Les résidents ont
tout loisir d’étudier soit avec des professeurs pour des séances de
perfectionnements soit seuls, dans leur chambre ou dans des salles réservées à
cet effet. L’établissement étant éloigné du centre-ville, les étudiants ne sont
pas tentés de sortir, car un couvre-feu leur est imposé. Le concierge veille à
ce que les consignes soient respectées et le pointage en présentiel est
impératif à l’entrée de l’école, par contre, certains élèves font le mur et se
permettent des libertés (pas vu, pas pris !).
Etant
dans l’établissement, hors période de cours, les internes peuvent faire du
sport, aller au foyer pour discuter, aller à la bibliothèque, etc.
Après les
heures de cours, ce sont les deux corpulentes religieuses polonaises qui font
leurs rondes pour s’assurer que tout va bien. Mère supérieure Jolanta O. et
Sœur Weronika S. conseillent certains, peuvent prodiguer des soins lorsque
l’infirmière n’est plus dans l’établissement, bref ! de vraies nounous
pour les étudiants en internat.
Côté
élèves, la vision est toute différente, car avoir la tête dans les livres et
les cahiers jusqu’au couché ne plait guère et les activités sont tout de même
assez limitées et les étudiants en font le tour rapidement et se lassent.
Certains recherchent d’autres choses à faire, et lorsqu’on a des jeunes gens
oisifs, ceux-ci sont tentés de faire des bêtises.
Suite à
un pari stupide entre copains, Yohan, dix-huit ans et Fabien, presque vingt ans,
deux étudiants de ma promotion, s’engagent dans une effraction du bureau de
Fabienne D., notre proviseure. D’autres étudiants vantent le caractère
inviolable et mystérieux du bureau tandis que d’autres pensent que tous les
verrous sont crochetables. Yohan et Fabien sont de l’avis que rien n’est
inviolable. Ils en profiteront pour fureter partout, car peut-être que des
dossiers seraient intéressants à consulter. Ça pourrait surement leur donner un
avantage sur les autres élèves.
Yohan et Fabien
sortent de leur bâtiment et décident d’explorer les environs pour repérer les
deux religieuses et le surveillant, car ce sont les seuls qui pourraient mettre
leur plan en échec. Le surveillant est paisiblement chez lui et les deux
religieuses sont dans une aile du bâtiment principal. La voie semble libre.
Pendant que Fabien crochète la serrure de l’entrée du bâtiment, Yohan fait le
guet, et quinze minutes plus tard, le barillet tourne enfin, laissant l’accès
libre à nos deux jeunes apprentis cambrioleurs.
Les deux
jeunes se retrouvent assez vite devant les bureaux de l’administration.
Confiants sur la procédure Fabien ouvre tour à tour le bureau de la secrétaire
de l’école et ils pénètrent enfin dans le bureau de la proviseure. Se mettant
au travail, ils ouvrent les tiroirs et les placards, regardent dans les
dossiers et prennent des photos des fichiers intéressants pour la suite de leur
scolarité. Leur recherche leur semble être une quête d’un trésor.
La soirée
avançant, Mère supérieure Jolanta O. se rend dans les divers bâtiments pour
contrôler que plus aucun étudiant ne s’y trouve et en cas de présence, de
renvoyer tout le monde dans leurs chambres. La religieuse aime que toutes les
activités soient minutées. Passé une certaine heure, la période de repos doit
être respectée et il serait hors de question de laisser les étudiants veiller
toute la nuit dans un bâtiment.
En
passant devant le bâtiment administration, Mère supérieure Jolanta O. voit des
rayons de lumière au second étage, ce qui correspondrait à l’emplacement du
bureau de la proviseure. N’écoutant que son courage, la religieuse fonce vers
le bâtiment du concierge, lui demande de l’accompagner et tous les deux se
rendent dans les étages de l’administration, là où ont été aperçus les rayons
de lumière, caractérisant un faisceau lumineux d’une lampe torche.
Les deux
adultes guettent la sortie des cambrioleurs, car ils ne savent pas que ce sont
des élèves qui se sont introduit dans le bureau. Le concierge en profite pour
appeler les gendarmes, au cas où !
