LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
LE PRIX DU CHANTAGE, DOUGLAS SUR LE GRILL.
Pendant que Robin mettait en œuvre son plan machiavélique pour faire punir
son beau-père avec un nouveau martinet, Rodolphe contrarié que son ami
ait refusé son aide, était reparti chez lui en maugréant, les mains rageusement
enfoncées dans ses poches. Persuadé d'être toujours plus malin que les autres
malgré les nombreux déboires que ses combines douteuses lui valaient assez
régulièrement, il avait du mal à accepter qu'on puisse avoir de meilleures
idées que lui.
Il était dix-huit heures, à peine passées de cinq minutes
et, à sa grande surprise, Douglas était déjà rentré. Lui qui, d'habitude était
beaucoup plus tardif dans ses retours du bureau. Il devait y avoir une bonne raison pour qu'il
soit là si tôt et Clarisse, comme d’habitude, avait dû employer des arguments
convaincants. Il lisait un journal sur
la table de la cuisine, devant des légumes qu'il avait commencé à éplucher.
Oignons, carottes, à côté d'un grand plat à Gigot.
Rodolphe n'aimait pas trop se trouver seul en compagnie de
son beau-père, il s'assit cependant en face de lui. Ce n'est pas qu'il
ait eu quoi que ce soit à craindre, Clarisse se chargeant de la discipline dans
la maison, lui interdisait formellement de lever la main sur ses fesses. Selon une hiérarchie bien
établie, elle s'en réservait l'usage exclusif. Sauf, bien entendu pendant les séances de fessées organisées avec
Gladys, Edwige, Thérez et, plus récemment, Régine, où l'on échangeait
volontiers les paires de fesses à corriger.
Avant que le jeune homme n'ouvre la bouche, Douglas, répond
à la question qu'il ne lui a pas encore été posée,
– « Ta mère m'a demandé de préparer le gigot d'agneau pour
ce soir, dit-il d'un ton désabusé, sans lever la tête de son journal....
Alors... je prépare. »
Rodolphe, profitant d'une provisoire impunité
disciplinaire, répond avec ironie.
– « Pour le moment vous n'avez pas l'air de préparer grand-chose. Si vous
continuez à lire le journal,
vous n'allez pas avancer des tonnes !
– « T'es un petit rigolo toi hein ! Répond Douglas en ricanant. Mais tu fais
moins le malin quand ta mère est là !
Le garçon ne se démonte pas et réplique, goguenard.
-- Peut-être, mais en attendant, à l'allure où vous allez,
le dîner ne sera pas prêt et je connais une paire de fesses qui risquent de
cuire bien plus vite que le gigot. Sûr, quand maman va rentrer... Elle va
vous en mettre une... Et une bonne !
– C'est vrai, tu sais de quoi tu parles toi... ça t'arrive
tellement souvent ! T'es un habitué de la déculottée !
– Ah mais Douglas, moi ce que j'en dis...c'est pour vous
éviter une raclée.
– Ah oui, vraiment ? J'ai du mal à te croire, figure
toi. Autant que je sache, c'est pas vraiment ton genre.
– Ben oui ! Vous avez vu l'heure qu'il est ?
Douglas jette un œil à la pendule de la cuisine, et se rend
compte qu'effectivement il n'a pas fait attention à l'heure. Du coup il perd de
sa superbe.
– « Oh la la oui, tu as raison mon
garçon ! »
Il replie précipitamment son journal et s'empresse de finir
d'éplucher les oignons. Les yeux
commencent à piquer lorsque son portable vibre sur la table. Sur
l'écran, le prénom : ''Clarisse'' s'affiche en haut d'une photo. Elle est
assise sur un tabouret, la jupe relevée sur ses cuisses qu'elle désigne d'un doigt
autoritaire, indiquant la position à prendre pour recevoir une fessée. C'est
une ligne dont elle seule a le numéro, qu'elle utilise pour communiquer
directement avec son mari. Le signal sonore le fait souvent sursauter car c'est
presque systématiquement l'annonce d'une fessée à venir. Le message est sans
équivoque, comme d'habitude.
