mardi 31 décembre 2019

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 13

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

UNE  FESSEE LONGUE DUREE


Régine a ramené Gilbert dans le salon et l'a remis à genoux au coin près de la fenêtre, déculotté, les fesses tendues au maximum. Il y digère tant bien que mal sa première fessée. Il sait que sa punition est loin d'être terminée et que son épouse a bien l'intention de lui faire payer très cher son début d'aventure avec Bettina.
L'arrivée de Clarisse n'est pas faite pour le rassurer.  Il entrevoie les deux femmes dans le reflet de la fenêtre. Régine s’est levée, elle est en train de se masser doucement le poignet. Comme toutes ces femmes adeptes d'une discipline stricte, quand on fesse, on tape fort. Et elle a tapé fort.  Elle a la tête tournée vers Clarisse qui s'est plantée, dos tourné vers la grande glace. Sans se préoccuper de quoi que ce soit, elle retrousse sa jupe et dévoile totalement son fessier qu’elle observe, cambrée, en regardant par-dessus son épaule. 
 “ Ah non ! quand même … Je trouvais que les fesses de Gilbert étaient presque aussi rondes que les nôtres...mais pour ce qui est de la “surface corrigée”... nous, c’est quand même autre chose !  Elle ricane. Il n’y a pas photo ! et avec toi non plus ma chérie ! »
 Et ce disant, elle s’administre elle-même, d’une main puis l’autre, quelques claques sonores bien appliquées sur chaque fesse. Ce qui fait beaucoup rire Régine qui tempère le propos de son amie.
– « On ne va tout de même pas se plaindre d'avoir d'aussi solides postérieurs sous la main à la maison. Je me demande même parfois si on n'a pas épousé nos chéris, en partie, parce qu'ils ont des paires de fesses faites pour recevoir régulièrement la fessée.
­-- C'est certain que question fessiers, on est plutôt gâtées... on a de quoi s'occuper la main tous les jours. Les slips de ces messieurs sont plutôt bien remplis ! »

 Les deux femmes se sont installées dans le canapé et discutent tranquillement de la qualité des postérieurs de leurs maris et de leur aptitude à recevoir des fessées, comme s'il s'agissait d'un sujet de conversation ordinaire. Les appréciations et commentaires humiliants vont bon train. Clarisse s'amuse à faire la comparaison entre le derrière de Gilbert complaisamment exposé devant elle, et celui de son mari, bien qu'absent du débat. Les deux fessiers font l'objet de toutes les attentions.
« Il me semble que les fesses de Douglas sont un peu plus proéminentes... Même si celles de Gilbert sont tout aussi rondes et volumineuses... peut-être a-t-il la taille moins large ou encore plus cambrée ?
Régine fine observatrice.
« Les fesses de Gilbert me paraissent mieux séparées l’une de l’autre … Elles ont davantage d'épaisseur avec un raie plus profonde. La raie de Douglas, par contre est plus resserrée et, j'ai remarqué quand tu le fesses, elle est toujours en mouvement.
– Oui... mais bon, le plus important c'est d'avoir à disposition des fessiers bien endurants, pour être corrigés aussi souvent qu'on l'estime nécessaire ! »

