mardi 28 janvier 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 17

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

LE PRIX DU CHANTAGE, DOUGLAS SUR LE GRILL.

Pendant que Robin mettait en œuvre son plan machiavélique pour faire punir son beau-père avec un nouveau martinet, Rodolphe contrarié que son ami ait refusé son aide, était reparti chez lui en maugréant, les mains rageusement enfoncées dans ses poches. Persuadé d'être toujours plus malin que les autres malgré les nombreux déboires que ses combines douteuses lui valaient assez régulièrement, il avait du mal à accepter qu'on puisse avoir de meilleures idées que lui. 
Il était dix-huit heures, à peine passées de cinq minutes et, à sa grande surprise, Douglas était déjà rentré. Lui qui, d'habitude était beaucoup plus tardif dans ses retours du bureau.  Il devait y avoir une bonne raison pour qu'il soit là si tôt et Clarisse, comme d’habitude, avait dû employer des arguments convaincants.  Il lisait un journal sur la table de la cuisine, devant des légumes qu'il avait commencé à éplucher. Oignons, carottes, à côté d'un grand plat à Gigot.
Rodolphe n'aimait pas trop se trouver seul en compagnie de son beau-père, il s'assit cependant en face de lui. Ce n'est pas qu'il ait eu quoi que ce soit à craindre, Clarisse se chargeant de la discipline dans la maison, lui interdisait formellement de lever la main sur ses fesses. Selon une hiérarchie bien établie, elle s'en réservait l'usage exclusif. Sauf, bien entendu pendant les séances de fessées organisées avec Gladys, Edwige, Thérez et, plus récemment, Régine, où l'on échangeait volontiers les paires de fesses à corriger.

Avant que le jeune homme n'ouvre la bouche, Douglas, répond à la question qu'il ne lui a pas encore été posée,
– « Ta mère m'a demandé de préparer le gigot d'agneau pour ce soir, dit-il d'un ton désabusé, sans lever la tête de son journal.... Alors... je prépare. »
Rodolphe, profitant d'une provisoire impunité disciplinaire, répond avec ironie.
– « Pour le moment vous n'avez pas l'air de préparer grand-chose. Si vous continuez à lire le journal, vous n'allez pas avancer des tonnes !
– « T'es un petit rigolo toi hein !  Répond Douglas en ricanant. Mais tu fais moins le malin quand ta mère est là !
­Le garçon ne se démonte pas et réplique, goguenard.
-- Peut-être, mais en attendant, à l'allure où vous allez, le dîner ne sera pas prêt et je connais une paire de fesses qui risquent de cuire bien plus vite que le gigot. Sûr, quand maman va rentrer... Elle va vous en mettre une... Et une bonne ! 

une promesse de fessée


– C'est vrai, tu sais de quoi tu parles toi... ça t'arrive tellement souvent ! T'es un habitué de la déculottée !
– Ah mais Douglas, moi ce que j'en dis...c'est pour vous éviter une raclée.
– Ah oui, vraiment ? J'ai du mal à te croire, figure toi. Autant que je sache, c'est pas vraiment ton genre.
– Ben oui ! Vous avez vu l'heure qu'il est ?
Douglas jette un œil à la pendule de la cuisine, et se rend compte qu'effectivement il n'a pas fait attention à l'heure. Du coup il perd de sa superbe.
– « Oh la la oui, tu as raison mon garçon ! »

Il replie précipitamment son journal et s'empresse de finir d'éplucher les oignons.  Les yeux commencent à piquer lorsque son portable vibre sur la table. Sur l'écran, le prénom : ''Clarisse'' s'affiche en haut d'une photo. Elle est assise sur un tabouret, la jupe relevée sur ses cuisses qu'elle désigne d'un doigt autoritaire, indiquant la position à prendre pour recevoir une fessée. C'est une ligne dont elle seule a le numéro, qu'elle utilise pour communiquer directement avec son mari. Le signal sonore le fait souvent sursauter car c'est presque systématiquement l'annonce d'une fessée à venir. Le message est sans équivoque, comme d'habitude.