'' Je suis avec Régine. Il paraît que tu étais au
courant de la liaison de son mari avec Bettina. Il va falloir que tu t'expliques.
Prépare tes fesses, j'arrive dans une demie heure.''
Rodolphe penché par-dessus son épaule, a lu le message en même
temps que lui. L'air triomphant d'avoir eu raison, il s'exclame.
– « Voyez... qu'est que ce je disais... Le dîner n'est pas prêt,
avec en plus de ça, des vilaines cachotteries... Elle va vous dérouiller mon
vieux ! »
Douglas ne répond rien et se met fébrilement à finir de
préparer le gigot. Huile, oignons, rondelles de carottes avec du vin, des
herbes de Provence et... Qu'est-ce qu'on met d'autre dans une
marinade ?... Il ne sait plus et laisse comme ça. De toute façon, ça ne va
pas mariner longtemps et en l'occurrence c'est plutôt lui qui est en train de mariner.
Comme pour solliciter son aide, il jette un regard pathétique en direction de Rodolphe qui lui répond
par un petit sourire faussement navré. Assez malin pour s'attirer les bonnes
grâces du beau-père et connaissant l'effet des raclées que sa mère administre
pour en recevoir régulièrement, il condescend à faire un geste.
– « D'aaaacord … je vais vous filer un coup de main.
Qu'est-ce que je peux faire ?
– Merci Rodolphe, je te revaudrai ça ...
– De tout façon, ça ne va pas vous empêcher de recevoir une
déculottée, je n'ai jamais vu maman
revenir sur l'annonce d'une fessée ».
Douglas, n'est qu'à moitié rassuré. Au bord de la panique,
il se met en même temps, au four, au moulin, au frigo et au fourneau... à la
recherche du temps perdu.
Ouvrant des boites de conserve de
haricots avec précipitation, il met inutilement de l'eau à chauffer et implore
Rodolphe, simultanément, de mettre le couvert, jeter les épluchures à la poubelle,
de donner un coup de balai autour de la table. Dans sa hâte, il oublie des choses,
demande plusieurs fois à Rodolphe, qui n'en sait rien, s'il a salé l’eau,
laisse une casserole déborder en râlant, le tout en regardant sans arrêt la
pendule.
Soudain,
comme frappé par le rappel d'une urgence, il monte dans la chambre. On entend
des tiroirs s’ouvrir et se refermer. Il redescend, en cavalcades quelques
minutes après, en manquant de se casser la figure dans l’escalier, empêtré dans
son pantalon qu'il retient, descendu à mi cuisses.
Obéissant
aux consignes de Clarisse qui leur impose un véritable rituel de préparation du
derrière avant les corrections, il traverse en trombe la cuisine et va
s’enfermer dans la salle de bains pour se mettre en tenue. Il crie à travers la
porte.
---
« Baisse le feu ! Le four ...! Baisse... mais pas trop ! »
Il
ressort en tenant toujours son pantalon descendu, la ceinture brinquebalant sur
ses cuisses. Rodolphe, qui le suit d'un regard amusé, a tout loisir de
contempler son volumineux postérieur étroitement moulé dans un de ces fameux
slips à fessée, si serré, qu'il lui rentre profondément dans la raie. Ils sont
conçus pour ça. La forme très ajustée, la transparence du nylon, mettent en
évidence la plénitude de son fessier proéminent, présentant un volume
parfaitement sphérique, souple et ferme à la fois.
–
Avec un cul pareil, pas étonnant que ma mère prenne autant tant de plaisir à le
corriger aussi souvent. Se dit-il avec un sourire en coin. Il est encore plus
gros que le mien –
Rodolphe boit du petit lait, à voir ainsi son beau-père
aux ordres, soumis, exactement comme lui, aux exigence disciplinaires de
Clarisse.
–
« Vous devriez vous installer sur la chaise à fessée en signe
d'obéissance. Ça pourra peut-être la calmer un peu de trouver votre derrière
déjà en position en arrivant. C'est toujours ça qu'elle n'aura pas à vous demander. »
La
future victime, d’une voix étranglée et presque puérile, comme si cette
supplique lui échappait, murmure avec des yeux implorants.
