mardi 17 décembre 2019

Ces dames aux mains fermes - saison 3 -chapitre 11

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

Duo des fessées et sa pommade au dolpic

Bettina est dans leur chambre, prostrée, à genoux près du lit, à quatre pattes quasiment, présentant ainsi un postérieur déculotté au volume conséquent. Une ceinture et un solide martinet traînent sur le lit … Walter a beau être en émoi, il n'en a pas moins commencé à corriger son épouse dévergondée.  Les traces rouges sur son plantureux fessier témoignent de leur utilisation récente. Bien encadré de noir par le chemisier retroussé sur les reins, le porte–jarretelles, les bas nylon et le slip en haut des cuisses, il apparaît plus provocant que jamais. En voyant arriver son mari, Maxime et sa mère, elle jette un regard suppliant à Béatrice, dont elle semble attendre on ne sait quelle aide, mais celle-ci, bien au contraire, explose littéralement.


« Tu n'as pas honte Bettina? De mêler mon fils à tes petites manigances !? Pas de çà ma chère ! Pas question ou c’est moi qui vais te dérouiller ! et je te passerai l’envie de tout çà je te le jure ! »
Bettina détourne la tête, découragée et tout en sanglotant de plus belle, essaie péniblement de se reculotter, sans doute parce que Maxime est là. Walter, hors de lui. IL tremble d’énervement. Rien de plus redoutable qu'un homme habituellement calme et soumis, lorsqu'on le pousse à se mettre en colère. Il a, cette fois, une très bonne raison de prendre sa revanche, pour toutes les fessées et humiliations que l'épouse volage lui inflige régulièrement au moindre prétexte. Il tonne.
« Tu restes déculottée ! Menteuse, manipulatrice !  Alors comme ça, Madame va proposer ses fesses à n'importe qui ! Et bien je vais te les dresser moi tes grosses fesses! C'est ton tour maintenant de t'en prendre une sévère ! »
 – Oh chéri... C'est vrai je la mérite mais s'il te plaît... pas trop fort la fessée !... Pas trop fort, j'ai déjà les fesses en feu ! » 

Bettina n'insiste pas. Elle laisse son slip au milieu de ses cuisses et, sous le regard éploré de Maxime, arrondit son derrière au maximum, comme le jeune homme sait qu'il doit le faire, aussi, pour recevoir une fessée... Et cela se présente tout de suite. Sa mère a saisi une chaise qu’elle installe à côté du lit, elle l’attrape, le couche sur ses genoux et le déculotte complètement en un tour de main. Elle l'installe en “bonne position”.
« Quant à toi mon ami, tu peux préparer tes fesses ! La fessée de tout à l'heure à la maison n'était qu'un hors d'œuvre par rapport à celle que je vais te mettre maintenant !
– Mais maman, c'est pas juste ! Je te jure c'est pas de ma faute, c'est Chantal qui...
– C'est ça, accuse les autres ! Lâche avec ça ! Ça ne te suffit pas de te rendre complice des cochonneries de Bettina... Tend bien tes fesses, mieux que ça ! »
 Lui aussi doit tendre son fessier en l’arrondissant … Il prend appui sur ses mains posées à plat par terre et pousse sur son derrière en creusant les reins, sans broncher ...ce n’est pas le moment... Surtout que l'exigeante maman, trouve qu'il n'obéit pas assez vite pour se mettre en position.
« Il va falloir que tu réapprennes à me présenter tes fesses correctement, et plus rapidement, sans que j'ai besoin de te le demander à chaque fois ! »
-        
Walter s’est assis sur le lit et a aussi allongé sa femme sur ses genoux.
En fait, Bettina sur les genoux de son mari et Maxime sur les genoux de sa mère, se trouvent presque à la perpendiculaire, leurs visages séparés de moins d’un mètre à peine.  Il leur suffit de tourner la tête l’un vers l’autre pour voir, en premier, le fessier de l’autre et en second son propre postérieur. Même si cela n'arrive pas souvent, ce n’est sans doute pas la première fessée que reçoit l'impétueuse épouse, quant à lui, avec maman, les déculottées c'est presque tous les jours ! Ils savent bien l’un et l’autre que pour bien recevoir la fessée, ils doivent maximiser leur derrière en l’exhibant au mieux sans se soucier de décence ni de honte …et c’est ce qu’ils font sans aucune retenue. Maxime a donc sous les yeux la croupe déjà cuisante de sa voisine, tandis qu’elle peut voir son fessier pas encore très rouge mais également bien arrondi. Bien que d'une taille un peu plus modeste il se présente, aussi charnu que le sien. De plus, il y a dans la chambre, outre une grande armoire à glace, un autre grand miroir mural et une psyché ! De ce fait, leurs deux postérieurs peuvent être vus en permanence par eux quatre !

