sa tendance à apprécier les solides derrières très endurants, qui nécessitent de longues fessées pour être bien mâtés. Elle ne se gêne pas pour s'en vanter en public devant son fils et son mari et s'amuse souvent à illustrer ses théories de citations qu'elle accommode à sa manière.
« A vaincre sans péril on triomphe sans gloire...'' A fesser sans résistance, on triomphe sans plaisir... Pour réussir de bonnes fessées il faut de belles paires de fesses bien entraînées, du format, par exemple de celles de Rodolphe ou Douglas qui sont parfaitement pourvu de côté-là ! … N'est-ce pas messieurs ? »

Les intéressés se contentaient, en général, de hocher la tête avec un sourire navré, sans oser contredire.

La double fessée se poursuit dans le salon, administrée avec une sévérité à la hauteur des intentions punitives. Les deux épouses dont la colère froide n'est pas redescendue, ne font aucune concession. Elles déploient toute leur énergie à distribuer les claquées à pleines mains sous les regards de Bettina et Rodolphe, fascinés par l'ampleur de la correction. Définitivement domptés, les deux hommes ne réagissent pratiquement plus. La bouche grande ouverte, ils sanglotent en continu, bavant, les yeux écarquillés débordant de larmes. Les fessées ont repris leur rythme régulier qui, cependant, parfois, s’accélère ou ralentit, au gré de l'une ou l'autre des correctrices. Les deux volumineuses croupes flamboyantes dansent sans arrêt en l’air sous les claques sonores et vigoureuses qui s’abattent dessus avec force !


Clarisse, le visage sévère, ne quitte pas des yeux le gros fessier de son mari, qui gigote désespérément… D'un signe de tête elle indique à Rodolphe de lui repasser le martinet. Ce qu'il fait avec un empressement servile. Douglas supplie en trépignant, réduit au statut de sale gamin corrigé par sa mère.
« Oh non Clarisse... ! Pitié... pas encore la fessée au martinet! Noooon !
L'épouse intraitable, avec une petite pointe d'ironie dans la voix.
« Allons, allons mon chéri, de toute façon tu vas en avoir une autre... Alors, qu'est-ce que tu préfères, les lanières sur les fesses ou le manche dans le derrière avec la fessée à la main?
– Roooooah... nooooon ! pas la fessée au martinet … et... et le manche dans le derrière, avec la fessée... Ça fait....
– Oui on sait... ça fait mal... ! Mais c'est fait pour ça ! Alors ça sera la fessée à la main avec le manche dans le derrière … mais pas comme tu crois., voyons, ça ne serait pas convenable. »
 Quelques secondes après, elle lui commande de bien écarter les fesses et lui coince le manche du martinet sur la longueur de la raie, calé entre les deux hémisphères. Les lanières pendant entre les cuisses comme une longue queue en cuir. 
– « Voilà, c'est plus amusant comme ça ! Tu as intérêt à bien serrer les fesses parce que si tu le laisses tomber, on repart aussitôt pour une nouvelle fessée.  
– Oh non chérie !! Non celle-là va suffire … oui, elle va suffire ! Implore le malheureux qui ne sait plus quoi dire pour satisfaire son épouse. Il en rajoute même, espérant infléchir un tant soit peu sa sévérité.  Oui... pardon... je vais bien t’obéir... continue la bonne fessée, je la mérite ! je l'ai méritée ! »  
.
Clarisse ne se fait pas prier et redouble les claques, le manche du martinet et les lanières oscillant entre les fesses rebondies dont la couleur vire au grenat par endroit. Le contraste entre rouge de la peau et le cuir noir des lanières produit son petit effet. Edwige sans demander l’avis de son mari lui fait subir le même sort. Et les deux hommes, au supplice, se prennent leur nouvelle fessée en serrant les fesses autant qu'ils peuvent sur le manche de leur martinet pour ne pas le laisser tomber. Le niveau de cuisson des derrières est si élevé que la douleur devient immédiatement insupportable. Stephen, le visage aussi rouge que les fesses de son ami qui claquent à quelques centimètres de ses oreilles, n'en peut plus. Il exprime sa souffrance en plaintes continues dans la totale indifférence de sa femme...