'' Je suis avec Régine. Il paraît que tu étais au courant de la liaison de son mari avec   Bettina. Il va falloir que tu t'expliques. Prépare tes fesses, j'arrive dans une demie heure.''

Rodolphe penché par-dessus son épaule, a lu le message en même temps que lui. L'air triomphant d'avoir eu raison, il s'exclame.
– « Voyez... qu'est que ce je disais... Le dîner n'est pas prêt, avec en plus de ça, des vilaines cachotteries... Elle va vous dérouiller mon vieux ! »

Douglas ne répond rien et se met fébrilement à finir de préparer le gigot. Huile, oignons, rondelles de carottes avec du vin, des herbes de Provence et... Qu'est-ce qu'on met d'autre dans une marinade ?... Il ne sait plus et laisse comme ça. De toute façon, ça ne va pas mariner longtemps et en l'occurrence c'est plutôt lui qui est en train de mariner.

Comme pour solliciter son aide, il jette un regard pathétique en direction de Rodolphe qui lui répond par un petit sourire faussement navré. Assez malin pour s'attirer les bonnes grâces du beau-père et connaissant l'effet des raclées que sa mère administre pour en recevoir régulièrement, il condescend à faire un geste. 
– « D'aaaacord … je vais vous filer un coup de main. Qu'est-ce que je peux faire ?
– Merci Rodolphe, je te revaudrai ça ...
– De tout façon, ça ne va pas vous empêcher de recevoir une déculottée, je n'ai    jamais vu maman revenir sur l'annonce d'une fessée ».

Douglas, n'est qu'à moitié rassuré. Au bord de la panique, il se met en même temps, au four, au moulin, au frigo et au fourneau... à la recherche du temps perdu.
 Ouvrant des boites de conserve de haricots avec précipitation, il met inutilement de l'eau à chauffer et implore Rodolphe, simultanément, de mettre le couvert, jeter les épluchures à la poubelle, de donner un coup de balai autour de la table. Dans sa hâte, il oublie des choses, demande plusieurs fois à Rodolphe, qui n'en sait rien, s'il a salé l’eau, laisse une casserole déborder en râlant, le tout en regardant sans arrêt la pendule.

Soudain, comme frappé par le rappel d'une urgence, il monte dans la chambre. On entend des tiroirs s’ouvrir et se refermer. Il redescend, en cavalcades quelques minutes après, en manquant de se casser la figure dans l’escalier, empêtré dans son pantalon qu'il retient, descendu à mi cuisses.
Obéissant aux consignes de Clarisse qui leur impose un véritable rituel de préparation du derrière avant les corrections, il traverse en trombe la cuisine et va s’enfermer dans la salle de bains pour se mettre en tenue. Il crie à travers la porte.
--- « Baisse le feu ! Le four ...! Baisse... mais pas trop ! »
Il ressort en tenant toujours son pantalon descendu, la ceinture brinquebalant sur ses cuisses. Rodolphe, qui le suit d'un regard amusé, a tout loisir de contempler son volumineux postérieur étroitement moulé dans un de ces fameux slips à fessée, si serré, qu'il lui rentre profondément dans la raie. Ils sont conçus pour ça. La forme très ajustée, la transparence du nylon, mettent en évidence la plénitude de son fessier proéminent, présentant un volume parfaitement sphérique, souple et ferme à la fois.

– Avec un cul pareil, pas étonnant que ma mère prenne autant tant de plaisir à le corriger aussi souvent. Se dit-il avec un sourire en coin. Il est encore plus gros que le mien – 