Au moment
où Yohan et Fabien sortent du bureau et referment avec soin les différentes serrures
pour que leur larcin ne soit pas remarqué, ils remarquent trop tard que des
gendarmes sont à l’entrée du bâtiment, leur coupant de ce fait, toute axe de
replis. Affolés par la vue des forces de l’ordre, ils paniquent et tentent de
sortir par une des fenêtres du premier étage.
Au moment
de sauter par la fenêtre, le concierge éclaire le couloir et reconnait
instantanément les deux élèves de l’internat. Les appelant par leur nom, Yohan
et Fabien s’immobilisent car ils viennent de se faire prendre en flagrant délit
et ne pourront pas nier l’effraction. Abattus par leur échec, Yohan et Fabien
ne cherchent plus à fuir. Ils sont vite entourés par trois gendarmes, le
concierge et la Mère supérieure.
Menottés,
Yohan et Fabien sont emmenés à la gendarmerie pour y être interrogés.
Rapidement, l’arrestation des deux étudiants fait le tour des chambres des
garçons comme des filles. Certains n’en mènent pas large, car ils sont en
quelque sorte, complices de l’effraction en ayant participé à ce ridicule pari.
En
cellule, Yohan et Fabien réalisent l’aberration de leur acte, car ils prennent
conscience de la situation dans laquelle ils se sont fourrés. Hormis les
sévères remontées de bretelles de leurs parents et de la proviseure, ils
redoutent ce qui les attend devant le juge, car étant majeur, ils n’auront aucune
clémence et aucune circonstance atténuante.
Après une
journée passée à expliquer leur geste, Yohan et Fabien sont assistés par Maître
Virginie B., leur avocate commis d’office, pour leur défense, qui s’avèrera
très compliquée pour l’avocate car le dossier est clair et aucun recours ne
pourra être demandé. Les deux jeunes devraient avoir plusieurs mois de prison. Le
juge demande une comparution immédiate car aucun complément d’enquête n’est requis.
Les
parents de Yohan et Fabien plaident auprès de la proviseure Fabienne D. pour
une grâce de sa part. Ils savent que leurs fils ont fait une énorme bêtise,
mais ils risquent la prison et ça mettrait un terme à leurs études. Fabienne D.
leur explique que son bureau a été visité et tout a été fouillé et que c’est
inexcusable. Les parents de Yohan et Fabien le regrettent et promettent à la
proviseure d’accepter toutes punitions qui leur sera infligées, de plus, le
père de Yohan est entrepreneur et il pourrait réparer les dégâts causés et il
donnera une subvention à l’établissement. Fabienne D. se laisse faire par les
promesses financières faites mais elle doit, d’abord, évoquer les deux cas en
conseil de discipline, avec les autres professeurs, car en première séance, les
deux élèves ont été renvoyés de l’école.
Le jour
du second conseil de discipline, Fabienne D. évoque de nouveau le cas de Yohan
et Fabien, soulevant un tôlé chez les professeurs qui disent que leur cas a
déjà été statué mais Fabienne D. tente de les convaincre de leur donner une
seconde chance, car leurs notes sont correctes et cette exclusion risquerait de
nuire à leur avenir. En fait, Fabienne D. passe sous silence les accords de
subventions du père d’un des deux élèves, ne voulant pas passer pour une « gripsous »
devant ses professeurs, mais les subsides de l’éducation nationale sont telles
qu’un coup de pouce est bien appréciable.
Au terme
d’une heure de palabres, les professeurs acceptent finalement la réintégration
des deux élèves à la condition qu’ils soient sévèrement corrigés en public. Fabienne
D. leur promet un beau spectacle au centre de la cour devant tous les élèves et
professeurs réunis. Les jeunes recevront trente coups de martinet sur les
fesses et vingt sur le dos. De plus, ils resteront entièrement nus, un mois
complet, sans rentrer chez eux le weekend.
La
proviseure revient sur la plainte qu’elle a posée à la gendarmerie et de ce
fait, la procédure de passage au tribunal devient moins risquée pour les deux
jeunes adultes. Maître Virginie B. vient annoncer la bonne nouvelle à ses
clients, car ils ne risquent plus la prison.
