Une matinée de mauvaise humeur avait suffi. Ses bouderies lui avaient valu un avertissement de sa cheffe qui n’avait pas hésité, confrontée à une production médiocre, à sanctionner ce comportement inadapté par une fessée, administrée devant tout le monde. Marguerite n’avait pas protesté, bien que sa culotte ait été baissée. L’expérience, la sienne et celle de ses collègues, lui avait appris que cela entraînait une sanction plus importante.
Elle avait remisé sa fierté et
avait subi sa correction, assez modérée somme toute, sans montrer combien être
corrigée de la sorte la mortifiait. Elle avait eu tout le temps passé au coin
pour réfléchir aux conséquences : une fessée ce week-end. Elle avait
hésité à se rendre chez Teva le soir-même pour y subir la sanction qui l’attendait,
mais elle ne savait pas comment elle y serait reçue. Elle avait donc patienté
jusqu’au vendredi soir.
C’est Teva qui ouvrit la porte.
Elle la prit dans ses bras pour une longue étreinte.
« Comment va ma grande
fille ? Tu m’as manqué pendant une semaine.
– Bien ! Je suis contente
d’être de nouveau à la maison. »
Teva nota l’expression « à
la maison ». Si ce n’était pas un message que Marguerite lui faisait
passer, cela y ressemblait bigrement. Il fallait y réfléchir et en parler avec
Fara.
« Ta semaine s’est bien
passée ? »
L’air enjoué de Marguerite
disparut.
« Moyennement. »
Teva prit aussitôt un air
sérieux.
« Aurais-tu eu la
fessée ?
– Oui, dit piteusement Marguerite.
Mais une seule fois.
– Bon, nous réglerons cela après
manger. »
Marguerite s’assombrit.
« Préfèrerais-tu que nous
attendions demain ? Le plus vite ce sera fait, le mieux c’est, tu ne crois
pas ? Après on peut passer à autre chose.
– Oui, mais c’est obligé ?
– Marguerite, pas de comédie. Tu
sais que si tu reçois la fessée au travail, tu en as une autre à la maison. Je
veux que tu saches que je n’approuve pas tes comportements répréhensibles.
Qu’as-tu fait pour mériter cette fessée ? »
Marguerite dut raconter et
convenir que sa cheffe avait eu une bonne raison de sévir, et que donc la
fessée de ce soir était une obligation par laquelle il fallait passer. Elle
soupira, ce qui fit sourire Teva.
« Allez, ce n’est pas la mer
à boire. Une bonne fessée et on n’en parle plus. »
Marguerite faillit répliquer que
c’était facile de dire cela quand ce n’était pas ses fesses qui étaient en jeu.
Elle se retint avant de montrer son dépit. C’était un terrain dangereux.
« Va donc voir Maeva. Elle
n’a pas cessé de demander quand tu arrivais. »
Marguerite avait fait un pas dans
le couloir quand Teva la rattrapa d’une dernière phrase.
« Maeva a aussi fait une
bêtise au travail aujourd’hui. Comme toi, elle a été fessée. Vous subirez donc
votre punition toutes les deux ce soir. »
C’était une piètre consolation.
Maeva l’accueillit avec
enthousiasme. Leur joie fut un peu refroidie quand elles échangèrent sur la
fessée qui était au programme le soir-même. Leur moral remonta quand elles se
dirent que c’était la fin de la privation de téléphone portable.
« C’est quand exactement,
demanda Marguerite ?
– Je ne sais pas. Il faut demander
à Teva. »
Elles déboulèrent toutes deux
dans la cuisine.
« Teva, dis-nous quand on
pourra reprendre nos téléphones.
– Voyons voir, nous avions dit,
pour toutes les deux, que vous ne pourriez récupérer votre téléphone que samedi
soir. Il y a donc encore toute la journée de demain. Ce sera plus probablement
dimanche matin. La journée du samedi se finit quand on se couche et vous
n’aurez pas besoin du téléphone à ce moment-là.
– Teva, s'il te plait !
– Non, il n’en est pas
question !
– Mais Teva, c’est juste un jour.
– J’ai dit non ! Faut-il que
je l’explique avec ma main sur tes fesses ? »
La discussion s’arrêtait là.
Poursuivre, c’était prendre un risque sans aucune chance de faire revenir Teva
sur sa décision.
« D’ailleurs, il va être
l’heure du bain. Allez chercher Hélène. J’ai dit que je la préviendrai.
– Hélène, pensa Marguerite ?
Pour quoi faire ? »
Elle se garda de poser la
question tout haut.
