jeudi 12 décembre 2019

Mes premières fessées - chapitre 18

Estelle m’attendait à la porte de l’amphi. Ce qui n’était pas du tout prévu.
‒ Qu’est-ce qu’il se passe ? Ça va pas ? T’en fais une tête !
‒ Faut que je te parle.
‒ Eh, ben viens !
On a cheminé, en silence, jusqu’au café le plus proche. On s’est installés dans un petit recoin, à l’écart.
‒ Qu’est-ce qu’il t’arrive ?
‒ Il y a que je les accumule, les conneries. Parce que… l’autre soir j’ai eu une très longue conversation, à cœur ouvert, avec ma mère. Ça pouvait plus durer, cette histoire avec le mari de ma sœur. Et, là-dessus, j’étais bien d’accord avec elle. Complètement. Ça pouvait plus. Et je lui ai promis. Je lui ai juré. Que, cette fois, c’était fini. Et bien fini. Sauf que ce matin, aux aurores, il s’est pointé, l’autre animal. Et que je lui ai cédé. J’ai été incapable de lui résister plus d’un quart d’heure. Il suffit qu’il me parle, qu’il me regarde et je fonds. Je fonds littéralement. Non, la seule solution pour que je mette vraiment un terme avec lui, pour ne pas rechuter, ce serait que je parte, que je m’enfuie à des centaines de kilomètres d’ici.
‒ Et pourquoi pas ?
‒ J’y songe. J’y songe vraiment. De plus en plus. Mais en attendant, ce matin, la cata. Ma mère nous a pris en flagrant délit. Comment j’avais honte ! Et bon… Elle va t’appeler. Tu sais pourquoi.
‒ Oui.
‒ Et faudra que j’y passe, j’ai pas le choix. Sinon demain, à la première heure, ma sœur est au courant. Et elle le fera.
Elle a soupiré.
‒ C’est pas facile à avouer, tu sais, mais je me dis que, dans un sens, c’est bien fait pour moi. Qu’elle a raison. Que je l’ai pas volé. Et puis, en même temps, je me dis que ça va servir à rien du tout. Elle, elle le croit. Elle croit que ça va tellement me vexer de me donner la fessée devant toi que ça va me guérir à tout jamais. Mais moi, je sais bien que non. Qu’il y a rien, absolument rien, qui peut y faire. Je lui retomberai toujours dans les bras. Quand il voudra et comme il voudra. Tu me méprises, hein ?
‒ Bien sûr que non ! En voilà une idée ! Pourquoi je te mépriserais ?
‒ Ben parce que je couche avec le mari de ma sœur, tiens ! Que je peux pas m’en empêcher. Et que c’est que pour le cul. En plus ! Parce qu’à part ça, on a rien de commun tous les deux, mais vraiment rien.
Elle m’a pris la main par-dessus la table.
‒ Faut que tu m’aides. Tu m’aideras, hein !
Je la lui ai doucement caressée. En silence.
Elle a longuement fixé quelque chose, très loin au-dessus, de ma tête. Est revenue lentement à moi.
‒ Ça va être dur pour moi, tu sais, tout à l’heure. Surtout que t’es la dernière personne devant laquelle j’aurais voulu que ça m’arrive un truc pareil. Et puis, en même temps, t’es la seule devant laquelle ce soit possible sans que je meure de honte.
Elle s’est levée.
‒ On est bizarres des fois, nous, les humains, non ?
On a fait quelques pas sur le trottoir. Et puis on s’est quittés.
‒ Bon, ben, à ce soir.
Avec un pauvre petit sourire.

