LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
UNE FESSEE LONGUE DUREE
Régine a ramené Gilbert dans le
salon et l'a remis à genoux au coin près de la fenêtre, déculotté, les fesses
tendues au maximum. Il y digère tant bien que mal sa première fessée. Il sait
que sa punition est loin d'être terminée et que son épouse a bien l'intention
de lui faire payer très cher son début d'aventure avec Bettina.
L'arrivée de Clarisse n'est pas faite pour le rassurer. Il entrevoie les deux femmes dans le reflet de
la fenêtre. Régine s’est levée, elle est en train de se masser doucement le
poignet. Comme toutes ces femmes adeptes d'une discipline stricte, quand on
fesse, on tape fort. Et elle a tapé fort.
Elle a la tête tournée vers Clarisse qui s'est plantée, dos tourné vers
la grande glace. Sans se préoccuper de quoi que ce soit, elle retrousse sa jupe
et dévoile totalement son fessier qu’elle observe,
cambrée, en regardant par-dessus son épaule.
“ Ah non
! quand même … Je trouvais que les fesses de Gilbert étaient presque aussi
rondes que les nôtres...mais pour ce qui est de la “surface corrigée”... nous,
c’est quand même autre chose ! Elle
ricane. Il n’y a pas photo ! et avec toi non plus ma chérie ! »
Et ce disant, elle s’administre elle-même, d’une main puis l’autre,
quelques claques sonores bien appliquées sur chaque fesse. Ce qui fait
beaucoup rire Régine qui tempère le propos de son amie.
– « On ne va tout de même pas se plaindre
d'avoir d'aussi solides postérieurs sous la main à la maison. Je me
demande même parfois si on n'a pas épousé nos chéris, en partie, parce qu'ils
ont des paires de fesses faites pour recevoir régulièrement la fessée.
-- C'est certain que question fessiers, on est
plutôt gâtées... on a de quoi s'occuper la main tous les jours. Les slips de
ces messieurs sont plutôt bien remplis ! »
Les deux femmes se sont
installées dans le canapé et discutent tranquillement de la qualité des
postérieurs de leurs maris et de leur aptitude à recevoir des fessées, comme
s'il s'agissait d'un sujet de conversation ordinaire. Les appréciations et
commentaires humiliants vont bon train. Clarisse
s'amuse à faire la comparaison entre le derrière de Gilbert complaisamment
exposé devant elle, et celui de son mari, bien qu'absent du débat. Les deux
fessiers font l'objet de toutes les attentions.
– « Il me semble que les fesses
de Douglas sont un peu plus proéminentes... Même si celles de Gilbert sont tout
aussi rondes et volumineuses... peut-être a-t-il la taille moins large
ou encore plus cambrée ?
Régine fine observatrice.
– « Les fesses de Gilbert me
paraissent mieux séparées l’une de l’autre … Elles ont
davantage d'épaisseur avec un raie plus profonde. La raie de Douglas, par
contre est plus resserrée et, j'ai remarqué quand tu le fesses, elle est
toujours en mouvement.
– Oui... mais bon, le plus important c'est
d'avoir à disposition des fessiers bien endurants,
pour être corrigés aussi souvent qu'on l'estime nécessaire ! »
Les deux amies se regardent un instant, les
yeux dans les yeux, sans rien dire, puis
éclatent de rire en même temps. Elles réalisent qu’elles
discutent des qualités fessières de leur mari comme s'il s'agissait de
n'importe quel objet d'utilisation ordinaire. Clarisse reprend son sérieux et demande.
– « On dirait que tu as retrouvé
un peu le moral. Je suis préfère te voir
comme ça. Tu vois, rien de tel que de flanquer une bonne fessée pour se
remettre en forme. Ça fait du bien et ça détend... Tu viens d'en mettre une
belle même, à voir la couleur des fesses de Gilbert ?
–
“
Ben oui ! évidemment ...et ça a claqué je peux te le dire !
– Finalement ...une belle grosse fessée
déculottée bien claquée … il n'y a rien de meilleur pour un recadrage efficace
!
– Oui, sauf qu'en l'occurrence, comme tu le
sais, le recadrage en question ne fait que commencer. A partir de maintenant,
le régime de monsieur, c'est la fessée matin et soir, pendant une semaine...