Bettina essaie de contrôler ses sanglots mais elle pleure en continu, son rimmel laisse de longues traces sur ses joues, ses yeux écarquillés et suppliants reflètent à la fois la peur et la résignation. Elle qui se vante d'aimer se faire claquer les fesses de temps en temps, n'en mène tout de même pas large. Elle esquisse un petit sourire contrit, en direction de Maxime son partenaire de fessée. Pas rancunier, il lui en sait gré et déjà lui pardonne un peu de l’avoir entraîné dans cette galère. Il pense, d’ailleurs, que s'il avait suivi sa recommandation et pas fait confiance à Chantal, ils n’en seraient pas là ni l’un ni l’autre...
Pas besoin d'être devin pour connaître l'avenir immédiat des deux paires de fesses... Ça sent la grosse fessée !!

Des claques sonores et énergiques commencent à tomber sur leurs deux fessiers pendant qu'ils subissent l’un et l’autre un certain nombre de noms d’oiseaux différents.  Elle : Sale   garce, coureuse, infidèle... Lui : Voyou, menteur, morveux etc.... avec en point commun l’annonce qu’ils vont se faire cuire les fesses, qu’ils s’en souviendront, qu’ils ne pourront pas s’asseoir pendant dix jours et qu’ils vont être privés de ceci et de cela. Peut-être même de tout, sans vraiment savoir ce que cela veut dire.
Walter hors de lui, de voir trahie sa confiance, semble vouloir compenser toutes les fessées qu'il a reçues en dix ans de mariage et de discipline conjugale sous l'autorité de sa femme volage.   Celle-ci demande pardon sans arrêt.
« Pitié chéri, pitié ! Tu fesses vraiment fort ! Je te demande pardon !!! Je ne recommencerai plus ! Pardon ! Pardon ! Roooaiiiie, c'est ma deuxième fessée !...
– C'est pas encore assez pour tes grosses fesses ! Il y en aura encore une autre après !

fessées déculottée en duo


– Raaah mais ça claque dur !!! »
Elle souligne une évidence, la correction est sévère. Cela s'entend rien qu'au formidable claquement des deux paires de fesses. Maxime s'y met aussi... mais implore sa mère sans effet. Elle est immuablement indifférente à ses supplications.
« Maman ! Maman ! La fessééééée !  Ça claque foooort !
– Tu devais être habitué mon chéri ; Une bonne fessée ça doit toujours claquer fort ! »
Résignés, ils se contentent de crier et pleurer .... Le postérieur de Bettina, qui a déjà reçu une fessée beaucoup plus sévère que celle de Maxime prise sur la table avant de partir de chez lui, fait la course en tête avec pratiquement une déculottée d'avance.

Sans vraiment regarder à travers leurs larmes, ils voient leurs deux volumineux fessiers, devenus écarlates, se tortiller au rythme des avalanches de claques, rythme qui varie pour rendre la fessée plus imprévisible et donc plus sévère. Maxime a déjà, depuis pas mal de temps, éprouvé à ses dépens l’efficacité de cette “technique” régulièrement employée par sa mère. Notamment lorsqu'elle lui prépare le derrière aux fessées au martinet. Walter ne s'embarrasse pas de fioritures et, fou de rage, claque furieusement les belles grosses fesses de sa femme. Béatrice, ne voulant pas être à la traîne, inflige en même temps à son garçon une de ces fessées énergiques qu’elle sait si bien lui donner. Cette fessée paraît interminable. Enfin, le mari, presque trompé, semble ralentir la cadence, il arrête.

Bettina s’écroule à plat ventre sur le sol en se frottant vigoureusement le derrière et continue à sangloter comme si la fessée continuait ... Béatrice s’arrête de même, et Maxime, en larmes, tombe à genoux près d’elle. Attrapés par les oreilles l’un et l’autre, ils sont conduits à la fenêtre, que Walter ouvre en grand, et sont mis à genoux sur une chaise, chacun devant un panneau de la fenêtre. Leurs fesses en feu sont visibles autant de la place où ils sont dans la maison, qu'à l'extérieur. 