J’ai été dans l’incapacité totale, toute l’après-midi, de me concentrer sur mes cours. Estelle allait recevoir la fessée devant moi. Une fessée dont j’imaginais qu’elle serait particulièrement cuisante, vu la gravité de ce qui lui était reproché. Je la plaignais. Je savais, d’expérience, ce qu’elle allait endurer. Je savais dans quel état d’anxieuse appréhension elle allait passer les cinq ou six heures qui la séparaient du moment fatidique. Je compatissais. Sincèrement.
Mais, parallèlement, je ne pouvais me défendre d’éprouver une certaine jubilation à l’idée que, pour la première fois j’allais la voir nue, ce dont, depuis que je la connaissais, j’avais toujours rêvé. Et puis, si je voulais être tout à fait honnête avec moi-même, je devais bien reconnaître que la perspective de voir ses fesses rougir, de la voir très probablement gigoter sous les claquées, gémir, peut-être crier m’emplissait d’un plaisir trouble qui devenait de plus en plus vif, se faisait de plus en plus impatient, au fur et à mesure que s’écoulaient les heures.

J’étais perdu dans mes pensées, au sortir de la fac, en attendant mon bus, quand il y a eu des rires derrière moi. Oh, non, pas elles ! Pas les jumelles ! Mais si ! Hélas, si !
– Qu’est-ce tu fous là ? Elle te l’avait pas dit, notre mère, d’arrêter de nous pourchasser comme ça sans arrêt ?
– Oui. Même qu’elle t’a donné une fessée à cause de ça.
J’ai jeté un regard inquiet autour de moi. Une fille semblait absorbée dans sa lecture. Une autre, juchée au bord du trottoir, scrutait impatiemment l’horizon du côté où le bus devait arriver. Une femme entre deux âges, elle, suivait manifestement avec beaucoup d’intérêt notre conversation.
– Oh, mais on va lui dire que t’as recommencé. Ça, tu peux être sûr qu’on va lui dire.
– Et sûrement que tu t’en prendras une autre.
– C’est même couru.
J’ai supplié.
– Chut ! Pas si fort !
– Quoi ! Qu’est-ce tu t’en fous des gens ! Et eux, qu’est-ce qu’ils s’en foutent de toi, tu parles !
Et Hortense a claironné d’une voix de stentor.
– Bon, alors comme ça, tu disais qu’elle t’avait flanqué une fessée, notre mère ?
La femme a étouffé un fou rire.
‒ Et une bonne, à ce qu’il paraît. Même que t’en as le croupion tout rutilant.
‒ Oui. Faut absolument que tu nous montres ça. Qu’on rigole ! Allez, tu viens à la maison…
‒ Mais je…
‒ Tu, quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? Ça fait un bout ? Ben oui, ça fait un bout. T’as bien le temps n’importe comment. T’auras toute la soirée pour faire tes devoirs. Allez, route !
La femme entre deux âges est intervenue.
‒ Si ça peut dépanner, ma sœur habite là. Juste en face. J’en viens. Je vous y emmène si vous voulez.
‒ C’est très gentil à vous. Avec plaisir. Tu vois, Raphaël, tu vois que, contrairement à ce qui se dit, il y a encore des gens qui sont de bon service.
Gwenaëlle s’est approchée de la fille qui lisait. Qui a levé la tête. Elles ont échangé quelques mots à voix basse. Et puis elle a demandé.
‒ Elle peut venir, elle aussi ?
‒ Mais bien sûr ! Bien sûr !
Et Hortense a conclu.
‒ Plus on est de fous, plus on rit.

Le temps d’expliquer à la sœur, une femme d’une cinquantaine d’années, de quoi il retournait au juste et je me suis retrouvé le cul à l’air.
‒ Oh, il a l’habitude.
Elles se sont regroupées toutes les cinq derrière moi. À commenter.
‒ Cette tannée !
À s’esclaffer.
‒ Comment il devait gigoter ! Ah, j’aurais aimé voir ça !
‒ Oh, vous aurez sûrement l’occasion. On va rester en contact.
‒ Oh, oui, hein !
À interroger.
‒ Qu’est-ce qu’il avait fait ?
‒ Il en a sans arrêt après nous. Elle supporte pas ça, notre mère.
‒ Et elle a bien raison.
‒ Sans compter d’autres trucs. Qu’on peut pas dire.
Ça a duré. Et puis elles sont repassées devant. Elles se sont longuement concertées tout en lorgnant impudemment, les unes et les autres, sur mon anatomie. Pour finir, elles sont tombées d’accord : la prochaine fois que j’en mériterais une, ce serait devant elles cinq qu’elle me serait donnée. Comment elles avaient hâte ! Toutes. Gwenaëlle s’est voulu rassurante.
‒ Oh, le connaissant, ça devrait pas tarder. C’est l’affaire de quelques jours. Trois. Quatre tout au plus.
Elles ont échangé adresses et numéros de téléphone et se sont quittées les meilleures amies du monde.