 Rodolphe boit du petit lait, à voir ainsi son beau-père aux ordres, soumis, exactement comme lui, aux exigence disciplinaires de Clarisse.
– « Vous devriez vous installer sur la chaise à fessée en signe d'obéissance. Ça pourra peut-être la calmer un peu de trouver votre derrière déjà en position en arrivant. C'est toujours ça qu'elle n'aura pas à vous demander. »
La future victime, d’une voix étranglée et presque puérile, comme si cette supplique lui échappait, murmure avec des yeux implorants.
– « Si seulement ça pouvait la rendre un peu moins sévère... Même si je mérite ma correction. »
Le garçon se contente de secouer la tête d'un air dubitatif. Il avait bien voulu, à la rigueur, lui donner un coup de main, mais il n'avait pas pour autant envie de le rassurer sur ce qui attendait ses fesses. Pour une fois, il a l'ascendant et en profite avec jubilation.
– C'est pas pour dire... Mais si vous étiez au courant pour Gilbert et Bettina et que vous n'en avez même pas parlé à maman qui aurait peut-être pu essayer d'arranger l'affaire, c'est beaucoup plus grave qu’un gigot mal préparé... Vous vous êtes rendu complice... Vous connaissez maman comme moi... Ça sent la grosse fessée déculottée ! »

Douglas aurait voulu être un peu rassuré mais en fait, il pensait à peu près la même chose. Ayant quasi retrouvé son ton habituel, Il prend une bruyante inspiration en levant les yeux vers le plafond et reprit.
– « Surveille ce qu'il y a sur le feu, s'il te plaît ! »  
Jetant un dernier regard à la pendule, il se dirige en soupirant vers la “chaise à fessée”, baisse son pantalon presque jusqu'au mollets et s’agenouille, les coudes posés sur le large dossier, creusant les reins et bombant son postérieur, largement déployé... Son plantureux fessier, solidement culotté dans son slip à fessée tendu à craquer, était offert docile et provocant, attendant sagement l'arrivée de Clarisse. Sachant qu'elle préférerait le faire elle-même, il n'osa pas prendre l'initiative de se déculotter.

Rodolphe, tout en jetant un œil parfaitement incompétent sur les casseroles et le plat au four qui mijotaient, analysait l’attitude qu'il devait prendre. Sans états d'âme, il était bien content que son beau-père se fasse corriger par sa mère, d'autant plus qu'il savait que la fessée serait très sévère, comme d’habitude. Par ailleurs, ça l’arrangeait aussi de l’avoir entendu lui demander service. D’une part il rentrait, provisoirement sans doute, dans ses bonnes grâces, ça pouvait toujours lui être utile et, d'autre part, il gardait aussi la possibilité de ...de... en fait, Il ne savait pas trop de quoi ...mais ça lui donnait le beau rôle.  

-        
Il était temps que Douglas termine ses préparatifs car Clarisse arriva juste après qu’il eut expérimenté la meilleure attitude de présentation de son derrière. Quand elle entra, le claquement de ses talons aiguilles sur le carrelage annonçait déjà la fessée. Le temps qu'elle pose les sacs de son shopping, il s’était remis précipitamment en position : agenouillé sur la chaise à fessée, reins cambrés, pantalon baissé, fessier tendu au maximum, épanouissant au mieux ses grosses fesses rondes étroitement moulées dans son slip. Il tenait la tête tournée vers elle, la regardant à la fois avec soumission et résignation craintive. Elle, sourcils levés, les dents serrées sur un sourire carnassier, fixait ce volumineux derrière offert à son regard avec tant de sévérité, que Rodolphe en fut, lui-même, impressionné. C’est presque timidement qu'il lui dit ;
– « Bonsoir maman » Il fut soulagé quand, elle lui répondit en souriant.
 « Bonsoir mon chéri, ta journée s’est bien passée ? Tu n'as pas fait de bêtise au moins ? Il répondit avec un brin de malice en jetant un regard vers Douglas.
– « Moi ... non, tout va bien... mais lui ! »
Le sourire de sa mère disparut soudain et Il vit passer dans son regard une lueur de contrariété. Elle se dirigea vers son mari et d’emblée lui administra un aller -retour sur les fesses qui le fit sursauter et pousser un cri.
« Et bien Edouard, je n'ai rien entendu. On ne dit pas bonsoir à son épouse ?
  Mais si, ma chérie …mais tu parlais à Rodolphe, je ne t’ai pas entendue, excuse-moi ! Et tu vois je t’ai bien obéi, je me suis préparé comme tu me l'as demandé.
  Il n’aurait plus manqué que tu n’obéisses pas !
  Oui chérie… je suis prêt pour recevoir la fessée…. une bonne fessée déculottée… que je mérite….
– Ah ! Tu reconnais que tu la mérites ! Répètes le plus fort que j’entende bien.
 – Oui...  Je mérite une sévère fessée déculottée… une cuisante fessée sur tes genoux.
– Pour ça fais-moi confiance, tu vas l'avoir... et tu sais pourquoi ?