–
« Si seulement ça pouvait la rendre un peu moins sévère... Même si je
mérite ma correction. »
Le
garçon se contente de secouer la tête d'un air dubitatif. Il avait bien voulu,
à la rigueur, lui donner un coup de main, mais il n'avait pas pour autant envie
de le rassurer sur ce qui attendait ses fesses. Pour une fois, il a l'ascendant
et en profite avec jubilation.
–
C'est pas pour dire... Mais si vous étiez au courant pour Gilbert et Bettina et
que vous n'en avez même pas parlé à maman qui aurait peut-être pu essayer
d'arranger l'affaire, c'est beaucoup plus grave qu’un gigot mal préparé... Vous
vous êtes rendu complice... Vous connaissez maman comme moi... Ça sent la
grosse fessée déculottée ! »
Douglas
aurait voulu être un peu rassuré mais en fait, il pensait à peu près la même
chose. Ayant quasi retrouvé son ton habituel, Il prend une bruyante inspiration
en levant les yeux vers le plafond et reprit.
–
« Surveille ce qu'il y a sur le feu, s'il te plaît ! »
Jetant
un dernier regard à la pendule, il se dirige en soupirant vers la “chaise à
fessée”, baisse son pantalon presque jusqu'au mollets et s’agenouille, les
coudes posés sur le large dossier, creusant les reins et bombant son
postérieur, largement déployé... Son plantureux fessier, solidement culotté
dans son slip à fessée tendu à craquer, était offert docile et provocant,
attendant sagement l'arrivée de Clarisse. Sachant qu'elle préférerait le faire elle-même,
il n'osa pas prendre l'initiative de se déculotter.
Rodolphe,
tout en jetant un œil parfaitement incompétent sur les casseroles et le plat au
four qui mijotaient, analysait l’attitude qu'il devait prendre. Sans états
d'âme, il était bien content que son beau-père se fasse corriger par sa mère,
d'autant plus qu'il savait que la fessée serait très sévère, comme d’habitude.
Par ailleurs, ça l’arrangeait aussi de l’avoir entendu lui demander service.
D’une part il rentrait, provisoirement sans doute, dans ses bonnes grâces, ça
pouvait toujours lui être utile et, d'autre part, il gardait aussi la
possibilité de ...de... en fait, Il ne savait pas trop de quoi ...mais ça lui
donnait le beau rôle.
-
Il était temps que Douglas termine ses préparatifs car
Clarisse arriva juste après qu’il eut expérimenté la meilleure attitude de
présentation de son derrière. Quand elle entra, le claquement de ses talons
aiguilles sur le carrelage annonçait déjà la fessée. Le temps qu'elle pose les
sacs de son shopping, il s’était remis précipitamment en position :
agenouillé sur la chaise à fessée, reins cambrés, pantalon baissé, fessier tendu au maximum, épanouissant au mieux ses grosses
fesses rondes étroitement moulées dans son slip. Il tenait la tête tournée vers elle, la
regardant à la fois avec soumission et résignation craintive. Elle, sourcils
levés, les dents serrées sur un sourire carnassier, fixait ce volumineux
derrière offert à son regard avec tant de sévérité, que Rodolphe en fut, lui-même, impressionné. C’est presque timidement
qu'il lui dit ;
– « Bonsoir maman » Il fut soulagé quand, elle
lui répondit en souriant.
« Bonsoir mon chéri, ta journée s’est bien
passée ? Tu n'as pas fait de bêtise au moins ? Il répondit avec un brin de malice en
jetant un regard vers Douglas.
– « Moi ... non, tout va bien... mais lui ! »
Le sourire de sa mère disparut soudain et Il vit passer
dans son regard une lueur de contrariété. Elle se dirigea vers son mari et d’emblée lui administra un aller
-retour sur les fesses qui le fit sursauter et pousser un cri.
« Et bien Edouard, je n'ai rien entendu. On ne dit pas
bonsoir à son épouse ?
– Mais si, ma chérie
…mais tu parlais à Rodolphe, je ne t’ai pas entendue, excuse-moi ! Et tu vois je t’ai bien obéi, je me suis
préparé comme tu me l'as demandé.