Sous l’abribus, je me suis retrouvé seul avec la fille au livre. Les deux sœurs étaient restées là-haut, à discuter et les jumelles étaient parties de leur côté.
‒ Tu crois au hasard, toi ?
Je savais pas. Pourquoi elle me demandait ça ?
‒ Ben, parce que… Le livre que je suis en train de lire, ça se passe dans le futur et ça imagine que ce sont les femmes qui ont pris le pouvoir. Et je te tombe justement dessus. C’est trop marrant, non, tu trouves pas ?
On est montés ensemble dans le bus. Elle s’est assise en face de moi et j’ai eu droit, en long, en large et en travers, à l’évocation de cette époque bénie, qu’elle appelait manifestement de tous ses vœux, où les hommes seraient sous la coupe des femmes, où ils seraient contraints d’en passer par tout ce qu’elles voudraient, où elles choisiraient des partenaires sexuels auxquels il ne serait pas permis de se refuser. Où, quand ils leur auraient désobéi ou qu’ils les auraient mécontentées de quelque manière que ce soit, elles seraient en droit de les fouetter jusqu’au sang sans qu’ils disposent du moindre recours.
‒ Ce serait génial, non ?
Elle s’est levée.
‒ Je suis arrivée. J’habite là. Juste retour des choses en tout cas.
Elle s’est éloignée dans l’allée centrale, retournée en souriant.
‒ On est appelés à se revoir. À bientôt alors !

