Madame Caroni ne donnait aucun signe de fatigue. La fessée durait pourtant depuis une éternité. C’était l’impression de Maïlis, sans doute renforcée par son attente impatiente de la fin de la correction. Ce n’était pas encore pour maintenant. Madame Caroni accéléra encore le rythme avec lequel sa main punissait Maïlis. Les fesses de la jeune fille n’étaient pas encore assez rouges à son goût et les signaux que donnait celle-ci, ne montraient pas un repentir suffisamment abouti. Il fallait prolonger encore un peu la punition.
Camille ne pensait plus du tout à l’âge de la personne qui
la punissait. C’était bien assez de maîtriser ses gestes intempestifs afin de
ne pas donner l’impression de s’opposer à la correction. Elle savait ce que
cela lui coûterait !
« Je crois que la mienne est à point, dit Madame
Caroni. Et la tienne ?
– Je crois que ça commence à cuire correctement. »
Lorena posa sa main sur le sommet des fesses de Camille qui
poussa un long gémissement.
« Je confirme, c’est chaud à souhait.
– Je vais m’en tenir là pour Maïlis. N’oublie pas le
supplément avec la règle !
– Aucun risque que je ne l’oublie ! »
Camille n’eut pas le temps d’avoir peur. Lorena devait avoir
la règle sous la main et elle en frappa le sommet des fesses, en barrant les
fesses d’un rectangle de feu. La ruade de Camille n’eut rien de volontaire.
Elle retomba sur les genoux de Lorena juste au moment où l’extrémité de la
règle tomba sur sa fesse gauche, à la jonction avec la cuisse. La main de
Lorena, posée au milieu de son dos, l’empêcha de bouger. La règle tomba de
l’autre côté. Camille s’étrangla. Ce n’était pas possible de continuer ainsi.
« Je ne tiendrai pas, se dit-elle ! »
La règle continuait son office. Camille gigotait de plus en
plus, cherchant, après chaque coup à ôter l’endroit où la règle venait de
provoquer une fournaise localisée du prochain trajet de son extrémité. Cela
mettait l’autre côté au centre de la cible. C’était là où arrivait le prochain
coup. Sa gesticulation facilitait donc l’administration de la fessée et Lorena
ne s’en plaignait pas. Elle maintenait facilement Camille à sa place,
l’empêchant seulement de glisser de ses genoux.
C’était plus le souvenir des dégâts causés la veille par la
règle que la fessée reçue ce jour qui effraya Camille. Il ne s’agissait plus
d’obtenir son acceptation de la fessée. C’était acquis. Il n’y avait donc pas
de raison de la corriger au-delà de ce qui était nécessaire. La peur de
recevoir une punition magistrale faisait le reste. La règle avait fait son
travail, mais pas plus qu’il n’en fallait.
Madame Caroni avait gardé Maïlis à plat ventre sur ses
genoux. Elle regardait sa fille achever la correction de Camille, tout en
passant doucement sa main sur les fesses qu’elle avait si durement meurtries
depuis la veille au soir.
Au début Maïlis apprécia que la fessée soit terminée. Cela
soulageait grandement, même si elle se doutait que sa punition n’était pas
arrivée à son terme. Puis vint la phase où elle fut troublée par le contact de
cette main sur sa peau nue, à quelques centimètres de son pubis. Elle se
raidissait quand Madame Caroni approchait sa main de son entrejambe, mais il ne
se passa rien de tendancieux. La main parcourait son épiderme, légère, en un
geste machinal et répétitif, comme elle l’aurait fait si cela avait été un
enfant que Madame Caroni tenait sur ses genoux.
Maïlis se détendit progressivement. La caresse était certes
très infantilisante, mais plutôt apaisante. Maïlis découvrait cette nouvelle
relation filiale qui, peu à peu, la liait à sa tutrice. Elle commençait à voir,
en Madame Caroni, une Maman de substitution qui savait punir quand il le
fallait, mais aussi cajoler.