Les deux amies se regardent un instant, les yeux dans les yeux, sans rien dire, puis   éclatent de rire en même temps. Elles réalisent qu’elles discutent des qualités fessières de leur mari comme s'il s'agissait de n'importe quel objet d'utilisation ordinaire. Clarisse reprend son sérieux et demande.
« On dirait que tu as retrouvé un peu le moral.  Je suis préfère te voir comme ça. Tu vois, rien de tel que de flanquer une bonne fessée pour se remettre en forme. Ça fait du bien et ça détend... Tu viens d'en mettre une belle même, à voir la couleur des fesses de Gilbert ?
  – “ Ben oui ! évidemment ...et ça a claqué je peux te le dire !
– Finalement ...une belle grosse fessée déculottée bien claquée … il n'y a rien de meilleur pour un recadrage efficace !
– Oui, sauf qu'en l'occurrence, comme tu le sais, le recadrage en question ne fait que commencer. A partir de maintenant, le régime de monsieur, c'est la fessée matin et soir, pendant une semaine...
– Et je trouve qu'il s'en tire à bon compte. L'infidélité, c'est grave tout de même. Ça serait moi, c'est pas une fessée matin et soir que je lui flanquerais, mais, à chaque fois, une séance de plusieurs fessées consécutives ! Et des sévères, c'est moi qui te le dis !
– Mais, c'est bien mon intention. Gilbert a besoin d'être tenu. C'est un impulsif, comme un gamin qui ne sait pas se contrôler. Il ne mesure pas les conséquences de ses actes... la preuve avec l'histoire Bettina. Je ne peux pas laisser passer ça. 
– Tu as raison. Il lui faut un châtiment exemplaire. Ça serait Douglas, je te garantis qu'il passerait ses journées les fesses en feu sans discontinuer.
– Mais c'est ce que je vais faire. Gilbert a besoin de savoir en permanence que s'il fait la moindre bêtise, à la moindre faute ou désobéissance... c’est la fessée ! et la vraiepas pour faire semblant. Alors après ce qu'il vient de me faire... »
Clarisse acquiesce évidemment et monte le ton comme s'il s'agissait de son propre mari, qui doit entendre ses oreilles siffler comme au temps des locomotives à vapeur.
– Ces bonshommes, tous pareils ! De bonnes fessées déculottées... régulières, systématiques !  Voilà ce qu'il leur faut... Et quand une ne suffit pas on en remet une autre, et encore, et encore... Jusqu'à ce qu'ils marchent droit ! »

Gilbert toujours au coin près de la fenêtre, à genoux fesses déployées, les entend discuter derrière lui. Leur conversation lui fait froid dans le dos sans que cela atténue le moins du monde la cuisson de ses fesses.  Mais les deux amies se taisent pendant quelques minutes. Il n’aime pas cela. Au moins pendant qu’elles parlent, Régine ne pense pas à poursuivre sa correction … Il jette prudemment un œil …Elles sont confortablement affalées dans le canapé, jambes hauts croisées jusqu'aux jarretelles qu'il aperçoit furtivement de sa position basse. Vu les circonstances, les petits rubans de dentelles noire qui maintiennent impeccablement tendus, les bas nylon sur les cuisses de ces Dames, ne l'émoustillent pas autant que d'habitude. La conversation reprend et le cas Bettina arrive forcément en tête de gondole.  Encore une paire d'oreille qui doit siffler en même temps, comme une cocotte-minute. Régine évidemment, en premier lieu concernée, lui met son panier garni !

--« Bettina !! Ah celle-là ! Cette allumeuse, perverse ! Elle est vicieuse ! Vicieuse...  Gilbert est trop faible, elle n'a pas mettre longtemps à l’embobiner…
– Tu as raison il faut s'en méfier... Même si parfois... »

Juste à ce moment, Gladys sonne à son tour. Le claquement d'une fessée en cours et les cris de la victime rendant la plupart du temps la sonnette inaudible. L’habitude étant prise par les amies intimes, elle entre directement sans attendre de réponse.  Gilbert transpire dans ses petits souliers et n'est nullement surpris que sa première remarque le concerne à la vue de ses fesses rouges. 
 – « Hummm... ça sent bon les fesses chaudes ici ! Je vois avec plaisir que Monsieur a commencé sa punition. On dirait qu'il s'en est déjà pris une bonne ! »
Régine s'est levée pour l’embrasser.
« Oui comme tu vois...Première fessée d’une longue série... Comme prévu... Il faut qu'il paye !
– Evidemment... Tout va bien alors, j'étais curieuse de savoir où tu en étais... 
Clarisse fait remarquer avec justesses.
– « C'est important de se soutenir dans ce genre de situation. Ça pourrait nous arriver aussi. »