– Il n’aurait plus
manqué que tu n’obéisses pas !
– Oui chérie… je suis prêt pour recevoir la fessée…. une bonne fessée
déculottée… que je mérite….
– Ah ! Tu reconnais que tu la mérites ! Répètes
le plus fort que j’entende bien.
– Oui... Je
mérite une sévère fessée déculottée… une cuisante fessée sur tes genoux.
– Pour ça fais-moi confiance, tu vas l'avoir... et tu sais
pourquoi ?
Douglas est sur le grill. Il se dandine sur sa chaise et commence
à pleurnicher. Rodolphe est songeur et s'amuse intérieurement de la scène un
peu surréaliste qui se déroule devant lui. Le mari soumis qu'il voit répondre
craintivement à sa femme en attendant sa fessée est tout de même un cadre
supérieur respecté dans son entreprise. Si ses subalternes le voyaient ! Celui-ci balbutie.
– . « Oui Clarisse... je sais... C'est... C'est à
cause de l'histoire de Gilbert avec Bettina. Je... Je reconnais, j'aurais dû t'en
parler... Mais je ne pensais pas que...
– Tu ne pensais pas quoi ? Que je finirais par le
savoir ? C'est ton ami Edouard, figure toi. Gladys l'a fait craquer
au bout de trois fessées consécutives. Il a fini par tout raconter. Comme quoi
c'est bien la meilleure méthode pour obtenir la vérité!
– Mais chérie... je te jure que...
– Oh tu peux jurer tout ce que tu veux... Je suis au
courant de tes petites magouilles avec Edouard ! Ça vous amusait tous les deux de
pousser Gilbert à fricoter avec la femme de Ronald. Tout ça pour avoir un moyen
de chantage sur lui à cause d'une sombre histoire de dette de jeu ! Encore le jeu d'ailleurs. Non mais
franchement ! Tu n'as pas honte... C'est des méthodes de mafieux !
– Non chérie, je
t'assure... je n'ai rien à voir avec ça ! »
Persiste Douglas, carrément suicidaire de nier l'évidence,
car déjà en très mauvaise posture. Clarisse voit aussi rouge que la couleur
qu'elle va lui passer sur les fesses dans peu de temps.
– « Alors toi tu ne manques pas de culot ! Comment peux-tu mentir à ce point-là ? Mon cher...Tu viens de gagner
une fessée supplémentaire ! »
Douglas se met à trépigner en tapant des mains sur le
dossier de sa chaise. Ce qui a
pour effet de lui faire tressauter le derrière et de faire glisser les
élastiques de son slip plus profondément entre les fesses.
– « C’est la faute à Edouard qui m'a entraîné là-dedans! Moi je ne voulais pas !
– Mon pauvre chéri, tu es de plus en plus ridicule. Tu
ferais mieux d'arrêter de t'enfoncer dans tes mensonges... D'ailleurs, on va
régler cela tout de suite… tu
vas déjà recevoir la fessée supplémentaire que tu mérites. On arrêtera quand le
dîner sera prêt parce qu'en plus de ça le gigot n'est pas cuit à ce que je
vois !
– Oui chérie... C'est vrai... désolé je n’ai pas pu préparer le dîner à temps… cela va bientôt l’être… mais il faut encore attendre un petit
quart d'heure… pardonne moi, chérie, je sais que tu as faim… mais c’est Rodolphe… c’est de sa faute…. On a discuté et je n'ai pas vu le temps
pass... »
Rodolphe est
furieux. Pour une fois c'est lui qui dit la vérité.
– « Ah le menteur ! C'est pas vrai maman... Quand je suis
arrivé il lisait le journal ! »
La scène commence à tourner au burlesque et à ressembler à
une dispute de gamins dans une cour d'école. Clarisse balance une grande claque sur les fesses de Douglas, qu'elle a à
portée de main, et hausse le ton.