C’était agaçant ou plutôt vexant quand Madame Caroni
décidait de la punir, mais c’était aussi sécurisant quand elle était prise en
charge et que c’était sa tutrice qui prenait les décisions. Elle n’avait plus
qu’à obéir, ce qui n’était pas toujours désagréable, comme ce moment passé sur
ses genoux. Elle avait fermé les yeux et sa respiration se ralentissait quand
une claque un peu plus forte la ramena à une réalité plus prosaïque.
« Allez, au coin toutes les deux, maintenant que la
fessée de Camille est finie ! »
Camille s’était précipitée, trop heureuse d’en avoir fini
avec cette correction. Elle occupa le dernier coin libre de la pièce. Maïlis
n’avait plus où aller pour obéir à la consigne de sa tutrice. Elle se retourna
vers elle. Comment faire ?
« Ah ! C’est l’heure de pointe, ironisa Lorena,
plus un coin de libre !
– C’est vrai qu’avec autant de pupilles à mettre en
pénitence, nous allons être en manque d’espaces appropriés. Il faudra trouver
une solution. Pourtant, les mettre à réfléchir au coin est
indispensable. »
Elle réfléchit un petit instant. Elle envisagea plusieurs
hypothèses. Le piquet en était une, mais il isolait bien moins que le coin.
L’attention du puni pouvait être distraite par une perception de mouvements en
vision périphérique. Disperser les punis dans plusieurs pièces ? Pourquoi
pas, mais il fallait, pour être efficace, que la pénitence se tienne dans un
lieu de passage…
« Pour le moment, je vais t’en libérer un. Benoît tu
viens ici ! »
Benoît, en sortant du coin, croisa Maïlis qui prit aussitôt
sa place. Les trois coins disponibles de la pièce étaient de nouveau occupés.
Benoît se dirigea vers le milieu du séjour, incertain sur ce
qu’il fallait faire.
« Viens ici que je te reculotte. »
Madame Caroni était sur le point de le faire quand elle
remarqua le visage fermé de Benoît.
« Peut-être serait-il temps que tu cesses de bouder. Tu
as fait une bêtise, tu en as été puni, il n’y a pas de raison de faire la tête.
Mais peut-être cette fessée n’a-t-elle pas été suffisante ? Faut-il que je
te donne une vraie raison de manifester ta mauvaise humeur ? »
Benoît secoua la tête.
« Qu’y a-t-il ? Peut-être crois-tu que cette
fessée n’était pas méritée ?
– Non, Madame. Ce n’est pas ça.
– Explique-moi avant que je me trouve dans l’obligation de
me fâcher !
– C’est pas juste.
– Ce n’est pas juste ? Ce n’est pas juste que je t’aie
donné une fessée ?
– Non, ça c’est… c’est d’accord.
– D’accord ou pas, tu sais que ce n’est pas toi qui décides
si tu as besoin d’une fessée ou non.
– Oui Madame, mais… »
Les gros yeux de Madame Caroni le décidèrent à prendre le
risque de parler.
« Il n’y a que moi qui reçoit la fessée. Ce n’est pas
juste !
– Comment ça, il n’y a que toi à qui je donne la
fessée ? A ton avis, Béatrice, Maïlis et Camille n’ont pas reçu de fessée
aujourd’hui ?
– Si j’ai bien entendu. Ce n’est pas d’eux dont je veux
parler.
– Ce que tu dis n’est pas très clair. Viens
ici ! »
Madame Caroni se doutait qu’il y avait anguille sous roche
et que ce que Benoît voulait dire ne pouvait pas sortir aisément. Il fallait le
rassurer, il serait toujours temps de le punir s’il se révélait que ce qu’il
avait à dire était de l’ordre du caprice. Elle l’attira vers elle, passant le
petit moment de résistance de Benoît qui eut peur de recevoir une nouvelle
fessée. Elle l’assit à califourchon sur ses genoux et elle lui releva le menton
afin qu’il la regarde droit dans les yeux.
« De qui veux-tu donc parler ?
– De… de Clémence.
– Clémence ?
– Oui. Elle n’a pas eu de fessée et ce n’est pas juste.
– Une fessée pour Clémence ? Il faudrait qu’elle l’ait
méritée. Selon toi, est-ce le cas ?
– Ben oui, elle fait comme moi !
– C'est-à-dire ?
– Elle rentre souvent plus tard que moi et quand elle est à
la maison, elle est tout le temps sur son téléphone.