Lors de
leur passage devant Madame la juge, les faits sont évoqués ainsi que le retrait
de la plainte de la part de la proviseure de Ste CROIX. N’ayant aucune idée de
la raison d’un tel revirement, Madame la juge ne conçoit pas de laisser partir
les deux jeunes sans qu’ils soient punis, car ils sont été pris en flagrant
délit et à lui seul, constitue une faute grave.
Le
jugement est que les deux jeunes recevront cinquante coups de canne sur les
fesses et sur les cuisses, entièrement nus, dans la cour de la gendarmerie et
ils seront libérés à l’issue de cette punition. Maître Virginie B. tente de
minorer la sentence, mais en vain. Madame la juge reste inflexible.
Interloqués, Yohan et Fabien n’osent pas protester, de peur d’aggraver leur
cas.
Ils sont
remis en cellule pour attendre leur punition. En attendant, les deux jeunes
passent leur visite médicale. Ils espèrent en secret que quelque chose viendra
leur sauver la mise.
Le Lieutenant
médecin Cindy B. les fait se mettre nus et les examine l’un après l’autre. Tout
d’abord avec des tests routiniers, puis elle les palpe consciencieusement et
intégralement pour s’assurer que la punition ne nuira pas à leur santé. Le
docteur termine par une palpation des testicules et de leur pénis qui ne tarde
pas à être en érection par ces multiples manipulations féminines.
Lieutenant médecin
Cindy B. se moquent d’eux en leur disant qu’être en érection lors de ce petit
examen est bien insignifiant car lorsqu’ils seront fessés à la canne et en
public, leur érection devrait être beaucoup plus intense, car très rare sont
ceux qui arrivent à se maitriser et la plupart éjaculent tant la douleur les
fait gigoter. Le public verra s’ils sont courageux ou pas ! Yohan et
Fabien sont à nouveau menottés et enfermés, nus, en cellule. Certains
gendarmes, des femmes surtout, passent devant leur cellule pour admirer leur
anatomie et en profiter pour se moquer d’eux.
Le
lendemain, les deux jeunes, rouges de honte, sont sortis de cellule, menottés
mains dans le dos et emmenés vers la cours de la gendarmerie où les attendent le
commandant et les gendarmes, le lieutenant médecin Cindy B., Madame la juge et Maître
Virginie B.
Le
commandant de l’escadron, Jean-Luc L., ordonne d’attacher les deux punis, penchés
en avant, les fesses bien offertes et les cuisses largement écartées. Les
femmes gendarmes se pressent pour être dans l’axe pour ne rien perdre du
spectacle et elles voient les deux paires de testicules pendantes.
Deux
femmes gendarmes assez sportives, le gendarme Emmanuelle G. et sa collègue le
gendarme Gwenola G. se munissent des cannes souples et se mettent en position
pour corriger les deux apprentis cambrioleurs. Le lieutenant médecin Cindy B. contrôle
la position des fesses, sans se priver de leur tâter la croupe, comme elle le
ferait à des chevaux, puis d’un geste rapide, leur retrousse le prépuce,
mettant leur gland à l’air, pour le plus grand bonheur des femmes présentes. Ce
touché intime provoque instantanément une belle érection chez les deux jeunes
mâles.
Lorsque
le Commandant Jean-Luc L. les autorise à corriger les deux jeunes hommes, elles
ne se font pas prier pour le faire. On peut entendre les claquements secs des
cannes sur la chair des deux garçons qui ne résistent qu’aux trois premières
cinglées, après quoi, ils crient puis hurlent de douleur. Les marques zèbrent
les fesses de traces bien rouges. Les punis gesticulent en tirant vainement sur
leurs solides liens. Entre deux hurlements, les garçons crient des pardons et
implorent de cesser leur punition, mais en vain, car personne n’aurait l’idée ne
venir interrompre la punition.