Gilbert n’en mène pas large. Surtout qu'il sait qu’en matière de fessées, elles en connaissent un rayon toutes les trois. L’arrivée de Gladys a modifié les conditions de la discussion entre Régine et Clarisse. Une chaude, voire cuisante, atmosphère de solidarité féminine se développe dans la pièce. Mais ces Dames ne veulent pas troubler l'ordonnance des règlements de comptes du couple.  Après avoir échangé quelques banalités, Clarisse et Gladys, annoncent qu’elles doivent maintenant rentrer chez elles. Régine proteste.
– « “ Ah non ! Vous n'allez pas partir ! Maintenant que je vais administrer à Gilbert la bonne fessée au martinet qu’il mérite ! Une fessée c’est toujours plus efficace quand elle est donnée en public, vous le savez bien ...Alors restez là toutes les deux et regardez bien comment il va recevoir sa fessée au martinet. Comment je vais faire danser le gros derrière tout rouge de ce coureur de jupons ! N'est-ce pas Gilbert chéri?
  Oui Régine... Oui, la fessée ...au martinet ! La bonne fessée au martinet... que j’ai.... méritée... tu vas me faire danser les fesses... je le sais bien... mon gros derrière tout rouge de mari infidèle ! »
 Clarisse et Gladys ne se font pas prier. Elles regardent Régine, interrogatives...
– « Quel comédien ce Walter ! Hypocrite avec ça !
– Oui, tu ne trouves pas qu'il en fait un peu trop, Régine ?...
– Si, et je vais le calmer tout de suite !  Puisque monsieur fait du cinéma, après le documentaire... le grand film... Allez, Don Juan, arrive ici ! et en vitesse ! »

D’un geste impératif elle lui montre ses genoux en s’asseyant et en se calant bien sur la chaise à fessées devant la grande glace près de la fenêtre. Chez chacune de ces Dames, la chaise à fessées et la grande glace sont les accessoires indispensables d'une bonne discipline domestique. Ils font partie des meubles.
Sur sa lancée, l'épouse en regain de colère, et soucieuse des détails du rituel de la fessée, commande à Gladys.
– « Tu veux mieux ouvrir cette fenêtre, s’il te plaît, le vent l’a à moitié refermée. Il faut que la fessée s’entende bien. Je veux que tous les voisins, et tous ses copains sachent bien que ce mariolle est en train de se prendre une bonne correction et qu’il chiale comme un gamin quand il reçoit une fessée déculottée administrée par sa femme ! »

Gladys ne se fait pas prier. Gilbert, dans la crainte de la nouvelle fessée qui l’attend s'est remis à pleurnicher. Se hâtant pour s’installer en bonne position sur les genoux de son épouse, il a quand même le temps d'apercevoir, à travers ses larmes, la croupe rebondie, développés et tendue au maximum de Gladys, alors qu’elle se penche par la fenêtre pour accrocher un volet que le vent a rabattu. Se regardant dans la glace, mis en position fessée sur les genoux, il croise le regard de Clarisse brillant de joie mauvaise devant le spectacle offert par son postérieur rouge de sa récente fessée et la vision du splendide fessier exposé de Gladys, penchée à la fenêtre.

Régine, prend tout son temps. Elle veut donner à cette fessée en public, le caractère solennel d'une sanction pour faute grave qui doit servir de dure leçon au mari coupable d'infidélité notoire. La correction doit être exemplaire. Gilbert attend docilement sa punition en gémissant sourdement. Ses fesses lui cuisent encore de sa précédente fessée et il sait que la suivante va être encore plus sévère.

Forte de son autorité et de sa situation dominante, l'épouse vengeresse lui tapote le postérieur en lui ordonnant de mieux le présenter.
– « Allez fainéant, tends-moi ce gros derrière... plus haut ! Il me le faut, ferme et bien arrondi sous la main pour que la fessée soit retentissante ! »

Gilbert fait de son mieux et creuse encore les reins en poussant sur ses mains plaquées au sol, mais ne peut guère plus l’exposer. Il vérifie dans la glace et voit un plantureux fessier bien fendu, rouge en totalité, offert à la main claqueuse de sa femme...impossible de faire mieux. Elle le centre encore sur ses genoux en remuant sur la chaise pour bien se caler dessus, Il faut une position stable pour fesser à l'aise. Tout en continuant à lui donner de petites claques sèches... petites par rapport à ce qu'il s’attend à recevoir, mais néanmoins fermes qui, bien appliquées sur ses fesses cuisantes le font quand même grimacer… elle annonce posément à ses amies attentives.
– « Avant sa fessée au martinet, je vais lui redonner une bonne fessée à la main pour bien lui préparer le derrière...je trouve qu’il a perdu un peu en cuisson depuis tout à l’heure...Qu’est-ce que vous pensez d'une belle petite fessée supplémentaire ? »

Dans la pratique la notion de ''petite fessée'' n'existe pas pour ces redoutables épouses.  Et Clarisse, qui a fini par adhérer aux théories de Bettina, abonde dans le sens d'une nouvelle fessée. En préliminaire à celle au martinet. Elle argumente avec enthousiasme.