Bettina appuie son front sur la vitre de la fenêtre ouverte et présente son fessier comme ils l'ont appris à faire quand ils sont mis au coin : bien arrondi, bien tendu... Maxime fait de même. Dehors, la place devant la maison est trop vaste pour qu'ils soient vus des appartements d'en face… mais pas des gens qui passent. Il entend plusieurs voitures klaxonner avec des femmes au volant, est-ce pour le spectacle de leurs fessiers déjà bien rouges? Le plus imposant, celui de Bettina, est tourné de trois quarts vers l’extérieur… Ce n’est pas cela qui semble être son souci principal. Dans la même position que son ''complice'' déclaré, elle garde les mains sur la tête, hoquetant de gros sanglots, les larmes inondant ses joues. Tout à coup une voix de femme crie. Celle de Clarisse, la voisine qui passe sans s'arrêter, visiblement pressée.
« Alors Bettina, Elle est bonne cette fessée ? Tu as l’air de bien la sentir !  L'intéressée ne répond pas et redouble de pleurs. Tes fesses sont magnifiques, et j'ai comme l'impression que ce n'est pas terminé ! 
Elle ajoute en riant.
– « Désolée, je n'ai pas le temps de monter.  Rodolphe a encore fait des siennes, j'ai une paire de fesses à corriger qui m'attend à la maison... Je viendrai voir demain dans quelle forme sont les tiennes! »
Elle traverse pour changer de trottoir et disparaît au tournant de la rue suivante.

Maxime entend sa mère suggérer la “méthode Dolpic” pour continuer la correction. C'est justement Clarisse qui lui en a vanté l'efficacité au salon de coiffure. Depuis elle s'en sert régulièrement sur les fesses de Maxime qui en a une sainte frayeur.
– « Vous en avez là, avec vous ? Lui demande Walter. 
– Bien sûr mon cher ! L'exercice d'une bonne discipline est une affaire de tous les instants. Il faut être prêt à flanquer une fessée à tout moment... n'importe où. Pour ça j'ai toujours un martinet et un tube de Dolpic dans mon sac, en cas d'urgence !
– Assurément ! Répond le mari impressionné, mais pas en reste, malgré sa relative inexpérience en la matière. Il a une même une autre idée avant la fessée au Dolpic. Attendez j’ai mieux ! »
Il revient deux minutes après, montre quelque chose à Béatrice qui approuve avec un petit rire satisfait. Dans l’anxiété, les deux punis ont entendu sans voir ce qui se passait derrière eux. Leurs pleurs se sont faits moins bruyants. Ils ont suffisamment saisi de bribes de leur conversation pour comprendre qu’on leurs prépare une continuation de la fessée encore plus cuisante

Ça y est, Maxime, tremblant, entend le claquement des talons aiguille de sa mère qui vient le chercher pour la fessée suivante et le pas plus lourd de Walter qui vient faire relever sa femme. Chacun brandit une raquette de Jokary !!
Malgré leurs supplications, ils se retrouvent tous les deux “ en position de fessée” avec leurs gros postérieurs uniformément écarlates. Bettina à plat ventre sur les genoux de son mari, Maxime allongé en travers des cuisses gainées de nylon de sa mère, le ventre s'irritant à nouveau sur ses jarretelles tendues.

Cette nouvelle fessée les fait hurler immédiatement. Ils voient leurs fessiers qui bondissent, se contractent, rebondissent… celui de Bettina tire sur le rouge bordeaux, le violet, lui, sent le plat de la raquette lui éclater littéralement les fesses. Il a l’impression qu’elles vont exploser ! Heureusement cette fessée est relativement brève. Ils se retrouvent, lui, à genoux près de la chaise de sa mère qui s’est levée, Bettina, à genoux sur le lit, les fesses   en l’air et la tête sur le couvre lit froissé.