– Et je trouve qu'il s'en tire à bon compte.
L'infidélité, c'est grave tout de même. Ça serait moi, c'est pas une fessée
matin et soir que je lui flanquerais, mais, à chaque fois, une
séance de plusieurs fessées consécutives ! Et des sévères, c'est
moi qui te le dis !
– Mais, c'est bien mon intention. Gilbert a besoin d'être tenu. C'est
un impulsif, comme un gamin qui ne sait pas se contrôler. Il ne mesure pas les
conséquences de ses actes... la preuve avec l'histoire Bettina. Je ne peux pas
laisser passer ça.
– Tu as raison. Il lui faut un châtiment
exemplaire. Ça serait Douglas, je te garantis qu'il passerait ses journées les
fesses en feu sans discontinuer.
– Mais c'est ce que je vais faire. Gilbert a
besoin de savoir en permanence que s'il fait la moindre bêtise, à la moindre
faute ou désobéissance... c’est la fessée ! et la
vraie… pas pour faire semblant.
Alors après ce qu'il vient de me faire... »
Clarisse acquiesce évidemment et monte le ton
comme s'il s'agissait de son propre mari, qui doit entendre ses oreilles
siffler comme au temps des locomotives à vapeur.
– Ces bonshommes, tous pareils ! De bonnes
fessées déculottées... régulières, systématiques ! Voilà ce qu'il leur faut... Et quand une ne
suffit pas on en remet une autre, et encore, et encore...
Jusqu'à ce qu'ils marchent droit ! »
Gilbert toujours au coin près de la fenêtre, à
genoux fesses déployées, les entend discuter derrière lui. Leur conversation
lui fait froid dans le dos sans que cela atténue le moins du monde la cuisson
de ses fesses. Mais les deux amies se taisent
pendant quelques minutes. Il n’aime pas cela. Au moins pendant qu’elles
parlent, Régine ne pense pas à poursuivre sa correction … Il jette prudemment
un œil …Elles sont confortablement
affalées dans le canapé, jambes hauts croisées jusqu'aux jarretelles qu'il
aperçoit furtivement de sa position basse. Vu les circonstances, les
petits rubans de dentelles noire qui maintiennent impeccablement tendus, les
bas nylon sur les cuisses de ces Dames, ne l'émoustillent pas autant que
d'habitude. La conversation reprend et le cas Bettina arrive forcément en tête
de gondole. Encore une paire d'oreille
qui doit siffler en même temps, comme une cocotte-minute. Régine évidemment, en
premier lieu concernée, lui met son panier garni !
--« Bettina !! Ah celle-là ! Cette allumeuse,
perverse ! Elle est vicieuse ! Vicieuse...
Gilbert est trop faible, elle n'a pas dû mettre longtemps à l’embobiner…
– Tu as raison il faut s'en méfier... Même si
parfois... »
Juste à ce moment, Gladys sonne à son tour. Le
claquement d'une fessée en cours et les cris de la victime rendant la plupart
du temps la sonnette inaudible. L’habitude étant prise par les amies
intimes, elle entre directement sans attendre de réponse. Gilbert transpire dans ses petits souliers et
n'est nullement surpris que sa première remarque le concerne à la vue de ses
fesses rouges.
– « Hummm...
ça sent bon les fesses chaudes ici ! Je vois avec plaisir que Monsieur a
commencé sa punition. On dirait qu'il s'en est déjà pris une
bonne ! »
Régine s'est levée pour l’embrasser.
– « Oui comme tu vois...Première
fessée d’une longue série... Comme prévu... Il faut
qu'il paye !
– Evidemment... Tout va bien alors, j'étais
curieuse de savoir où tu en étais...
Clarisse fait remarquer avec justesses.
– « C'est important de se soutenir dans ce
genre de situation. Ça pourrait nous arriver aussi. »
Gilbert n’en mène pas large. Surtout qu'il sait
qu’en matière de fessées, elles en connaissent un rayon toutes les trois. L’arrivée de Gladys a modifié les conditions de
la discussion entre Régine et Clarisse. Une chaude, voire cuisante, atmosphère
de solidarité féminine se développe dans la pièce. Mais ces Dames ne veulent
pas troubler l'ordonnance des règlements de comptes du couple. Après avoir échangé quelques banalités, Clarisse
et Gladys, annoncent qu’elles doivent maintenant rentrer chez elles. Régine
proteste.