« Filez toutes les deux. Je
fais couler le bain ! »
C’était le genre de consignes
auxquelles on obéissait d’abord. On réfléchissait ensuite. Hélène ouvrit la
porte toute de suite.
« Tiens, une visite des deux
demoiselles ! Bonjour, Marguerite, ça fait longtemps que je ne t’ai pas
vu. Tu m’as manqué. »
Marguerite rougit. Hélène lui
avait manqué également, mais elle n’osait pas le dire.
« Teva a dit que c’est
l’heure du bain. Tu dois venir, dit Maeva.
– Ah, c’est vrai. J’arrive tout
de suite. »
Teva était déjà dans la salle de
bain. L’eau coulait dans la baignoire.
« Venez-ici, les filles, je
vous attends ! »
Teva achevait de déshabiller
Moana.
« Hélène arrive ?
– Je suis là, dit cette dernière
en entrant dans la salle de bain. »
Moana était maintenant dans
l’eau.
« Les grandes viennent avec
moi ?
– Bien sûr, comme
d’habitude ! »
Elle rapprocha Maeva et commença
à la déshabiller.
« Moana se fait une fête à
chaque fois qu’elle prend son bain avec ses deux grandes sœurs. »
Maeva attendait que Teva lui ôte
ses vêtements un par un. Elle y semblait indifférente, sans doute habituée par
un bain quotidien. Marguerite appréhendait toujours ce moment. Elle ne pouvait
complètement mettre sa pudeur de côté. Chaque nouveauté introduisait un facteur
de gêne supplémentaire.
La présence d’Hélène la mettait
mal-à-l’aise. Certes, cette dernière avait vu ses fesses, son pubis et ses
jambes nues, el y avait même touché quand il avait fallu donner la fessée, mais
jamais elle ne s’était trouvée totalement déshabillée en sa présence. Teva,
Fara, Moana, Maeva, cela faisait quatre personnes en présence desquelles elle
avait été dénudée. Faudrait-il y rajouter Hélène ? C’était plus que
probable puisque Hélène ne semblait pas vouloir quitter la pièce. Cela
n’enthousiasmait pas Marguerite qui avait toujours autant de mal avec sa
nudité.
« Je fais pourtant un stage
intensif chez Teva, pensa-t-elle ! »
Elle garda cette remarque
ironique pour elle.
« Veux-tu que je déshabille
la troisième ?
– Si tu le veux bien. Cela
m’avancera.
– Avec plaisir ! »
Sans plus de cérémonie, Hélène
entreprit d’ôter les vêtements de Marguerite. Cela se fit sans difficulté, sauf
au moment de baisser la culotte, le dernier rempart à sa pudeur qu’il restait à
Marguerite. Elle serra les jambes, ce qui empêcha la culotte de glisser
facilement. Une claque sur le haut de la cuisse la rappela à l’ordre.
« Veux-tu bien me laisser
faire ! Qu’est-ce que c’est que cette comédie ? Te faut-il une fessée
pour être plus sage ? »
Marguerite renonça à résister.
Hélène avait visiblement toute latitude pour la déshabiller comme elle le
jugeait bon. Et c’est d’une petite claque sur les fesses qu’elle fut invitée à
monter dans la baignoire. Teva acheva la toilette de Moana. Selon ses
habitudes, elle s’empara de Maeva.
« Je peux laver la
troisième !
– Je t’en prie. De toute façon,
il faudra qu’elle y passe ! Tu devrais bien y réussir.
– Je crois bien, dit Hélène en
souriant. Quand il ne reste plus qu’à laver une petite fille, même si elle est
assez grande, cela ne devrait pas me poser de difficulté insurmontable. Sauf si
elle y met de la mauvaise volonté comme quand je l’ai déshabillée. Rien qu’une
bonne fessée ne puisse résoudre ! »
Le regard assuré d’Hélène ne
laissait aucun choix à Marguerite. Assurément, c’était elle qui ferait sa
toilette. Marguerite ferma les yeux quand la toilette amena Hélène à laver ses
seins, ses fesses et son pubis. Elle était à la fois ferme et douce. Ce fut
pareil lors du séchage.
« Embarrassant, mais pas
désagréable. Et je me sens toute propre, en conclut Marguerite, une fois
qu’Hélène lui eut passé sa chemise de nuit et qu’elle eut le droit à un bref
câlin dans ses bras ! »
A la grande surprise de Marguerite,
Hélène partagea leur repas. En quelques jours, elle était devenue une intime de
la maison. Elle était donc encore là quand Teva ordonna :
« Les deux grandes, allez
vous mettre au coin pour attendre votre fessée ! »
Maeva et Marguerite se
regardèrent, mais il n’y avait rien d’autre à faire que d’obéir. L’attente ne
dura pas bien longtemps.