« Oh, Edwige, ça fait mal ...ça brûle ... oh la la ! Chérie, çà cuit trop et qu'est-ce que tu fesses fort... ça claque ...et c’est dur ce manche entre les fesses … ! »
Douglas y va aussi de son couplet pour faire preuve de repentance et de soumission.
« Pitié, ça suffit ! On a compris, on est bien fessés, on est des maris bien dressés, avec les bonnes fessées qu’on mérite ! »
« Oh oui qu’est-ce qu’on prend ! Moi aussi je l’ai bien mérité ! On ne recommencera plus ! Juré !
– C'est fini, on ne jouera plus jamais aux courses ! »
L'humiliante posture et les réactions des deux hommes virent au burlesque.

Bettina, comme à son habitude de ne jamais trouver les corrections assez sévères, et pourtant celle-ci l'est réellement, s'excite toute seule sur le canapé.
« Ne vous laissez pas attendrir Mesdames ! Ne les écoutez pas, ce sont des hypocrites et des menteurs, comme mon mari.  Ils sont prêts à tout promettre pour que vous mettiez fin à leur punition ! » 

Elle n’a peut-être pas tort l'extravagante voisine. Mais les deux épouses estiment que leurs maris ont été suffisamment corrigés ce qui est, évidemment, l’avis des intéressés. Elles concluent enfin la punition d'un claquant aller et retour sur chaque fesse. Ce n'est seulement à cet instant qu'ils sont autorisés à les desserrer pour se soulager de leur manche de martinet, sur lequel ils se sont enflammé la raie pendant toute la durée de la fessée. 
A genoux en pleurs, devant leur femme, les fesses flamboyantes, lourdes de claques, ils jurent de ne jamais retourner jouer aux courses.  Même Bettina, pourtant rarement satisfaite, finit par juger que la leçon a été bien donnée et qu’on peut espérer qu’elle soit retenue.
« Bravo Mesdames ! Voilà ce qui s'appelle des fessées bien claquées ! A voir la couleur et la cuisson de leurs fesses ils devraient s'en souvenir un bon moment les petits maris dépensiers ! » 

Rodolphe, pourtant habitué aux sévères déculottées de sa mère, est resté muet sur sa chaise, impressionné par la dernière fessée administrée le martinet coincé entre les fesses des punis. Les manches de cuir noir serrés entre les hémisphères rouge écarlate, les lanières virevoltant au rythme des claques, ont offert un spectacle des plus réjouissant tout en pimentant les fessées d'une nouvelle forme d'humiliation. Il redoute, cependant, qu'après cette édifiante démonstration, sa mère ne s'encombre pas de scrupule pour lui infliger désormais des fessées dans les mêmes conditions. Et pour ne rien gâter, elle a fait fabriquer son martinet avec un manche particulièrement épais pour l'avoir toujours bien en main.

Après cette mémorable correction, Edwige a renvoyé son petit chéri au coin, où il s'est précipité en geignant, le postérieur reluisant, saturé de claques, mais toujours présenté tendu et rebondi au regard de l'assistance. Clarisse a décidé de rentrer sans tarder chez elle. Elle ordonne donc à Douglas qui peine à se relever, de se reculotter sur le champ, son slip à fessée bien serré sur le derrière, pour en entretenir la cuisson le plus longtemps possible. Ses fesses, déjà naturellement bien développées, ayant encore pris du volume, la remontée du slip provoque tant de tortillements et gémissements douloureux, qu'il ose demander s'il pouvait rester déculotté pour la soirée. Bien entendu, non seulement elle refuse, mais lui annonce aussitôt une nouvelle fessée à la maison pour avoir tenté de désobéir et fait des grimaces en se reculottant.
« Et oui mon pauvre chéri, ce n'est pas ton jour aujourd'hui, on dirait... Encore moins pour tes fesses ! Dit-elle avec un petit rire moqueur. Tu auras l'occasion de te les aérer quand je te déculotterai en arrivant !, mais ça sera encore plus douloureux ! »
Elle passe à côté lui en lui tapotant le derrière. Il sursaute.
« Aller !... On se dépêche, on se reculotte et on file direct dans la voiture... Fessée promise, fessée due.  La prochaine t'attend à la maison ! ! »
Il gémit sourdement en se gardant bien, cette fois, de discuter. Le rouge éclatant qui enlumine maintenant ses fesses reculottées apparaît nettement à travers la transparence du nylon qui permet d'apprécier pleinement, l'efficacité des fessées qu'il vient de recevoir. L’expression de son visage, sillonné de larmes, montre clairement que la cuisson de son postérieur n’est pas près de s’atténuer sous l’effet persistant du Dolpic.