Elles étaient toutes les deux, Estelle et sa mère, dans le jardin, assises sous le tilleul. En pleine discussion.
‒ Je dérange ?
‒ Non. Bien sûr que non. On t’attendait. Assieds-toi !
Entre elles deux.
‒ J’étais justement en train d’expliquer à Estelle, quand tu es arrivé, que c’était sa dernière chance. Si, après la correction que je vais lui infliger tout à l’heure devant toi, elle continue à entretenir avec son beau-frère cette relation coupable, je n’aurai aucun scrupule à mettre sa sœur au courant. J’ai fait montre jusqu’à présent, il me semble, de suffisamment de patience.
Elle s’est tue. Deux oiseaux, juste au-dessus, ont voleté, en pépiant, de branche en branche. Il y a eu des cris dans les lointains. Un coup de klaxon impatient dans la rue, derrière.
‒ Va chercher le martinet, Estelle !
‒ Le martinet !
‒ Le martinet, oui !
‒ Mais…
Elle a voulu dire quelque chose, s’est ravisée. A silencieusement disparu dans la maison.
Sa mère a soupiré.
‒ Peut-être que ce sera plus efficace qu’à la main. Souhaitons-le ! Mais j’en doute. Je crois malheureusement qu’il ne va pas y avoir d’autre solution que de mettre Adeline au courant. Ce ne sera pas de gaieté de cœur, mais bon… Il arrive un moment où il faut savoir trancher dans le vif.
Estelle est revenue, lui a tendu le martinet. Sans un mot.
‒ Bien. Retire ta culotte !
Elle l’a fait sans un regard vers moi. Elle a passé les deux mains sous la jupe. En a fait surgir une petite culotte blanche qu’elle a accompagnée, en se baissant, jusque sur les chevilles. Elle en est sortie, un pied après l’autre, l’a abandonnée dans l’herbe.
‒ À genoux !
Elle a obéi. Et a relevé d’elle-même, sans attendre qu’elle lui en donne l’ordre, la jupe au-dessus des reins, mettant à découvert deux délices de petites fesses, gentiment rebondies, sur lesquelles les lanières se sont aussitôt abattues, lui arrachant un gémissement. Se sont ré-abattues. Deux fois. Trois fois. Je regardais, fasciné, le cœur battant, la gorge sèche, les cinglées s’inscrire en longues traînées rosées rectilignes, bien alignées, sur toute la largeur de la croupe qui bondissait éperdument sous les coups.
Sous l’effet de la douleur, elle a voulu se protéger de ses mains et, ce faisant, a cessé de maintenir la jupe qui est retombée.
‒ Relève-la ! Vite ! Dépêche-toi ! Et maintiens-la en l’air comme il faut !
Et ça a continué. Elle tapait méthodiquement. Jamais au même endroit. De façon à couvrir uniformément toute la surface. Estelle gémissait. En rythme. De plus en plus fort. Elle a crié. Et laissé une nouvelle fois retomber sa jupe.
‒ Dégrafe-la !
Ce qu’elle a fait. Encore des cinglées. Par-dessus les précédentes. Et verticalement cette fois. Elle a crié. Elle s’est égosillée. Elle est tombée en avant. Sur les coudes, la tête dans l’herbe. Sa mère ne s’est pas interrompue pour autant. Elle a continué à lui quadriller méticuleusement le derrière. Entre les fesses qui ondulaient en cadence, la douce fente aux replis nacrés s’est impudemment offerte à mes regards. S’est mise à vivre. Je l’ai bue. Avec délectation. De tous mes yeux. J’y suis intensément resté rivé jusqu’à la fin. Jusqu’à ce que sa mère estime que ça suffisait, qu’elle la laisse se relever, qu’elle l’y aide. Le temps pour moi de me repaître encore quelques instants de sa délectable encoche entièrement à nu et elle l’a expédiée dans sa chambre.
‒ File !
Ses fesses tuméfiées ont disparu dans l’encadrement de la porte.
Sa mère a soupiré.
‒ Si c’est pas malheureux de devoir en arriver là !
Haussé les épaules.
‒ Monte la voir ! Essaie de la raisonner. T’auras peut-être plus de chance que moi.

Elle était à plat ventre à même le lit, la tête dans l’oreiller. Elle sanglotait.
Je me suis assis à ses côtés. Je lui ai doucement caressé la joue. Du bout du pouce. Longtemps. Elle a fini par me prendre la main, par la serrer.
‒ Les voisins… Tu crois que…
‒ Ils pouvaient pas voir. J’ai vérifié. C’est impossible.
‒ Non, mais ils pouvaient entendre. Ils ont entendu, tu penses ?
‒ Je sais pas.
‒ J’ai crié fort ?
‒ Encore assez.
‒ Ce qui veut dire que j’ai braillé. Oui, oh, ben alors ils ont entendu. Ils ont forcément entendu. De quoi je vais avoir l’air, moi, maintenant, dans le quartier ?
Elle a étouffé un gémissement.
‒ Comment ça me brûle ! T’as pas idée.
‒ Oh, que si, j’ai idée, si !
‒ Ah, oui, c’est vrai ! Toi aussi, tu ramasses. En attendant, en douce que, quand je vais devoir mettre des vêtements par là-dessus, qu’est-ce que je vais déguster !
‒ Ah, ça !
Son portable a bipé.
‒ Tu me le passes ? Un SMS. De lui. Il veut qu’on se voie.
‒ Il est au courant ?
‒ Que ? Ma mère me corrige ? Ah, non ! Non ! Sûrement pas. Je veux pas. Et je me suis toujours débrouillée, d’une façon ou d’une autre, pour qu’il se rende pas compte. Cela étant, je crois franchement pas que ça l’arrêterait. Et même… je suis quasiment sûre que ça l’exciterait. Ah, quand on a un mec dans la peau, on l’a dans la peau, hein ! Bon, mais t’as entendu comme moi. C’était la dernière fois. Si j’y remets le nez, elle vend la mèche. Et j’y remettrai le nez, je le sais. Je pourrai pas m’en empêcher. Alors, comme je te le disais ce matin, la solution, la seule solution, c’est que je parte. Et c’est ce que je vais faire.