Lorsque
les vingt-cinq premier coups ont été donnés, le lieutenant médecin Cindy B.
ordonne une pause, pour laisser les garçons reprendre leur souffle et pour
qu’elle fasse un contrôle de leur pouls, tension et examen corporel. Les deux
garçons, en pleurs supplient le médecin d’abréger leur souffrance, car le bas
de leur corps est en feu. Le lieutenant médecin Cindy B. leur répond qu’il
fallait y réfléchir avant. L’examen est tout à fait correct et le lieutenant
médecin Cindy B. annonce que les deux punis peuvent recevoir la fin de leur
correction. Avant de repartir, le médecin dit à tout le monde que les deux
garçons ont une sacrée érection, mais cette réflexion qui se voulait humiliante
ne semble pas toucher les punis, car ils sont uniquement concentrés sur
l’intense douleur qu’ils ressentent, mais ces paroles provoquent l’hilarité
chez les spectateurs et surtout chez les spectatrices dont l’excitation est
quasiment à son paroxysme.
Faisant
son travail de la défense, Maître Virginie B. tente d’atténuer la peine de ses
clients en disant que leurs fesses sont déjà bien marquées et rouges et qu’on
pourrait s’arrêter là, car elle pense qu’ils ont compris la leçon et qu’ils ne
recommenceront pas, bien qu’au fond d’elle-même, elle est tout aussi ravie
d’assister à leur correction. Devant le refus du médecin, Maître Virginie B.
n’insiste pas et reprend sa place dans le public.
Les deux
femmes gendarmes reprennent les cinglées, en visant plus particulièrement les
cuisses des deux garçons, qui se démènent comme deux beaux diables, contractant
leurs muscles et gesticulant, ce qui fait balloter leurs testicules et leurs
pénis. Les hurlements sont à présents alternativement rauques et aigues et les
larmes coulent sans discontinuer. Certaines femmes gendarmes se moquent d’eux
en disant qu’ils émettent des cris de « gorets », jusqu’au moment où
à force de contractions et décontractions, comparable à une masturbation,
Fabien lâche des jets de sperme, faisant pouffer de rire l’assemblée et
certaines femmes trouvent même cette éjaculation totalement ridicule et
pitoyable, car les deux jeunes mâles n’ont absolument pas fait preuve de
courage. Yohan n’est pas loin de donner le même spectacle affligeant que son
ami.
Lorsque
les cinquante cinglées ont été données, les deux jeunes sont détachés et
relevés. Tout tremblant et couvert de sueur, ils sont menottés et ramenés à
l’infirmerie pour un dernier examen avant d’être remis à leurs parents. En
traversant la foule, ils entendent les moqueries des gendarmes sur l’état de
leurs fesses et de leurs cuisses et leur pénis dressé à l’extrême et gland
largement apparent.
A
l’infirmerie, les deux punis sont allongés et le lieutenant médecin Cindy B. les
enduit avec une crème apaisante, sous le regard attentif de Maître Virginie B.
qui a souhaité assister aux soins, surement pour continuer de se rincer l’œil,
car rien ne la retient dans les locaux de la gendarmerie. Le médecin leur
écarte largement les cuisses et étale consciencieusement la crème, même sur les
parties génitales qui n’ont pas été touchées par la canne, provoquant une
crispation de la part des deux étudiants.
Les
parents des deux garçons sont présents pour les récupérer. A peine les deux
cabrioleurs, encore nus, quittent l’infirmerie, qu’ils se précipitent dans les
bras de leurs parents en demandant pardon pour leur comportement inqualifiable.
Après quelques câlins réconfortants, leurs parents leur disent qu’ils n’en ont
pas fini avec les fessées, car dès la semaine prochaine, ils s’en prendront une
autre à Ste CROIX, en contrepartie de leur réintégration à l’école et après un
mois de nudité complète, ils pourront reprendre le cours de leur vie, le
psychique surement marqué à jamais par cet épisode humiliant et douloureux,
mais leur vie et leur comportement s’en trouveront nettement améliorés.
Sommairement
rhabillés et le bas du corps nu, les deux punis, les joues empourprées et tête
basse, rejoignent, avec leurs parents, le parking devant la gendarmerie devant
des passants médusés de ce spectacle singulier, montent et s’assoient avec
mille précautions dans la voiture de leurs parents et regagnent leur domicile.