--« Mais bien sûr ! Il le faut ...Un homme adulte avec une bonne paire de fesses comme celle-là il ne faut pas hésiter… les fessées ne sont jamais assez sévères ! Sinon, “ils” s’en fichent et ton mari, il va en rigoler demain avec ses copains… Allez Régine, encore une fessée à la main... Et une bonne ! Fesses bien rouges et qu’on l’entende bien pleurer ! Après ça, la grosse fessée au martinet, le plus sévère possible, longue et bien cinglante. Elle esquisse un petit sourire. Une bonne fessée, ça ne dure jamais trop longtemps... Il faut que cela dure, pour qu’il s’en souvienne ! »

Gladys approuve sans réserve.
--« Oui... Nous le savons toutes, avant le martinet, il faut toujours une bonne fessée déculottée à la main … Comme Douglas, Stephen, Walter, et mon mari, Gilbert a une solide paire de fesses, bien rondes et charnues. Elles ont besoin d'être préparées et claquées comme il faut si tu veux que la fessée au martinet soit bien efficace… Et cela lui apprendra à te respecter !... Après ce qu'il t'a fait ! »


fessée déculottée en public



Régine regarde ses deux amies, avec un large sourire. Elle tapote encore les fesses de son mari comme pour prendre de l'élan.

– « Je ne sais pas ce qu'en pense mon chéri, mais, nous sommes tout à fait d'accord »

 Aussitôt une giboulée de vigoureuses claques bruyantes tombe comme une averse sur les fesses du puni. La « petite » fessée supplémentaire est encore plus sévère que la précédente. En quelques secondes, tout le reste disparaît de sa cervelle, il ne peut même plus fermer la bouche tellement il crie, et pleure... Ce n'est plus un adulte dans la force de l'âge qui se tortille sur les cuisses de sa femme mais un garnement sévèrement corrigé par sa maman en colère. Son fessier est en feu... Il ne voie plus que lui dans la glace… énorme … il n’y a plus que cela qui compte pour lui. Son postérieur en souffrance et la fessée... Brusquement, l'épouse méthodique, change d’allure. Sa main s’abat maintenant à toute force sur une fesse puis sur l’autre, en laissant la paume appliquée à l’endroit claqué pendant quelques secondes comme pour bien lui faire sentir la cuisson s’imprégner dans sa peau... Puis une autre claque arrive à un endroit différent sans qu'il puisse prévoir lequel et quelquefois c’est plusieurs fois de suite au même endroit. Il s’étouffe en bavant, en avalant les larmes qui lui coulent dans la bouche. Et la fessée redevient encore plus rapide, la main claquant toute la surface de son fessier sans ménager le moindre espace.

Gladys est restée assise. Elle observe, sans en perdre une miette, la magistrale correction qu'’administre son amie Régine. Bien que la sachant tout aussi intraitable avec la discipline que toutes ces femmes autoritaires de leur entourage, elle ne la pensait pas aussi expérimentée au point d'afficher un tel savoir-faire. La fessée menée à un train d'enfer est réellement exemplaire.

Parfois, elle lui écarte les fesses d’une main pour claquer l’intérieur de la raie, lui chauffer l’anus… Puis la fessée revient à un rythme “de croisière”, fesse droite / fesse gauche, fesse droite / fesse gauche, et reprend une cadence infernale... pour de nouveau ralentir et repartir encore en accélération. Le malheureux époux complètement effondré n'offre plus aucune résistance, si tenté qu'il en ait montré auparavant.  Il ne sait plus où donner de la tête… ni du derrière. Il le sent son derrière, et le voit bondir frénétiquement dans tous les sens. A droite, à gauche, se gonflant, se rétractant, mais toujours présenté comme une cible charnue que l'infernale épouse atteint à chaque fois, pleine fesse, exactement à l'endroit où elle l'a décidé. Il la voit, à travers ses larmes, sourcils froncés, les yeux rivés sur ses fesses dont la couleur resplendit d’un pourpre magnifique uniformément réparti sur toute la vaste surface.