Douglas est sur le grill. Il se dandine sur sa chaise et commence à pleurnicher. Rodolphe est songeur et s'amuse intérieurement de la scène un peu surréaliste qui se déroule devant lui. Le mari soumis qu'il voit répondre craintivement à sa femme en attendant sa fessée est tout de même un cadre supérieur respecté dans son entreprise. Si ses subalternes le voyaient ! Celui-ci balbutie.
– . « Oui Clarisse... je sais... C'est... C'est à cause de l'histoire de Gilbert avec Bettina. Je... Je reconnais, j'aurais dû t'en parler... Mais je ne pensais pas que...
– Tu ne pensais pas quoi ? Que je finirais par le savoir ? C'est ton ami Edouard, figure toi.  Gladys l'a fait craquer au bout de trois fessées consécutives. Il a fini par tout raconter. Comme quoi c'est bien la meilleure méthode pour obtenir la vérité!
– Mais chérie... je te jure que...
– Oh tu peux jurer tout ce que tu veux... Je suis au courant de tes petites magouilles avec Edouard ! Ça vous amusait tous les deux de pousser Gilbert à fricoter avec la femme de Ronald. Tout ça pour avoir un moyen de chantage sur lui à cause d'une sombre histoire de dette de jeu !  Encore le jeu d'ailleurs. Non mais franchement ! Tu n'as pas honte... C'est des méthodes de mafieux ! 
  Non chérie, je t'assure... je n'ai rien à voir avec ça ! »
Persiste Douglas, carrément suicidaire de nier l'évidence, car déjà en très mauvaise posture. Clarisse voit aussi rouge que la couleur qu'elle va lui passer sur les fesses dans peu de temps.
– « Alors toi tu ne manques pas de culot ! Comment peux-tu mentir à ce point-là ? Mon cher...Tu viens de gagner une fessée supplémentaire ! »

Douglas se met à trépigner en tapant des mains sur le dossier de sa chaise. Ce qui a pour effet de lui faire tressauter le derrière et de faire glisser les élastiques de son slip plus profondément entre les fesses. 
– « C’est la faute à Edouard qui m'a entraîné là-dedans! Moi je ne voulais pas !
– Mon pauvre chéri, tu es de plus en plus ridicule. Tu ferais mieux d'arrêter de t'enfoncer dans tes mensonges... D'ailleurs, on va régler cela tout de suite… tu vas déjà recevoir la fessée supplémentaire que tu mérites. On arrêtera quand le dîner sera prêt parce qu'en plus de ça le gigot n'est pas cuit à ce que je vois !
– Oui chérie... C'est vrai... désolé je n’ai pas pu préparer le dîner à temps… cela va bientôt l’être… mais il faut encore attendre un petit quart d'heure… pardonne moi, chérie, je sais que tu as faim… mais c’est Rodolphe… c’est de sa faute…. On a discuté et je n'ai pas vu le temps pass... »
 Rodolphe est furieux. Pour une fois c'est lui qui dit la vérité.
– « Ah le menteur ! C'est pas vrai maman... Quand je suis arrivé il lisait le journal ! »

La scène commence à tourner au burlesque et à ressembler à une dispute de gamins dans une cour d'école. Clarisse balance une grande claque sur les fesses de Douglas, qu'elle a à portée de main, et hausse le ton.
– « Continuez comme ça et je vous mets une danse à tous les deux ! Rodolphe tu vas t'asseoir à ta place et tu regardes...  Douglas, tu rappliques ici en vitesse, à plat ventre sur mes genoux, les fesses tournées vers la fenêtre, tout de suite ! Un quart d'heure de fessée déculottée en attendant que le repas soit prêt... Rien de tel pour se mettre en appétit,