Edwige, dehors sur le perron leur fait un petit signe de la main pour leur souhaiter bon retour ; Elle tient son mari par l'oreille, debout, toujours déculotté à côté d'elle, et le gratifie d'une grande claque sur les fesses pour lui indiquer de les saluer à son tour. Ce qu'il s'empresse de faire avec un petit sourire douloureux. Bettina de l'autre côté, qui maintenant fait partie de la fête, lui en balance une aussi pour faire bonne mesure. Les deux femmes rentrent en riant. Edwige se charge de reconduire Bettina chez elle.  

Toujours en pleurs, Douglas monte dans la voiture avec tellement de difficultés à s'asseoir que Clarisse lui concède de faire le trajet à genoux sur le siège passager. Le pantalon baissé, le buste courbé en deux sur le dossier, derrière en l'air bien déployé. Ce n'est pas tant pour le soulager de la position assise. Il lui plaît, tout en conduisant, d'avoir son éclatante paire de fesses sous les yeux, et, comme on exhibe fièrement un trophée, de l’exposer à travers le pare-brise au regard des passants. Elle aime faire savoir qu'elle discipline son mari.

Dans cette avilissante posture, son slip tendu à craquer, gaine plus que jamais son plantureux postérieur dont le volume semble bien avoir encore augmenté.  Le nylon serré sur ses fesses ne cache rien de leur chatoyante couleur pourpre ni de la ligne sombre de la raie où s'enfoncent profondément les élastiques.  Clarisse se réjouit à la perspective de sentir à nouveau claquer sous sa main, cet appétissant fessier aux fermes rondeurs solidement culottées. Elle trouve le derrière de son mari vraiment attractif et tout à fait adapté au régime de fessées qu'elle lui impose. Le malheureux pendant ce temps, cuve sa honte en sanglotant sur le dossier du siège à côté d'elle. Il peut ne pas savoir où se mettre, de toute manière, il n'y a pas d'autre place possible.
Rodolphe, tranquillement assis à l'arrière ne pipe pas mot, mais s'amuse intérieurement de la position ridicule que sa mère a fait prendre à Douglas. Celui-ci lui fait face mais garde la tête baissée pour ne pas croiser son regard. Ses fesses le font atrocement souffrir.

A peine arrivé à la maison, débarrassée de son sac et de sa veste de tailleur, elle le reprend sous son bras pour lui flanquer la fessée annoncée chez Edwige. D'abord directement dans l'entrée, à travers son slip, histoire de lui remonter les fesses à la bonne température. Puis, sans lui laisser le temps de récupérer, elle le traîne en larmes au salon pour le continuer, à plat ventre sur ses genoux, après l'avoir déculotté pour la quatrième fois de la journée. Tout en le fessant elle le harangue avec son cynisme habituel.

« Aller Douglas, encore un effort ! Je te l'avais promise celle-là ! Cambre les reins et tends davantage tes fesses ! Aller, mieux que ça fainéant ! Bombe-moi ce derrière !... Plus haut... bien ferme et bien claquant sous la main !  Je veux de la fessée qui claque fort !  C'est ta dernière pour aujourd'hui... Autant que tu en profite un maximum ! »

Le pauvre homme complètement sonné, ne réagit même plus. Il est sans voix, la bouche grande ouverte, muet de douleur.
, Attiré par le claquement de la fessée, Rodolphe qui était monté directement dans sa chambre en arrivant, est redescendu. Toujours un peu voyeur, il passe la tête à la porte du salon. Méfiant des réactions imprévisibles de sa mère qui déteste être dérangée quand elle fesse, il ne s'aventure pas à entrer vraiment dans la pièce. Il reste sur le pas de la porte et, grossièrement flatteur pour s'attirer des bonnes grâces futures, se laisse aller au commentaire.  