Gladys toujours assise et Clarisse debout à côté d'elle, appuyée d'une main au dossier de sa chaise, suivent le déroulement de la fessée avec un plaisir manifeste. Solidaires de leur amie, elles vivent la punition du mari volage comme s'il s'agissait de leur propre époux dans la même situation. Elles conviennent que Régine a eu raison d'insister pour qu'elles restent, se demandant d'ailleurs quelle curieuse idée elles avaient eue de vouloir partir. Elles sont en effet convaincues depuis longtemps de la pleine efficacité des fessées administrées en publics et celle dont elles se régalent se révèle un modèle du genre. Les cris et claquement des fesses du puni en témoignent bruyamment.
Clarisse encourage encore son amie.
– « Bien Régine !  Allez-y. tapez fort ! Une belle paire de fesses comme celle-là ça doit claquer sec !
– Oui, c'est une fessée dont il doit se souvenir, insiste Gladys en croisant et décroisant les jambes. Il la mérite et vous êtes en droit de le corriger sévèrement !
– Et c'est bien de le corriger en public, il vous a humiliée, à son tour maintenant ; Fessée déculottée, postérieur corrigé bien en vue devant tout le monde ! »  

 Stimulée par les exhortations de ses deux amies, Régine passe la surmultipliée et termine la formidable fessée de son chéri, en accélération, pied au plancher. Ou plus exactement la main virevoltant d'une fesse à l'autre pour un éclatant feu d'artifice final.  Elle juge alors la fessée à la main suffisante pour passer à la séance de martinet. Elle le dégage de ses genoux et de ses cuisses, les bas nylons trempés par sa transpiration, la sienne, et ses pleurs qui inondent tout. Sans transition, elle lui ordonne de se mettre “en bonne position” sur la chaise ...et va décrocher le martinet. A genoux par terre il frappe le sol avec ses mains en suppliant. Gladys et Clarisse s'amusent au spectacle de ses grosses fesses écarlates tressautant en cadence.

– « S’il te plaît Régine... S'il te plaît... pas la fessée au martinet... Pitié, tu m'as déjà bien corrigé... C'est trop, je ne sens plus mes fesses !
– « Et bien justement, s'exclame Clarisse en riant. Une bonne fessée au martinet et il va les sentir ses fesses !


fessée au martinet


Gladys surenchérit à plaisir. Le mari cavaleur doit prendre sa raclée jusqu'au bout.
– Mais bien sûr qu'il va l'avoir sa fessée au martinet ! Et une bonne en plus, bien cuisante ! N'est-ce pas Régine ?
– Certainement !... Monsieur n'a pas fini de payer ses écarts de conduite » Dit-elle en revenant de la cuisine un verre d'eau à la main, qu'elle boit d'un trait. La fessée ça donne soif quand ça dure !
Clarisse s'amuse à mortifier le puni en insistant lourdement.
– « Voilà, c'est ça une vraie fessée... déculottée devant témoins... la main bien claquante sur les fesses ...et après, avec un martinet qui enveloppe bien tout le derrière...pour moi c’est ce que j'appelle une “bonne fessée déculottée”...Que le mari se sente vraiment bien tenu en mains comme ça...comme un époux désobéissant qui ne mérite que cela ! »

Après ces bonnes paroles pleines d'enthousiasme, elle se rassied dans le canapé pour assister à la suite du programme. Régine, quant à elle, reprend l'initiative, bien décidée à aller jusqu'au bout de la correction prévue.
­-- « Allez Gilbert, en position, sur ta chaise ! Dépêche-toi ! 
 Il obéit et, le pantalon sur les cheville, le slip tendu entre les cuisses il s'y installe péniblement en pleurant et suppliant, les jambes coupées, sans force… les fesses pesant une tonne et brûlantes comme un incendie de forêt. 
– « Aller, aller, plus vite que ça ! Ça ne sert à rien de traîner... de toute façon tu vas l'avoir ta raclée au martinet... Comme prévu ! Elle se tourne vers Clarisse et Gladys et leur lance un clin d'œil. Il faut que je la lui mette avant que son postérieur refroidisse à nouveau ! »