– Ça, J’avais remarqué qu’elle y passait du temps.
– Pour ce qui est de rentrer tard, intervint Lorena, je peux
le confirmer. Je l’ai souvent croisée dans le hall de l’immeuble à plusieurs
reprises et à des heures tardives.
– Et elle ne fait rien d’autre que parler dans son téléphone.
Et elle vous a dit que je buvais trop. Ce n’est pas faux, mais je ne suis pas
le seul. A la maison, c’est elle qui boit le plus, moi c’est surtout en dehors
parce que je n’ai pas envie de rentrer le soir. Alors je vais au café,
retrouver les copains.
– Es-tu sûr de ce que tu avances ? Tu sais que si tu me
dis tout cela sans raison, je serai obligé de te punir et ce sera la plus
sévère des corrections que je t’ai données jusqu’à maintenant, sans compter le
traitement que je réserve aux petits menteurs. »
Benoît blêmit, mais il resta ferme dans ses déclarations.
« Si vous voulez, on peut monter voir. Je suis sûr que
dans la poubelle, vous allez trouver au moins deux bouteilles de whisky. Moi je
n’en bois pas du tout, je n’aime pas ça.
– Comment puis-je être certaine que ce n’est pas toi qui l’a
bu ? »
Benoît téléphona à un copain qui confirma à Madame Caroni
qu’il ne supportait pas le whisky et qu’il n’en buvait jamais. Madame Caroni
sentait qu’elle avait été manipulée. Non pas que les punitions qu’elle avait
administrées à Benoît avaient été injustifiées, cela aurait été très grave,
mais elle avait cru que Clémence était victime du comportement de son mari,
alors qu’elle ne se comportait pas mieux. Clémence avait réussi à lui
dissimuler ses turpitudes… mais cela n’avait pas duré longtemps. Deux jours,
mais cela faisait deux jours de trop. Il fallait y mettre bon ordre.
« Et puis…
– Et puis quoi ?
– Hier soir, après que vous soyez partie, elle s’est moqué
de moi pendant que j’étais au coin. Elle a dit que si je ne lui obéissais pas,
elle me ferait punir par vous quand elle le voudrait. »
Madame Caroni n’eut pas besoin de réfléchir très longtemps
avant prendre sa décision. Elle remit Benoît sur ses pieds, remonta son
pantalon de pyjama et elle le prit par la main.
« Tu viens avec moi ! »
Madame Caroni disposait d’une clé pour entrer dans l’appartement
de Benoît et Clémence, comme elle en avait une pour chaque demeure de chacun de
ses pupilles. Elle voulait y avoir accès sans être obligée de les prévenir de
son arrivée.
On entendait Clémence qui, dans sa chambre, parlait à une
personne qui devait être au téléphone. Madame Caroni fit un détour par la
cuisine. Les deux bouteilles vides de whisky dont Benoît avait parlé étaient
bien là. Les faits semblaient corroborer les déclarations que Benoît avait
faites. Madame Caroni marcha sur des chaussures qui avaient été abandonnées au
milieu du couloir. Il n’y avait pas de doute. Elles appartenaient à Clémence.
Madame Caroni entra dans la chambre sans s’annoncer.
Clémence était allongée sur son lit, toujours en chemise de nuit.
« Mais qu’est-ce que… »
Clémence rabattit sa chemise de nuit sur ses cuisses, ce qui
se révéla peu efficace. Même tirée vers le bas au maximum, le vêtement ne
couvrait que les fesses et ne descendait qu’au ras de celles-ci. Madame Caroni
lui prit le téléphone des mains. Elle coupa la communication.
« Attendez ! Que faites-vous ? Je… »
Clémence fut tirée de son lit sans ménagement. Madame Caroni
ne lui laissa pas le temps de mettre ses chaussons.
« Aïe ! Vous me faites mal ! »
Malgré les protestations de Clémence, Madame Caroni serra
encore plus fort le bras de la femme qu’elle propulsa en dehors de la chambre.
« Qu’est-ce que c’est que ça ? »
Le déplacement s’était arrêté là où avait atterri la
première chaussure.
« Ma chaussure. Et alors ?