– « “ Ah non ! Vous n'allez pas partir !
Maintenant que je vais administrer à Gilbert la bonne fessée au martinet qu’il
mérite ! Une fessée c’est toujours plus efficace quand elle est donnée en public,
vous le savez bien ...Alors restez là toutes les deux et regardez bien comment il
va recevoir sa fessée au martinet. Comment je vais faire danser le gros
derrière tout rouge de ce coureur de jupons ! N'est-ce pas Gilbert chéri?
– Oui Régine... Oui, la fessée ...au martinet ! La bonne fessée au martinet... que j’ai.... méritée... tu vas me faire danser les fesses... je le sais bien... mon gros derrière tout rouge de mari infidèle ! »
Clarisse et Gladys
ne se font pas prier. Elles regardent Régine, interrogatives...
– « Quel comédien ce Walter !
Hypocrite avec ça !
– Oui, tu ne trouves pas qu'il en fait un peu
trop, Régine ?...
– Si, et je vais le calmer tout de
suite ! Puisque monsieur fait du
cinéma, après le documentaire... le grand film... Allez, Don Juan, arrive ici ! et en
vitesse ! »
D’un geste impératif elle
lui montre ses genoux en s’asseyant et en se calant bien sur la chaise à
fessées devant la grande glace près de la fenêtre. Chez chacune de ces Dames,
la chaise à fessées et la grande glace sont les accessoires indispensables
d'une bonne discipline domestique. Ils font partie des meubles.
Sur sa
lancée, l'épouse en regain de colère, et soucieuse des détails du rituel
de la fessée, commande à Gladys.
– « Tu veux mieux
ouvrir cette fenêtre, s’il te
plaît, le vent l’a à moitié refermée. Il faut que la fessée s’entende bien. Je
veux que tous les voisins, et tous ses copains sachent bien que ce mariolle est
en train de se prendre une bonne correction et qu’il chiale comme un gamin
quand il reçoit une fessée déculottée administrée par sa femme ! »
Gladys ne se fait pas
prier. Gilbert, dans la crainte de la nouvelle fessée qui l’attend s'est remis
à pleurnicher. Se hâtant pour s’installer en bonne position sur les genoux de
son épouse, il a quand même le temps d'apercevoir, à travers ses larmes, la
croupe rebondie, développés et tendue au maximum de Gladys, alors qu’elle se
penche par la fenêtre pour accrocher un volet que le vent a rabattu. Se
regardant dans la glace, mis en position
fessée sur les genoux, il croise le regard de
Clarisse brillant de joie mauvaise devant le spectacle offert par son
postérieur rouge de sa récente fessée et la vision du splendide fessier exposé
de Gladys, penchée à la fenêtre.
Régine, prend tout son temps. Elle veut donner à cette
fessée en public, le caractère solennel d'une sanction pour faute grave qui
doit servir de dure leçon au mari coupable d'infidélité notoire. La correction
doit être exemplaire. Gilbert attend docilement sa punition en gémissant sourdement. Ses fesses lui
cuisent encore de sa précédente fessée et il sait que la suivante va être
encore plus sévère.
Forte de son autorité et de sa situation dominante,
l'épouse vengeresse lui tapote le postérieur en lui ordonnant de mieux le
présenter.
– « Allez fainéant, tends-moi ce gros derrière... plus haut ! Il
me le faut, ferme et bien arrondi sous la main pour que la fessée soit
retentissante ! »
Gilbert fait de son mieux et creuse encore les reins en
poussant sur ses mains plaquées au sol, mais ne peut guère plus l’exposer. Il
vérifie dans la glace et voit un plantureux fessier bien fendu, rouge en
totalité, offert à la main claqueuse de sa femme...impossible de faire mieux.
Elle le centre encore sur ses genoux en remuant sur la chaise pour bien se caler dessus, Il faut une
position stable pour fesser à l'aise. Tout en continuant à lui donner de
petites claques sèches... petites par rapport à ce qu'il s’attend à recevoir,
mais néanmoins fermes qui, bien appliquées sur ses fesses cuisantes le font quand
même grimacer… elle annonce posément à ses amies attentives.