Le ton autoritaire de la maîtresse de maison, met tout le monde d'accord.  Douglas, instantanément calmé, s’empresse d’obéir et se retrouve quelques secondes après l’ordre reçu, à plat ventre sur des cuisses gainées de nylon, les mains posées au sol et la tête pas très loin.... les pieds en l’air, son volumineux postérieur en bonne position, à portée des mains de son épouse. Après l’avoir bien calé sur ses genoux, elle lui saisit les cheveux de la main gauche afin de lui relever la tête et de l’obliger ainsi à bien regarder sa fessée dans la glace à proximité. Accessoirement, d’empêcher toute tentative d’esquive et de lui maintenir le derrière bien en place pour l'avoir aisément à portée de main pendant toute la durée de la correction.
Elle ironise en s'adressant à Rodolphe qui ne bronche pas ;
– « Puisque monsieur n'a pas eu le temps de préparer le dîner, je vais commencer par une bonne petite fessée d'échauffement à travers le slip en attendant que ce soit prêt. »
Et la fessée démarre immédiatement, à grandes claques s’abattant sur les fesses qui offrent une double surface charnue et bien ferme, serrée dans le nylon.


Dès les premières claques et alors que son fessier prend rapidement une belle couleur, Douglas se met à pleurer et supplier.
--« Oaiiiie aie ! Paaardooon ! Ouille ! Oh non plus la fessée !! Aie ! Aie ! Je ne le ferai plus ! Aiiiieeee ! Paaardooon ! Je serai obéissant !!! ouille ! ouille ! plus la fessée !!!” 
Gladys qui a déjà pris son rythme de croisière, et claque vigoureusement chaque fesse l'une après l'autre.
– « Tiens donc, plus la fessée ! Tu crois que tu ne la mérites pas ?
– Siiiii !”  Aie! Aie ! Aie !  Siiiii je.la mérite ! Aiiieee !
­-- Tu la veux alors ?
– Noooon… Aie… Siiii…  Je la mérite …la fessée déculottée !
– Répète alors, mon chéri. Je mérite une bonne fessée.... déculottée...
– Ouiii... Une bonne fessée déc... ulot ...tée ! Paaarrrr dooon ! Chérie !

La rougeur des fesses sévèrement claquées apparaissait nettement à travers la transparence du slip. Gladys les estimant bien préparées suspend alors la correction, le temps de le déculotter et reprend aussitôt la fessée qui retentit, merveilleusement éclatante, sur le carrelage de la cuisine. 
-- Eh bien, ça y est, la voilà ! Tu la reçois, maintenant, ta fessée déculottée. Entends-tu comme elle claque bien ? Et elle ne fait que commencer ! »

A partir de là, sauf quand il parvenait, d’une voix étranglé, étouffée par ses sanglots, à supplier.
« Plus la fesséééeee... Paardooon.... Plus la fessééée s'il te plaît ! »
On n’entendit plus que les gros pleurs d’un sale gamin doté d’un fessier rebondi d’homme adulte qui se trémoussait au rythme continu d’une fessée bien claquante.  La totalité des plantureux globes fessiers semblait en feu, un brasier, d’un rouge vif qui devenait progressivement plus sombre, alors que la main de la sévère épouse semblait vouloir, en se levant à nouveau, taper de plus en plus fort.
Par moment, les yeux de Douglas quittaient le miroir dans lequel il assistait à sa propre fessée et semblait faire le tour de la pièce. Il prenait bien conscience que sa fessée lui était donnée en public et que, par conséquent, la honte de voir que son beau-fils y assistait sans en perdre une miette, faisait aussi, partie de sa correction.
Rodolphe, d'ailleurs, se rendit compte, que sans le vouloir, il la regardait lui aussi avec sévérité, fixant le gros fessier du puni comme sa mère, en fronçant les sourcils Cependant, il s'aperçut qu'il commençait à avoir faim. ....