« Et bien dis donc, maman, tu es encore en train de lui mettre une sacrée fessée !
Et tu tapes toujours aussi fort ! »
 Clarisse, agacée par le ton mielleux de son fils ne relève même pas la tête et répond d'une voix sèche entre deux allers et retours sur les fesses de son puni.
« Oui, et tu es bien placé pour le savoir !  Alors ne fais pas semblant de le découvrir, sinon ça va être ton tour de sentir comme je tape fort !
– Non maman, non ! Rien...Je disais ça, comme ça...
Remonte tout de suite dans ta chambre, ou je te fais prendre la suite sur mes genoux ! Si tu es venu chercher une fessée tu vas être servi ! Je me suis bien fait la main aujourd'hui, elle est prête à reprendre du service sur tes fesses, dès que j'en aurai fini avec celles de ton beau-père... Si tu veux !
  Surtout pas maman ! Pas la fessée ! Non, pas la fessée, aujourd'hui, j'ai été obéissant, j'ai fait tout ce que tu m'as demandé ! »
Il disparaît sans demander son reste, pendant que Douglas continue à hoqueter sous les bruyantes claquées qui retentissent dans toute la pièce avec un bruit assourdissant.  

Estimant, enfin, avoir obtenu la couleur et la cuisson qu'elle voulait, Clarisse décide d'un cesser le feu.
– «. Voilà une bonne chose de faite !  Dit-elle en le poussant en dehors de ses cuisses,  
Monsieur a encore été bien servi ! »
 Il tombe sur le côté, empêtré dans son pantalon et son slip, et se relève précipitamment pour se mettre à genoux à ses pieds. Il lève les yeux vers elle, le visage brillant de larmes, se tenant les fesses à pleines mains. Elle le regarde en lui caressant la joue d’une paume encore chaude.  Après la punition, c'est le rituel des remerciements en signe de soumission.

« Alors, qu'est-ce qu'on dit maintenant à son épouse attentionnée ?
– Mer... Merci chérie pour ces bonnes fessées... J'ai...J'ai compris la... la...Leçon... Je ne recommencerai plus.
  J’espère que tu retiendras bien la leçon et que les fessées t’auront appris à arrêter enfin tes sottises ! »

Contrition après une fessée déculottée



Toujours à genoux devant sa femme Douglas, aux touchant accents de sincérité, est en pleine séance de repentir. La mine défaite, larmoyant, il ne ménage pas sa peine pour faire preuve de soumission et montrer sa bonne volonté. Il est prêt, pour ça, à toutes les concessions et y perdre même sa dignité... Pour le peu qu'il lui en reste après la journée qu'il vient de passer. Il n'est plus qu'un petit garçon repentant, implorant le pardon, à genoux aux pieds de sa mère, et promettant de ne plus recommencer.
« Oh oui, chéri...Tu m’as bien corrigé, j’ai bien reçu les fessées que je méritais ! Tu as eu raison. Il fallait me donner de bonnes fessée devant tout le monde. Tu as bien fait. Je ne recommencerai plus... j’ai les fesses encore cuisantes, tu sais, c’est comme si j’étais encore sur tes genoux à recevoir ma fessée ! Je te demande pardon... je ne ferai plus de bêtises, je ne jouerai plus aux courses, et je se serais très obéissant !
– Tu as tout intérêt mon ami ! Tes petites fantaisies nous coûtent assez cher comme ça. Sinon j'ai une réserve inépuisable de fessées à ta disposition.  Maintenant tu vas t'occuper du dîner, mettre la table et faire le service ! »