– « Avant sa fessée au martinet, je vais lui redonner une bonne fessée à
la main pour bien lui préparer le derrière...je trouve qu’il a perdu un peu en
cuisson depuis tout à l’heure...Qu’est-ce que vous pensez d'une belle petite
fessée supplémentaire ? »
Dans la pratique la notion de ''petite fessée'' n'existe
pas pour ces redoutables épouses. Et Clarisse, qui a fini par adhérer aux théories de
Bettina, abonde dans le sens d'une nouvelle fessée. En préliminaire à celle au martinet. Elle
argumente avec enthousiasme.
--« Mais bien sûr ! Il le faut ...Un homme adulte avec une bonne
paire de fesses comme celle-là il ne faut pas hésiter… les fessées ne sont jamais assez
sévères ! Sinon, “ils” s’en fichent et ton mari, il va en rigoler demain avec ses copains… Allez Régine, encore une fessée à la
main... Et une bonne ! Fesses bien rouges et qu’on l’entende bien
pleurer ! Après ça, la grosse fessée au martinet, le plus sévère possible,
longue et bien cinglante. Elle esquisse un petit sourire. Une bonne fessée, ça
ne dure jamais trop longtemps... Il faut que cela dure, pour qu’il s’en
souvienne ! »
Gladys approuve sans réserve.
--« Oui... Nous le savons toutes, avant le martinet, il
faut toujours une bonne fessée déculottée à la main … Comme Douglas, Stephen,
Walter, et mon mari, Gilbert a une solide paire de fesses, bien rondes et charnues. Elles
ont besoin d'être préparées et claquées comme il faut si tu veux que la fessée
au martinet soit bien efficace… Et cela lui apprendra à te respecter !... Après ce qu'il t'a
fait ! »
Régine regarde ses deux amies, avec un large sourire. Elle
tapote encore les fesses de son mari comme pour prendre de l'élan.
– « Je ne sais pas ce qu'en pense mon chéri, mais, nous sommes tout à fait d'accord »
Aussitôt une
giboulée de vigoureuses claques bruyantes tombe comme une averse sur les fesses
du puni. La « petite » fessée supplémentaire est encore plus sévère
que la précédente. En quelques secondes, tout le reste disparaît de sa cervelle, il ne peut même plus fermer la bouche
tellement il crie, et pleure... Ce n'est plus un adulte dans la force de l'âge
qui se tortille sur les cuisses de sa femme mais un garnement sévèrement
corrigé par sa maman en colère. Son fessier est en feu... Il ne voie plus que lui dans la glace… énorme … il n’y a plus que cela qui compte pour
lui. Son postérieur en souffrance et la fessée... Brusquement, l'épouse méthodique, change
d’allure. Sa main s’abat maintenant à toute force sur une fesse puis sur
l’autre, en laissant la paume appliquée à l’endroit claqué pendant quelques
secondes comme pour bien lui faire sentir la cuisson s’imprégner dans sa
peau... Puis une autre claque arrive à un endroit différent sans qu'il puisse
prévoir lequel et quelquefois c’est plusieurs fois de
suite au même endroit. Il s’étouffe en bavant, en avalant les larmes qui lui
coulent dans la bouche. Et la fessée redevient encore plus rapide, la main claquant toute la surface de son fessier sans ménager
le moindre espace.
Gladys est restée assise. Elle observe, sans en
perdre une miette, la magistrale correction
qu'’administre son amie Régine. Bien que la sachant tout aussi
intraitable avec la discipline que toutes ces femmes autoritaires de leur
entourage, elle ne la pensait pas aussi expérimentée au point d'afficher un tel
savoir-faire. La fessée menée à un train d'enfer est
réellement exemplaire.
Parfois, elle lui écarte les fesses d’une main
pour claquer l’intérieur de la raie, lui chauffer l’anus… Puis la fessée revient à un rythme “de
croisière”, fesse droite / fesse gauche, fesse droite / fesse gauche, et reprend une cadence
infernale... pour de nouveau ralentir et repartir encore en
accélération. Le malheureux époux complètement effondré n'offre plus aucune
résistance, si tenté qu'il en ait montré auparavant. Il ne sait plus où donner de la tête… ni du derrière. Il le sent son derrière,
et le voit bondir frénétiquement dans tous les sens. A droite, à gauche, se
gonflant, se rétractant, mais toujours présenté comme une cible charnue que
l'infernale épouse atteint à chaque fois, pleine fesse, exactement à l'endroit
où elle l'a décidé. Il la voit, à travers ses larmes, sourcils froncés, les yeux rivés sur ses fesses dont la
couleur resplendit d’un pourpre magnifique uniformément réparti
sur toute la vaste surface.