Il regarda la pendule et en déduit que cela faisait presque dix minutes qu'Edouard était en train de recevoir la fessée et donc en ajoutant le petit quart d'heure qui avaient dû s’écouler entre l’arrivée de sa mère et le début de la fessée, ce qu’il avait mis à cuire avant devait être prêt. Il dit à Gladys ;
– « Maman, ça doit être cuit ! »
Elle le regarda, laissant sa main à l’endroit où elle venait de claquer le postérieur de son mari et répondit :
– « Tu parles des fesses de ton beau-père ?
– Non maman ... du gigot ! » ...
Elle rit.
--« J’avais compris, ballot !.eh bien ! Vas goûter et dis-moi si c’est prêt. »


une fessée déculottée pour Edouard


Elle releva la manche de son chemisier qui était retombée, pour bien dégager sa main et   recommença à fesser Edouard qui n’avait pas arrêté de pleurer mais qui redoubla quand sa fessée reprit de plus belle.
Rodolphe, en se brûlant à moitié réussit à goûter un petit morceau de gigot qui lui parut, un peu rose, juste cuit. Il éteignit, le four et, conscient de son importance, annonça fièrement.
« Ça y est maman, c’est cuit !
Gladys releva la tête en allongeant une dernière claquée en plein milieu des fesses de son puni qui poussa un râle d'agonie. Ça faisait déjà un moment qu'elle avaient viré à l'écarlate.
– « Et bien cette fois ci, les fesses de ton beau-père aussi... et à point ! On va pouvoir passer à table ! »
Elle le fit se mettre à genoux en larmes, entre ses cuisses. Le visage congestionné, presque de la même couleur que ses fesses. Il avait du mal à reprendre sa respiration perturbée par les sanglots.
– « Alors... Tu l'as eu ta fessée déculottée ! Qu'est-ce qu'on dit maintenant que sa petite femme s'est bien occupée de ses fesses ? »
Douglas la bave aux lèvres, la poitrine secouée de hoquets, a des difficultés à parler. Ses fesses lui cuisent atrocement.
– « Mer... merci Gladys pour cette... cette bonne.... fess... fessée...
– Mais de rien mon chéri. C'est toujours un plaisir de claquer tes belles grosses fesses. Maintenant, au lieu d'aller au coin, tu files à table me les caler déculottées sur ta chaise cannelée.
– Dé... déculottées ?
– Parfaitement, interdiction de remonter ton slip !  Et tu te tiens correctement, je ne veux pas te voir tortiller du derrière dans tous les sens, sous prétexte qu'il vient de se prendre une grosse fessée.  Sinon je t'en remets une immédiatement! C'est comme ça ! 

Le pantalon aux chevilles, le slip baissé au milieu des cuisses, il fallut à Douglas plusieurs essais, non transformés, pour s'installer sur sa chaise. Il s'y prit en plusieurs fois, posant prudemment son derrière écarlate, puis avec des soupirs larmoyants, le soulevant au-dessus du siège pour le remettre délicatement au contact.  Sous le regard insistant de Clarisse qui le toisait avec un sourire narquois du haut de ses talons aiguille, il finit péniblement, par réussir à s'asseoir. Les dents serrées, le visage grimaçant, il sentit l'assisse cannelée s’incruster douloureusement dans ses chaires brûlantes. Pour une fois, il aurait apprécié la protection, même très mince, de son slip à fessée.

Souriante, l'épouse cynique, le fustige d'un simulacre de bienveillante attention. 
– « Voilà ! Comme ça tu les sens bien tes fesses ! Au moins tu sais sur quoi tu es assis. »
Douglas, implorant, les larmes aux yeux.
– « Oh oui chéri, je les sens bien... Dure la fessée. Tu as encore tapé fort !
– Mon cher, ne t'en prends qu'à toi même.  Ça t'apprendra à te mêler des affaires des autres et à pousser un ami à tromper sa femme pour le soumettre à un odieux chantage ! »

A son tour, elle s'installe à table et interpelle Rodolphe qui est resté debout au milieu de la cuisine sans trop savoir quoi faire. Quand il voit la couleur des fesses de son beau-père, il n'ose pas prendre d'initiative de peur de contrarier sa mère. Il n'a pas tort le garçon. Il la connaît par cœur. Vu l'ambiance claquante du moment, elle pourrait saisir n'importe quel prétexte à lui chauffer le derrière.  