Pour les distraits qui auraient loupé ce qui s'est passé précédemment

Tout a commencé comme ça : chapitre 1
Et la semaine dernière, le chapitre 17
Et tous les autres chapitres sur la page "les auteurs invités"

Et la suite ?

C'est le chapitre 19.

Les commentaires sont les bienvenus

François Fabien doit-il continuer dans cette direction ? Doit-il écrire un prochain épisode ?

4 commentaires:

  1. Bonjour François,
    Voilà une fessée comme je les aime ! Sévère et en public, de façon à calmer les ardeurs de certains et certaines...
    Amitiés.
    Elena.

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    1. Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
      D'autant qu'Estelle et Raphaël sont de vieilles connaissances. Ce n'en est donc encore que plus mortifiant pour elle. Il y aura encore quelques fessées avant de passer à un autre projet qui me tient beaucoup à cœur.
      Amicalement.
      François

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  2. Amis de la poésie, à l'ombre des jeunes filles en pleurs... Bonjour.

    Il y a une atmosphère particulière dans ces récits qui plongent le lecteur dans un univers finalement très intimiste. On a l'impression d'accompagner les personnages dans leur vie quotidienne, qui pourrait ressembler à celle de n'importe qui.
    L'armature du récit est construite en grande partie sur des dialogues, simples, ce qui le rend très vivant. L'écriture devient descriptive ou narrative lors des séances de punitions... Plutôt gratinées celles là... ça suinte sous la ceinture.
    Les sujets de préoccupations et de conversations y ont peu d'importance, mais leur fluidité n'est que de surface. Les personnages sont confrontés aux petits drames de la vie courante, qui émaillent les relations humaines. Les situations conflictuelles ou délictueuses sont réglées par la fessée... personne ne s'en plaint, sauf les punis.

    C'est dans cet univers futile et léger que réside l'habileté du récit qui réussi à banaliser, la pratique de la fessée, comme une activité normale inscrite dans l'ordinaire d'un quotidien indéterminé. Entre fiction et réalité. Ce que réussit aussi JLG dans ses épisodes burlesques de fessées dans un immeuble en folie. On parle de la fessée et on l'administre naturellement, sans haine, mais pas sans crainte pour ceux et celles qui la reçoivent.
    Un peu à la manière d'Elena dans ses fictions, les co-notations érotiques y sont abordées de la même façon... sans peur et sans reproche!! Ici, pas d'hypocrisie ni de voile pudique sur l'influence de la fessée sur la libido et les pulsions sexuelles des jeunes gens et jeunes filles. Fréquentes alertes de feux de buissons dans les forêts pubiennes!

    Pervers, pépère...Imaginons ces textes, lus à voix haute, sur le ton monocorde d'un diseur somnolent, dans le réfectoire silencieux d'une Abbaye, pendant le repas de moines en manque de stimuli émotionnels. (Genre longueur de phrase sans respirer... je viens encore de déraper!)... Les voix du seigneur, en deviendraient pénétrables!
    Amicalement
    Ramina

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    Réponses
    1. Bonjour Ramina. Et bonjour à tous.

      Que voilà un commentaire circonstancié, judicieux, subtil et surtout constructif. Parce que, lorsqu'on écrit, (c'est du moins mon cas) on a le "nez dessus", on n'a pas de recul. Au fond, ce sont les personnages qui mènent la danse. Qui décident de ce qu'ils veulent qu'il se passe. Et on les laisse faire. On se contente de regarder, d'écouter et de retranscrire. Aussi un regard extérieur est-il extrêmement précieux, surtout lorsqu'il provient de quelqu'un qui écrit lui-même. Parce qu'il expose comment est perçu ce qui n'a pas été fait de propos réellement délibéré.
      Merci encore.
      Amicalement.
      François

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