– Que fait-elle dans jetée dans le couloir ? Est-ce sa
place ?
– Non, bien sûr, mais je ne vois pas en quoi cela vous
concerne. Pour commencer vous allez me rendre mon téléphone ! »
Sans répondre à la demande, Madame Caroni entraîna sa
voisine vers la cuisine. Celle-ci tenta bien de résister, mais la différence de
poids et de taille entre les deux femmes allait avec une différence de force.
Madame Caroni n’eut pas à s’employer beaucoup pour que Clémence fût obligée de
la suivre.
« Aïe, mon bras ! Vous me le broyez !
– Alors avance et ça n’arrivera pas ! »
Clémence trottinait sur la pointe des pieds à côté de Madame
Caroni qui l’amena devant la poubelle.
« Qu’est-ce que c’est que ça ?
– Des bouteilles, mais ça ne vous regarde pas ! Je fais
ce que je veux chez moi ! Ce n’est pas parce que je vous ai demandé de
punir mon mari que vous avez le droit de vous introduire chez moi.
– Et pour quelles raisons devais-je corriger votre
mari ?
– Il rentrait trop tard et il boit trop ! Lâchez-moi
maintenant !
– Vous estimez donc qu’une grande personne qui ne sait pas
limiter la quantité de boisson qu’elle ingère, mérite d’être punie. »
Clémence eut un petit temps d’hésitation. Elle voyait où sa
voisine voulait l’amener. Pouvait-elle reculer et revenir sur ses déclarations
antérieures ? Elle choisit de n’en rien faire.
« Bien sûr ! Je vous l’ai déjà dit !
– Et qui a bu ces deux bouteilles ?
– Je ne sais pas, sans doute Benoît !
– Benoît ne boit pas de whisky. Cela m’a été confirmé. Je
pense plutôt que c’est toi qui a vidé ces deux bouteilles. Certes, Benoît reconnait
boire plus que de raison, mais il semble qu’il n’est pas le seul.
– Hein ? Mais quoi…
– Je crois que c’est toi qui a consommé tout cet alcool.
– Mais pas du tout. Ça ne peut-être que Benoît ! Et de
toute façon je…
– Récapitulons : l’ingestion non contrôlée de boisson,
et, si j’en crois des témoignages concordants, des horaires de retour à la
maison très tardifs. Tout ce que tu reproches à Benoît, n’est-ce pas ?
– Euh… ou, mais je…
– Explique-moi pourquoi il n’y aurait que Benoît qui reçoive
la fessée pour ces écarts ? »
Les intentions de Madame Caroni étaient maintenant très
claires. Clémence cherchait désespérément comment se sortir de ce mauvais pas
avec le moins de dommages possibles. Il y avait une logique imparable dans le
raisonnement de Madame Caroni et la poigne de sa voisine ne faisait que
renforcer son inquiétude sur la suite des événements.
« C’est bien ce que je pensais, reprit Madame Caroni,
l’équité veut que si Benoît est puni pour une bêtise, tous ceux qui commettent
la même reçoivent la même punition. C’est tout à fait juste, n’est-ce
pas ?
– Mais je ne sais pas… je ne le ferai plus, et je…
– Nous sommes donc d’accord. Mais en ce qui te concerne, je
rajouterai un temps passé au téléphone qui dépasse le raisonnable et des
affaires que tu laisses traîner sans t’occuper de la gêne que cela procure à
ton entourage.
– Mais ce n’est pas moi qui…
– Ah oui, tu as raison. Il faut rajouter les mensonges. Je
les oubliais ! Tout cela nécessite une très sérieuse fessée. Je pense que
tu n’y vois pas d’objection.
– Mais vous n’avez pas le droit ! Je porterai plainte.
– Ah ? Finalement tu as des objections ? Tant pis,
ce sera la fessée tout de même ! »
Madame Caroni posa son pied sur la chaise de cuisine la plus
proche. Elle hissa Clémence à plat ventre en travers de sa cuisse qui
constituait maintenant une plateforme horizontale. Le mouvement avait été
soudain et Clémence, de peur de chuter en avant, étendit ses bras devant elle.