« Laisse Fara, tu peux
continuer ! Je me charge de la fessée des deux gamines ! Hélène va me
donner un coup de main !
– Bien volontiers, répondit
celle-ci. Si tu le veux bien, je prendrai Marguerite.
– Je ne sais pas pourquoi, dit
malicieusement Teva, mais j’aurais parié que c’est elle que tu choisirais.
– Je l’ai déshabillée, lavée,
mise en chemise de nuit, autant que je finisse le cycle.
– Va pour Marguerite, conclut
Teva. Les filles, venez-ici, c’est l’heure ! »
Ce sont deux demoiselles penaudes
qui se présentèrent devant Teva.
« Va voir Hélène, c’est elle
qui te donne la fessée. Tu lui expliqueras ce que tu as fait et tu lui donneras
la lettre à signer. Je m’expliquerai avec elle. »
Marguerite se tourna vers Hélène.
« Explique-moi ce que tu as
fait, que je t’en punisse. »
Marguerite raconta de nouveau son
histoire.
« Mais je ne faisais pas la
tête, pas vraiment…
– Est-ce que je dois rajouter
« mensonge » à ce qui t’est déjà reproché ?
– Non Hélène.
– Alors ?
– C’est vrai que je n’étais pas
très contente. Je voulais venir ici, mais je ne savais pas si j’avais le droit.
– Nous reparlerons de cela plus
tard. Qu’en est-il du travail mal fait ?
– Il y avait quatre erreurs dans
ce que j’ai écrit.
– Est-ce que la fessée que t’a
donnée ta cheffe de bureau t’a fait réfléchir ?
– Oui Hélène. Je ne recommencerai
pas.
– Disons plutôt que si tu
recommences, je te donnerai une fessée plus sévère. La règle avec laquelle tu
as fait connaissance la semaine dernière, peut-être ? Viens
ici ! »
Hélène désignait ses genoux. Marguerite,
guidée par une main ferme, s’y allongea.
« Je n’aime pas quand elle
me gronde, songea Marguerite. C’est comme avec Teva ! »
Teva avait attendu qu’Hélène ait
fini de gronder Marguerite. En ce qui concernait Maeva, elle l’avait déjà fait
quand elle était rentrée du travail, la lettre de réprimande à la main. Les
deux fesseuses se regardèrent et commencèrent la correction en même temps.
Hélène se sentait utile dans ce
nouveau rôle. Cela ne faisait qu’une semaine qu’elle avait administré sa
première fessée, à Marguerite, et elle savait qu’elle effectuait une œuvre indispensable
auprès de la jeune femme qui gisait sur ses genoux, en réagissant par un cri à
chacune des claques qu’elle lui donnait.
Elle s’efforçait de marquer les
fesses de l’empreinte de sa main, mais encore plus de marquer l’esprit de Marguerite
de sa réprobation et de celle des grandes personnes présentes. Il lui semblait
agir pour le bien de cette jeune femme pour qui elle ressentait une tendresse
toute maternelle, mais également pour le bien commun afin d’éradiquer, chez
cette jeune adulte, les façons et attitudes qui nuisaient au comportement qu’on
aurait pu attendre d’une jeune adulte de plus de trente ans.
« Elle agit sans réfléchir,
comme une petite fille. Il est nécessaire, tant qu’elle fera ainsi, de lui
inculquer le sentiment qu’elle s’est mal comportée. C’est là que j’interviens.
Moi… et les autres. »
Elle aurait volontiers joué un
rôle plus important dans l’éducation de Marguerite. L’aveu de la jeune femme
qui, bien qu’y recevant régulièrement la fessée, se languissait de ne pas
pouvoir venir se mettre sous l’autorité de Teva, l’avait troublée.
« Chez Teva, c’est
difficile. Depuis que Maeva y demeure de façon permanente, ils sont un peu à
l’étroit. Et pourquoi ne pourrait-elle pas venir habiter chez moi ? J’ai
une chambre pour elle de disponible et je saurai m’occuper d’elle. Il faut que
j’y réfléchisse. »
Elle revint à des préoccupations
plus immédiates.
« Suis-je assez
sévère ? »
Il lui sembla que Teva y mettait
un peu plus d’énergie qu’elle, ce qui se voyait dans les réactions de Maeva qui
étaient plus vives que celles de Marguerite. Elle redoubla d’effort,
concentrant son attention sur le geste qu’effectuait son bras afin que sa main
arrive sur les fesses avec le maximum de vitesse.
Les cris de Marguerite,
immédiatement, montèrent dans l’aigu et ce sont des sanglots qui sortirent de
sa gorge.