Gilbert n'en peut plus.  Après ces trois fessées consécutives, il n'imagine pas comment ses fesses en pleine cuisson, vont pouvoir en supporter une autre... qui plus est au martinet.  Agrippé au dossier de sa chaise comme à une bouée de sauvetage, il trépigne d'appréhension en larmoyant, ses genoux s'entrechoquant sur le siège.  Son volumineux postérieur écarlate tressaute au-dessus de son slip, se présentant, malgré lui, comme une appétissante cible charnue, à nouveau prête à claquer.  Avec une terrible crainte, il regarde par-dessus son épaule et voit son épouse, l'air sévère, sourire aux lèvres sur ses dents serrées, se diriger vers lui le martinet à la main. Il essaye sans espoir de la supplier.
­-- « Non Régine, s'il te plaît... Pas le martinet … Chérie, non, pas le martinet ! Je ne recommencerai pas ! »
Mais il savait que c’était peine perdue. Comme toutes ces femmes à poigne, adepte d'une discipline de fer, Régine ne cédait jamais à une demande de clémence et lui infligeait toujours le nombre de fessées prévu au tarif de ses punitions. Trop d'insistance à réclamer un allègement de programme, était même naturellement sanctionné par une fessée supplémentaire. Pratique courante chez ces Dames autoritaires, peu sensibles à la flexibilité des mesures disciplinaires.
Passant son bras autour de la taille de son mari Régine voulut poser un pied sur la chaise pour le soulever et lui caler les fesses à la bonne hauteur, mais sa jupe moulante qui lui serrait le postérieur, l’empêchait de le faire ...Sans hésiter, elle retroussa cette jupe gênante sur ses hanches pour officier en slip, toutes jarretelles dehors. Courbé en deux, la tête penchée vers le sol, Gilbert se retrouve le visage près de ses fesses.  Clarisse et Gladys s’esclaffent.
– « Eh bien voilà, dit Clarisse, pour fesser à l'aise dans certaines positions, il vaut mieux rester le derrière à l’air que serré dans ces jupes ...Elles empêchent de bouger comme on veut ...tu vois bien ! »
Gladys hilare.
– « Et le spectacle est encore meilleur, avec deux belles paires de fesses à contempler. Une blanche et une rouge ! »
Régine ne répond pas … sinon d'une œillade aguichante. Elle tortille un peu du derrière comme pour prendre de l'élan et, aussitôt, le martinet entre en action, cinglant sans pitié les fesses resplendissantes du mari volage.
– « Alors, tu vois que j'avais raison de bien préparer tes fesses. Maintenant elles vont profiter pleinement de la fessée au martinet. »
  Le claquement sec des lanières retentit bruyamment sur son fessier, déjà si endolorie, qu'il ne peut que pleurer lamentablement. 
– Raaaaaiiie ! Oui, chérie ! Oui !! mais ça... ça fait maaaal !  Aaah ça cuiiiit !
– Mais bien sûr que ça cuit …la fessée au martinet ça doit cuire... très fort ! »

 Gilbert sait qu’il est inutile de tenter quoique ce soit d’autre que de rester docilement calé sous le bras de sa femme, le derrière bien présenté, et de prendre sa fessée jusqu’à ce qu’elle décide d'y mettre fin. Après les trois précédente, celle-ci lui parait interminable, et quand enfin elle s’arrête, il s’écroule par terre, les fesses éclatantes, à température d'un four à chaleur tournante. Il l’entend alors lui commander d’aller dans la chambre jusqu’à ce qu’elle le rappelle pour le dîner. Il monte l’escalier comme dans un brouillard en se tenant le derrière à pleine mains pour l'empêcher de tressauter, et se laisse tomber à plat ventre sur son lit sans pouvoir s'arrêter de pleurer.



Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 12
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, mais il faudra attendre la semaine prochaine.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

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