Et ils n'en ont pas terminé. La correction se doit d'être exemplaire. Maxime, horrifié, voit sa mère en train de s’enduire soigneusement la paume de la main droite avec le Dolpic qu’elle a sorti de son sac, le regard brillant.
– « Une bonne fessée avec ça, sur des fesses déjà cuisantes, ils vont la sentir passer ! Et ça tombe bien, c'est exactement ce que préconise Bettina ! »
Walter, un peu naïf, la regarde d'un air interrogateur. Béatrice lui explique en finissant de lisser la pommade entre ses doigts.
« Vous ne savez pas ça ? C'est ce que m'a rapporté Clarisse, votre voisine qui connaît très bien votre femme. Bettina estime qu'une fessée ne commence à être vraiment efficace que sur des fesses écarlates, bien chauffées au préalable. A vous mon cher, de lui faire la démonstration sur ses propres fesses ! »

Quelle belle revanche pour le mari habituellement soumis. Elle lui passe le tube et il annonce qu’il va lui étaler directement la pommade sur les fesses.  Béatrice le saisit vivement par le bras et lui chuchote quelque chose à l’oreille qu’il approuve en hochant la tête. Comme dirait Peter Pan, un lecteur assidu du blog '' Une bonne fessée'' que ces Dames consultent régulièrement sur internet : ''ça va chauffeeeeeeerr !''

Une nouvelle fois, ils sont remis “en position” et la fessée recommence. Beaucoup plus longue cette fois… le Dolpic majore l’intensité de la cuisson qui est carrément brûlante, même si la fessée est moins violente. Walter qui s'est déjà bien défoulé, a repris son calme en grande partie, alors que Béatrice fidèle à elle-même, ne fait aucune concession et continue à claquer le derrière de son fils avec la même énergie. La brûlure de son ventre frottant sur ses bas nylon, au rythme des claquées, s'ajoute à l'infernale cuisson de ses fesses.  
La fessée reste extrêmement sévère, mais elle est plus systématique, plus rationnelle, plus “normale”. Maxime, en ce qui le concerne, la trouve néanmoins partiellement imméritée.... trop sévère pour la faute commise. Pour Bettina, ce n’est pas pareil... elle ne l’a pas volée. L’idée lui traverse l’esprit qu'il paie aussi pour elle et que sa mère, en le corrigeant ainsi, cherche à démontrer au Mari que leurs fautes, à sa femme et à lui, sont d’une certaine manière équivalente. Concentré sur bruit des claques qui tombent en continu sur leurs fessiers, Maxime finit par se dire qu'ils ne sont plus que deux coupables ayant commis ensemble une même faute et subissant la même fessée.

 A travers ses larmes qui lui inondent les joues, le jeune homme voit Bettina et l’entend supplier, tortillant son beau gros postérieur rouge foncé dans tous les sens, battant des pieds en l’air, pleurant à chaudes larmes sans pouvoir s’arrêter, essayant en vain, comme lui d’implorer que la fessée s’arrête. Il voit son regard désespéré passer de son postérieur enflammé au sien, qui l’est tout autant ! Echevelée, les joues dégoulinantes de larmes mélangées à son maquillage, elle ne regarde que ses fesses et les siennes. Il n’y a plus que cela qui compte, leurs grosses fesses déculottées écarlates et la fessée qui continue implacablement. Elle a une vingtaine d’années de plus que lui mais, aussi, une vingtaine d’années de moins que son mari. Mais ils ne sont plus que deux sales gosses en train de recevoir ensemble une bonne fessée méritée.

Sans doute par lassitude et jugeant la punition suffisante pour le moment, Walter arrête enfin de claquer les fesses de sa femme, Béatrice l’imite à regret mais au grand soulagement de son fils.
« Aaah... ma foi, quelle magnifique correction ! C'est le moins qu'ils méritaient ! S'exclame-t-elle en se massant le poignet. Voilà des fesses bien claquées, écarlates et cuisantes comme elle doivent l'être après une bonne séance de fessées ! Et que ça leur serve de leçon ! »
Elle se penche vers son fils, gémissant la tête au ras du sol, et lui tapote affectueusement le derrière en feu, qui tressaille de douleur.
« Qu'est-ce qu'on dit à Maman qui t'a flanqué les bonnes fessées que tu méritais, pour te corriger de tes grosses bêtises … hein ? Qu'est-ce qu'on dit ? »
Maxime, bien que mortifié par les propos ironiques de sa mère, qui ajoutent à son humiliation, sait qu'il a obligation de répondre.  Ecroulé, pantelant, sur les cuisses maternelles, la gorge nouée, il murmure un vague remerciement, à peine audible, alors qu'elle l'écoute avec un sourire satisfait.  
« Mer... merci maman, pour ces bonnes fessées...  Tu... tu m'as bien corrigé...comme je le méritais... »


déculotté sur les genoux de Maman


Il est comme exténué, éreinté, sans force, complètement vanné par cette longue fessée. Comme si toute son énergie avait été dévorée par la cuisson infernale de son fessier qui irradie maintenant dans tout son corps. Son ventre aussi, brûlant à force de s'irriter sur les jarretelles de sa mère au rythme de claques.