« Nous y voilà, se dit
Hélène ! »
Elle se concentra pour garder ce
rythme aussi longtemps que possible. Il était évident que Marguerite, comme
Maeva, réagissaient positivement au régime qui leur était imposé. Il
correspondait à un besoin profond, qui, certes, n’était plus de leur âge, mais
n’en constituait pas moins une nécessité héritée d’un manque remontant probablement
à l’enfance.
Hélène sentait que Marguerite,
après s’en être remise à Teva pour décider de tous les aspects de sa vie,
comptait également sur Hélène pour lui inculquer des repères incontestables, ce
qu’elle n’avait pas su faire elle-même. Hélène s’en sentait les épaules assez
larges.
Les gesticulations de Marguerite
sur ses genoux l’avaient faite glisser un peu. Passant un bras entre dans l’entrejambe
de la jeune femme, et glissant sa main sous son bas-ventre, Hélène la replaça. Elle
s’interrogea un instant sur le geste qu’elle avait fait naturellement. Il
l’avait amené à passer sa main sur le pubis de Marguerite. Elle rejeta l’idée
que cela pouvait avoir une connotation sexuelle.
« Pas plus que quand je l’ai
lavée. »
Le geste d’une Maman prenant soin
de sa grande fille. Cela supposait d’avoir accès à toutes les parties de son
corps, les plus intimes comprises. Elle posa sa main gauche contre le flanc de
sa punie pour la maintenir mieux en place et elle reprit la fessée.
Il fallait savoir finir une
fessée. Il est un moment où les fesses ayant absorbé leur dose de cuisson, il
est inutile d’aller plus loin, sauf à recourir à un instrument punitif qui en
renforce l’action, ou il faut changer de terrain d’application de la fessée,
les cuisses, par exemple. Mais il fallait le réserver aux fessées rigoureuses.
Celle-ci ne nécessitait pas de recourir à de tels expédients.
Elle interrogea Teva du regard.
Un hochement de tête suffit à se comprendre. Elles stoppèrent les deux fessées
en même temps.
Avant d’aller au coin, Marguerite
dut aller chercher le courrier de sa cheffe.
« Va te mettre au coin, je
vais prendre le temps de le lire. »
Les deux jeunes femmes se
préparèrent au long temps de pénitence qui les attendait. Il fallait tout
d’abord observer le silence requis, mais cela était assez aisé, compte tenu de
leur expérience. Quelques dizaines de secondes et Teva et Hélène disposaient de
deux grandes filles, immobiles et silencieuses, leur tournant le dos, soulevant
l’arrière de leur chemise de nuit, laissant admirer la belle couleur rouge
qu’elles avaient prises leurs fesses dans l’exercice.
Teva et Hélène poursuivirent leur
discussion au sujet de la fessée. Les deux grandes filles, leurs bêtises et les
punitions qui en avaient découlées étaient au centre des anecdotes dont elles
faisaient part. Elles renforçaient l’une l’autre la nécessité d’être sévère et
de ne rien laisser passer. Hélène défendit l’intérêt de la mise au coin sur le
palier. Teva vanta l’efficacité du martinet quand Hélène lui proposa d’essayer
un jour la règle. Toutes deux s’accordaient pour défendre la fessée immédiate
quand un écart était commis. La présence de témoins ne saurait être une raison
suffisante pour en différer l’administration. Dans l’ensemble, elles convinrent
de leur accord sur ces sujets.
Le rituel immuable suivit son
cours. Ce n’est qu’après quarante-cinq minutes de pénitence que les deux filles
furent autorisées à quitter le coin.
« A leur âge, déclara Teva,
c’est le moins ! »
Elles furent invitées à présenter
leur repentir et à demander pardon. Chacune le fit à sa fesseuse sur les genoux
desquelles elles finirent après la promesse d’une fessée plus sévère en cas de
récidive. Hélène signa la lettre pour la cheffe de bureau. Les câlins durèrent
jusqu’à l’heure du coucher.
C’est donc naturellement Hélène
qui mit Marguerite au lit. L’une comme l’autre apprécièrent ce moment. Teva se
réjouissait du rôle de plus en plus important que prenait Hélène dans
l’éducation de ses deux grandes filles. Elle voyait d’un bon œil se tisser
cette relation privilégiée entre Marguerite et Hélène. Elle commençait à penser
que c’était une chose dont sa grande fille avait besoin.
Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose
Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre 98, de sa sœur si sévère.Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé
Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 27
Mais, ce n'est pas fini
Y a-t-il une suite ? Bien sûr, c'est le chapitre 29
Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !
Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.