Gladys
toujours assise et Clarisse debout à côté d'elle, appuyée d'une main au dossier
de sa chaise, suivent le déroulement de la fessée avec un plaisir manifeste.
Solidaires de leur amie, elles vivent la punition du mari volage comme s'il
s'agissait de leur propre époux dans la même situation. Elles conviennent que
Régine a eu raison d'insister pour qu'elles restent, se demandant d'ailleurs
quelle curieuse idée elles avaient eue de vouloir partir. Elles sont en effet convaincues
depuis longtemps de la pleine efficacité des fessées administrées en publics et
celle dont elles se régalent se révèle un modèle du genre. Les cris et
claquement des fesses du puni en témoignent bruyamment.
Clarisse
encourage encore son amie.
–
« Bien Régine ! Allez-y. tapez
fort ! Une belle paire de fesses comme celle-là ça doit claquer sec !
–
Oui, c'est une fessée dont il doit se souvenir, insiste Gladys en croisant et
décroisant les jambes. Il la mérite et vous êtes en droit de le corriger
sévèrement !
–
Et c'est bien de le corriger en public, il vous a humiliée, à son tour
maintenant ; Fessée déculottée, postérieur corrigé bien en vue devant tout
le monde ! »
Stimulée par les exhortations
de ses deux amies, Régine passe la surmultipliée et termine la formidable
fessée de son chéri, en accélération, pied au plancher. Ou plus exactement la
main virevoltant d'une fesse à l'autre pour un éclatant feu d'artifice final. Elle juge alors la fessée à la main
suffisante pour passer à la séance de martinet. Elle le dégage de ses genoux et
de ses cuisses, les bas nylons trempés par sa transpiration, la sienne, et ses pleurs qui inondent tout. Sans
transition, elle lui ordonne de se mettre “en bonne position” sur la chaise ...et va
décrocher le martinet. A genoux par terre il frappe le sol avec ses mains en
suppliant. Gladys et Clarisse s'amusent au spectacle de ses grosses fesses écarlates tressautant en cadence.
– « S’il te plaît Régine... S'il te plaît... pas la fessée au
martinet... Pitié, tu m'as déjà bien corrigé... C'est trop, je ne sens plus mes
fesses !
– « Et bien justement, s'exclame Clarisse en
riant. Une bonne fessée au martinet et il va les sentir ses fesses !
Gladys surenchérit à plaisir. Le mari cavaleur doit prendre
sa raclée jusqu'au bout.
– Mais bien sûr qu'il va l'avoir sa fessée au
martinet ! Et une bonne en plus, bien cuisante ! N'est-ce pas Régine ?
– Certainement !... Monsieur n'a pas fini de payer ses
écarts de conduite » Dit-elle en revenant de la cuisine un verre
d'eau à la main, qu'elle boit d'un trait. La fessée ça donne soif quand ça
dure !
Clarisse s'amuse à mortifier le puni en insistant
lourdement.
– « Voilà, c'est ça une vraie fessée...
déculottée devant témoins... la main bien claquante sur les fesses ...et
après, avec un martinet qui enveloppe bien tout le derrière...pour moi c’est ce
que j'appelle une “bonne fessée déculottée”...Que le mari se sente vraiment
bien tenu en mains comme ça...comme un époux désobéissant qui ne mérite que
cela ! »
Après ces bonnes paroles pleines d'enthousiasme, elle se
rassied dans le canapé pour assister à la suite du programme. Régine, quant à
elle, reprend l'initiative, bien décidée à aller jusqu'au bout de la correction
prévue.
-- « Allez Gilbert, en position, sur ta chaise !
Dépêche-toi !
Il obéit et, le
pantalon sur les cheville, le slip tendu entre les cuisses il s'y installe
péniblement en pleurant et suppliant, les jambes coupées, sans force… les fesses pesant une tonne et brûlantes
comme un incendie de forêt.