Avant de se mettre à préparer le repas du soir comme lui avait ordonné son épouse, Douglas dit tout docile, en reniflant et en essuyant ses larmes.
« Si tu veux bien... Je vais m’arranger un peu... et me passer de l'eau sur la figure...Tu veux bien ?
Clarisse l'air goguenard.
« Pour une fois, tu as tout à fait raison. Mon pauvre ami, je n'ai pas envie de t'avoir à table en face de moi avec cette tête-là. Je préférerais nettement voir tes fesses à la place. Elles ont sûrement meilleure mine. Elles, au moins, ont de la couleur ! »


Il trouva d'autant moins à répondre que c'était la stricte réalité. Encore un peu sonné par l'accumulation des fessées et surtout la dernière, celle qui lui avait fait monté le derrière à un niveau de cuisson jusque-là rarement atteint, il se dirigea vers la salle de bains d'une démarche mal assurée ; On aurait dit qu'il était ivre alors qu'il n'avait pas bu une goutte d'alcool... Plutôt saoulé de claques. N'ayant pas encore reçu l'autorisation de se reculotter, il se déplaçait dans la maison en tenant son pantalon et son slip au milieu des cuisses, sa ceinture traînant bruyamment sur le carrelage. Clarisse estima que le désir de remettre un peu d'ordre dans sa tenue, plutôt débraillée, sans qu'elle ait besoin de le menacer d'une fessée, était plutôt bon signe. Etait-ce le signe d'un début de prise de conscience ?

Quelques minutes après, il ressortit de la salle de bains. Reniflant, les yeux toujours rougis pleins de larmes, mais le visage un peu moins chiffonné, les cheveux recoiffés, le pantalon   comme l'exigeait sa femme, bien moulant, sur un derrière qu'il ne pouvait s'empêcher de frotter douloureusement.
Rodolphe prié avec autorité de descendre de sa chambre en vitesse, ils se mirent à table tous les trois. Douglas avait du mal à rester en position assise sur sa chaise, dont le siège était délibérément choisi en paille, et n’arrêtait pas de se tortiller. Manifestement soulagé quand il allait chercher un plat ou en ramener un à la cuisine, il en profitait pour se frictionner les fesses avec un regard douloureux. A chaque fois repris, comme un petit garçon mal élevé, grondé par sa maman.

« Tiens-toi correctement s'il te plaît ! Menaçait Clarisse intraitable. Cesse de te frotter le derrière sans arrêt, et reste assis, pour bien ressentir l'effet de cuisson !... Ou alors, c’est une nouvelle fessée avant la fin du repas ! A toi de choisir ! » 
Comme s'il avait le choix, terrorisé, le malheureux époux se rassied en hésitant… avant de baisser la tête modestement dans un murmure.
« Non... Clarisse... S'il te plaît... ça suffit ! ... Plus de fessée aujourd'hui ...Regarde, je me rassieds, je ne bouge plus... Oh la la qu’est-ce que ça cuit encore ...” »  

Rodolphe, toujours sur le qui-vive, se tient à carreau. Il pique du nez dans son assiette et mange en silence. Il a réussi à passer la journée sans encombre et voudrait bien qu'elle se termine de la même façon. Il connaît l'humeur colérique de sa mère... ça peut lui claquer aux fesses à n'importe quel moment, pour n'importe quel motif... Autant faire profil bas, au ras de la fourchette, et protéger son arrière train d'un brusque changement de température possible.
Le repas se termine dans une ambiance un peu tendue. La maîtresse de maison décide de regarder tranquillement la télévision avec son fils, qui, un peu faux jeton, a proposé curieusement de débarrasser la table. Elle envoie Douglas directement au lit. Pour bien lui montrer que son postérieur reste à tout instant à sa disposition, elle lui fait monter l'escalier le derrière crépitant sous les claques. Il a retrouvé sa belle couleur rouge brique lorsqu'il arrive en haut.
Il eut beaucoup de mal à s'endormir, sur le ventre évidemment, les fesses douloureuses, entièrement cuites jusqu’au fond de la raie. La correction a été longue, exemplaire et sans doute efficace, car à ce moment-là, la simple idée de remettre les pieds dans un PMU lui donnerait une fièvre de cheval.


Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 8
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, c'est le chapitre 10

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

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