– « Continuez comme ça et je vous mets une danse à
tous les deux ! Rodolphe tu vas t'asseoir à ta place et tu regardes... Douglas, tu rappliques ici en vitesse, à plat
ventre sur mes genoux, les fesses tournées vers la fenêtre, tout de suite ! Un
quart d'heure de fessée déculottée en attendant que le repas soit prêt... Rien
de tel pour se mettre en appétit,
Le ton autoritaire de la maîtresse de maison, met tout le
monde d'accord. Douglas, instantanément calmé, s’empresse d’obéir et se retrouve quelques secondes après
l’ordre reçu, à plat ventre sur des cuisses gainées de nylon, les mains posées
au sol et la tête pas très loin.... les pieds en l’air, son volumineux
postérieur en bonne position, à portée des mains de son épouse. Après l’avoir
bien calé sur ses genoux, elle lui saisit les cheveux de la main gauche afin de
lui relever la tête et de l’obliger ainsi à bien regarder sa fessée dans la
glace à proximité. Accessoirement, d’empêcher toute tentative d’esquive et de
lui maintenir le derrière bien en place pour l'avoir aisément à portée de main
pendant toute la durée de la correction.
Elle ironise en s'adressant à Rodolphe qui ne bronche
pas ;
– « Puisque monsieur n'a pas eu le temps de préparer
le dîner, je vais commencer par une bonne petite fessée d'échauffement à
travers le slip en attendant que ce soit prêt. »
Et la fessée démarre immédiatement, à grandes claques
s’abattant sur les fesses qui offrent une double surface charnue et bien ferme, serrée dans le nylon.
Dès les premières claques et alors que son fessier prend
rapidement une belle couleur, Douglas se met à pleurer et supplier.
--« Oaiiiie aie ! Paaardooon ! Ouille ! Oh non plus la fessée !! Aie ! Aie ! Je ne le ferai
plus ! Aiiiieeee ! Paaardooon ! Je serai obéissant !!! ouille ! ouille ! plus
la fessée !!!”
Gladys qui a déjà pris son rythme de croisière, et
claque vigoureusement chaque fesse l'une après l'autre.
– « Tiens donc, plus la fessée ! Tu crois que tu ne la mérites pas ?
– Siiiii !” Aie! Aie ! Aie !
Siiiii je.la mérite ! Aiiieee !
-- Tu la veux alors ?
– Noooon… Aie… Siiii… Je la mérite …la fessée déculottée !
– Répète alors, mon chéri. Je mérite une bonne fessée.... déculottée...
– Ouiii... Une bonne fessée déc... ulot ...tée ! Paaarrrr dooon !
Chérie !
La rougeur des fesses sévèrement claquées apparaissait
nettement
à travers la transparence du slip. Gladys les estimant bien préparées suspend
alors la correction, le temps de le déculotter et reprend aussitôt la fessée
qui retentit, merveilleusement éclatante, sur le carrelage de la cuisine.
-- Eh
bien, ça y est, la voilà ! Tu la reçois, maintenant, ta fessée déculottée. Entends-tu comme elle claque bien ? Et elle
ne fait que commencer ! »
A partir de là, sauf quand il parvenait, d’une voix
étranglé, étouffée par ses sanglots, à supplier.
« Plus la fesséééeee... Paardooon.... Plus la fessééée s'il te
plaît ! »
On n’entendit plus que les gros pleurs d’un sale gamin doté
d’un fessier rebondi d’homme adulte qui se trémoussait au rythme continu
d’une fessée bien claquante. La totalité
des plantureux globes fessiers semblait en feu, un brasier, d’un rouge vif qui
devenait progressivement plus sombre, alors que la main de la sévère épouse
semblait vouloir, en se levant à nouveau, taper de plus en plus fort.
Par moment, les yeux de Douglas quittaient le miroir dans
lequel il assistait à sa propre fessée et semblait faire le tour de la pièce. Il
prenait bien conscience que sa fessée lui était donnée en public et que, par
conséquent, la honte de voir que son beau-fils y assistait sans en perdre une miette,
faisait aussi, partie de sa correction.
Rodolphe, d'ailleurs, se rendit compte, que sans le
vouloir, il la regardait lui aussi avec sévérité, fixant le gros fessier du
puni comme sa mère, en fronçant les sourcils Cependant, il s'aperçut qu'il commençait à avoir
faim. ....