– « Aller, aller, plus vite que ça ! Ça ne sert à rien de
traîner... de toute façon tu vas l'avoir ta raclée au martinet... Comme
prévu ! Elle
se tourne vers Clarisse et Gladys et leur lance un clin d'œil. Il faut que je la lui mette avant que
son postérieur refroidisse à nouveau ! »
Gilbert n'en peut plus.
Après ces trois fessées consécutives, il n'imagine pas comment ses
fesses en pleine cuisson, vont pouvoir en supporter une autre... qui plus est
au martinet. Agrippé au dossier de sa chaise comme à une bouée de
sauvetage, il trépigne d'appréhension en larmoyant, ses genoux s'entrechoquant
sur le siège. Son volumineux postérieur
écarlate tressaute au-dessus de son slip, se présentant, malgré lui, comme une
appétissante cible charnue, à nouveau prête à claquer. Avec une terrible crainte, il regarde par-dessus son épaule et voit son épouse, l'air
sévère, sourire aux lèvres sur ses dents serrées, se diriger vers lui le martinet à la main.
Il essaye sans espoir de la supplier.
-- « Non Régine, s'il te plaît... Pas le martinet …
Chérie, non, pas le martinet ! Je ne recommencerai pas ! »
Mais il savait que c’était peine perdue. Comme toutes ces
femmes à poigne, adepte d'une discipline de fer, Régine ne cédait jamais à une
demande de clémence et lui infligeait toujours le nombre de fessées prévu au tarif de ses
punitions. Trop d'insistance à réclamer un allègement de programme, était même
naturellement sanctionné par une fessée supplémentaire. Pratique courante chez
ces Dames autoritaires, peu sensibles à la flexibilité des mesures
disciplinaires.
Passant son bras autour de la taille de son mari Régine
voulut poser un pied sur la chaise pour le soulever et lui caler les fesses à
la bonne hauteur, mais sa jupe moulante qui lui serrait le postérieur,
l’empêchait de le faire ...Sans hésiter, elle retroussa cette jupe gênante sur
ses hanches pour officier en slip, toutes jarretelles dehors. Courbé en deux, la tête penchée vers le sol, Gilbert se
retrouve le visage près de ses fesses.
Clarisse et Gladys s’esclaffent.
– « Eh bien voilà, dit Clarisse, pour fesser à l'aise dans
certaines positions, il vaut mieux rester le derrière à l’air que serré dans
ces jupes ...Elles empêchent de bouger comme on veut ...tu vois
bien ! »
Gladys hilare.
– « Et le spectacle est encore meilleur, avec deux belles paires
de fesses à contempler. Une blanche et une rouge ! »
Régine ne répond pas … sinon d'une œillade aguichante. Elle tortille un peu du
derrière comme pour prendre de l'élan et, aussitôt, le martinet entre en
action, cinglant sans pitié les fesses resplendissantes du mari volage.
– « Alors, tu vois que j'avais raison de bien préparer tes
fesses. Maintenant elles vont profiter pleinement de la fessée au
martinet. »
Le claquement sec
des lanières retentit bruyamment sur son fessier, déjà si endolorie, qu'il ne peut que pleurer lamentablement.
– Raaaaaiiie ! Oui, chérie ! Oui !! mais
ça... ça fait maaaal ! Aaah ça cuiiiit !
– Mais bien sûr que ça cuit …la fessée au martinet ça
doit cuire... très fort ! »
Gilbert sait qu’il
est inutile de tenter quoique ce soit d’autre que de rester docilement calé
sous le bras de sa femme, le derrière bien présenté, et de prendre sa fessée
jusqu’à ce qu’elle décide d'y mettre fin. Après les trois précédente, celle-ci lui parait interminable, et quand enfin
elle s’arrête, il s’écroule par terre, les fesses éclatantes, à température
d'un four à chaleur tournante. Il l’entend alors lui commander d’aller dans la
chambre jusqu’à ce qu’elle le rappelle pour le dîner. Il monte l’escalier comme
dans un brouillard en se tenant le derrière à pleine mains pour l'empêcher de
tressauter, et se laisse tomber à plat ventre sur son lit sans pouvoir
s'arrêter de pleurer.
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 12
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, mais il faudra attendre la semaine prochaine.
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
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