Cela dégagea les fesses. Madame Caroni en profita pour relever le bas de la
chemise de nuit sous laquelle Clémence ne portait pas de culotte. Une paire de
fesses blanches étaient maintenant à la vue de tous.
Jugeant la situation urgente, Clémence rabattit sa chemise
de nuit sur ses fesses. Madame Caroni saisit le bras qui venait d’entraver son
action et le replia dans le dos de Clémence, puis elle redécouvrit les fesses.
« Non, cria Clémence ! »
Elle tenta d’interposer son autre main, mais, serrée contre
le ventre de Madame Caroni, elle n’arrivait pas à mette son bras en arrière.
Elle était maintenant nichée dans le creux que formait la cuisse avec le buste
de Madame Caroni dont le bras posé sur le dos de Clémence tenait la main droite
et évitait que celle-ci ne se relève.
« Nous y sommes, conclut Madame Caroni en assénant une
formidable clause sur les fesses de Clémence. N’aies crainte, cela va être une
leçon profitable ! Zia Margherita se charge de corriger tes défauts ! »
La main tomba une deuxième fois, de l’autre côté, puis le
rythme fut pris : une fois d’un côté, une fois de l’autre et Madame Caroni
recommençait. Clémence prit appui sur le dossier de la chaise qui était presque
à sa portée, mais sa prise était trop inconfortable pour constituer un point
d’appui efficace. Il n’y avait pas d’autre endroit où elle pouvait se raccrocher.
Ses jambes pendaient dans le vide.
Tous ses muscles se raidissaient à chaque fois que Madame
Caroni appliquait la main sur ses fesses et Clémence protestait contre le
traitement qui lui était infligé. Cela ne dérangeait pas la poursuite de la
fessée.
Clémence aurait pu continuer comme cela pendant longtemps si
la cuisson sur ses fesses l’avait encouragée à trouver une autre parade pour
faire cesser la correction qu’elle recevait. Elle se mit à battre des pieds et
à amener ses pieds le plus loin possible sur ses fesses. Le bout de ses pieds
s’arrêtait à une dizaine de centimètres du bas de ses fesses. C’était
insuffisant pour éviter que main de Madame Caroni trouve son chemin, mais cela
n’était pas facilitant. Madame Caroni marqua une pause.
« Avec tout ce que tu as fait pour te dérober à la
fessée que tu as méritée, cela t’en vaudra une deuxième. Maintenant, si tu
persistes à me compliquer la tâche, tu seras punie jusqu’à ce soir !
Enlève tes jambes de là !
« Arrêtez, arrêtez, vous n’avez pas le droit !
– Bon, continuons ! »
La fessée reprit, tout aussi cuisante qu’avant, même si
Madame Caroni devait prendre quelques précautions pour éviter le bout des pieds
qui se tendaient vers les fesses. Madame Caroni fit une nouvelle pause, très
brève.
« Tu sais, Clémence, je n’arrêterai pas avant que tu
n’aies cessé de tenter de faire obstacle à ta fessée. Je pense que tu vas te
fatiguer avant moi. »
Fut-ce cette dernière promesse qui ramena Clémence à la
raison ? Fut-ce l’impossibilité de tenir cette position plus
longtemps ? Clémence laissa retomber ses jambes, reddition qui
s’accompagna d’un torrent de larmes qui ne cessa plus.
« Voilà ! Quand tu veux ! Mais trop tard pour
éviter d’être punie pendant toute la journée.
Clémence battait des pieds, mais cela n’avait plus rien à
voir. C’était la fournaise qui s’emparait peu à peu de ses fesses qui
provoquait cette gesticulation instinctive.
Vous avez loupé le début de l'histoire ?
Pas de problème, voici comment tout cela a commencé : le chapitre 1
... et ce qui s'est passé juste avant : le chapitre 23
On peut tous les retrouver sur la page "mes récits"
On peut tous les retrouver sur la page "mes récits"
Il y a une suite, bien sûr !
C'est le chapitre 25
Les commentaires...
Ils sont les bienvenus, voire un peu plus. Lâchez-vous ! Laissez-vous aller ! Exprimez-vous ! N'hésitez pas à dire ce que vous en pensez ! Bref, on attend vos contributions.
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