Il regarda la pendule et en déduit que cela
faisait presque dix minutes qu'Edouard était en train de recevoir la fessée et
donc en ajoutant
le petit quart d'heure qui avaient dû s’écouler entre l’arrivée de sa mère et
le début de la fessée, ce qu’il avait mis à cuire avant devait être prêt. Il
dit à Gladys ;
– « Maman, ça doit être cuit ! »
Elle le regarda, laissant sa main à l’endroit où elle venait de claquer le
postérieur de son mari et répondit :
– « Tu parles des fesses de ton beau-père ?
– Non maman ... du gigot ! » ...
Elle rit.
Elle releva la manche de son chemisier qui était retombée,
pour bien dégager sa main et recommença
à fesser Edouard qui n’avait pas arrêté de pleurer mais qui redoubla quand sa
fessée reprit de plus belle.
Rodolphe, en se brûlant à moitié réussit à goûter un petit
morceau de gigot qui lui parut, un peu rose, juste cuit. Il éteignit, le four et, conscient de son importance, annonça fièrement.
« Ça y est maman, c’est cuit !
Gladys
releva la tête en allongeant une dernière claquée en plein milieu des fesses de
son puni qui poussa un râle d'agonie. Ça faisait déjà un moment qu'elle avaient
viré à l'écarlate.
–
« Et bien cette fois ci, les fesses de ton beau-père aussi... et à
point ! On va pouvoir passer à table ! »
Elle
le fit se mettre à genoux en larmes, entre ses cuisses. Le visage congestionné,
presque de la même couleur que ses fesses. Il avait du mal à reprendre sa
respiration perturbée par les sanglots.
–
« Alors... Tu l'as eu ta fessée déculottée ! Qu'est-ce qu'on dit
maintenant que sa petite femme s'est bien occupée de ses fesses ? »
Douglas
la bave aux lèvres, la poitrine secouée de hoquets, a des difficultés à parler.
Ses fesses lui cuisent atrocement.
– « Mer... merci Gladys pour cette... cette bonne.... fess...
fessée...
– Mais de rien mon chéri. C'est toujours un plaisir de
claquer tes belles grosses fesses. Maintenant, au lieu d'aller au coin, tu
files à table me les caler déculottées sur ta chaise cannelée.
– Dé... déculottées ?
– Parfaitement, interdiction de remonter ton
slip ! Et tu te tiens correctement,
je ne veux pas te voir tortiller du derrière dans tous les sens, sous prétexte
qu'il vient de se prendre une grosse fessée. Sinon je t'en remets une immédiatement! C'est comme
ça !
Le
pantalon aux chevilles, le slip baissé au milieu des cuisses, il fallut à
Douglas plusieurs essais, non transformés, pour s'installer sur sa chaise. Il
s'y prit en plusieurs fois, posant prudemment son derrière écarlate, puis avec
des soupirs larmoyants, le soulevant au-dessus du siège pour le remettre
délicatement au contact. Sous le regard
insistant de Clarisse qui le toisait avec un sourire narquois du haut de ses
talons aiguille, il finit péniblement, par réussir à s'asseoir. Les dents
serrées, le visage grimaçant, il sentit l'assisse cannelée s’incruster
douloureusement dans ses chaires brûlantes. Pour une fois, il aurait apprécié
la protection, même très mince, de son slip à fessée.
Souriante,
l'épouse cynique, le fustige d'un simulacre de bienveillante attention.
–
« Voilà ! Comme ça tu les sens bien tes fesses ! Au moins tu
sais sur quoi tu es assis. »
Douglas,
implorant, les larmes aux yeux.
–
« Oh oui chéri, je les sens bien... Dure la fessée. Tu as encore tapé
fort !
–
Mon cher, ne t'en prends qu'à toi même. Ça t'apprendra à te mêler des
affaires des autres et à pousser un ami à tromper sa femme pour le soumettre à
un odieux chantage ! »
A
son tour, elle s'installe à table et interpelle Rodolphe qui est resté debout
au milieu de la cuisine sans trop savoir quoi faire. Quand il voit la couleur
des fesses de son beau-père, il n'ose pas prendre d'initiative de peur de
contrarier sa mère. Il n'a pas tort le garçon. Il la connaît par cœur. Vu
l'ambiance claquante du moment, elle pourrait saisir n'importe quel prétexte à
lui chauffer le derrière.