Bettina est dans le même état. Elle s’est mise à genoux, en se frottant vigoureusement les fesses devant son mari qui a l'air presque étonné de lui avoir flanqué une telle correction... Comme s'il craignait déjà les représailles. Pour l'heure, elle lui demande pardon en manifestant le plus d’humilité dont elle est capable, jurant qu’elle ne le fera jamais plus, qu’il ne s’est, en fait, rien passé, puisque, face à l’insistance de Duplessy, elle avait justement l’intention de lui dire qu’il ne fallait pas aller plus loin qu’un flirt, parce qu’elle regrettait. Parce qu’elle aimait son mari... etc.
Béatrice, peu convaincue, hausse les épaules en secouant la tête et en reculottant solidement son fils qu'elle a positionné à genoux fesses en l'air entre ses cuisses. Le reculottage après la fessée doit être aussi humiliant que déculottage avant. Le slip à fessée remplit sa fonction et enveloppe douloureusement le fessier cramoisi, enserré entre les élastiques tendus à craquer sur la peau en feu. Elle le relève en le soulevant par l'oreille.
« Allez viens toi ! Maintenant que tu as pris ta déculottée, il est temps de rentrer ! Au trot ! Il a droit à une paire de claques supplémentaire sur chaque fesse avant de descendre l’escalier tandis qu’elle lance.
« Bon ! Walter, on vous laisse. N’hésitez pas à me rappeler si nécessaire, mais je vous fais confiance, vous fessez très bien pour un débutant, surtout sur un derrière aussi solide ! Il faut lui serrer lui la vis... N'hésitez pas, la fessée... de bonnes fessées déculottées, autant qu'il lui en faut... Il n'y a rien de meilleur ! »

Maxime et sa mère, sortent de la maison, laissant dans leur chambre Bettina aux mains de son mari, c’est le cas de le dire, à genoux devant lui et essayant de minimiser sa faute pour obtenir son pardon.
Béatrice semble détendue et plutôt contente. Ces séances de fessées la rendent toujours joyeuse. Claquer une belle paire de fesses est pour elle une activité physique revigorante, un peu comme une remise en forme. Maxime, lui, l'est beaucoup moins. Sur ordre de maman il doit marcher à côté d'elle en gardant son pantalon à la main. Son postérieur gonflé par les claques et sanglé dans son slip de nylon trop serré, lui cuit atrocement. Il en est presque à regretter que sa mère ne le lui ait pas coincé entre les fesses comme en venant. Ça les aurait bien dégagées, il y a un petit vent qui s’est levé et il en aurait bien profité pour se les rafraîchir un peu. De plus il a les jambes coupées et beaucoup de mal à suivre son pas.
Béatrice, parait en pleine forme et de plus en plus de bonne humeur. Il pense qu’elle est satisfaite de cette séance de fessées en duo. Elle trouve toujours plus stimulant de fesser deux derrières en même temps. Il est certain qu'ils ont reçu une sacrée correction. Mais cette fessée commune était sans doute le prix à payer. Même s'il ne peut s'empêcher de penser que ce prix, pour, lui était tout de même un peu excessif par rapport à ce qu'a fait Bettina. Il rumine tout cela en marchant, tortillant des fesses pour atténuer la douleur du frottement l'une contre l'autre.  

Sa mère, satisfaite d'avoir réussi à bien gérer la situation, ne lui fait plus de reproche. Elle le prend par le bras sans rien dire, comme pour l’aider à soutenir l’allure de ses pas.  Ses talons aiguille claquent sur le trottoir.  Il hésite. Il voudrait bien reprendre ses explications, mais il sait que dans des cas semblables, il vaut mieux, pour lui, ne pas revenir sur le sujet. Une fessée supplémentaire est vite arrivée, quel que soit le nombre reçu auparavant. Mais il en a trop envie et se jette à l’eau.;