– « Et bien Rodolphe, qu'est-ce que tu attends ? Tu vas rester là longtemps, planté, à nous regarder avec une tête de caméléon devant une mouche ? Tu vas l'amener ce gigot oui ou non ! Je croyais que tu avais faim !
– Oui maman, tout de suite !
– Et fais attention à ne rien renverser... Sinon, gare à tes fesses ! Ma main est encore chaude et ne demande qu’à servir. ! »

Le jeune homme enfile des gants de cuisine et arrive avec le plat en marchant à petits pas. Au moment où il le pose avec précaution sur la table, l'Hi-Phone de sa mère claironne bruyamment dans son sac posé sur la table du salon.
– « Douglas... va me chercher mon portable ! Dépêche-toi avant que ça passe sur la messagerie ! Aller... bouge tes grosses fesses, ça va leur faire du bien de s'aérer ! »

Le malheureux se relève en gémissant, et les jambes entravées par son slip et son pantalon baissé, trottine aussi vite qu'il le peut pour ramener son portable à son épouse. Sur l'écran lumineux est apparu un selfie. Régine, souriante, un martinet à la main avec, en gros plan sur ses genoux, les fesses rouges déculottées de son mari.  Ces Dames ont décidé, récemment, de s’envoyer les meilleures photos de leurs séances de discipline domestique.


Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 16
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, le chapitre 18.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.


Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre :  Ramina

5 commentaires:

  1. Bonsoir Ramina,

    "Gigot aillé sauce piquante façon Clarisse" ! annonce avec une joie non dissimulée Rodolphe l'apprenti cuisinier. Ca vaut bien au moins deux étoiles au Guide des Gourmands Malins.Quelle recette ! Quel tour de main. Bientôt la Chandeleur et Dame Clarisse n'aura aucun mal à faire sauter les crêpes comme les fessiers désobéissants sur ses genoux ! Avec une noisette de miel, très chère ?
    Alors à taaaaable !!! Lance la maitresse de maison.
    (NB : excusez moi, cher confrère : sur le premier dessin, est-ce Gérome et Robin en discussion dans le bus ? )
    Amicalement. Peter.

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  2. Bonjour,
    Ah la, là ! Moi même je m'y mélange les crayons!"
    Pour ceux qui auraient relevé la mauvaise distribution des rôles,(?)

    A la place de "Et bien Edouard je n'ai rien entendu on dit pas bonsoir à sa femme..." Il faut évidemment lire " Et bien Douglas..."
    Edouard, comme tout le monde le sait,(?) sauf moi sur ce coup là, est la mari de Gladys... pas de Clarisse qui...
    Comment? Personne s'en est aperçu ... Ah bon...
    Ramina

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  3. Bonjour Ramina,

    Moi-même en débutant le commentaire, j'avais écris Gladys puis j'ai rectifié. C'est vrai qu'en ajoutant des personnages, on risque une certaine confusion à un moment donné.
    Sinon mes hommages à ces Dames (quel fayot, Peter !! Rires)
    Amicalement. Peter.

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  4. hello Peter,
    Oui il s'agit bien de Gérôme et Robin en discussion... Comme je le disais plus haut la multiplicité des personnages peut provoquer quelques confusions auxquelles je suis moi même exposé...
    J'aime bien tes commentaires dialogués qui prolongent le récit de façon très imagée. Bien vu le coup des crêpes!
    Amicalement.
    Ramina

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  5. Bonjour Ramina. Et bonjour à tous.

    Ouf! Je suis soulagé. Parce que je n'avais qu'une hantise tout au long de ce récit, c'est que le gigot soit trop cuit. Et un gigot trop cuit, ça, ça le fait vraiment pas. Heureusement que le fils de la maison, attentif à tout ce qu'il se passe, a tiré la sonnette d'alarme. Ce qui pourrait peut-être lui valoir une indulgence plénière pour la prochaine occasion où il aura mérité une fessée, non? Parce que sauver un gigot, c'est tout de même un acte citoyen de première importance.
    Amicalement.
    François

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