Une série écrite par Elena
Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 22Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités
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Amis de la poésie et des boules en ballotage... Bonjour.
RépondreSupprimerBonjour Eléna... le retour.
Après une brève trêve des con-fesseurs, les "Rebelles" reviennent pour un cambriolage par effraction qui vaut son pesant de coups de triques. Johan et Fabien en prennent pour le grade des athlétiques gendarmettes qui semblent se faire un plaisir de leur faire fumer les fesses et balloter les boules!
Les réactions érectiles incontrôlées des punis "montent" en importance dans les descriptions des raclées dont les effets secondaires finissent par éclabousser le récit d'un réalisme liquide... A force de se faire sonner les cloches, les garçons finissent par un lâcher de balloches! Et ça plaît beaucoup à la gente féminine, qui s'en pourlèche les babines.
La morale est sauve mais pas pour tout le monde. La directrice Fabienne D, justicière en chef, ne s'embarrasse pas des principes qu'elle met en avant pour réclamer les mesures disciplinaires.
Madame récupère, très discrètement, un petit "dessous de table" en liquide après un chantage éhonté auprès des parents des cambrioleurs en herbe. Il n'y a pas de petits profits.
En voilà une qui mériterait aussi, de se retrouver nue au pilori dans la cour, fouettée par une horde d'étudiants post pubères, raides comme la justice, devant une foule vengeresse en délire !
Oula la! Ce coup ci , je n'en suis plus au dérapage ... c'est la tour de contrôle infernale qui ne répond plus!
je pars jusqu'à jeudi en stage de rééducation spirituelle dans un couvent du massif central...tenu par des soeurs fesseuses. ( après dérogation auprès des autorités religieuses) Question remise à niveau du fondement des choses, ça risque de chauffer et pas que les esprits!
Je ne donnerai plus de nouvelles sur le blog d'ici là ( ailleurs non plus d'ailleurs) .
Amicalement.
Ramina
Bonsoir Ramina,
SupprimerMes saynètes à l'école Sainte-Geneviève vous auraient-elles décidé à faire une retraite spirituelle dans quelques abbayes, entre méditation, prières et travail sur soi ?
Ca me rappelle les vacances d'été de 1974 dans le Puy-de-Dôme (pour ma santé) où nous avions visité le monastère de St-Nectaire dont les moines vivaient de la production et de la vente du fameux fromage du même nom. A cette époque, les églises restaient ouvertes à la visite pour les touristes et elles étaient un havre de fraicheur et de paix les jours de grande chaleur. Mais c'était une autre époque...
Bon séjour spirituel.
Amicalement. Peter.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerMerci pour ces commentaires pertinents et drôles à la fois. On en s'en lasse pas !
Espérons que ces soeurs seront clémentes avec vous ! Vous nous tiendrez au courant, à votre retour.
Amitiés.
Elena.
Bonjour Elena. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerIls s'en souviendront, nos deux lascars. Quelle plantureuse correction! Ah, ils ont assuré, bien malgré eux, le spectacle. Pour la plus grande joie de l'assistance et tout particulièrement de leurs camarades filles qui, une fois remontées dans leur dortoir, ne manqueront pas de se repasser encore la scène dans la tiédeur des draps.
Quant aux deux jeunes galopins, ils seront contraints de jouer les prolongations, à leur corps défendant, parce qu'on ne manquera pas, à un moment ou un autre, d'une façon ou d'une autre, de leur remettre le nez dans ce malencontreux souvenir.
Amicalement.
François
Bonjour François, Oui, un acte 2 est prévu, car la proviseure a décidé de les punir au sein de l'établissement, afin d'acter leur réintégration. Ils devront encore payer pour leur intrusion nocturne dans son bureau. Subir les conséquences de leurs actes. La première partie était située à la gendarmerie, mais la seconde sera située à Ste CROIX. Leurs camarades filles auront, une nouvelle fois, toutes latitude à se laisser aller à leur plaisir. Etant étudiante dans cette école, je serai spectatrice également. J'en suis déjà toute émoustillée.
SupprimerAmitiés.
Elena.