« Maman, je voulais te dire...
Elle s'arrête. Son visage s'assombrit, elle fronce les sourcils.  Sa bonne humeur semble avoir soudainement disparu. Elle soulève son opulente poitrine d'un soupir d'agacement.
« Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ? Tu veux discuter ta punition ?
– Non maman, c'est pas ça... je voudrai t'expliquer...
– M'expliquer quoi ? Attention à ce que tu vas me raconter, si tu ne veux pas te prendre une nouvelle fessée à la maison !
– Oh non maman... C'est pour te dire que c'est vrai... J'ai accepté les dix euros de madame Bettina sans lui dire que j'avais donné la lettre à Chantal au lieu de Mr Duplessy. Mais je te jure que je ne connaissais rien de ce qu'il y avait dedans... Je t'assure maman.  Elle ne m'a rien dit... Je ne savais pas ! »

 Au bout de quelques instants de silence, elle le regarde avec un petit sourire presque bienveillant,
« Et bien que ça te serve de leçon... ll va te falloir apprendre qu'il ne faut pas croire tout ce qu’on te dit...Et surtout te méfier de ce qu’on ne te dit pas ! ».
Le garçon reste un peu stupéfait du conseil, surtout qu’elle ajoute avec un petit rire ;
« Je suis sûre que tu apprendras vite mon chéri.... Sous les fessées s'il le faut... Maman sera toujours là pour ça ! »

Il la voit passer devant lui, claquant des hauts talons en pressant le pas, et se mettre à balancer sa croupe, en se déhanchant au maximum pour accentuer le roulis de ses fesses. Sa jupe très courte révèle l'attache de ses jarretelles et le renfort noir de ses bas nylon à couture, impeccablement tendus sur ses jambes. Elle se retourne vers lui, en riant de plus belle devant son air ahuri, et continue sa démarche scandaleusement chaloupée

Malgré les fessées qu’elle vient de lui administrer, et son attitude provocante, Maxime éprouve à son égard une certaine reconnaissance de l'avoir laissé s'expliquer et d'avoir compris sa quasi innocence. Ils sont devant la maison... Ils entrent ; Elle se débarrasse de son sac et de sa veste dans le vestibule et le prend par le bras pour l'emmener au salon, Il se laisse faire sans savoir ce qu'elle veut. Il tient toujours son pantalon à la main. 
– « Tourne toi et montre-moi tes fesses ! Il obéit. Le slip... déculotte toi !
– Mais maman... tu ne vas pas... 
– J'ai dit déculotte toi ! Je veux voir l'état de tes fesses ! »
 Il s'exécute et arrondit docilement sa paire de fesses rebondie qui porte encore l'extrême rougeur des dernières fessées. Le Dolpic est efficace, pas de vilaines marques apparentes. Elle les examine et les tapote par en dessous pour en tester la souplesse. La peau reste très tendue par la cuisson toujours effective. Le jeune homme tressaille en gémissant un peu.
« Les fessées, maman... ça fait mal, tu as tapé fort ! » 
Elle reprend un air sérieux et s’accroupissant devant lui.
« Bien sûr que j'ai tapé fort, très fort même et tu les as bien méritées... Regarde-moi bien dans les yeux Maxime : On ne doit jamais donner une lettre destinée à quelqu'un, à une autre personne ! »
Il comprend alors que le traitant de “ petit crétin” la seule chose qu’elle regrettait c’était qu'à cause de lui, Walter avait découvert la frivolité de sa femme.
« A moins que tu le mérites à nouveau, je ne devrais pas avoir besoin de te re-fesser ce soir.  Tu peux te reculotter et remettre ton pantalon.  Allez ! maintenant va réviser ton exposé pour demain ! »
. Et vlan ! Vlan! Il se reprend deux claques retentissantes pleines fesses...Pas méchantes certes, mais cuisantes quand même, maman a l'habitude de taper fort... Il s’en serait bien passé... Il monte dans sa chambre en grimaçant, la main de sa mère imprimée en rouge foncé sur chaque fesse, douloureusement reculottée. C'est ça l'autorité.



Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 10
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, le chapitre 12.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

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Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre :  Ramina

1 commentaire:

  1. Bonjour Ramina,

    Auriez-vous des talents culinaires cachés, mon cher ami ?
    Le sous-titre de votre épisode sonne comme une recette digne d'un chef étoilé.
    "Duo de fessées et sa pommade au Dolpic". On pourrait paraphraser avec :" fesses flambées sur canapé et son coulis de fruits rouges".
    Pour une recette de l'Avent, ça sonne bien. Alors, à table...
    - Euh, garçon, la carte des vins, s'il vous plait.
    - Pour viande rouge ou blanche, Monsieur.
    - Pour les deux. Et un petit apéritif, en entrée. Et du bon.
    Bon appétit. Amicalement. Peter.

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