–
« Et bien Rodolphe, qu'est-ce que tu attends ? Tu vas rester là
longtemps, planté, à nous regarder avec une tête de caméléon devant une
mouche ? Tu vas l'amener ce gigot oui ou non ! Je croyais que tu avais
faim !
–
Oui maman, tout de suite !
–
Et fais attention à ne rien renverser... Sinon, gare à tes fesses ! Ma
main est encore chaude et ne demande qu’à servir. ! »
Le
jeune homme enfile des gants de cuisine et arrive avec le plat en marchant à
petits pas. Au moment où il le pose avec précaution sur la table, l'Hi-Phone de
sa mère claironne bruyamment dans son sac posé sur la table du salon.
–
« Douglas... va me chercher mon portable ! Dépêche-toi avant que ça
passe sur la messagerie ! Aller... bouge tes grosses fesses, ça va leur
faire du bien de s'aérer ! »
Le
malheureux se relève en gémissant, et les jambes entravées par son slip et son
pantalon baissé, trottine aussi vite qu'il le peut pour ramener son portable à
son épouse. Sur l'écran lumineux est apparu un selfie. Régine, souriante, un
martinet à la main avec, en gros plan sur ses genoux, les fesses rouges
déculottées de son mari. Ces Dames ont
décidé, récemment, de s’envoyer les meilleures photos de leurs séances de discipline
domestique.
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 16
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonsoir Ramina,
RépondreSupprimer"Gigot aillé sauce piquante façon Clarisse" ! annonce avec une joie non dissimulée Rodolphe l'apprenti cuisinier. Ca vaut bien au moins deux étoiles au Guide des Gourmands Malins.Quelle recette ! Quel tour de main. Bientôt la Chandeleur et Dame Clarisse n'aura aucun mal à faire sauter les crêpes comme les fessiers désobéissants sur ses genoux ! Avec une noisette de miel, très chère ?
Alors à taaaaable !!! Lance la maitresse de maison.
(NB : excusez moi, cher confrère : sur le premier dessin, est-ce Gérome et Robin en discussion dans le bus ? )
Amicalement. Peter.
Bonjour,
RépondreSupprimerAh la, là ! Moi même je m'y mélange les crayons!"
Pour ceux qui auraient relevé la mauvaise distribution des rôles,(?)
A la place de "Et bien Edouard je n'ai rien entendu on dit pas bonsoir à sa femme..." Il faut évidemment lire " Et bien Douglas..."
Edouard, comme tout le monde le sait,(?) sauf moi sur ce coup là, est la mari de Gladys... pas de Clarisse qui...
Comment? Personne s'en est aperçu ... Ah bon...
Ramina
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerMoi-même en débutant le commentaire, j'avais écris Gladys puis j'ai rectifié. C'est vrai qu'en ajoutant des personnages, on risque une certaine confusion à un moment donné.
Sinon mes hommages à ces Dames (quel fayot, Peter !! Rires)
Amicalement. Peter.
hello Peter,
RépondreSupprimerOui il s'agit bien de Gérôme et Robin en discussion... Comme je le disais plus haut la multiplicité des personnages peut provoquer quelques confusions auxquelles je suis moi même exposé...
J'aime bien tes commentaires dialogués qui prolongent le récit de façon très imagée. Bien vu le coup des crêpes!
Amicalement.
Ramina
Bonjour Ramina. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerOuf! Je suis soulagé. Parce que je n'avais qu'une hantise tout au long de ce récit, c'est que le gigot soit trop cuit. Et un gigot trop cuit, ça, ça le fait vraiment pas. Heureusement que le fils de la maison, attentif à tout ce qu'il se passe, a tiré la sonnette d'alarme. Ce qui pourrait peut-être lui valoir une indulgence plénière pour la prochaine occasion où il aura mérité une fessée, non? Parce que sauver un gigot, c'est tout de même un acte citoyen de première importance.
Amicalement.
François